Les barbaresques prennent la France
1830 : Depuis des siècles les barbaresques des côtes d’Afrique du Nord rançonnent la Méditerranée, organisent des razzias sur les côtes de l’Europe. La Londe-les-Maures, Le Cannet-des-Maures, le sarrasin décapité sur le drapeau Corse témoignent de cette histoire de pillages. Les ottomans musulmans réduisent à l’esclavage leurs butins humains comme raconté dans ce film Angélique et le sultan. Pour en finir avec ces exactions, la France envoie l’infanterie coloniale à Sidi Ferruch.

Jean-Léon-Gérôme : Le marché aux esclaves (vers1866)
1843 : La conquête de ces terres barbares est marquée par la prise de la smalah d’Abd-el-Kader par les troupes du duc d’Aumale.

Tableau d’Horace Vernet : Prise de la smalah d’Abd El Kader à Taguin 16 mai 1843
Cliquer sur l’image pour l’agrandir.
L’émir Abd El Kader devient le symbole de la résistance de ces esclavagistes maures contre la France.
La suite, on la connait. Les Français créent l’Algérie, qui n’existait pas avant eux. Ils en font un pays moderne, riche, prospère.

La ville d’Alger, alors française
1962 : De Gaulle rend ce département français aux vaincus d’hier, trahissant ainsi ses engagement. Les Français d’Algérie sont contraints de rentrer précipitamment en métropole, une main devant, une main derrière. La Valise ou le cercueil ! Sans pour autant être bien accueillis en métropole :
Les nouveaux propriétaires fellagas se dotent d’un hymne national, le Kassaman, aux paroles explicites :
Ô France ! Le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! Voici notre réponse
2006 : Le très progressiste maire de Paris, Bertrand Delanoë, rebaptise la Place Poliveau en Place de l’Émir Abd El Kader. Assistent à cette honteuse cérémonie l’ambassadeur d’Algérie en France et des descendants de l’émir ! Paris n’a même pas une rue « Duc d’Aumale », le vainqueur du caïd Kader.
Sous la pression du Politiquement Correct, la France moderne et progressiste devient masochiste et suicidaire
Cette France décadente glorifie désormais ses bourreaux.

Place Émir Abdelkader Paris
La France a divorcé de l’Algérie, mais a obtenu la garde des enfants.
Ils sont quelques six millions de ces Français de papier, faute d’être Français de cœur. La Coupe d’Afrique des nations a vu ce vendredi 19 juillet 2019 la victoire des Fennecs, les footballeurs algériens qui, par ailleurs, évoluent comme mercenaires-janissaires dans les clubs européens tout en étant très grassement payés. La France des remplaçants d’aujourd’hui est descendue dans les villes fêter cette conquête.
Giscard, Hollande, Sarkozy, Macron et tous les pro-immigrationnistes ont pu apprécier cette France black (Sénégal) – beur (Algérie) qu’ils souhaitent de tous leurs vœux. Le caïd Castaner, maître de cérémonie, en stress total, avait bien organisé cette fiesta présentée, en mode Coué dans les médias, comme bon-enfant. Le Gilet Jaune, ça casse, l’Algérien reste bon enfant. Les commerçants de Paris, pas dupes, ont pris soin de transformer leur bazar en bordj(1).

La Place Masséna à Nice le 20 juillet (copie d’écran TV)
Les LBD et les canons à eau, c’est pour les Gilets Jaunes et les Gaulois de souche, pas pour ces Français de souk.
Le 18 mars 1962 a marqué la fin de l’Algérie française, cette date va-t-elle devenir la nouvelle fête nationale de la France algérienne, de Lille à Tamanrasset, en remplacement du 14 juillet ? On y est presque.
« La France ils nous ont colonisés, aujourd’hui c’est nous on les colonise. »Immigration massive + acquisition automatique de la nationalité + haine de notre histoire transmise par une bonne partie des enseignants et journalistes. Bien joué ! 😡
Gepostet von Philippe Vardon am Samstag, 20. Juli 2019
« La France ils nous ont colonisés, aujourd’hui c’est nous on les colonise ».
Pendant ce temps-là, les Français, les yeux voilés par la propagande immigrationniste, regardent à la télé s’effondrer leur pays. Encore dans leurs charentaises, pas encore en babouches, dans l’anesthésie générale.
À ce jour, lendemain qui déchante, la rue appartient aux Algériens, les nouveaux sans-culottes sont en saroual.
Michel Lebon
(1) Bordj : un bordj est une citadelle militaire ottomane au temps des régences d’Alger, de Tunis et de Tripoli.
… le soir de ce match, j’ai eu un vrai dégoût de voir les actes provocants ou destructeurs, quelles que soient les villes de ces supporters, qualifiés à répétition et force de « bon enfant » par nos journalistes aux ordres… Maintenant en vous lisant, j’ai comme une envie de pleurer…
Excellent !