Communiqué du 12 juin 2019 de Philippe Vardon, vice-président du groupe RN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur,
responsable du bassin niçois :
Il fallait bien que ça finisse par arriver : nous n’avons plus seulement des groupes de migrants qui errent dans Nice, mais désormais ce sont de véritables campements qui s’installent.
Hier, j’ai rencontré plusieurs riverains de l’église du Vœu qui m’ont fait part de leur inquiétude face à la dégradation rapide de la situation dans leur quartier. Chacun peut constater la forte présence de migrants au bout de la coulée verte, à la hauteur de l’église, mais les habitants m’ont même alerté sur le campement présent le soir dans le jardin Cardinal Ferrero, me remettant une vidéo tournée vendredi matin.
UN CAMPEMENT DE #MIGRANTS EN PLEIN CENTRE DE #NICE06 !
Cette vidéo a été tournée vendredi matin, devant l’église du Vœu, au cœur de la ville. Elle m’a été transmise aujourd’hui par des habitants qui ne savent plus quoi faire… cc @prefet06 @cestrosi pic.twitter.com/ZEgdL5FS2y— Philippe Vardon (@P_Vardon) June 11, 2019
La diffusion de cette vidéo hier soir (mardi 11 juin 2019) a entraîné une intervention de la police municipale et une réponse publique du directeur de cabinet de Christian Estrosi, Anthony Borré, jugeant que mon message n’était « plus d’actualité ». M. Borré aurait mieux fait de se garder de tout triomphalisme, car peu après son tweet, on me transmettait de nouvelles images (https://twitter.com/P_Vardon/status/1138556021339762689) démontrant que les tentes n’avaient bougé que de quelques mètres, et étaient désormais sur les marches de l’église, autour, et derrière… Le campement de migrants étant donc bel et bien toujours là !
Suite à la diffusion de cette vidéo, le directeur de cabinet de Christian Estrosi, @anthony_borre, est venu dans la soirée me répondre que le campement avait été délogé. Je vous laisse en juger… Ces images ont 20 minutes à peine : les tentes ont bougé de quelques mètres ! pic.twitter.com/AsIwTxrBqe — Philippe Vardon (@P_Vardon) 11 juin 2019
Ce midi, ce sont même des images d’un autre campement qui m’ont été transmises, celui-ci situé en bord de mer, sous les rochers au pied du phare.
Cette situation est bien sûr la conséquence du laxisme absolu face à l’immigration massive et incontrôlée (explosion du nombre de demandes d’asile en 2018, et nouveau record dans les premiers mois de 2019), une politique menée par Macron et soutenue par Estrosi.
J’ai écrit ce jour au Préfet des Alpes-Maritimes et au maire de Nice pour leur demander d’agir de toute urgence face à cette situation inacceptable.
Ces campements ne doivent plus être tolérés, et les groupes de migrants – des jeunes hommes uniquement ! – qui trainent dans la ville doivent être pris en charge et systématiquement expulsés lorsqu’il s’agit de clandestins.
Philippe Vardon
Membre du Bureau national du RN
Vice-président du groupe RN au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur
Responsable du bassin niçois
Le problème c’est que l’on ne maîtrise plus rien dans ce pays … On ne sait même pas combien ils sont sur le territoire national et combien il en entre tous les jours … Pauvre France
Et ce n’est pas tout. Il y en a un autre au port, sous les blocs près du phare.… Moins visible !
Mais que font nos ir-responsables politiques ? Ces tentes sont une honte pour notre République qui est le berceau des Droits de l’Homme !
Il faut de TOUTE URGENCE construire des immeubles, encore des immeubles, il faut bétonner la Côte d’Azur, puis les vallées, puis le Moyen Pays pour effacer ces tentes de la honte. Il faut faire des routes, encore des routes pour y conduire ces « Welcome Refugees ».
Et nous ne sommes qu’au début de la vague migratoire mise en œuvre par le Traité de Marrakech qui donne le droit à tous les citoyens de la planète de venir s’installer en France et d’y bénéficier des mêmes droits que les Français. Après tout, ils sont chez eux, chez nous, comme le disait déjà ce grand humaniste qu’était François Mitterrand.
Alors vite, on construit, on construit ! Au boulot ! Les autres arrivent et ils sont bien plus nombreux. Du béton ! Du béton !