À propos de la « Synagogue de Satan »
L’un de nos lecteurs a posté un long commentaire rigoureusement documenté à la suite de notre article La synagogue de Satan du 6 juin 2021. Nous publions volontiers ce commentaire en tant qu’article tant il suscite l’éveil ou la réflexion, ou… les deux !
Nous souhaitons qu’il retienne autant l’attention que notre premier article.
À propos de « La Synagogue de Satan »
par Arnau, le 10 juin 2021
La réalité de l’utilisation de cette expression est bien simple à comprendre, voire même enfantine.
C’est Ieschoua de Nazareth, le Christ Roi, qui l’énonce dans les paroles que ses apôtres ont retranscrites sous différents angles.
Lorsqu’il s’adressa aux Pharisiens sa parole fut aussi cinglante que la corde qui lui servira de fouet pour chasser les marchands du temple (notre illustration à la une : Le Christ chassant les marchands du Temple tableau de Jan Sanders Van Hemessen, 1556).
Nous sommes une nouvelle fois loin de l’image d’un message théologique mièvre et doucereux que le Christ tient à l’égard des Docteurs de la Loi.
Enfantine aussi, car en fustigeant cette synagogue de Satan, il utilise deux termes qui traduisent le mépris qu’il a pour ce mensonge perpétré.
Tout d’abord le terme « menteurs » qui au sein de cette phrase résonne de façon ironique à l’égard de Docteurs qu’il traite avec un mot qu’on réserve habituellement pour corriger l’attitude d’un enfant.
Puis d”« hypocrites » , ce mot qui restituait instantanément à cet auditoire hautain, l’étymologie toute récente du masque que les comédiens grecs revêtaient à la fois pour amplifier et déformer le son de leurs voix, mais aussi se travestir et habiter les personnages qu’ils incarnaient.
Lorsque Ieschoua de Nazareth traite ces menteurs et ces hypocrites de « Synagogue de Satan », nous sommes à environ six cents ans d’un événement capital qui s’était produit en terre d’Israël et qui réunissait à cet instant précis de l’histoire du Monde, l’avènement de deux postérités qui allaient dorénavant s’affronter ouvertement aux yeux de tous.
Six cents ans auparavant, cela correspond à la fin du règne de Salomon, fils du roi David, dont le royaume a été divisé en deux.
D’un côté dix tributs installées au nord de Jérusalem et qui devinrent le Royaume d’Israël et de l’autre, deux tributs qui sont restées à Jérusalem et au sud du territoire de celle ci, qui devint le royaume de Judas.
Six cents ans qui ont permis à la postérité de David l’avènement de Ieschoua de Nazareth et simultanément de ce qui serait celui de la Synagogue de Satan.
Lisez 2 Roi 17 : 23–34(1) et 2 Roi 16 : 6(2) pour découvrir tous les détails du mode opératoire utilisé par le père du mensonge pour substituer à la véritable postérité d’Abraham, des Babyloniens travestis en Juifs qui s’approprieraient dorénavant leurs terres, leur culture et pour en faire une religion dénaturée par la magie et la sorcellerie mêlée à ce qui ne serait plus que le masque déformant la voix de la Vérité des premiers écrits transmis à Moïse.
Vous y découvrirez comment, par le biais simultané de la déportation massive d’un peuple et son remplacement par un autre, pétris d’arts occultes et de magies assyrio-babyloniennes, a été fécondée ce qui est devenu par la suite la doctrine religieuse et philosophique des plus éminents Pharisiens et jusqu’au ridicule Gloubi-boulga théologique, parfaitement décrit dans l’article de Nice Provence Info (La synagogue de Satan du 6 juin 2021).
Vous comprendrez ainsi la raison pour laquelle les apôtres Jacques, Jean, Mathieu et Paul durent rédiger des lettres à la Diaspora puisque celle-ci avait été depuis bien longtemps éparpillée loin des terres du Royaume d’Israël et de Judas.
Bien que le peuple d’Abraham eût définitivement perdu la protection divine et son unité nationale, c’était pourtant bien à eux que le message de Ieschoua de Nazareth s’adressait en premier. « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! »
En lisant la Genèse 9 : 24–29 (3) et 10 : 23(4) vous découvrirez également comment, dés le nouveau départ de l’humanité, Dieu avait mit dans la bouche de Noé la sentence prophétique à propos de la future lignée du serpent et du mode opératoire que celui-ci serait contraint d’utiliser.
Et si ces références bibliques vous indiffèrent, car elles n’ont plus pour vous la moindre valeur d’authenticité, vous serez surpris de découvrir que la génétique accrédite que la descendance du 3e fils de Noé, Japhet, puis Gomer, puis Askenaze correspond bien à la majorité du profil ethnique de ceux qui résident aujourd’hui en Israël.
