Human Rights Watch : des amalgames répugnants
Fondée en 1978 pour vérifier que l’Union soviétique respectait les accords d’Helsinki, Human Rights Watch (HRW) est aujourd’hui une ONG de dimension internationale qui se donne pour mission de défendre les Droits de l’Homme.
L’organisation déclare militer notamment pour la liberté de la presse, l’abolition de la peine de mort et de la torture mais aussi pour le respect de l’ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels. Voilà pour la présentation selon Wikipédia.
Toutefois, cette organisation est de plus en plus critiquée quant à son indépendance et la façon dont elle mène certaines missions
À juste titre, d’ailleurs, car elle est notamment soutenue par le très controversé milliardaire américain George Soros qui, en 2010, lui a généreusement attribué une subvention de 100 millions de dollars, sur dix ans, via sa très trouble Open Society Foundation. Il s’agit de la plus importante subvention jamais accordée à une ONG par le milliardaire. Or, il ne fait mystère pour personne que Soros œuvre en sous-marin partout dans le monde pour faire avancer son principe de « Société ouverte » en déstabilisant les systèmes religieux et les régimes politiques traditionnels.
Par ailleurs, HRW est soupçonnée d’être directement reliée au Ministère des Affaires Étrangères américain : Peter Osnos, ancien président de HRW, a été éditeur de George Soros et directeur général des affaires publiques et Alice Henkin, vice-présidente de HRW, a été présidente du conseil et chef de la direction de CNN News.
Enfin, l’organisation a été accusée à de nombreuses reprises d’avoir reçu des contributions de la part du gouvernement danois, notamment en 2009. On le voit, la qualité de « non gouvernementale » a pas mal de plomb dans l’aile.
La France est un pays particulièrement visé par la HRW
Le militant milliardaire Soros y étant un repris de justice – condamné, à la fin des années 1980, pour délit d’initié –, il ne fait guère de doute que ce ciblage est une conséquence de la rancœur du milliardaire subversif. Pour l’organisation, toutes les occasions sont bonnes de brocarder le modèle laïque français et ses lois jugées discriminantes ou « racisantes ». Même la crise sanitaire ne les désarmes pas. Ainsi, Kenneth Roth, le président de l’ONG – dont la neutralité idéologique et politique est largement contestable, on l’a vu – a lancé cette remarque assassine sur Twitter : « L’islamophobie peut-elle être plus évidente ? Le gouvernement français recommande les masques mais interdit encore la burqa ». Un tweet qui faisait référence à un article du Washington Post intitulé « La France préconise le port des masques pour contrôler le coronavirus. Les burqas demeurent interdites ». Les amalgames les plus crasses sont ainsi mis au service d’une logique de déstabilisation écœurante.
Can the Islamophobia be any more transparent ? The French government mandates masks but still bans the burqua. https://t.co/U0HZa7vjdo pic.twitter.com/sY9AbphEic
— Kenneth Roth (@KenRoth) May 11, 2020
Par cette attaque déloyale de la France et de sa laïcité, HRW entend essentiellement culpabiliser – l’organisation dit « responsabiliser » – ses gouvernants en les accusant de discrimination raciale. Derrière cette pseudo lutte contre les discriminations se cache en réalité une stratégie de subversion qui s’appuie principalement sur trois leviers :
• attaque de l’interdiction du voile intégral ;
• dénonciation des contrôles d’identité appelés « profilages raciaux » ;
• contestation de certains articles du Code de procédure pénale.
La submersion migratoire que subit notre pays, outre qu’elle génère une insécurité de plus en plus insupportable (lire C’est un fait : la criminalité en France est presqu’exclusivement étrangère du 1er mai 2020) , entraîne un mouvement de conquête de plus en plus agressif de l’islam (lire Pendant l’épidémie, l’islamisation continue du 8 avril 2020). Il est donc du devoir de la République de préserver la nation française… et sa civilisation ! La propagation du port du voile intégral constitue une provocation évidente. Y céder serait un recul suicidaire pour notre société. Et c’est précisément ce que cherche HRW qui, au nom de la sacro-sainte égalité, attaque systématiquement nos lois devant la Cour européenne des droits de l’homme de concert avec l’Open Society Justice Initiative de Soros. Or, c’est de là que vient le principal danger car la haute Chambre de la Cour européenne se montre de plus en plus sensible à leurs arguments. On l’a constaté en 2014 lorsque, répondant à la plainte d’une femme musulmane dénonçant la loi de 2011 interdisant le port du voile intégral dans l’espace public, les magistrats ont rejeté les arguments de la France fondés sur la dignité humaine et la menace sur la sécurité publique. Seule a été retenue l’incompatibilité avec le « vivre ensemble ». Fragile obstacle qui risque de tomber bien vite.
C’est pourquoi HRW, l’un des bras armés de Soros, ne manque jamais une occasion de planter ses banderilles dans le dos de la France. Au nom de la moraline politiquement correcte, il multiplie ses coups de boutoir pour faire céder les derniers remparts qui se dressent encore devant le grand dessein de son pygmalion d’abolition généralisée des frontières et des nations en encourageant les migrations pour dissoudre les peuples dans un grand magma mondial. Pour y parvenir, tous les coups sont permis, y compris les plus déloyaux comme Kenneth Roth vient de le montrer.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
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