Chrétiens à la rue, soyons des chrétiens dans la rue !

12 novembre 2020 | 3 Commentaires 

Communiqué de l’AFC, Associations Familiales Catholiques :AFC associations Familiales Catholiques

Dimanche 15 novembre
Chrétiens à la rue, soyons des chrétiens dans la rue !

Parce que nous vou­lons mon­trer que les catho­liques tiennent à la messe qui est le centre de leur vie chré­tienne, et que l’on ne tran­sige pas avec la liber­té de culte, MOBILISONS-NOUS.

Dimanche 15 novembre à 16 heures, ren­dez-vous pour une prière publique devant notre basi­lique Notre-Dame de l’Assomption à Nice, afin que nous soient ren­dus nos sacre­ments, piliers de notre foi, sève de notre vie. Venez chan­ter et prier, de tout votre cœur !

Seuls, en famille, avec vos voi­sins, vos parois­siens et vos curés, soyons nom­breux à nous mobi­li­ser ! De nom­breux prêtres nous ont déjà assu­ré de leur pré­sence et de leur sou­tien ! Poussons avec eux !

Cette mani­fes­ta­tion est légale et décla­rée en pré­fec­ture.
Cliquez ici pour télé­char­ger un modèle d’at­tes­ta­tion de dépla­ce­ment déro­ga­toire pour vous rendre à cette manifestation.

Venez nom­breux !
Votre équipe de l’AFC de Nice 

Chrétiens rue Nice Basilique - 15 novembre 2020

Important

Cette mani­fes­ta­tion n’est pas une contes­ta­tion pour ou contre le confi­ne­ment, pour ou contre notre gou­ver­ne­ment, pour ou contre le masque ! Nous récla­mons sim­ple­ment le droit d’as­sis­ter à la messe. Si nous vou­lons être audibles et avoir un impact média­tique non dévoyé, nous vous deman­dons de bien vou­loir res­pec­ter toutes les régle­men­ta­tions sani­taires (port du masque, gel, dis­tan­cia­tion sociale…) même si cela vous coûte.

Contact :
AFC Nice 2, rue d’Italie 06000 Nice 06000
afc06.communication@gmail.com

3 Commentaires 

  1. Chrétien ou pas, il faut faire vivre nos églises.
    Qu’on le veuille ou non, de quelque reli­gion à laquelle on se rat­tache, notre Histoire est étroi­te­ment liée à la Chrétienté. Du petit hameau aux plus grandes villes, pas un seul lieu sans la pré­sence d’un édi­fice catho­lique : D’un cal­vaire à la croi­sée des che­mins jusqu’à nos som­mets des Alpes, en haut des­quels il y a une croix ou une Vierge. Notre archi­tec­ture, notre morale chré­tienne, notre lit­té­ra­ture sont com­plè­te­ment impré­gnées de cette his­toire reli­gieuse. Pendant des siècles, les églises ont été les lieux de la vie publique, des asiles pour les pauvres, la mai­son com­mune du vil­lage. On s’y retrou­vait pour dres­ser le mar­ché, faire du com­merce, tenir des réunions, chan­ter, se marier, par­ta­ger la connais­sance et les infor­ma­tions. L’Église catho­lique a ini­tié les écoles, les hôpi­taux et hos­pices, la cha­ri­té, les orphe­li­nats, l’architecture, les livres.

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  2. De mon point de vue stric­te­ment per­son­nel il s’agit là d’une atti­tude irres­pon­sable, ce n’est en aucun cas la liber­té de culte qui est atta­quée par cette déci­sion mais il s’a­git de la simple pro­tec­tion de bon sens de l’ensemble des citoyens de ce pays.
    Relisons Saint Paul dans le cha­pitre 13 de la lettre aux Romains : « Que cha­cun soit sou­mis aux auto­ri­tés supé­rieures, car il n’y a d’autorité qu’en dépen­dance de Dieu, et celles qui existent sont éta­blies sous la dépen­dance de Dieu ; si bien qu’en se dres­sant contre l’autorité, on est contre l’ordre des choses éta­bli par Dieu, et en pre­nant cette posi­tion, on attire sur soi le juge­ment…… »
    Ou si vous avez plus de temps lire cette inter­view de Mgr Centème évêque de Vannes.
    https://www.vannes.catholique.fr/questions-a-mgr-centene-a-propos-des-mesures-liees-au-coronavirus/?fbclid=IwAR02RxLH-YJTxSoM7wfCdgQo7-EgRuKvAzi1iwSz9GjeKIBiU_XIP5Afp_4#_ftn3

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    • Je lis : « …il s’agit de la simple pro­tec­tion de bon sens de l’ensemble des citoyens de ce pays ». Ah, parce que vous voyez du « bon sens », vous, dans la ges­tion de la crise ?
      La sou­mis­sion aux auto­ri­tés que vous prô­nez est le pire des dan­gers dans lequel peut som­brer une socié­té : déres­pon­sa­bi­li­ser l’homme au maxi­mum, c’est le sou­ci prin­ci­pal de ceux qui imposent leur volon­té aux autres. Reportez-vous à l’expérience de Milgram et vous com­pren­drez que Paul (saint ou pas) racon­tait des sornettes.

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