Qu’on le veuille ou non, Japhet réside effectivement sous les tentes de Sem.
Qu’on le veuille ou non, la postérité de la Synagogue de Satan est destinée à engendrer l’Antéchrist dépeint par l’apôtre Jean dans la Révélation.
Rien ne pourra arrêter ce terrible avènement qui la rendra plus forte que jamais auparavant.
C’est dans la plénitude de son Pouvoir qu’elle sera terrassée par les myriades de saints anges dirigés par le Seigneur et Roi, au jour connu de seul le Créateur tout puissant.
Qu’on le veuille ou non, c’est à l’occasion des noces de Cana que Satan comprit parfaitement que le solitaire des montagnes avait refusé de changer les pierres en pains, non par défaut de Pouvoir, mais pour ne pas lui révéler ses titres divins, comme il convient de le faire à l’égard d’un séditieux.
De plus, en voyant Marie exercer sur son fils un ascendant qui la rendait toute-puissante, le serpent reconnut en elle la créature mystérieuse dont Dieu l’avait menacé dès le commencement par cette parole : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui meurtrira le talon ». Et il lui voua une haine éternelle ainsi qu’à son fils (Genèse 3 : 15(5)).
Si l’article de Nice Provence Info est particulièrement instructif, il est nécessaire de le remettre en perspective dans le contexte de son développement, pour en apprécier tout son contenu.
En quelques mots simples et non réservés à une élite d’initiés, Ieschoua de Nazareth nous fait connaître encore aujourd’hui l’origine d’un grotesque mensonge qui en a perpétré tant d’autres.
Notre époque témoigne de cette déformation de la sphère religieuse hébraïque originelle par la Synagogue de Satan, dans le creuset des pratiques secrètes héritées de la Babylonie puis qui s’est aguerrie au fil des siècles à aussi modifier l’interprétation de l’Histoire, de la science et jusqu’à la médecine par certains de ses nouveaux docteurs avec le mème éclat que celui qui se transforme constamment en ange de lumière (2 Corinthiens 11 : 14(6)).
Le Christ Roi avertira aussi en déclarant : « Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix sur la terre ; je suis venu mettre, non pas la paix, mais l’épée » (Mathieu 10 : 34).
Cette connaissance accessible permet à tout homme, à toute femme issus de toutes tribus, peuples et langues, comme aux Samaritains, de vérifier toutes ces choses et de se saisir de l’invitation à ne plus avoir peur de rien dans ce monde chimérique voué à l’enchaînement et la destruction et à suivre les traces de celui qui déclara : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » « Prenez courage, j’ai vaincu le monde » (Jean 8 : 32 – Jean 16).
Arnau
Principales références bibliques citées :
Révélation 2 : 9
Révélation 3 : 9
Romain 9 : 6
Jaques 1 : 1
Jean 7 : 35
Actes 2 : 5
Genèse 9 : 24–27
Genèse 10 : 3
2 Thessaloniciens 2 : 7–12
Notes de lecture :
(1) 2 Roi 17 :
23 jusqu’à ce que l’Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l’avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu’à ce jour.
24 Le roi d’Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Cutha, d’Avva, de Hamath et de Sepharvaïm, et les établit dans les villes de Samarie à la place des enfants d’Israël. Ils prirent possession de Samarie, et ils habitèrent dans ses villes.
25 Lorsqu’ils commencèrent à y habiter, ils ne craignaient pas l’Eternel, et l’Eternel envoya contre eux des lions qui les tuaient.
26 On dit au roi d’Assyrie : Les nations que tu as transportées et établies dans les villes de Samarie ne connaissent pas la manière de servir le dieu du pays, et il a envoyé contre elles des lions qui les font mourir, parce qu’elles ne connaissent pas la manière de servir le dieu du pays.
27 Le roi d’Assyrie donna cet ordre : Faites‑y aller l’un des prêtres que vous avez emmenés de là en captivité ; qu’il parte pour s’y établir, et qu’il leur enseigne la manière de servir le dieu du pays.
28 Un des prêtres qui avaient été emmenés captifs de Samarie vint s’établir à Béthel, et leur enseigna comment ils devaient craindre l’Eternel.
29 Mais les nations firent chacune leurs dieux dans les villes qu’elles habitaient, et les placèrent dans les maisons des hauts lieux bâties par les Samaritains.
30 Les gens de Babylone firent Succoth-Benoth, les gens de Cuth firent Nergal, les gens de Hamath firent Aschima,
31 ceux d’Avva firent Nibchaz et Tharthak ; ceux de Sepharvaïm brûlaient leurs enfants par le feu en l’honneur d’Adrammélec et d’Anammélec, dieux de Sepharvaïm.
