
Le Choc en Retour
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Alain NicolaĂŻ est l’auÂteur de Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour Ă l’Évidence). Il a publiĂ© dans nos colonnes DĂ©composition 322 (3 + 2 + 2 = 7) (en date du 16 juillet 2020). Aujourd’hui il nous proÂpose un texte : Le Choc en Retourou la dĂ©comÂpoÂsiÂtion de la mondialisation |
En mĂ©taÂphyÂsique, un chat est un chat
« Qui connaĂ®t les noms, connaĂ®t les choses. » Cratyle, Platon, citaÂtion de la page 8 du Livre des Sept Sceaux ‑Le Retour Ă l’Évidence.
« Rien n’est plus danÂgeÂreux que la confuÂsion des concepts. En parÂtiÂcuÂlier de ceux qui visent Ă dĂ©siÂgner ce Ă quoi on s’opÂpose. En gĂ©nĂ©Âral, une telle confuÂsion est un prĂ©aÂlable au dĂ©sordre des esprits et Ă la vioÂlence des actes. » Jacques Attali, Le Soir du 6 avril 2018.
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Première séquence : la métaphysique
Remarque : Vous avez peur de ne pas comÂprendre, rasÂsuÂrez-vous, vous allez vite comprendre
MĂ©taphysique, Ă©tyÂmoÂloÂgie (XIIIe siècle) : mot savant emprunÂtĂ© au latin scoÂlasÂtique metaÂphyÂsiÂca, tirĂ© des preÂmiers mots du traiÂtĂ© de mĂ©taÂphyÂsique d’Aristote, mĂ©ta ta phuÂsiÂka « après les choses de la nature », qui fait suite Ă son traiÂtĂ© sur la nature. Le sens de « rĂ©flexion phiÂloÂsoÂphique qui va au-delĂ de la nature et qui cherche Ă rendre compte par une thĂ©oÂrie gĂ©nĂ©Ârale des prinÂcipes fonÂdaÂmenÂtaux de l’être » appaÂrait dès l’origine [source : Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Baumgartner et MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].
MĂ©taphysique : anaÂlyse sysÂtĂ©ÂmaÂtique de la rĂ©aÂliÂtĂ© afin de connaĂ®tre sa nature proÂfonde. Sa mĂ©thode est basĂ©e sur l’algèbre de Boole :
0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.
L’algèbre de Boole est la base de la logique comÂbiÂnaÂtoire et de la logique sĂ©quenÂtielle. Elle est la base ses sysÂtèmes informatisĂ©s.
MĂ©taphysique : son point de dĂ©part et d’arrivĂ©e est la connaisÂsance absoÂlue par la mise sous les yeux des lecÂteurs des choses signiÂfiÂcaÂtives, des faits significatifs…
La seule mĂ©taÂphyÂsique valable est donc celle qui apporte des preuves irrĂ©ÂfuÂtables qui peuvent ĂŞtre vĂ©riÂfiĂ©es par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chaÂcun doit savoir. Elle explique la rĂ©aÂliÂtĂ© et dĂ©voile ce qui est cachĂ©, mais elle prend en compte la rĂ©flexion de Ludwig Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parÂler, il faut le taire. » (Tractacus logiÂco-phiÂloÂsoÂphiÂcus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).
Deuxième séquence : la démocratie
Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen dĂ©tient un Ă©norme pouÂvoir qu’il faut savoir utiÂliÂser Ă bon escient.
DĂ©mocratie, Ă©tyÂmoÂloÂgie (XIVe siècle), du grec dĂ©moÂkraÂtia « gouÂverÂneÂment exerÂcĂ© par le peuple » [Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Emmanuèle Baumgartner et Philippe MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].
Troisième séquence : la république
Remarque : Au point de vue de la sociĂ©ÂtĂ©, avec la paix, la rĂ©puÂblique est un de nos biens le plus prĂ©cieux.
RĂ©publique, Ă©tyÂmoÂloÂgie (XVIe siècle), emprunÂtĂ© au latin res publiÂca « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employĂ©e au sens de « État, comÂmuÂnauÂtĂ©, sociĂ©ÂtĂ© orgaÂniÂsĂ©e » puis se spĂ©ÂciaÂlise Ă parÂtir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouÂverÂneÂment est fonÂdĂ©e sur la souÂveÂraiÂneÂtĂ© des citoyens. [Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Emmanuèle Baumgartner et Philippe MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].
Il en dĂ©coule impĂ©ÂraÂtiÂveÂment que le PrĂ©sident d’une vĂ©riÂtable RĂ©publique doit ĂŞtre au serÂvice de ses concitoyens.
