Confinement, vers l’humanité en batterie
Depuis les années soixante-dix avec la crise du pétrole qui va achever les Trente Glorieuses, les crises s’accumulent et s’empilent sans jamais trouver de solutions à long terme.
Le terrorisme, le réchauffement climatique, la crise des subprimes, la vache folle, l’explosion démographique, les cohortes de réfugiés climatiques, économiques, politiques…
Toutes les composantes de notre cadre de vie sont en crise. Crise du logement, crise de la monnaie, de la protection sociale, de l’alimentation, rien ne va plus : la roue tourne, en boucle.
Mondialisation (mal)-heureuse oblige, à chaque fois les solutions doivent être mondiales. On se tourne vers l’OMS, l’OMC, l’ONU et toutes ces structures internationales qui nous imposent leurs règles supranationales aux dépens de toutes les nations qui se soumettent à ce Nouvel Ordre Mondial.
« Il parait que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c’est une crise. depuis que je suis petit c’est comme ça. » disait le philosophe Coluche. En effet, une crise qui s’installe durablement, ce n’est plus une crise, c’est un système.
À chaque fois, c’est le même processus. On crée un état de sidération des foules pour les amener à accepter les solutions qui s’imposent :
toujours vers moins de liberté, plus de contrôles.
Nous sommes donc, coronavirus oblige, en état de crise sanitaire mondiale. Aujourd’hui, c’est tout un pays, l’Italie, qui est contraint de se confiner dans son petit espace vital. Votre logement devient votre cellule, de crise. Chez nous les écoles ferment les unes après les autres. La société s’organise : enseignement à domicile, télétravail. On nous invite à ne plus sortir, même bien pire, si on se sent malade, ne pas aller voir son médecin, ne pas aller aux urgences qui menacent d’être submergées. Crevez chez vous, devant votre télé.
C’est clair, à près de huit milliards d’êtres humains, bientôt dix, quinze, on ne pourra plus se balader, voyager, vivre, sans mettre en péril les écosystèmes, la couche d’ozone et j’en passe. Le confinement que nous réclamons, sinon on va tous mourir de maladie « coronarienne », nous laisse présager de ce que sera nos vies demain, de ce qui se prépare.
Ignoble, pensez-vous. Pourtant déjà, une grande partie de la population mondiale vit dans ces conditions.
Le coronavirus mondialisé va installer des nouveaux modes de vie qui vont entraver nos libertés et valider le contrôle des populations de façon inéluctable.
On nous aura sidérés, pour mieux nous asservir !
Dans quelques mois on n’en parlera plus, mais le spectre de ce type de crise sera habilement instillé pour devenir durable. La mondialisation en sortira renforcée. On aura accepté le confinement, on l’aura même réclamé.
La solution : vers la décroissance de la population mondiale, vers le retour aux états-nations. En finir avec cette mondialisation orwellienne. Faire dégager ces élites mondialistes incarnées par Macron.
Michel Lebon
Excellent article très réaliste. Mes félicitations à votre site car on y trouve souvent de jolies « perles » avec un franc parler plutôt rare de nos jours et qui fait rudement plaisir car il me rappelle le monde « d’avant », celui où j’ai grandi et où il faisait bon vivre. Vos articles sont clairs, bien écrits et ne sont pas des tartines indigestes à lire. Merci à vous.
Merci pour vos encouragements.
Ils nous font tellement de bien.
🙂