Petit exercice de littérature comparée
Deux albo-européennes ont fait ces jours-ci deux déclarations différentes, au sujet de la déferlante médiatique « anti-raciste » qui sévit en ce moment sur l’ensemble du monde occidental (Europe de Bruxelles et Amérique du Nord). Nous vous proposons de lire et de comparer ces deux déclarations :
« Comme tout le monde, j’avais posté un carré noir sur Instagram ainsi que des stories contre l’idée du racisme anti-blancs, mais toujours avec ce sentiment inexpliqué.[…] Si le monde était la salle d’attente des urgences et que l’état physique des patients était proportionnel au taux de discriminations raciales qu’ils subissent, les Blancs auraient une égratignure au genou tandis que les personnes racisées auraient tous les membres fracturés, les deux poumons perforés et seraient en train de se vider de leur sang.[…] Je me suis sentie comme membre d’une famille gênante (les Blancs) dont on préférerait ne pas faire partie […] juste honteuse, avec une folle envie de disparaître pour ne plus être associée à elle.[…] Voir sa classe en tant qu’oppresseur et être obligé de s’identifier à elle, ça fait mal[…] Il nous est désormais impossible de reposer notre ego sur notre blancheur, notre « fierté raciale » tant celle-ci est teintée d’auto-humiliation[…]. La seule solution qu’il nous reste est de tout mettre en œuvre pour lutter contre ce qui humilie la classe des Blancs, à savoir son attitude oppressive envers les racisés[…] Les personnes racisées peuvent me compter parmi leurs alliés.[…] J’ai honte d’être blanche, retenez bien ça. »
[…] Pourquoi je refuserais de mettre un genou à terre comme le souhaiterait le ministre de l’Intérieur ? Parce que tous ces groupes […] ne cherchent pas le respect, mais ils cherchent l’humiliation, la soumission bien plus que la tolérance.[…] Ils nous demandent de salir la mémoire de nos ancêtres, de cracher sur notre Histoire, de purger notre héritage, d’abattre nos statues. […] C’est la loi de l’émotion, du groupe, du vil calcul politicien, […] de la bêtise, d’une classe dirigeante biberonnée à toutes ces théories délirantes qui émanent des campus américains, je pense particulièrement à ce « privilège blanc » […] Je considère que je n’ai pas à m’excuser en tant que blanche française pour la mort d’un afro-américain aux États Unis, je n’ai pas à m’excuser pour la mort d’un délinquant Adama Traoré, mort accidentelle, suite à une interpellation qui n’était pas due à sa couleur de peau, mais au crime qu’il aurait commis […] Je n’ai pas à m’excuser parce que je n’ai pas colonisé, je n’ai mis personne en esclavage[…] Aujourd’hui, ces groupes indigénistes antiracistes, se complaisent dans ce statut de victime éternelle. […]
Tous ces gens préparent à une régression inédite de notre civilisation et de notre nation patiemment construite […]. La logique racialiste est moralement régressive […] en catégorisant les hommes seulement par leur couleur de peau. […] Heureusement, beaucoup de Français ne sont pas intoxiqués par cette forme d’américanisation des esprits. Ils sauront refuser cette repentance et cette auto-flagellation qui nous condamne à sortir de l’Histoire. »
Le premier texte a été rédigé par une femme belge pour un journal, qui a reçu tant de lettres de réclamations qu’il a dû supprimer son article.
Le second texte est de Marion Maréchal, qui l’a posté sur sa page FaceBook.
Et vous ? Quel (quelle) européen (européenne) blanc (blanche) êtes-vous ?
Patrice LEMAÎTRE
Aucune compassion à avoir : pendant des décennies, fin 19ème, début 20ème siècle,les Blancs européens sont allés en Afrique pour tenter de sortir ces contrées arriérées de leur stagnation, de leur apporter un minimum d’hygiène, de scolarisation, de développement économique… et se heurtant toujours aux conflits interethniques, aux rivalités tribales, aux chefs corrompus… Sûrement, certains pays ont mieux intégré que d’autres les apports européens, grâce à une ouverture d’esprit plus grande de leur population, mais dans l’ensemble les résultats furent plus que décevants…
« Le fardeau de l’homme blanc », ce n’est pas une vue de l’esprit !
La maffia sorosienne sait ce qu’elle fait en faisant venir ces gens chez nous…
LA NOUVELLE GENERATION EST UN GOUFFRE D INCULTES ET QUI NE VEUT PAS SE CULTIVER
S’il n’y avait aucune colonisation en Afrique , ceux qui envoient des messages radio dans l’espace pour attendre d’éventuelles réponses d’habitants d’autres planètes, en enverraient vers l’Afrique et conclueraient en l’absence de réponses : « L’Afrique est inhabitée ».
J’ai bu du « petit-lait » (blanc de couleur) non seulement à l’article mais aussi aux deux commentaires actuellement présents – notamment celui de Solange Appert…
Insupportable cette victimisation perpétuelle et éternelle de ceux qui, depuis l’origine des temps, ont pratiqué l’esclavage en tant que coutume ancestrale. Car, peu de gens le savent, l’esclavage ne se limite pas à une civilisation et une période particulière. Au XVe siècle, plusieurs royaumes (Ifé, Oyo, Bénin ou Abomey) prospéraient dans le golfe du Bénin grâce au commerce des esclaves. La traite « atlantique » a été grandement facilitée par la préexistence de ces traites internes au continent africain, bien antérieures à l’arrivée des premiers colons européens. Ceux-ci n’ont fait que profiter de l’offre.
Quant à nos indigénistes magrehbins, il feraient bien de balayer devant leur porte. Les traites orientales organisées par les musulmans constituent la plus importante des toutes les traites négrières de l’histoire.
Alors, ras le bol de l’auto-culpabilisation et du reniement de soi. Je suis fier d’être blanc, de ma civilisation et de l’histoire de mon pays. Mes ancêtres ont fait ce qu’ils ont fait dans le contexte de l’époque. C’est ainsi. Je n’ai pas à les juger et je n’en éprouve aucune culpabilité.
Je suis blanche, de souche européenne et fière de l’être. Aucun racisme à mon égard ne pourra m’atteindre, je suis bien dans ma couleur de peau.
Je ne chercherai pas à noircir ma peau, à me frisouiller les cheveux teints en noir ou à taper sur des djembés.
Par contre je comprends et je compatis avec ces gens de couleur : ça doit être très dur de se voir noir, d’appartenir à une civilisation (la seule) qui n’aura jamais inventé une écriture, qui n’a amené aucun progrès à l’Humanité. Il faut être indulgent et commencer par leur apprendre la contraception.