11 vaccins : enjeux, décrytage et vérité

Reprise de notre article paru en février 2018 qui est la trans­crip­tion d’une confé­rence orga­ni­sée par Culture Populaire le same­di 10 février de cette même année. Cet article avait ren­con­tré un énorme suc­cès. C’est pour­quoi nous le réédi­tons pour qu’il reste acces­sible mal­gré l’ef­fa­ce­ment de nos don­nées par notre ancien héber­geur OVH.

Face à la levée de bou­cliers, et aux inter­ro­ga­tions anti-vac­ci­nales que connaît la France aujourd’hui, un éclai­rage s’impose : c’est de cette volon­té que naît l’idée de réunir pro­fes­sion­nels de la san­té et spé­cia­listes du sujet, non ali­gnés sur la pen­sée unique des médias domi­nants. Nous avons sélec­tion­né pour vous des inter­ve­nants venus des quatre coins de la France, pour la pre­mière fois réunis autour d’une même table, afin de trai­ter de ce sujet sen­sible : des ori­gines jusqu’aux causes, en pas­sant par les inté­rêts en jeu, tout en vous aidant à dénouer le vrai du faux, le fac­tuel du mythe.

11 vaccins conférence Culture Populaire

Intervention du Dr Alain Scohy

Des pro­blèmes de fia­bi­li­té du vidéo pro­jec­teur ont per­tur­bé cette par­tie, et uni­que­ment celle-ci, veuillez nous en excuser.

Le doc­teur Scohy rap­pèle com­ment sont appa­rus les vac­cins, bien avant Pasteur. L’étymologie nous apprend que le mot « vac­cin » vient de « vac­ca » — la vache — puisque c’est Édouard Jenner, un méde­cin de cam­pagne anglais, qui uti­li­sa du pus pro­ve­nant d’une mala­die appa­ren­tée mais bénigne, la vac­cine des vaches, pour pro­té­ger un jeune gar­çon de la variole. Cent ans plus tard, Louis Pasteur, immense tra­vailleur et grand lec­teur, repro­dui­sit cette expé­rience avec un vac­cin contre le char­bon des vaches en uti­li­sant un adju­vant à base de potas­sium à forte dose, ce qui consti­tue un poi­son. Aujourd’hui encore, les scien­ti­fiques s’interrogent si l’immunité par­tielle du bétail n’est pas plu­tôt à impu­ter à cet adju­vant. Mais le seul fait de se poser cette ques­tion valut la radia­tion de l’Ordre des Médecins du doc­teur Alain Scohy.
Celui-ci regrette que les tra­vaux d’Antoine Béchamp (1816 – 1908) ont été occul­tés pour des rai­sons idéo­lo­giques car ce der­nier ne cachait pas sa foi chré­tienne à l’époque de la franc-maçon­ne­rie conqué­rante. C’est ce pro­fes­seur de toxi­co­lo­gie et de chi­mie médi­cale à la Faculté de Montpellier qui décou­vrit pour­tant l’élément pri­mor­dial de la cel­lule vivante qu’il dénom­ma « micro­zy­ma ». Il démon­tra que celui-ci pou­vait deve­nir bac­té­rie ou virus et en dédui­sit le « poly­mor­phisme bac­té­rien ». Il a ain­si démon­tré très rigou­reu­se­ment que ce sont ces « micro­zy­mas » qui construisent les cel­lules. Ce qui remet en cause le mono­mor­phisme de Pasteur qui entraî­na alors la méde­cine vers la pho­bie du microbe. Mais il fut décré­té que c’est Louis Pasteur qui devait avoir rai­son. Cette situa­tion per­dure de nos jours.
Le doc­teur Scohy avance que la mala­die est néces­saire car elle est la répa­ra­tion d’une patho­lo­gie. Lutter contre la mala­die est donc une erreur fon­da­men­tale. Et il ajoute : « Toute notre méde­cine moderne est blas­phé­ma­toire ». Les causes des patho­lo­gies sont sou­vent psy­cho­so­ma­tiques. Il rap­pelle l’importance de la vita­mine C pour lut­ter contre les patho­lo­gies car nos ancêtres furent, pen­dant des cen­taines de mil­liers d’années, essen­tiel­le­ment fruc­ti­vores. Écoutons ce que notre corps nous dit au lieu de le contra­rier par des « médi­ca­ments miracles » venus d’ailleurs.
L’immunité natu­relle tient toute la vie, ce qui n’est pas le cas avec les vac­cins qu’il faut « rappeler ».