La devise de la RĂ©publique franÂçaise « LibertĂ© –ÉgalitĂ© – FraternitĂ© » a pour oriÂgine la RĂ©volution franÂçaise. Elle donne le modèle de ce qu’est une vĂ©riÂtable rĂ©puÂblique dans l’absolu. Cette devise a Ă©tĂ© reprise sous diverses formes Ă traÂvers le monde.
Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.
Ă€ ce jour, toutes les rĂ©puÂbliques se rapÂprochent plus ou moins de cet idĂ©al, mais malÂheuÂreuÂseÂment nomÂbreuses sont les rĂ©puÂbliques banaÂnières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.
Quatrième séquence : le Nouvel Ordre Mondial
Remarque : Ne vous voiÂlez pas la face, penÂdant que vous dorÂmez, d’autres traÂvaillent Ă votre perte.
Le nouÂveau gouÂverÂneÂment du Monde [Georges Corm, La DĂ©couverte /​Poche, Paris, 2013].
PrĂ©sentation de l’éditeur : « Une anaÂlyse morÂdante des sources intelÂlecÂtuelles du pouÂvoir monÂdiaÂliÂsĂ© et du nĂ©oÂliÂbĂ©ÂraÂlisme “mysÂtique” qui a envaÂhi les cours de milÂlions d’éÂtuÂdiants en Ă©coÂnoÂmie et gesÂtion, futurs cadres miliÂtants de ce pouÂvoir et de leur capaÂciÂtĂ© Ă bloÂquer les chanÂgeÂments.
Alors que la crise de 2007–2009 a rĂ©vĂ©ÂlĂ© Ă tous les mĂ©faits de la monÂdiaÂliÂsaÂtion et de la spĂ©ÂcuÂlaÂtion finanÂcière, rien ne change, malÂgrĂ© les dĂ©nonÂciaÂtions qui se mulÂtiÂplient de tous bords. Pour comÂprendre les racines de cette inerÂtie morÂtiÂfère des dĂ©ciÂdeurs Ă©coÂnoÂmiques et poliÂtiques monÂdiaux, l’auÂteur explore dans ce livre les mĂ©caÂnismes perÂmetÂtant la reproÂducÂtion de cette “civiÂliÂsaÂtion des affaires en dĂ©clin” (Robert Heilbroner). Il anaÂlyse notamÂment les sources intelÂlecÂtuelles de ce pouÂvoir monÂdiaÂliÂsĂ© : le nĂ©oÂliÂbĂ©ÂraÂlisme se nourÂrit d’un idĂ©aÂlisme simÂpliste qui rapÂpelle l’esÂprit docÂtriÂnaire du sociaÂlisme “scienÂtiÂfique”. Cette Ă©coÂnoÂmie-ficÂtion nĂ©oÂliÂbĂ©Ârale dĂ©calque inverÂsĂ© de l’éÂcoÂnoÂmie-ficÂtion marÂxiste, a envaÂhi les cours de milÂlions d’éÂtuÂdiants, futurs cadres du pouÂvoir monÂdiaÂliÂsĂ©. S’appuyant notamÂment sur son expĂ©Ârience de consulÂtant interÂnaÂtioÂnal, Georges Corm proÂpose une criÂtique morÂdante de la strucÂture et du foncÂtionÂneÂment de ce pouÂvoir et de ses horiÂzons cultuÂrels.
Il plaide ici pour une “dĂ©monÂdiaÂliÂsaÂtion” raiÂsonÂnĂ©e des esprits et des sysÂtèmes Ă©coÂnoÂmiques dans un monde ouvert, pour une Ă©coÂnoÂmie soliÂdaire et humaine par le rĂ©taÂblisÂseÂment des cohĂ©Ârences spaÂtiales, la fin des dogÂmaÂtismes et la rĂ©haÂbiÂliÂtaÂtion des valeurs d’éÂthique et d’éÂquiÂtĂ© dans l’enÂseiÂgneÂment de l’éÂcoÂnoÂmie. »
Cette prĂ©ÂsenÂtaÂtion fait prendre conscience de l’étendue du proÂblème Ă©tant donÂnĂ© que, de nos jours, l’argent est la valeur suprĂŞme. Les Ă©lites au Pouvoir n’ont pas de mal Ă draiÂner les meilleurs de nos Ă©tuÂdiants qui ne sont pas au couÂrant de leur but final occultĂ©.
