Les élites ont peut-être surjoué leur main

26 décembre 2020 | 2 Commentaires 

Nous sou­hai­tons par­ta­ger cette ana­lyse très per­ti­nente et très péda­go­gique du com­plot qui se trame dans les cou­lisses. Lisez la en entier ! Vous com­pren­drez alors mieux ce qui relie la vac­ci­na­tion obli­ga­toire à la finance mon­diale et aux res­tric­tions de nos liber­tés. Vous sau­rez alors pour­quoi vous devez être com­plo­tistes ou — pire encore — conspi­ra­tionn­sites. C’est tout sim­ple­ment parce-que nous sommes l’ob­jet d’un com­plot ou d’une conspi­ra­tion.
Cet article a été publié aux États-Unis par Brandon Smith pour Alt Markets (Is The Globalist “Reset” Failing ? The Elites May Have Overplayed Their Hand), puis tra­duit en fran­çais par Le Saker fran­co­phone.
Nous y avons appor­té quelques illus­tra­tions pour en faci­li­ter la lecture.

Un aspect des nar­cis­so­pathes (socio­pathes nar­cis­siques) qu’il est impor­tant de rap­pe­ler est qu’ils vivent dans leur propre petit monde dans lequel leurs dési­rs et leurs dys­fonc­tion­ne­ments bizarres sont nor­ma­li­sés. Ils se croient supé­rieurs à la plu­part des gens parce qu’ils sont des pré­da­teurs, et ne souffrent pas de blo­cages gênants comme l’empathie et la conscience. La plu­part du temps, ils ont ten­dance à croire qu’ils ont réus­si à trom­per tout le monde. Ils pensent que vous êtes un idiot sou­mis, et que lorsqu’ils aboient un ordre, vous allez sau­ter sim­ple­ment au garde-à-vous parce que vous « croyez ».

Presque tous les aspects des glo­ba­listes et de leur com­por­te­ment indiquent qu’ils sont un club ou un culte de nar­cis­so­pathes. Leur besoin obses­sion­nel de contrô­ler, de cor­rompre et de détruire pour obte­nir ce qu’ils veulent n’est pas le pro­lon­ge­ment d’une simple cupi­di­té, c’est un aspect pro­fon­dé­ment ancré de ce qu’ils sont en tant qu’êtres [humains ?]. C’est un méca­nisme au cœur de leur carac­tère. Ce sont des monstres du monde réel, comme des vam­pires qui tentent de se fondre dans une popu­la­tion qui ne se doute de rien.Vampires

Dans leur arro­gance, ils ont alors ten­dance à pen­ser qu’ils peuvent vam­pi­ri­ser le public à volon­té sans qu’on leur résiste ou qu’on les expose. Le pro­blème, c’est que dès qu’ils com­mencent à se nour­rir et à détruire, ils attirent l’attention sur eux. Ils fini­ront par atti­rer les soup­çons du public, ain­si que de cer­tains chas­seurs de vam­pires. À moins qu’ils ne trouvent un moyen de se cacher, ils fini­ront un pieu dans le cœur, c’est inévitable.

J’écris sur les menaces du glo­ba­lisme et du « reset » depuis de nom­breuses années main­te­nant, et j’ai noté depuis un cer­tain temps deux dilemmes dis­tincts ; l’un tou­chant le mou­ve­ment pour la liber­té et l’autre les globalistes :

1) Premièrement, les cri­mi­nels ont ten­dance à se van­ter de leurs crimes lorsqu’ils pensent qu’il est trop tard pour que qui­conque puisse faire quoi que ce soit à leur sujet. J’ai pré­dit que les glo­ba­listes seraient très ouverts pour révé­ler leur pro­gramme au moment où ils se croi­raient « intou­chables ». Pour le public épris de liber­té, cela signi­fie qu’en 2020, à l’horizon 2021, les élites doivent pen­ser qu’il n’y a rien à faire pour arrê­ter la machine ; elles sont si fla­grantes dans leurs appels au « reset » glo­bal, à une socié­té sans cash, à des ver­rouillages tota­li­taires et à un état de sur­veillance que per­sonne sain d’esprit ne peut plus pré­tendre que ces notions sont « une théo­rie du com­plot ».
Le fait est que les « théo­ri­ciens de la conspi­ra­tion » avaient rai­son depuis le début, et main­te­nant plus rien n’est igno­ré par des qui­dams à ce sujet.

