Port du masque obligatoire à Nice, enfin !
Le port du masque obligatoire à Nice a inspiré ce billet d’humeur de Massimo Luce :
À maintes reprises, Nice Provence Info a alerté ses lecteurs sur la nocivité de l’air niçois. Le 5 juillet nous publiions Nice, la ville où il ne fait pas bon respirer. Plusieurs études rigoureuses placent en effet Nice à l’avant-dernière place sur 100 villes françaises pour la qualité de l’air :
Ces mêmes études évaluent à environ 500 le nombre de personnes qui meurent à Nice du fait de cette pollution atmosphérique.
L’air de Nice tue 10 fois plus que le Covid !
Le maire de Nice a enfin été sensible à cette hécatombe et a pris une mesure drastique pour l’endiguer :
Le port du masque est dorénavant obligatoire dans tout le centre-ville de Nice.
Il est bien sûr trop tôt pour évaluer le nombre de vies que cette mesure forte permettra de sauver. Si toute la population niçoise portait le masque, on pourrait imaginer que ce sont 500 vies qui seraient ainsi épargnées.
Dans le même temps, cette mesure aura immédiatement des effets néfastes considérables sur l’économie locale qui s’appuie beaucoup sur le tourisme, notamment en cette saison. Mais c’est le prix à payer.
Les coureurs cyclistes du Tour de France, qui séjourneront plusieurs jours à Nice et respireront l’air vicié, porteront aussi probablement des masques pour se protéger. D’autant que les épreuves les obligent à respirer intensément. Il faut aussi sauver les vies de nos champions.
Si cette mesure va dans le sens de la préservation de la vie des Niçois, on peut toutefois regretter qu’elle n’aille pas dans le sens de l’écologie puisque le masque n’est qu’un cautère sur une jambe de bois. Christian Estrosi s’en prend aux effets de la pollution mais ne s’attaque pas à la cause de la mortalité excessive dans sa ville.
Cette mesure forte ne va pas non plus dans le sens de l’économie, car elle ne dit pas comment survivront des centaines d’établissements désertés dont l’activité est fortement liée au tourisme.
Bref ! Peut mieux faire.
Massimo Luce
Notre illustration à la une : Christian Estrosi en compagnie du Premier ministre Jean Castex et du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin le 25 juillet 2020 à Nice [source : page Facebook de Christian Estrosi].
Le totalitarisme rampant, accompagné par les merdias officiels, n’est même plus rampant. La propagande est hystérique !
Les grandes manipulations, même les plus grossières, fonctionnent à merveille… L’histoire du port des « masques chirurgicaux » en guise de muselière, il fallait oser. Eh bien, c’est fait ! Et ce n’est que le début, tant que les médias trouveront des cons dans la rue pour applaudir ce gouvernement et la République.
On pourrait tout à fait entendre l’intérêt du port du masque, mais nullement n’importe où, n’importe quand et n’importe comment. Ce type de masque ne sert qu’à protéger ceux qui face à vous seraient vulnérables, essentiellement des personnes âgées avec des facteurs de morbidité, en période critique (et nous n’y sommes pas). Dans les pays qui n’imposent aucune mesure restrictive, ou même le port du masque, la proportion de décès du Covid est pratiquement égale aux pays les plus hystériques en la matière.
J’atteste la véracité de cet article ! J’habite Acropolis. L’opposition est contre la démolition d’Acropolis et le théâtre de Nice, certes pour des raisons financières, mais nous à Acropolis nous avons les bronches carrément branchées sur les pots d’échappement des voitures !
Le jour cela va. Mais la nuit nous suffoquons. De vrais poissons hors de l’eau.
À Acropolis, palais d’exposition, début boulevard Galliéni, nous avons un échangeur routier digne d’Escota, la société d’autoroute.
Soit c’est l’humain qui vit dans la ville soit c’est la voiture !
Rien que pour nos meubles à l’intérieur de nos domiciles, vous avez beau nettoyer tout les jours, vous aurez une filet de particules de CO2 dû aux voitures dans le quartier. Et je ne vous parle pas de nos bronches…