Le Nouvel Ordre Mondial est en subÂstance la prise du Pouvoir au niveau monÂdial par cerÂtains finanÂciers, par cerÂtains capiÂtaÂlistes, par cerÂtains riches, par cerÂtains techÂnoÂcrates qui se sont entenÂdu en dehors de tous les prinÂcipes dĂ©moÂcraÂtiques – en dehors de tous sysÂtèmes dĂ©moÂcraÂtiques – pour prendre le Pouvoir dĂ©fiÂniÂtiÂveÂment sur cette plaÂnète(1). Pour ce faire, ils utiÂlisent les canaux des mĂ©dias domiÂnants qu’ils ont acheÂtĂ©s ou infilÂtrĂ©s pour maniÂpuÂler et surÂtout endorÂmir les masses.
(1) Leur but final sous-jacent est simÂpleÂment de se subÂstiÂtuer aux États et aux RĂ©publiques.
Cinquième séquence : la mafia
Remarque : Un des pires enneÂmis des rĂ©publiques.
Mafia (XIXe siècle), mot itaÂlien dĂ©siÂgnant une sociĂ©ÂtĂ© secrète, issue du siciÂlien, mafia, « harÂdiesse, vanÂtarÂdise », d’origine obsÂcure. Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Emmanuèle Baumgartner et Philippe MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.
DĂ©finition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, proÂmulÂguĂ©e en 1982 pour dĂ©fiÂnir l’association mafieuse dans sa spĂ©ÂciÂfiÂciÂtĂ© (article 416bis du code pĂ©nal), est une extenÂsion de l’article 416 dĂ©fiÂnisÂsant l’association criÂmiÂnelle. Le lĂ©gisÂlaÂteur posÂtule que ce qui caracÂtĂ©Ârise l’association mafieuse par rapÂport Ă la simple assoÂciaÂtion criÂmiÂnelle sont ses mĂ©thodes et, notamÂment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la souÂmisÂsion. Dès lors, est dĂ©siÂgnĂ© comme « mafieux » tout indiÂviÂdu qui tire proÂfit du pouÂvoir d’intimidation Ă©maÂnant du capiÂtal de vioÂlence insÂcrit dans son assoÂciaÂtion – quand bien mĂŞme cette vioÂlence n’est pas exerÂcĂ©e de façon sysÂtĂ©ÂmaÂtique –, qui proÂtège son orgaÂniÂsaÂtion par son silence et vit dans un rapÂport de souÂmisÂsion vis-Ă -vis de cette insÂtiÂtuÂtion se superÂpoÂsant Ă l’État.
La mafia comme délit
La crĂ©aÂtion, en 1982, du « dĂ©lit d’association mafieuse » rĂ©pond Ă la nĂ©cesÂsiÂtĂ© de fixer un phĂ©ÂnoÂmène social ambiÂgu, objet d’une approche tanÂtĂ´t cultuÂraÂliste (la mafia comme façon d’être, expresÂsion archĂ©ÂtyÂpale de l’être siciÂlien), tanÂtĂ´t criÂmiÂnoÂloÂgique (la mafia comme assoÂciaÂtion de malÂfaiÂteurs sans rapÂports perÂmaÂnents entre eux). Or nous avons vu comÂment la difÂfiÂculÂtĂ© de prouÂver le caracÂtère durable du lien mafieux et de dĂ©monÂtrer la conscience des assoÂciĂ©s quant au proÂjet criÂmiÂnel de leur assoÂciaÂtion renÂdait caduques les tenÂtaÂtives judiÂciaires d’imputer aux mafieux un dĂ©lit assoÂciaÂtif, tel que prĂ©Âvu par le Code PĂ©nal. La loi Rognoni-La Torre, proÂmulÂguĂ©e en 1982 pour dĂ©fiÂnir l’association mafieuse dans sa spĂ©ÂciÂfiÂciÂtĂ© (article 416bis du Code PĂ©nal), est une extenÂsion de l’article 416 dĂ©fiÂnisÂsant l’association criÂmiÂnelle. Le lĂ©gisÂlaÂteur posÂtule que ce qui caracÂtĂ©Ârise l’association mafieuse par rapÂport Ă la simple assoÂciaÂtion criÂmiÂnelle sont ses mĂ©thodes et, notamÂment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la souÂmisÂsion. Dès lors, est dĂ©siÂgnĂ© comme « mafieux » tout indiÂviÂdu qui tire proÂfit du pouÂvoir d’intimidation Ă©maÂnant du capiÂtal de vioÂlence insÂcrit dans son assoÂciaÂtion – quand bien mĂŞme cette vioÂlence n’est pas exerÂcĂ©e de façon sysÂtĂ©ÂmaÂtique –, qui proÂtège son orgaÂniÂsaÂtion par son silence et vit dans un rapÂport de souÂmisÂsion vis-Ă -vis de cette insÂtiÂtuÂtion se superÂpoÂsant Ă l’État.