32 Ils craignaient aussi l’Eternel, et ils se créèrent des prêtres des hauts lieux pris parmi tout le peuple : ces prêtres offraient pour eux des sacrifices dans les maisons des hauts lieux.
33 Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés.
34 Ils suivent encore aujourd’hui leurs premiers usages : ils ne craignent point l’Eternel, et ils ne se conforment ni à leurs lois et à leurs ordonnances, ni à la loi et aux commandements prescrits par l’Eternel aux enfants de Jacob qu’il appela du nom d’Israël.
(2) 2 Roi 16 :
6 Dans ce même temps, Retsin, roi de Syrie, fit rentrer Elath au pouvoir des Syriens ; il expulsa d’Elath les Juifs, et les Syriens vinrent à Elath, où ils ont habité jusqu’à ce jour.
(3) Genèse 9 :
24 Lorsque Noé se réveilla de son vin, il apprit ce que lui avait fait son fils cadet.
25 Et il dit : Maudit soit Canaan ! qu’il soit l’esclave des esclaves de ses frères !
26 Il dit encore : Béni soit l’Éternel, Dieu de Sem, et que Canaan soit leur esclave !
27 Que Dieu étende les possessions de Japhet, qu’il habite dans les tentes de Sem, et que Canaan soit leur esclave !
28 Noé vécut, après le déluge, trois ‑cent-cinquante ans.
29 Tous les jours de Noé furent de neuf-cent-cinquante ans ; puis il mourut.
(4) Genèse 10 :
23 Les fils d’Aram : Uts, Hul, Guéter et Masch.
(5) Genèse 3 :
15 Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.
(6) 2 Corinthiens 11 :
14 Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en Ange de Lumière.
« Ils tremblent »
Oui ils ont perdu et ils l’ont compris depuis l’avènement officiel de la postérité de la Femme.
Mais inéluctablement, ces irascibles condamnés, cette « race de vipères », œuvrent avec l’absolue certitude des paroles de l’apôtre Jacques marquées au fer rouge de leurs entrailles : « Tu crois qu’il n’y a qu’un Dieu ; tu fais bien ; les Démons le croient aussi, et ils [en] tremblent ». Jacques 2 : 19
Imaginez un instant leur morbide terreur… après avoir patiemment architecturé depuis 2600 ans une œuvre édifiée sur une fraude ethno-historique savamment conçue, les voilà anéantis en 3 mots… à un instant clé.
Alors que l’aboutissement de leur œuvre est encore drapé afin d’être révélé et provoquer un subjuguant effroi, c’est la pierre annonciatrice de la pulvérisation du colosse aux pieds d’argile qui au contraire s’annonce.
Beaucoup d’humains resteront égarés mais beaucoup aussi seront épargnés.
Ils accumulent d’apparentes victoires depuis environ 2000 ans, par le recours aux arts divinatoires qui les inspirent à utiliser les pouvoirs hypnotiques tirés des grimoires Babyloniens. En falsifiant l’Histoire, en subjuguant les esprits par les arts, la science, la philosophie, en détournant la médecine du corps et de l’âme par leur sagesse caducée.
Pourtant, si le Diable s’évertue à se cacher dans les détails du mensonge, YHWH, « celui qui EST » se révèle par la Vérité de sa Parole, son Logos.
Le haut lieu où son fils bien aimé présenta sa vie, ne tire pas son nom, « Mont du Crâne » uniquement de sa forme, mais de la cavité, qui renfermait précieusement le crâne d’Adam, le premier Homme.
Celui-ci qui était le couronnement de la création divine laissait la place au couronnement du nouvel Adam intronisé, Roi des rois et Seigneur des seigneurs.
Pourtant la race de vipères, cette synagogue de Satan, ces faux Juifs, avait concentré tous ses efforts pour éliminer et réduire à rien la lignée royale légitime au trône de David.
Pour preuve de cette précarisation, Marie et Joseph, tous deux de lignée royale, vivaient très modestement et retranchés loin de Jérusalem et des dignitaires usurpateurs. Luc 3 : 23 – 38
L’étable dans laquelle il naîtrait peut elle laisser un doute sur cette réalité ? Le massacre par Hérode de tous les enfants de moins de 2 ans également ? Mathieu 2 : 16
Prophétiquement et parlant de son époque pour un message qui s’adresserait à nous, l’apôtre Paul a écrit : « Cependant, c’est une sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n’est pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle, qui vont être anéantis » 1 Corinthiens 1:19,20,27
Il fallait donc, dans le plan divin, qu’une longue période d’ignorance et de railleries s’écoulât pour que les paroles suivantes prennent tout leur éclat : « Car la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu. Aussi est-il écrit : Il prend les sages dans leur ruse ». 1 Corinthiens 3 : 19
C’est par 3 mots « synagogue de Satan » que l’édifice va commencer à vaciller. Mais aussi déchaîner davantage à la réalisation de l’Antéchrist, les légions intrinsèquement désunies mais gouvernées par la terreur de leur Mentor.
Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu afin de pouvoir tenir ferme contre les man£uvres du Diable ! En effet, ce n’est pas contre l’Homme que nous avons à lutter, mais contre les puissances, contre les autorités, contre les souverains de ce monde de ténèbres, contre les esprits du Mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu afin de pouvoir résister dans le jour mauvais et tenir ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme :
• ayez autour de votre taille la vérité en guise de ceinture,
• enfilez la cuirasse de la justice,
• mettez comme chaussures à vos pieds le zèle pour annoncer l’Évangile de paix,
• prenez en toute circonstance le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du mal,
• faites aussi bon accueil au casque du Salut et à l’épée de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu. Ephésiens 6 : 11 – 17
Le lecteur attentif qui comprendra ce grotesque mensonge, fera sienne l’étymologie du mot connaissance « naître avec » afin d’engager un nouveau départ et se revêtir sans peur de l’armure précitée pour combattre l’adversaire, le faire trembler sans répit et simultanément s’en protéger.
Le grand prêtre Caïphe, dépossédé du souverain pontificat, se tua de désespoir. Anne, son beau-père, se débarrassa également de ses remords et de son déshonneur par un lâche suicide. Pilate, destitué par l’empereur, est exilé à Vienne, dans les Gaules, et se donna aussi la mort. Ces trois principaux acteurs dans le drame du calvaire vont périr comme le traître dont le seigneur a dit : « il vaudrait mieux pour lui qu’il ne fût pas né ».
La cause de la révolte des prétendus juifs membres de la « synagogue de Satan » contre le Messie, le sauveur qu’ils attendaient.
Jésus, en effet, le vrai messie, le vrai sauveur, se présente pour fonder un royaume, le royaume spirituel des âmes.
Or, la postérité du Diable réclame non un roi spirituel, mais un roi temporel, non un sauveur d’âmes, mais un libérateur de leur nation, un vainqueur qui leur donne l’empire du monde.
De là un antagonisme et des luttes sans fin entre la postérité du Diable et celle de la Femme.
Jésus prêche le royaume de Dieu : le peuple l’applaudit, mais les chefs usurpateurs du Peuple, ces faux Juifs, le poursuivent avec fureur.
Jésus appuie sa doctrine par des miracles. Il prouve sa divinité : au lieu de lui répondre, les Pharisiens, cette race de vipères, ramassent des pierres pour le lapider. Il démasque devant la foule leur orgueil et leur hypocrisie : le tribunal suprême décrète sa mort.
Quelques jours après, Jésus ressuscite Lazare, entre triomphant à Jérusalem au milieu d’un peuple enthousiaste qui veut le faire roi.
Alors il est conduit au trône qu’il était venu chercher, c’est-à-dire sur le bois sur lequel il devient le sauveur du monde et le Roi de tous les peuples.
Trois jours après, il ressuscite et remonte dans les cieux, d’où il écrase tour à tour les révoltés de tous les siècles, en attendant le jour où il viendra rendre justice à ses amis comme à ses ennemis. Révélation 12 : 9.
Tel est le fond de la sublime épopée que l’Évangile suppose encore aujourd’hui et à laquelle se rattachent tous les incidents de la vie de Ieschoua de Nazareth, le Christ Roi.
Ne nous trompons pas de combat en fondant notre espoir sur un nationalisme guerrier.
« Toutefois l’heure vient, et c’est maintenant où les vrais adorateurs adoreront le Père avec l’esprit et la vérité ; le Père, en effet, cherche des Hommes de ce genre pour l’adorer. Dieu est un Esprit, et ceux qui l’adorent doivent l’adorer avec l’esprit et la vérité. » Jean 4 : 22 – 24.
Voilà de quoi alimenter notre réflexion sur la réalité actuelle qui, sans cela, risquait de nous anéantir.
« A l’instant où l’esclave décide qu’il ne sera plus esclave, des chaînes tombent » Gandhi
Énorme recherche.
Remerciements
La Vérité est très très proche de nous. Ces pharisiens maîtres du monde ont perdu. Rien n’arrêtera la Vérité. Rien, compris Sarko ?
Merci à Armau et à NPI.
Merci à Nice Provence Info pour la véritable lumière qu’il apporte dans ses articles. Soutien et luttons, combattons ceux qui nous oppriment, nous trahissent.