C’est donc que je suis blanc !
Depuis que je suis allé à l’école, on m’assène que les races n’existent pas. Être français, c’est avoir une carte d’identité :
Tout le monde est français, du moment qu’il habite en France
Puis j’ai grandi et j’ai compris que le mot « race » était interdit. Qu’il ne fallait pas le dire. Le 12 juillet 2018, l’Assemblée nationale a voté la suppression du mot « race » de la Constitution. Elle a considéré que l’espèce humaine est une et que ce terme est « chargé d’un passé colonial et esclavagiste ». Ce gros mot est devenu imprononçable, alors je ne l’ai plus dit. Je l’ai même ôté de ma pensée.
J’ai aussi compris qu’il y avait des Français honteux, mais ceux-là étaient quand même plutôt blancs. Ce sont nos ancêtres qui ont pratiqué la traite négrière. Je devais faire éternelle repentance et expier leurs fautes indélébiles. J’ai donc renié mon Histoire sombre, mes ancêtres, ma Patrie. J’ai tout renié pour être citoyen du monde. Sarkozy m’a enjoint de me métisser, sinon il m’y contraindrait :
Et puis là, d’un seul coup, alors que je me terrais chez moi avec mon masque de soumission covidien, j’ai vu défiler des tas de Français qui parlaient anglais :
Black lives matter. Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Google traduction me dit :
Vies « noires » ? Mais pourquoi « noires » ? Et puis j’ai vu, toujours en anglais :
Black is beautiful (notre illustration à la une) : le noir, c’est beau. Oui, d’accord. Et alors ?
C’est donc que le noir existe !
Moi qui croyais qu’il ne fallait pas le voir. Mais on m’a contraint à voir beaucoup de noirs revendiquer d’être noirs :
Mais alors s’ils sont noirs, que suis-je ?
Moi qui ne suis rien.
Peu à peu cependant mes yeux s’ouvraient et quelquechose me venait à l’esprit : moi, je n’étais pas comme eux, et ils me le faisaient bien sentir. Je n’avais pas les mêmes cheveux. Et puis un matin, j’ai découvert que je n’avais pas la même couleur de peau.
Ma peau n’était pas de la même couleur que ceux qui arboraient ces pancartes. Je n’en revenais pas.
Ma peau est blanche !
C’est ainsi que je suis redevenu un blanc.
Les marxistes se sont efforcé de faire prendre conscience aux ouvriers de leur appartenance à une CLASSE : le prolétariat.
« Black Lives Matter » s’efforce de nous faire prendre conscience de notre appartenance à une RACE. C’est donc que le mot n’est plus interdit.
Massimo Luce
Ouin ouin je suis blanc et je ne peux pas utiliser le mot race. Il faudrait peut-être tâcher de délaisser ce nombrilisme malsain et d’enfin comprendre que l’objectif de ce mouvement international aujourd’hui est de lutter contre le racisme et les violences policières perpétuées à l’encontre des minorités ethniques en France et ailleurs.
Les sbires de l’Open Society de George Soros pour la France ont fait une grosse erreur de casting en montant en épingle les Traoré.
Cela aide tout doucement à ouvrir les yeux des Français qui discernent ainsi ce qui se trame dans les coulisses.
Bravo pour cet excellent article et tous ces bons commentaires !
Mais poussons le manichéisme un peu plus loin : Soros n’est pas sot et on peut imaginer qu’il a choisi à dessein des délinquants pour attiser la « conscience de race », comme vous dites.
Le chaos qu’il recherche sera plus facilement déclenché par des réactions violentes des populations autochtones si les noirs sont des délinquants que s’ils étaient rangés et intégrés.
Il est donc permis de penser que le choix des Traoré est bien pensé. Mais là on est en plein complotisme et il est interdit de penser en ces termes…
Il est clair que tout cela est téléguidé et orchestré depuis les USA.
Mais les protagonistes de cette manipulation MONDIALE ont mal ciblé leur relais en France en retenant des délinquants notoires.
Du coup la manoeuvre ne fonctionne pas. Pire : elle apparaît au grand jour.
Et c’est tant mieux car cela permet d’ouvrir les yeux aux Français.
Les noirs ou les juifs ont le droit de revendiquer leur appartenance à leur race, mais pas les blancs !
Réfléchissez pourquoi !