Juger la mafia, Deborah Puccio-Den (cliÂquer sur l’iÂmage pour accĂ©Âder au docuÂment en ligne)
Ă€ ces dĂ©lits, nous ajouÂtons la corruption.
Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les prinÂcipes rĂ©puÂbliÂcains et de tous les prinÂcipes dĂ©moÂcraÂtiques veut se subÂstiÂtuer aux États pour mettre en place un gouÂverÂneÂment monÂdial aux mains d’une Ă©lite autoproclamĂ©e.
« Nous sommes reconÂnaisÂsants au Washington Post, au New York Times, au magaÂzine Time, et aux autres grandes publiÂcaÂtions dont les direcÂteurs ont assisÂtĂ© Ă nos rĂ©unions et resÂpecÂtĂ© leurs proÂmesses de disÂcrĂ©Âtion depuis presque quaÂrante ans. Il aurait Ă©tĂ© pour nous imposÂsible de dĂ©veÂlopÂper notre proÂjet pour le monde si nous avions Ă©tĂ© expoÂsĂ©s aux lumières de la publiÂciÂtĂ© durant ces annĂ©es. Mais le monde est aujourd’Âhui plus sophisÂtiÂquĂ© et prĂ©ÂpaÂrĂ© Ă l’enÂtrĂ©e dans un gouÂverÂneÂment monÂdial. La souÂveÂraiÂneÂtĂ© supraÂnaÂtioÂnale d’une Ă©lite intelÂlecÂtuelle et de banÂquiers monÂdiaux est assuÂrĂ©Âment prĂ©ÂfĂ©Ârable Ă l’auÂtoÂdĂ©ÂterÂmiÂnaÂtion natioÂnale des siècles pasÂsĂ©s. » David Rockefeller [Discours Ă la Commission TrilatĂ©rale en juin 1991 Ă Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000]
« Certains croient mĂŞme que nous faiÂsons parÂtie d’une cabale secrète agisÂsant contre les grands intĂ©ÂrĂŞts des États-Unis et ils reprĂ©Âsentent ma famille et moi comme des “interÂnaÂtioÂnaÂlistes” ; ils vont jusqu’à prĂ©Âtendre que nous conspiÂrons avec d’autres capiÂtaÂlistes dans le monde pour construire une strucÂture poliÂtique et Ă©coÂnoÂmique monÂdiale plus intĂ©ÂgrĂ©e – un seul monde, si vous vouÂlez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide couÂpable et j’en suis fier. » David Rockefeller [MĂ©moires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475]
« Nous sommes Ă la veille d’une transÂforÂmaÂtion gloÂbale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepÂter le Nouvel Ordre Mondial. » David Rockefeller [« All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order. » – David Rockefeller, 1994, DĂ®ner aux Nations Unies]
Sixième séquence : la science
Remarque : La science nous perÂmet de connaĂ®tre la rĂ©alitĂ©.
Science (XIe siècle) emprunÂtĂ© au latin scienÂtia « connaisÂsance, savoir, connaisÂsance thĂ©oÂrique », dĂ©riÂvĂ© du parÂtiÂcipe prĂ©Âsent sciens, scienÂtis « qui sait, insÂtruit, habile », de scire « savoir », d’abord employĂ© au sens de « connaisÂsance, savoir », et de « savoir-faire, aptiÂtude acquise dans un domaine parÂtiÂcuÂlier » et Ă parÂtir du XIIIe siècle, au sens du franÂçais moderne « corps de connaisÂsances ayant un objet, une mĂ©thode propre, domaine orgaÂniÂsĂ© du savoir ». Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Baumgartner et MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 719.
ÉpistĂ©mologie : science, dĂ©signe stricÂteÂment toute connaisÂsance rationÂnelle obteÂnue, soit par dĂ©monsÂtraÂtion, soit par obserÂvaÂtion (objecÂtive) et vĂ©riÂfiÂcaÂtion expĂ©ÂriÂmenÂtale, Vocabulaire de la phiÂloÂsoÂphie et des sciences humaines, L. M. Morfaux, Armand Colin, Paris, 1980, page 324.
Septième séquence : la preuve scientifique
Remarque : DĂ©masquons irrĂ©ÂfuÂtaÂbleÂment les difÂfuÂseurs de fausses informations.
Preuve, de prouÂver. Prouver (XIIe siècle), du latin proÂbare « Ă©prouÂver, prouÂver, approuÂver » dĂ©riÂvĂ© du latin proÂbus, « de bonne quaÂliÂtĂ©, honÂnĂŞte, verÂtueux ». Probus donÂneÂra le mot de probe employĂ© en franÂçais au sens moral de « intègre, honÂnĂŞte ». Dictionnaire Ă©tyÂmoÂloÂgique et hisÂtoÂrique de la langue franÂçaise, Baumgartner et MĂ©nard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 630 et 634.