2) Deuxièmement, j’ai éga­le­ment fait valoir dans le pas­sé que la pous­sée glo­ba­liste en faveur d’un « nou­vel ordre mon­dial » est une arme à double tran­chant qui pour­rait très bien finir par les anéan­tir. Alors qu’ils tentent de lan­cer leur pro­gramme de reset, ils sont de plus en plus expo­sés ; ils ne peuvent plus se cacher dans la sécu­ri­té de l’ombre et il n’y a pas de retour en arrière une fois le pro­ces­sus lan­cé. Une fois que les glo­ba­listes se sont fait connaître, ils doivent soit prendre rapi­de­ment le contrôle par un chaos arti­fi­ciel et un effon­dre­ment, soit faire face à un châ­ti­ment qui pour­rait éli­mi­ner une cabale qu’ils ont mis des siècles à construire. Les vam­pires doivent faire du reste du monde un endroit sombre avant de quit­ter l’ombre, sinon ils risquent de mou­rir à la lumière du jour.

Il existe deux écoles de pen­sée dans le mou­ve­ment pour la liber­té :
• l’une sug­gère que l’agenda glo­ba­liste est fixe et impa­rable et que le mieux que l’on puisse faire est de sur­vivre,
• l’autre sug­gère que le reset peut être arrê­té et que les glo­ba­listes peuvent être tra­duits en jus­tice.
Je suis dans les deux camps.

Certains aspects du reset sont en effet fixes et ne peuvent pas être annu­lés. Par exemple, de nom­breuses éco­no­mies natio­nales, dont les États-Unis, sont en plein effon­dre­ment de type stag­fla­tion et rien ne peut être fait pour y remé­dier. Il y a dix ans, nous aurions peut-être pu chan­ger de cap, mais aujourd’hui, il est trop tard. La dou­leur peut être réduite si les gens mettent rapi­de­ment fin à leur dépen­dance vis-à-vis du sys­tème et créent leurs propres réseaux com­mer­ciaux loca­li­sés, mais l’économie telle que nous la connais­sons actuel­le­ment est morte et ne revien­dra pas de sitôt.

Je ne vois cepen­dant pas cela comme une vic­toire pour les élites. Faire s’effondrer l’économie est une chose, la recons­truire dans une dys­to­pie col­lec­ti­viste qu’ils sou­haitent déses­pé­ré­ment en est une autre. Tout dépend de ceux qui recons­truisent ; peut-être que ce sera eux, peut-être que ce sera nous.

Je vois ces jours-ci des signes encou­ra­geants qui montrent que le reset des glo­ba­listes n’est pas une chose sûre, et ceux qui connaissent mon tra­vail savent que je n’ai jamais été d’un opti­misme mal pla­cé. Plus pré­ci­sé­ment, l’exploitation de la réponse à la pan­dé­mie comme moyen d’imposer de nom­breuses res­tric­tions dra­co­niennes ne semble pas se dérou­ler exac­te­ment comme les élites l’avaient prévu.

Je dois me pen­cher sur l’Event 201 pour vrai­ment éva­luer l’état du jeu, car ce que les élites ont pré­vu et ce qui s’est pas­sé ne cor­res­pond pas com­plè­te­ment. Pour ceux qui ne le savent pas, l’Event 201 était une sorte de « jeu de guerre« orga­ni­sé par les glo­ba­listes du Forum éco­no­mique mon­dial et de la Fondation Bill et Melinda Gates. Le scé­na­rio ? Une pan­dé­mie d’un coro­na­vi­rus qui se pro­pa­ge­rait comme un feu de forêt et tue­rait 65 mil­lions de per­sonnes, selon les pré­vi­sions. La simu­la­tion s’est dérou­lée quelques mois seule­ment avant que la réa­li­té ne se pro­duise au début de l’année 2020.

Dans l’année qui a sui­vi l’épidémie, les glo­ba­listes ont ten­té d’appliquer presque tous les plans qui ont été expo­sés lors de l’Event 201, y com­pris l’utilisation des médias sociaux pour cen­su­rer ou res­treindre toute nou­velle, ou infor­ma­tion, en dehors du récit approu­vé par l’esta­blish­ment (oui, le contrôle du récit a été dis­cu­té en détail à l’occasion). Klaus Schwab, du Forum éco­no­mique mon­dial, a constam­ment et avec enthou­siasme applau­di la crise pan­dé­mique comme une « par­faite oppor­tu­ni­té » d’instituer le « reset » dont les glo­ba­listes parlent depuis des années.

