Tests PCR : on ne peut pas leur faire confiance
Le Dr Kary Mullis (1944 – 2019), biochimiste et prix Nobel, est l’inventeur, en 1993, de la méthode PCR (réaction en chaîne par polymérase) aujourd’hui utilisée en masse pour la détection du Covid-19. De son vivant, il disait : « Le test PCR ne peut pas être utilisé pour détecter les maladies infectieuses, ça ne fonctionne pas ». Comme il en est l’inventeur, on serait plutôt enclin lui faire confiance… Et à se poser des questions.
Le Dr Andrew Kaufman est un psychiatre légiste bien vivant qui se veut lanceur d’alerte. Ainsi est-il est devenu le médecin le plus censuré des États Unis. plusieurs de ses vidéos sur YouTube ont été supprimées (celles qui restent ne sont hélas pas traduites). Il faut dire que le Dr Kaufman n’est pas tendre avec le Système : il dénonce l’utilisation du Covid-19 comme un moyen de manipuler les populations. Il explique que ce virus pas plus dangereux qu’un autre est exploité comme moyen de contrôler la vie des gens. Il dénonce aussi la précipitation à développer un nouveau vaccin et révèle quel en est, selon lui, le véritable objectif. Résolument anti-masque, il est prêt à aller en prison pour refuser de le porter.
Celia Farber, quant à elle, est une journaliste d’investigation qui s’est fait remarquer pour ses convictions sur le VIH et le Sida et par un rapport en 1998. Dans son dernier essai, Was the Covid-19 Test Meant to Detect a Virus ? (Le test Covid-19 était-il destiné à détecter un virus?), elle cite le docteur Kary Mullis, inventeur du test : « Les scientifiques font énormément de tort au monde au nom de l’apport [de mon invention]. Cela ne me dérange pas d’attaquer mes confrères parce que j’en ai honte.» Rapportant les propos recueillis lors d’entretiens avec les docteurs Kary Mullis et David Rasnick, biochimiste développeur de protéases, Celia Farber exprime le scepticisme de ces derniers quant à l’efficacité des tests PCR : « C’est un excellent outil de recherche mais c’est un outil horrible pour la médecine clinique » lui aurait confié David Rasnick. Le même d’ajouter : « Ce qu’ils font, c’est qu’ils prennent une sorte de continuum et disent arbitrairement qu’un certain point est la différence entre positif et négatif. » Or, ce n’est pas comparable à un test de grossesse qui indique si oui ou non une femme est enceinte. C’est une technique de fabrication basée sur les cycles de reproduction d’un échantillon d’ADN spécifique afin de pouvoir l’étudier. Celia Farber s’interroge donc sur les raisons qui conduisent les autorités américaines à mener des études selon une méthodologie que son inventeur lui-même réprouve.
Nonobstant, cette technique est appliquée abusivement au diagnostic de la maladie. Pour dégager des diagnostics, on considère que, si à 37 cycles on n’a pas obtenu assez de fluorescence, le test négatif. Entre 37 et 40 cycles, il est jugé « indéterminé ». Au-delà, il est jugé positif. Mais tout cela dépend de la norme de sensibilité utilisée qui n’est pas la même partout : certaines « coupent » à 20, d’autre à 50. « Ainsi peut-on augmenter ou diminuer le nombre de tests positifs à volonté », explique le Docteur David Crowe, chercheur canadien, diplômé en biologie et en mathématiques et président du groupe de réflexion Rethinking AIDS.
En gros, cela veut dire que :
• primo, le test ne détecte pas l’infection,
• secondo, qu’il peut être manipulé à volonté.
Un article paru dans un journal chinois estime que, parmi les personnes asymptomatiques testées, 80 % des positifs peuvent être des faux-positifs. Ainsi, conclut David Crow, « Le test PCR pour le Coronavirus est aussi bon que le test de Scientologie qui détecte votre personnalité et dit ensuite que l’on doit donner tout son argent à la secte. »
S’il apparaît, au fil son enquête, que la technique PRC appliquée au diagnostic d’infection à la Covid-19 est une vaste imposture et que « la science mondialiste nous prend en otage », Celia Farber ne craint pas d’endosser les « théories conspirationnistes »(1) dans ses conclusions. En effet, elle explique que les gens qui nous ont enlevé toutes nos libertés ces dernières semaines « sont des ingénieurs sociaux, des politiciens, des leaders d’opinion mondialiste, des banquiers, des fanatiques de l’OMS, etc, dont l’armée est composée de “médias grand public” qui sont maintenant, littéralement, une machine de propagande parfaite, 24 heures sur 24, pour le “Pandemic Reich” dirigé par Bill Gates », abusant ainsi à son tour du « Point Godwin »(2).
Sans vouloir utiliser pareil artifice dialectique, le dépistage à grande échelle auquel on assiste dans notre pays ainsi que la publication quotidienne du nombre de résultats positifs ne peut que nous interroger. Il est évident que nos gouvernants cherchent à entretenir une situation anxiogène pour garder la population sous contrôle.
(1) Et donc antisémites ! (Lire Nice-Matin nous interdit de réfléchir du 31 mars 2020 : pour Rudy Reichstadt « être conspirationniste, c’est être antisémite ».)
(2) « Point Godwin » ou « Loi de Godwin » du nom de son inventeur Mike Godwin, qui s’énonce ainsi : « Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de 1 » (Lire Les médias contre la démocratie du 12 novembre 2016).
Donc, si je comprends bien :
• les masques ne protègent pas
• ou ils rendent malade (comme Macron qui s’étrangle avec son masque)
• mais ils sont obligatoires et la répression est sévère
• les tests ne sont pas fiables
• les chiffres sont bidonnés
• etc.
Est-ce qu’il y a encore une once de bon sens et de vérité dans cette affaire ?
Non, ZÉRO!!! C’est juste une posture politique adoubée par des troupeaux de moutons.
Reconnectons nous à notre bon sens.
Prenons de la hauteur, nous sommes en guerre mondiale spirituelle, devons prendre ce facteur en compte afin de réagir vraiment.