Connaissance et preuve vont de pair.
En ce qui concerne la crise du Covid-19, des deux derÂnières sĂ©quences il en dĂ©coule qu’il est impĂ©ÂraÂtif de l’analyser dans toutes ses phases comme l’a fait en France le proÂfesÂseur Christian Perronne(1) c’est-Ă -dire de comÂprendre objecÂtiÂveÂment la chaĂ®ne des causes et des effets qui l’a engenÂdrĂ©e. Il est essenÂtiel de dĂ©masÂquer les difÂfuÂseurs de fausses informations.
(1) Le Pr. Perronne balance sur « les magouilles et les attaques dĂ©gueuÂlasses contre Raoult »
Christian Perronne est un mĂ©deÂcin et proÂfesÂseur des uniÂverÂsiÂtĂ©s-praÂtiÂcien hosÂpiÂtaÂlier franÂçais, spĂ©ÂciaÂliÂsĂ© dans le domaine des pathoÂloÂgies troÂpiÂcales et des malaÂdies infecÂtieuses Ă©merÂgentes, et ancien prĂ©Âsident de la comÂmisÂsion spĂ©ÂciaÂliÂsĂ©e Maladies transÂmisÂsibles du Haut Conseil de la sanÂtĂ© publique [source Wikipedia].
Huitième séquence : George Soros et la société ouverte
L’origine docÂtriÂnale de l’Open Society de George Soros.
PrĂ©sentation de George Soros : « Pour le grand public ; il est d’abord l’incarnation de ces puisÂsants et inquiĂ©Âtants “marÂchĂ©s finanÂciers”, maĂ®tres du monde moderne. Soros est la face visible et touÂjours mysÂtĂ©Ârieuse de la monÂdiaÂliÂsaÂtion qui est en train de nous avaÂler, et du trente-cinÂquième Ă©tage de son immeuble de Manhattan, Ă New-York, domiÂnant les allĂ©s verÂdoyantes de Central Park, la salle des marÂchĂ©s du Quantum Fund a en effet des allures de cabine de piloÂtage interÂplaÂnĂ©Âtaire. » PrĂ©face du livre de George Soros, Le dĂ©fi de l’argent, Plon, 1996, page 7.
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Dans ce livre, George Soros nous explique docÂteÂment que son grand insÂpiÂraÂteur est le « phiÂloÂsophe » Karl Popper auteur de l’inĂ©narrable livre La sociĂ©ÂtĂ© ouverte et ses enneÂmis (Éditions du Seuil, Paris 1979). Cet auteur, ayant Ă©tuÂdiĂ© les nuages et leur forÂmaÂtion, a eu une rĂ©vĂ©ÂlaÂtion : les nuages n’ont pas de fronÂtières.
De cette obserÂvaÂtion fulÂguÂrante, il tire la consĂ©Âquence que la libre cirÂcuÂlaÂtion des biens et des perÂsonnes, c’est-Ă -dire la sociĂ©ÂtĂ© ouverte Ă tous les vents, est le Bien, et que la sociĂ©ÂtĂ© ferÂmĂ©e — Ă l’image du bloc soviĂ©Âtique — est le Mal absolu.