Malheureusement pour eux, le virus n’a pas été aus­si meur­trier qu’ils sem­blaient l’espérer. Avec un taux de mor­ta­li­té bien infé­rieur à 1% pour toute per­sonne en dehors d’une mai­son de retraite avec des condi­tions mor­bides pré­exis­tantes, l’esta­blish­ment a main­te­nant été for­cé de gon­fler les chiffres de l’infection comme moyen de ter­ro­ri­ser la popu­la­tion, car les chiffres de la mor­ta­li­té ne sont pas suf­fi­sants pour convaincre les gens de céder volon­tai­re­ment leurs liber­tés. Le taux de mor­ta­li­té par infec­tion (IFR) pour la Covid-19, sans comp­ter les décès dans les mai­sons de retraite avec des condi­tions pré­exis­tantes, n’est que de 0,26% des per­sonnes infec­tées.

Un mémo de pro­pa­gande est dif­fu­sé ces jours-ci, qui tente d’exagérer le dan­ger de décès dû à la mala­die de la Covid, et il se pré­sente un peu comme suit :

La Covid-19 a tué plus de gens que la guerre du Vietnam et les guerres du Golfe réunies en une seule année, c’est pour­quoi vos liber­tés sont suspendues…

C’est un sujet de dis­cus­sion idiot, mais heu­reu­se­ment, per­sonne n’y croit. Plus de 40 % des décès dus à la mala­die de la Covid-19 sont des per­sonnes qui sont déjà malades et sur le point de mou­rir de toute façon. Et non, refu­ser de por­ter un masque n’est pas la même chose que d’approuver les « sélec­tions de la mort », car un panel de la mort, ce sont les socia­listes qui refusent de trai­ter les per­sonnes à risque en rai­son de leur âge. Personne ne sug­gère de refu­ser un trai­te­ment aux per­sonnes âgées, et elles ont tou­jours la pos­si­bi­li­té de res­ter en qua­ran­taine si elles craignent d’être infec­tées. Elles sont déjà à la retraite et béné­fi­cient de la sécu­ri­té sociale. Peut-être que si nous vou­lons sti­mu­ler, l’argent du ren­floue­ment devrait aller aux per­sonnes les plus à risque afin que le reste d’entre nous puisse conti­nuer à mener une vie normale ?

Des cen­taines de mil­liers de per­sonnes meurent chaque année de mala­dies et d’affections telles que la grippe, le rhume et la pneu­mo­nie. Pourtant, la pers­pec­tive d’abandonner la Déclaration des droits, de se sou­mettre à des fer­me­tures éco­no­miques et de por­ter une muse­lière sur le visage, où que nous allions, n’a jamais été évo­quée auparavant.

Pourquoi devrions-nous deman­der à 99,7% des Américains ou du monde d’accepter la tyran­nie médi­cale juste pour que 0,26% de la popu­la­tion se sente en sécu­ri­té ? Les per­sonnes qui remettent en ques­tion les obli­ga­tions sont qua­li­fiées d’« égoïstes », mais même si je fai­sais par­tie des per­sonnes sus­cep­tibles d’être conta­mi­nées par le virus, je n’exigerais jamais que 99% de la popu­la­tion s’incline devant le tota­li­ta­risme pour me per­mettre de vivre encore un peu. Ce serait égoïste.

Alors que de plus en plus d’études et de don­nées sont publiées, l’exigence des masques est éga­le­ment remise en ques­tion. Bien que les mul­ti­na­tio­nales de la Big Tech aient cher­ché à sup­pri­mer ou à cen­su­rer les études qui vont à l’encontre du dis­cours domi­nant, cela n’a fait qu’amener davan­tage de per­sonnes à s’interroger sur les moti­va­tions des gou­ver­ne­ments qui font pres­sion sur les obli­ga­tions. Après tout, les grands médias conti­nuent de dire que nous devrions « écou­ter la science », mais ils ignorent ou cen­surent la science. Ainsi, si la réponse à la pan­dé­mie n’est pas basée sur la science, alors il ne peut s’agir que de contrôle des populations.

Beaucoup d’Américains ne sont pas aus­si stu­pides que les élites le pensent. Ils voient les inco­hé­rences dans la rhé­to­rique et les don­nées et ils sont de plus en plus enclins à refu­ser de s’y confor­mer. C’est peut-être la rai­son pour laquelle l’esta­blish­ment se pré­ci­pite sou­dai­ne­ment sur au moins deux vac­cins Covid en l’espace de six mois ; ils doivent mettre en route la phase de vac­ci­na­tion du Reset avant que trop de gens ne sautent du train de la panique en marche.

