Le jour d’après se dévoile peu à peu
Ce confinement est un extraordinaire laboratoire de nos élites mondialistes pour mesurer jusqu’où on peut renoncer à nos libertés. L’avenir totalitaire se met en place. La sidération des masses est parfaitement orchestrée.
Le diable est dans les détails. Dans ce long discours fleuve tranquille du 13 avril, il est des eaux tumultueuses. Ce passage est sans doute le plus effrayant. Après avoir avoué qu’on sera incapable de produire les tests à partir du 11 mai : « Nous n’allons pas tester toutes les Françaises et tous les Français, cela n’aurait aucun sens. » Macron déclare : « Plusieurs innovations font l’objet de travaux avec certains de nos partenaires européens, comme une application numérique dédiée qui, sur la base du volontariat et de l’anonymat, permettra de savoir si, oui ou non, l’on s’est trouvé en contact avec une personne contaminée. »
Christophe Barbier, en bon petit mouton de la Macronie ouvre la boite de Pandore. C’est parti pour la lobotomisation médiatique des cerveaux : les « pour » , sans doute profondément sondés avec lubrifiants, l’emportent déjà.
Comprenez donc qu’il vous faudra déambuler en société avec votre téléphone crécelle qui tintinnabulera à votre entourage votre état de mortalité transmissible. Comme au bon vieux temps des lépreux, mais version 2.0.
En réalité, cette application n’aura aucun sens, aucune efficacité, « ils » le savent. Mais ce sera un ÉNORME POINT MARQUÉ pour le contrôle total des populations. Certes de nombreuses questions persistent :
• Quelle autorité indiquera sur le téléphone votre état de contagiosité ? Quel sera la légitimité de celle-ci ?
• Une fois identifié et contaminé, qui vérifiera que vous n’avez pas emprunté le téléphone sain de quelqu’un d’autre pour pouvoir sortir tranquille ?
• Aura-t-on le droit de sortir sans son téléphone mouchard ?
• Va-t-on en profiter pour balancer la 5G volontairement obligatoire ?
• À partir de quel âge les enfants devront-ils sortir faire du toboggan avec leur téléphone ?
• Comment le téléphone fera le tri entre porteurs sains et le reste du monde, sachant que les tests qui ne servent à rien ne seront pas effectués systématiquement.
On peut ainsi continuer à trouver toutes les absurdités d’un tel système, vous l’aurez compris, le but ultime est caché.
Revenons sur cette hypocrisie absolue appelée « sur la base du volontariat ». Ce sera évidemment à terme une condition sine qua non pour que vous puissiez être déconfinés. Vous aurez donc le libre choix entre
→ la peste (Rester éternellement dans votre gourbi)
→ ou le choléra (sortir espionnés, tracés, traqués).
De plus, votre téléphone pourra contenir toutes les nuances de déconfinement. Relié au centre des contraventions de Rennes, plus fort que les radars routiers.
Vous connaissez beaucoup de gens qui ont refusé le compteur Linky, au prétexte que ce dernier envoie toutes vos informations de vie sur Internet, donc à la terre entière ? Si vous êtes chez vous, si vous rechargez votre véhicule électrique, si vous éteignez la lumière en sortant. NON, le chantage à la modernité a gagné !
Nous allons tous être des volontaires désignés d’office par le pouvoir exécutif Macron qui achève de nous exécuter.
Alors étape suivante, toujours sur la base du volontariat, bien sûr : on vous présentera comme beaucoup plus pratique, beaucoup plus simple, beaucoup plus mieux : l’implant RFID (Radio Frequency IDentification).
On est à 2 doigts d’avoir une puce sous la peau et d’être tracés par GPS pour les moindres de nos faits et gestes.
La technique est d’une simplicité enfantine. De nombreuses sociétés et autres commerces proposent déjà l’implant.
Au Baja Beach Club de Barcelone, la carte VIP fait place à une puce électronique que l’on implante sous la peau. Avec elle, plus besoin de faire la queue ou de sortir sa carte de crédit. Pour 125 euros, un médecin vous injecte dans le bras une capsule de la taille d’un grain de riz. Pour quelques euros vous pouvez dores et déjà commander votre propre seringue à implant RFID sur Internet.
C’est tellement pratique à l’avenir : plus de digicodes, plus de carte de paiement, plus de codes PIN, plus de carte d’identité, de permis de conduire, de carte vitale, de permis de pêche, de mots de passe. Toute votre vie sous la peau. casier judiciaire, carnet de santé, consultables par toutes les oligarchies mondiales.
Rappelez-vous tout ce qu’on a déjà accepté pour lutter contre le « terrorisme ». Accepter de passer partout dans des portiques, accepter la fouille de nos sacs, la palpation au corps par des vigiles privés, les caméras de surveillance, la censure dans tous les réseaux sociaux, etc…
Le Meilleur des Mondes se met tranquillement en place.
Michel Lebon