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Quatrième de couÂverÂture de La connaisÂsance objecÂtive par l’éÂdiÂteur : Voici un livre de phiÂloÂsoÂphie Ă la fois clasÂsique et dĂ©conÂcerÂtant. On y traite de la liberÂtĂ© et du dĂ©terÂmiÂnisme Ă l’aide de nuages et de bulles de savon. On y construit une thĂ©oÂrie du lanÂgage Ă l’aide de miel et de toiles d’aÂraiÂgnĂ©es. Fort de cinÂquante ans de disÂcusÂsions avec phyÂsiÂciens, bioÂloÂgistes et logiÂciens, Popper renouÂvelle l’apÂproche des quesÂtions les plus traÂdiÂtionÂnelles de la phiÂloÂsoÂphie avec pour fil conducÂteur de proÂgrès de la science, replaÂcĂ© dans le cadre plus gĂ©nĂ©Âral d’une phiÂloÂsoÂphie de l’éÂmerÂgence du nouÂveau. Rassemblant des textes rĂ©diÂgĂ©s pour la pluÂpart entre 1965 et 1971, La connaisÂsance objecÂtive est l’ouÂvrage le plus reprĂ©ÂsenÂtaÂtif de la « derÂnière manière » de Popper. Il y rĂ©vèle toutes les impliÂcaÂtions mĂ©taÂphyÂsiques de son ratioÂnaÂlisme criÂtique et s’y risque Ă des conjecÂtures audaÂcieuses. Indispensable pour connaĂ®tre les inflexions que prend alors la penÂsĂ©e de Popper, ce livre l’est ausÂsi pour comÂprendre les dĂ©bats de l’éÂpisÂtĂ©ÂmoÂloÂgie contemporaine. |
Commentaires : ThĂ©orie pour le moins nĂ©buÂleuse sur laquelle est fonÂdĂ©e la docÂtrine de George Soros. Il est difÂfiÂcile de faire plus fumeux. |
Dans son livre autoÂbioÂgraÂphique, George Soros nous explique Ă©gaÂleÂment comÂment est nĂ©e sa rĂ©puÂtaÂtion : « En Grande Bretagne, cerÂtains me reprochent d’avoir fait chuÂter la livre en 1992, d’autres m’en fĂ©liÂcitent. Ils ont tous tort, car lorsque j’ai jouĂ© la dĂ©vaÂluaÂtion de la monÂnaie briÂtanÂnique et des sommes consiÂdĂ©Ârables, je ne me prĂ©ÂocÂcuÂpais pas de l’intĂ©rĂŞt public. Je me suis contenÂtĂ© de spĂ©ÂcuÂler en resÂpecÂtant les règles pour le seul proÂfit de mon fond d’investissement, de mes actionÂnaires et de moi-mĂŞme. D’ailleurs, si l’on se comÂporte autreÂment, il est imposÂsible de gĂ©rer un tel fond, et perÂsonne ne vous confiÂra son argent ! » (pages 26 et 27). Page 26 on apprend touÂjours : « Après 1989, l’effondrement des sysÂtèmes de l’Est n’a pas conduit Ă l’établissement de vĂ©riÂtables sociĂ©ÂtĂ©s ouvertes, du moins dans la pluÂpart des pays ex-comÂmuÂnistes, ou triomphent des rĂ©gimes autoÂriÂtaires et natioÂnaÂlistes. J’avais rĂŞvĂ© que la rĂ©voÂluÂtion de 1989 ouvriÂrait la voie Ă une sociĂ©ÂtĂ© ouverte uniÂverÂselle, comme celle de 1789 avait posĂ© les bases de l’Etat moderne. Rien de tel ne s’est proÂduit. » Par la suite il raconte la vie de sa famille et sa carÂrière. Un temps, il vouÂlait deveÂnir phiÂloÂsophe : « Vers 1962, j’ai Ă©crit un traiÂtĂ© phiÂloÂsoÂphique, The Burden of Consciencious – Le poids de la Conscience – … » qu’il prĂ©Âsente Ă son menÂtor Karl Popper, (page 49). On comÂprend bien vite cepenÂdant que sa grande obsesÂsion est la rĂ©aÂliÂsaÂtion de la sociĂ©ÂtĂ© ouverte. Pour cela il crĂ©e dès 1979 l’Open Society Foundation qui est un rĂ©seau de fonÂdaÂtions qui dĂ©verse des milÂlions (jusÂqu’à des milÂliards) dans de nomÂbreux pays pour l’aider Ă atteindre son but, c’est-Ă -dire, en clair : l’avènement du règne dĂ©fiÂniÂtif de la finance (bien que dans son ouvrage il en criÂtique cerÂtains aspects) et du Nouvel Ordre Mondial.
Son livre, en fait, consiste en une interÂview de Soros par une perÂsonne anonyme.
Ă€ la quesÂtion (page 178),
« Je ne comÂprends touÂjours pas comÂment la conscience de votre propre failliÂbiÂliÂtĂ© mène Ă votre idĂ©e de sociĂ©ÂtĂ© ouverte comme piliers des valeurs uniÂverÂselles »
Soros rĂ©pond : « Ce n’est pas Ă©vident. Je peux expoÂser mon point de vue, qui me semble parÂtiÂcuÂlièÂreÂment convainÂcant, mais cela ne signiÂfie pas que les autres vont le parÂtaÂger. Je dois reconÂnaĂ®tre que d’une cerÂtaine façon je suis quelqu’un d’exceptionnel. Je ne parle pas de l’intelligence mais de l’argent. Peu de perÂsonnes en posÂsèdent plus qu’elles n’en ont besoin. ĂŠtre de celles-ci me place dans une situaÂtion Ă part, comme si j’étais exempÂtĂ© des lois de la graÂviÂtĂ©. Je peux me perÂmettre de vivre selon ma fanÂtaiÂsie, et ma fanÂtaiÂsie c’est de proÂmouÂvoir l’idĂ©e de la sociĂ©ÂtĂ© ouverte. Mais lĂ , je suis confronÂtĂ© Ă ma propre failliÂbiÂliÂtĂ© (sic) – contrainte Ă laquelle je ne peux Ă©chapÂper. »
Avec une telle rĂ©ponse, il n’est pas Ă©tonÂnant que ce chaÂpitre s’intitule Le phiÂloÂsophe ratĂ©.