La ruée vers le vac­cin et les allé­ga­tions d’efficacité de 94% à 95% de Pfizer et de Moderna sont sus­pectes. L’efficacité moyenne de la plu­part des vac­cins est d’environ 50 % ou moins, et il s’agit de vac­cins ayant fait l’objet de cen­taines d’essais et ayant été uti­li­sés pen­dant des années. D’une manière ou d’une autre, Pfizer et Moderna ont tous deux réus­si à pro­duire un vac­cin contre un virus de type SRAS alors que plu­sieurs gou­ver­ne­ments ont essayé pen­dant plus d’une décen­nie de pro­duire des vac­cins contre le SRAS en Chine sans suc­cès, et qu’ils ont pu atteindre une effi­ca­ci­té de 95% ?

Beaucoup de gens ne croient pas à l’histoire du vac­cin, et c’est peut-être la rai­son pour laquelle les élites se lancent si rapi­de­ment dans la vac­ci­na­tion. Considérez ce fait :

De nom­breux son­dages indiquent qu’au moins un Américain sur trois pré­voit de refu­ser le vac­cin Covid lorsqu’il sera mis à la dis­po­si­tion du grand public. 60% des Américains ont décla­ré dans les son­dages qu’ils ne pren­dront pas le vac­cin à moins qu’il soit prou­vé qu’il est effi­cace à 75% au moins.

Je pense que nous avons ici notre expli­ca­tion de la manne vac­ci­nale. Les élites savent qu’un tiers des Américains (et pro­ba­ble­ment des Européens) ne pren­dront pas le vac­cin, quelle que soit la pro­pa­gande qu’elles dif­fusent. Elles savent éga­le­ment que 60 % des Américains ne pren­dront pro­ba­ble­ment pas le vac­cin s’ils ne peuvent pas démon­trer un taux d’efficacité d’au moins 75 %. Ni Moderna ni Pfizer n’ont en fait pro­duit de preuve que leurs vac­cins sont capables d’empêcher une mala­die grave ou la mort de la Covid-19, de sorte que leur taux d’efficacité est basé sur des « pro­jec­tions » de suc­cès selon leurs essais mini­maux. En d’autres termes, le taux d’efficacité de 95% est tota­le­ment arbi­traire et fan­tai­siste.

Pourquoi ont-ils choi­si un chiffre aus­si éle­vé au lieu d’un taux plus réa­liste de 50 à 60% ? Parce que les son­dages disent qu’ils ont besoin d’un taux d’efficacité épique pour convaincre les Américains de prendre le vac­cin. Je pense que c’est vrai­ment aus­si simple que cela.

Les Américains sont scep­tiques à l’égard des vac­cins pour un cer­tain nombre de rai­sons. Le fait qu’ils soient tes­tés de façon mini­male et qu’ils soient dis­tri­bués à la hâte en moins d’un an est l’une des rai­sons. Le fait que le gou­ver­ne­ment et les médias ont été pris à cen­su­rer ou à men­tir sur les don­nées de Covid est une autre rai­son. Les gens ne font tout sim­ple­ment pas confiance aux élites, et qui peut les blâ­mer ? Qui ferait confiance à une cabale de psy­cho­pathes pour leur injec­ter un cock­tail viral incon­nu ? Peut-être que leurs inten­tions ne sont pas aus­si pures ?

Le public a rai­son de se méfier. Un ancien vice-pré­sident de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, par­mi d’autres pro­fes­sion­nels de la san­té, a récem­ment aver­ti que les vac­cins n’ont pas été cor­rec­te­ment tes­tés et qu’il existe un risque de « sté­ri­li­té indé­fi­nie » pour les femmes qui prennent le vac­cin Covid actuel en rai­son d’une réponse auto-immune dom­ma­geable. En d’autres termes, le vac­cin pour­rait rendre de nom­breuses femmes sté­riles et inca­pables d’avoir des enfants.

C’est peut-être ce que Bill Gates vou­lait dire lorsqu’il a décla­ré dans son Ted Talk que « les vac­cins et les ser­vices de repro­duc­tion » pour­raient contri­buer à réduire la popu­la­tion de la Terre de 10 à 15 % afin de « stop­per le réchauf­fe­ment cli­ma­tique ».

Pourquoi Bill Gates men­tion­ne­rait-il les vac­cins en même temps que les « ser­vices de repro­duc­tion » en réfé­rence à la réduc­tion de la popu­la­tion ? Les vac­cins ne sont-ils pas cen­sés aider les gens à vivre plus long­temps ? Eh bien, l’avertissement du vice-pré­sident de Pfizer concer­nant le vac­cin Covid me rap­pelle quelque chose. Peut-être que le vac­cin Covid ne vous ren­dra pas malade, ou ne vous tue­ra pas. Peut-être que vous vivrez long­temps sans coro­na­vi­rus, mais vous décou­vri­rez quelques années après avoir pris le vac­cin que vous ne pour­rez jamais avoir d’enfants.

