Antifas : manipulations à risque
Dans la soirée du 26 octobre, Yoann Gillet, le conseiller régional Rassemblement National de Nîmes, a été victime d’une agression violente des Antifas. Pris à partie, il a d’abord été insulté et menacé de mort. Puis les agresseurs se sont éloignés pour revenir avec du renfort. C’est alors que la violence s’est déchaînée : cigarette écrasée sur la joue de l’élu, coups distribués à ses compagnons puis, enfin, plaquage au sol de Yoann Gillet pour une sévère volée de coups de pieds au visage et sur le corps. L’un de ses amis a été transporté aux urgences. Des plaintes ont été déposées et la réquisition des images de vidéosurveillance a été demandée par les victimes afin d’identifier leurs agresseurs.
La présidente du RN a dénoncé une « complaisance systématique du Pouvoir à l’égard de ces nervis ». Gilbert Collard a également exprimé son indignation : « On commence à en avoir sérieusement marre de cette haine gauchiste impunie », a‑t-il écrit sur son compte Twitter. Et Jordan Bardella a déclaré que « l’extrême-gauche antifa ne manquait jamais une occasion de montrer sa lâcheté et sa violence ». Quant à notre vaillant ministre de l’Intérieur, il n’a pas dit un mot sur cette scandaleuse et sauvage agression qui touche un élu de la République. À l’unisson, et c’est logique des médias, eux aussi silencieux.
Cette mansuétude insupportable à l’égard de cette violence, celle-ci notamment, est un scandale.
Ces factieux sont les alliés patentés du Pouvoir
L’obsession de la Police de la Pensée à l’encontre de l’extrême droite, quand ce n’est pas l”« ultra-droite », l’a conduite à s’appuyer sur les pires arsouilles pour les basses besognes. Ces nervis sont endoctrinés à l’anticapitalisme primaire et à la haine de tout ce qui leur est présenté comme étant de « droite ». Ils se sont autoproclamés — comble de duplicité — « antifascistes » et se positionnent par conséquent à l’extrême gauche, ou à l’ultra-gauche, pour reprendre le vocabulaire du Pouvoir.
C’est bien à cette extrême gauche que se trouve désormais le foyer fasciste qui menace notre démocratie : on y trouve de troublantes convergences avec l’islamisme du point de vue des thèmes idéologiques et dans les pratiques militantes ainsi que l’avait fait observer Pierre-André Tagueiff, dès le début des années 2000, dans La nouvelle judéophobie, puis récemment dans son dernier livre, Judéophobie, la dernière vague.
Les antifas sont depuis longtemps des spécialistes des saccages de rue et des tabassages en règle à l’égard de ceux qu’ils désignent comme des fascistes.
La violence sous toutes ses formes constitue le fond de leur idéologie
Ce mouvement ouvertement violent — exclusivement violent — attire aujourd’hui une faune composée d’anarchistes, de marxistes léninistes maoïstes, de « skins » tendances rouges et de « punks » nouvelle génération ou encore de brutes avides de violence.
Leur logo, directement inspiré du graphisme nazi, ne semble pas gêner nos médias qui par ailleurs censurent la moindre représentation de la svastika. On retrouve cette symbolique très douteuse jusque dans les cours de lycées où ça fait très chic d’arborer les symboles fascistes des antifascistes ! Pauvre jeunesse déboussolée, parce-que toute son éducation ne tend qu’à lui faire perdre ses repères culturels, historiques, identitaires. Pauvre jeunesse qui marche dans le même temps… pour le climat !
En dépit de toutes les menaces que font peser les antifas sur la démocratie, c’est le spectre de l’extrême droite qui continue d’être agité devant eux par ceux qui ont intérêt à le faire. Ainsi, lorsqu’un élu de la République est tabassé par ces antifas alors qu’il prenait paisiblement un verre à la terrasse d’un café avec des amis, c’est l’omerta qui s’organise parce que cet élu appartient au Rassemblement National. Les médias se taisent, le Pouvoir — bien entendu — fait l’autruche. Dans le même temps, la presse se déchaîne lorsqu’un autre élu de la République de ce même mouvement politique demande, sans haine, qu’on fasse respecter la loi sur le port du voile dans une assemblée républicaine. Dans ce cas là, un tsunami médiatique se déchaîne.
Combien de temps encore le Pouvoir pourra-t-il s’appuyer sur ces forces supplétives sulfureuses ? Combien de temps les Français supporteront-ils ces manipulations à risque ?
Charles André
On s’acharne sur ZEMMOUR et on laisse des néo-nazis (le drapeau sans équivoque) en toute liberté, sans aucune condamnation. On voit clairement que HITLER est toujours présent. Deux poids deux mesures
Excellent commentaire, comme toujours…
Nous espérons un régime sévère qui ramènera l’ordre et la paix…
GAUTHIER MICHEL 13009