Conclusion : le Nouvel Ordre Mondial, le pire des virus
Pour que tout soit bien clair dans votre esprit.
Les parÂtiÂsans du Nouvel Ordre Mondial veulent laisÂser le peuple dans l’ignorance pour mieux le domiÂner. De nos jours la sociĂ©ÂtĂ© du specÂtacle se double d’une sociĂ©ÂtĂ© de la consomÂmaÂtion pour que le peuple Ă©vite de penÂser aux causes mulÂtiples de son asserÂvisÂseÂment. Ces acteurs du Nouvel Ordre Mondial dĂ©tiennent les mĂ©dias : « Les riches achètent les mĂ©dias pour donÂner de l’information bien choiÂsie aux pauvres » (Bourdieu). Ce qui veut dire, en clair, que des inforÂmaÂtions capiÂtales sont volonÂtaiÂreÂment occulÂtĂ©es et que les parÂtiÂsans du Nouvel Ordre Mondial maniÂpulent honÂteuÂseÂment les citoyens en les preÂnant pour des imbĂ©ciles.
L’asservissement des États et des républiques est un des buts des antidémocrates du Nouvel Ordre Mondial.
Le Forum Économique Mondial appelle Ă une « grande remise Ă zĂ©ro » du Système, The Great Reset(1), Ă la suite de la crise proÂtĂ©iÂforme du Covid-19.
D’une panÂdĂ©Âmie, beauÂcoup moins imporÂtante que l’épidĂ©mie de grippe de 1968–1969, les mĂ©dias ont fait un monstre qui jusÂtiÂfie tous les coups bas. Il faut bien comÂprendre que l’épidĂ©mie de grippe de 68 – 69, qui est pasÂsĂ©e quaÂsiÂment inaperÂçue Ă l’époque, aurait fait, d’après une Ă©tude publiĂ©e en 2007, plus de 30 000 morts en France. ReportĂ©e Ă la dĂ©moÂgraÂphie actuelle, l’estimation des dĂ©cès est qu’elle aurait proÂvoÂquĂ© de nos jours entre 70 000 et 100 000 morts ! (Grippe de Hong Kong : la panÂdĂ©Âmie oubliĂ©e | LCP Le Mag – 26/​06/​2020)
Le confiÂneÂment et le port du masque obliÂgaÂtoire ne sont qu’un avant-goĂ»t de ce qui vous attend dans le monde d’après concocÂtĂ© dans notre dos. Pourquoi un vacÂcin alors que de très nomÂbreux scienÂtiÂfiques disent que ce virus mute(2) ? MĂŞme George Soros l’a proÂclaÂmĂ© dans la presse(3). Pourquoi vouÂloir dĂ©veÂlopÂper les puces RFID ? Pourquoi Bill Gates finance-t-il la techÂnoÂloÂgie des vacÂcins avec des implants de microÂpuces d’Intellectual Ventures ?
Enfin, pourÂquoi le Forum Économique Mondial (Forum de Davos) se perÂmet-il d’annoncer uniÂlaÂtĂ©ÂraÂleÂment sur son site son proÂjet monÂdial pour la plaÂnète (son monde d’après) et The Great Reset, si ce n’est parce qu’il pense avoir pris dĂ©fiÂniÂtiÂveÂment le desÂsus sur le Peuple, la dĂ©moÂcraÂtie, les rĂ©puÂbliques et les États ; dĂ©monÂtrant ainÂsi irrĂ©ÂfuÂtaÂbleÂment le mĂ©pris colosÂsal du peuple par ces Ă©lites autoproclamĂ©es.
Leur « monde d’après » n’est qu’un giganÂtesque piège pour la popuÂlaÂtion qui sera livrĂ©e pieds et poings liĂ©s au monde de la finance. Leur « monde d’après » marque, en fait, l’avènement du règne totaÂliÂtaire de la finance, ce qui veut dire pour le Peuple : asserÂvisÂseÂment dĂ©finitif.
Face Ă de telles menaces, les vrais rĂ©puÂbliÂcains de tous les États ne peuvent pas resÂter inertes.
Face Ă de telles menaces, dĂ©fenÂdons notre rĂ©puÂblique !
Face Ă de telles menaces, levons-nous !