Regardez le film « Les fils de l’homme » pour avoir une idée de ce que sera l’avenir si les glo­ba­listes obtiennent ce qu’ils veulent.

En atten­dant, les élites essaient par tous les moyens de convaincre le public qu’il doit aban­don­ner les notions de liber­tés civiles au nom de la sur­vie et du « bien com­mun ». Elles parlent déjà du fait que les choses ne revien­dront jamais à la nor­male et que les chan­ge­ments appor­tés aujourd’hui res­te­ront en place pen­dant de nom­breuses années.

Les gou­ver­ne­ments sont actuel­le­ment dans les médias en train de décla­rer que les vac­cins « ne seront pas obli­ga­toires ». C’est un men­songe. Dans le même temps, ils mettent en place des man­dats pour vous obli­ger à prou­ver que vous êtes vac­ci­né afin de pou­voir vous rendre dans des lieux publics et même d’aller tra­vailler. En gros, vous vous faites vac­ci­ner ou vous mou­rez de faim. Ce n’est pas un choix.

Mais je vois des mil­lions d’Américains s’opposer à ce pro­gramme. Je vois des shé­rifs et des poli­ciers dans tout le pays qui refusent d’appliquer ce pro­gramme, même dans les États démo­crates comme la Californie. Je vois des pro­tes­ta­tions dans des États où l’on ver­rouille tout, comme le Michigan, la Californie et New-York. Je vois des pro­tes­ta­tions de masse en Europe. Je vois que le pro­gramme du reset est expo­sé et que la véri­té s’impose au grand public. Je vois quelque chose remon­ter à la sur­face et je sens l’odeur de poudre de la rébel­lion, et j’aime ça.

Je ne suis pas pes­si­miste quant à l’avenir. Je sais qu’un acci­dent est en train de se pro­duire. Je sais qu’un com­bat est à venir. Mais pour l’instant, je vois un com­bat qui peut être gagné, et le sera, par ceux qui res­pectent les prin­cipes de la liber­té. Les glo­ba­listes ont peut-être sur­joué leur main.

Brandon Smith

Vampire

Traduit par Hervé, relu par J.J. pour Le Saker francophone

Une conclu­sion opti­miste qui nous ras­sé­rène en ces temps difficiles.

2 Commentaires 

  1. Excellent article fac­tuel et gla­çant de véri­té.
    Dans cette atmo­sphère et cette vie de « post­co­vid » à construire, je vais « sur­fer » et mettre en ligne une struc­ture de ser­vice qui, comme l’aide à domi­cile, les courses à domi­cile, les soins à domi­cile et j’en passe, pro­po­se­ra la vie à domi­cile pour les per­sonnes non vac­ci­nées.
    Le concept est simple : pro­po­ser un accès à toutes les acti­vi­tés de ser­vice (public ou pas) par l’in­ter­mé­diaire d’un pauvre qui aura ses « docu­ments » en règle. Ce « pôvre » aura, bien enten­du, eu son (ou ses) vac­cins (il y a des infor­ma­tions qui indiquent qu’il va y avoir la pos­si­bi­li­té de « cumu­ler » les vac­cins pour « empi­ler » les couches de sécu­ri­té dans la lutte contre le covid et aus­si du besoin de « rap­pels ») donc ses auto­ri­sa­tions de « cir­cu­ler ». Ce pauvre ne pour­ra pas avoir de des­cen­dance « non contrô­lée ». Je vais donc pou­voir, en « par­te­na­riat » avec les struc­tures adé­quates, d’a­bord créer par croi­se­ment suc­ces­sifs, l’être qui cor­res­pon­dra le mieux à mes besoins qui sera indif­fé­rent à son ave­nir (pour illus­trer ce concept, se réfé­rer à l’é­vo­lu­tion du loup vers le chien, pour lut­ter contre les loups (patou!)). Ensuite je déve­lop­pe­rai la vente « d’êtres » sur cata­logue (voir PMA/​GPA) que mes amis « riches » du monde d’a­près pour­ront « s’of­frir ». Et enfin je pour­rai régu­liè­re­ment chan­ger « d’être d’as­sis­tance » pour en avoir un à jour !

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  2. Chapeau pour cette tirade édifiante !

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