Intervention du Dr Didier Tarte

Ce méde­cin nous explique que sa prise de conscience remonte à la période de ses études puisque le sujet de sa thèse était : « Recueil des effets secon­daires des médi­ca­ments par la phar­ma­co­vi­gi­lance ». Déjà rebelle ! Le doc­teur Tarte soigne les enfants mais note que les enfants reviennent parce-qu’ils sont tou­jours malades, ce qui le conforte dans l’existence d’effets secon­daires des médi­ca­ments. Dans cette démarche il com­mence à rele­ver les effets secon­daires des vac­cins. Ils découvre alors que ces effets, pré­sents dans tous les domaines, sont métho­di­que­ment occul­tés par la méde­cine. Pourquoi donc ? Il entre­prend une étude scien­ti­fique com­pa­ra­tive entre les per­sonnes les plus vac­ci­nées et les per­sonnes les moins vac­ci­nées : il constate que ces der­nières sont trois fois moins malades ! Mais son mémoire est immé­dia­te­ment cen­su­ré. Encore.
Le Dr Didier Tarte pro­pose une com­pré­hen­sion glo­bale de la san­té qui prend en compte le corps, la conscience et l’esprit.

Intervention de Michel Georget, professeur de biologie

Cet agré­gé de bio­lo­gie l’annonce d’entrée de jeu : il n’est pas méde­cin, il est bio­lo­giste et ensei­gnant. Sa contri­bu­tion à cette confé­rence n’en est pas moins majeure.
Cet ensei­gnant s’efforcera de faire pas­ser des infor­ma­tions tech­niques et nous pré­sen­te­ra le HLA (Human Leukocyte Antigen). C’est un peu com­pli­qué et voi­ci ce que nous en avons rete­nu : au delà des Rhésus — Rhésus posi­tif, Rhésus néga­tif — asso­ciés au groupes san­guins A, B et O, il existe une clas­si­fi­ca­tion sup­plé­men­taire liée aux molé­cules por­tées par les cel­lules. Voilà par exemple pour­quoi les don­neurs et béné­fi­ciaires d’organes doivent être com­pa­tibles au niveau du Rhésus, mais aus­si au niveau du HLA.
Or le HLA joue un rôle fon­da­men­tal dans le pro­ces­sus immu­ni­taire. Par suite la réac­tion aux vac­cins dépen­dra de son propre HLA. Problème : LE vac­cin est unique. Le même pour tous, et au sui­vant ! Cette uni­ci­té entraîne de fait une réac­tion dif­fé­rente selon les indi­vi­dus vaccinés.
C’est ce qui explique les dif­fé­rences d’effets secon­daires aux vac­cins au sein d’une même famille car le HLA sera dif­fé­rent pour cha­cun, quand bien même les Rhésus seraient identiques.
Le Pr Michel Georget rap­pel­le­ra éga­le­ment que notre corps dis­pose d’anticorps des­ti­nés à lut­ter contre tous les élé­ments pathogènes.
Il pré­sen­te­ra enfin de nom­breux tableaux sta­tis­tiques mon­trant que l’éradication des mala­dies n’était pas cor­ré­lée à l’arrivée du vaccin.

Intervention de Pierre-Jean Arduin, docteur en neurosciences


Veuillez nous excu­ser pour la qua­li­té audio du début de la vidéo qui s’améliore au bout de 3 minutes

Là nous entrons dans le monde de la sta­tis­tique. Monsieur Arduin n’est ni méde­cin, ni bio­lo­giste, c’est un matheux ! Ce poly­tech­ni­cien s’est orien­té vers l’informatique tout en pré­sen­tant un doc­to­rat sur les neu­ros­ciences. Tout le contraire d’un charlatan.
En mathé­ma­ti­cien, il s’est pen­ché sur toutes les sta­tis­tiques rela­tives aux épi­dé­mies : les conclu­sions sont objec­tives et scien­ti­fiques : « Il n’y a pas cor­ré­la­tion entre vac­ci­na­tion et mala­die ! », tout en ajou­tant : « Tous les vac­cins ont des effets secon­daires ».
Il ajoute que lien entre vac­ci­na­tion (au Royaume-Uni par ex.) et l’éradication de la mora­li­té de cette mala­die est pour la majo­ri­té des mala­dies très peu mani­feste. Pour beau­coup de vac­cins, il ne semble pas y avoir de cor­ré­la­tion entre l’arrivée du vac­cin et la chute de la mortalité.
Tout ceci est écrit dans son livre Pourquoi vac­ci­ner ? Pierre-Jean Arduin pré­cise qu’il s’appuie sur des chiffres incon­tes­tables et attend qu’on vienne le contre­dire sur sa métho­do­lo­gie et ses conclu­sions. Du sérieux.

Intervention du Dr. Christian Tal Schaller

Changement de dis­cours et de ton avec ce méde­cin suisse, jovial et énergique.
Pour com­men­cer il demande à la salle de se lever afin de pro­cé­der à une séance col­lec­tive d’expiation de la peur. « Il faut apprendre à ne plus avoir peur ! », assène-t-il. Tout un voca­bu­laire est assé­né pour géné­rer la peur. Il pré­co­nise d’exprimer ses émotions.
Sa prise de conscience quant aux médi­ca­ments a com­men­cé lorsqu’il a déci­dé de s’administrer ceux qu’il pres­cri­vait à ses patients. « La san­té, ça s’apprend », pré­vient-il. C’est tou­jours le corps, cette extra­or­di­naire machine à sur­vivre, qui se gué­rit lui-même. Les virus, nous en avons besoin car ce sont des « agents de nettoyage ».
Pour lui « les vac­cins font beau­coup de dégâts car ils démo­lissent l’immunité ». Il dénonce que le vac­cin du téta­nos est par nature inef­fi­cace puisqu’il agit sur des cel­lules qui ne sont pas tou­chées par la maladie.
Bien que cela ne soit pas dû exclu­si­ve­ment aux vac­cins, les chiffres montrent que les autistes aux États-Unis ne repré­sen­taient que 1 sur 10 000 il y a un siècle, 1 sur 5 actuel­le­ment et bien­tôt 1 sur 2 ! Il dénonce que le pro­fit finan­cier passe avant la san­té.
Pour lui aus­si, la san­té est liée à l’harmonie entre les dif­fé­rentes dimen­sions de chaque per­sonne : l’être phy­sique, l’être émo­tion­nel et l’être spirituel.

Intervention de Me Jean Pierre Joseph, avocat

L’un des inté­rêts de cette confé­rence est d’y avoir fait par­ti­ci­per des inter­ve­nants aux par­cours dif­fé­rents. Voici à pré­sent l’avocat.
Ce petit gaba­rit, adepte de haut niveau des arts mar­tiaux, dégage une éner­gie à faire trem­bler les pré­toires. Et pour­tant, dit-il, il n’a jamais été vac­ci­né. Ou peut-être grâce à cela ?
Fort d’une expé­rience effec­tive dans la défense de per­sonnes qui refu­saient de se faire vac­ci­ner, Me Jean-Pierre Joseph dénonce que les « pro-vac­cins » soient deve­nus les adeptes d’une reli­gion sur les­quels la rai­son n’a plus prise. La vac­ci­na­tion est deve­nue un dogme.
Ce pra­ti­cien avance des solu­tions pour évi­ter le géno­cide par la vaccination :
• Demander sys­té­ma­ti­que­ment une visite médi­cale afin de vali­der la com­pa­ti­bi­li­té des 11 vac­cins ino­cu­lés avec son orga­nisme. Or nous avons vu que chaque orga­nisme réagit de façon dif­fé­rente à cause de son HLACette visite médi­cale préa­lable est pré­vue dans le décret d’application de la loi. Il faut l’exiger pour son bébé ! Ne pas faire vac­ci­ner son enfant tant que la Sécurité Sociale n’aura pas pro­cé­dé à cette ana­lyse préa­lable par­fai­te­ment légale.
• Refuser le vac­cin en phar­ma­cie en arguant que le vac­cin n’est pas com­pa­tible avec son enfant.
• Demander au méde­cin, ou au phar­ma­cien, de signer un docu­ment dans lequel ils s’engagent sur le fait que la vac­ci­na­tion n’aura aucun effet secon­daire sur la san­té de son enfant. Ce qu’ils ne feront pas, bien entendu.