Alain NicolaĂŻ
(1) The Great Reset ou Le temps de la Grande remise Ă zĂ©ro d’aÂprès le Forum Économique Mondial, dont George Soros est un membre Ă©miÂnent.
(2) Le SARS-CoV‑2 mute, et alors ? [source Le Temps du 24 juillet 2020]
(3) « Mais nous sommes face Ă une cible mouÂvante, du fait que le virus lui-mĂŞme Ă©voÂlue rapiÂdeÂment. La mise au point d’un vacÂcin prenÂdra beauÂcoup de temps. » [source L’Écho du 17 mai 2020]
[NDLR] : Notre illusÂtraÂtion Ă la une : allĂ©ÂgoÂrie rĂ©voÂluÂtionÂnaire monÂtrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)
MACRON reprĂ©ÂsenÂtant le N.O.M, la gueuse, la RAIE PUBLIQUE, la BĂŞte figuÂrant Ă l’enÂvers des pasÂseÂports franÂçais, dĂ©caÂpiÂtant de 1789 Ă 1792 plus de 350.000 franÂçais, MACRON giflĂ© au nom de « MONTJOIE ST DENIS », cri de guerre des royaÂlistes.
BERGOGLIO, pape du N.O.M, le 23.07.2014 a volĂ© au secours de MACRON et HOLLANDE, aux affaires accuÂsĂ©s par nous de terÂroÂrisme. Avec l’anÂnĂ©e 2014, annĂ©e DONNADIEU, 1.200e anniÂverÂsaire de la mort de CHARLEMAGNE et 800e anniÂverÂsaire de la naisÂsance de DIEUDONNE, LOUIS IX dit SAINT LOUIS, le kidÂnapÂping de mon frère Christian DURIEUX-DONNADIEU-DIEUDONNE en Italie en aoĂ»t 2014 extraÂdĂ© en France et le 3 avril 2014, 3h du matin, 3 exploÂsions d’un drone miliÂtaire, lors de manĹ“uvres miliÂtaires Ă LA REUNION, oĂą le Malin 333 :
HOLLANDE, VALLS et MACRON aux affaires, ont raté miracle de PIE XII de « NEUTRALISER » :
VIVIEN II de CAROLI de ST-LOUIS, fait peur Ă la mort avec son frère « CRIS-TIA-NO » Ă qui FRANÇOIS devant moi et un garde suisse nous a donÂnĂ© 2 renÂÂdez-vous, nous posant 2 lapins, comme « Pape sans parole », dixit le garde suisse prĂ©Âsent Ă l’interphone porte Ste Anne.
Visionnez sur interÂnet : « SAINT GILLES ATTAQUE AU DRONE, LA LOI DU SILENCE », omerÂta de BERGOGLIO concerÂnant :
« VIVIEN DURIEUX ‚BOUCAN ATTENTAT MANQUE », https://youtu.be/2tUlAP835sA?t=7, vidĂ©o relaÂtant sur DIEGO GARCIA, le dĂ©tourÂneÂment du vol MH370 dont sont comÂplices de terÂroÂrisme, OBAMA, BIDEN, HOLLANDE, VALLS et MACRON, tous francs-maçons aux affaires menÂtant Ă M. Ghyslain WATTRELOS, sans nouÂvelles de sa femme et deux de leurs enfants, pasÂsaÂgers du MH370 dĂ©tourÂnĂ© le 08.03.2014 par Jacob de ROTHSCHILD, selon accuÂsaÂtion du Premier Ministre de Malaisie.
MACRON dans la gesÂtion de la COVID19 a Ă©tĂ© inforÂmĂ© que « l’Institut PASTEUR de PARIS est accuÂsĂ© de CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ » par le Pr Jean-Bernard FOURTILLAN, qui a Ă©crit Ă TRUMP, Ă MACRON et Ă POUTINE concerÂnant la COVID19, créé Ă PARIS par PASTEUR FRANCE.
LibĂ©rons immĂ©ÂdiaÂteÂment le Pr Jean-Bernard FOURTILLAN embasÂtillĂ© Ă la SantĂ© Ă PARIS depuis le 15.04.2021, menaÂcĂ© d’être interÂnĂ© en psyÂchiaÂtrie Ă Ste Anne, patronne des fous et des archiÂtectes. Visionnez le site : http://www.verite-covid19.fr
« Nous les frères Louis de CAROLI , aiglons JAMAIS vasÂsaux », notre devise de Christian et Vivien II de SAINT CHARLEMAGNE de SAINT LOUIS, comme tous derÂniers priÂÂmo-desÂÂcenÂÂdants de LOUIS I de CAROLI, dont je suis le sosie, nous sommes domiÂciÂliĂ©s Ă PARIS chez notre avoÂcate spĂ©ÂciaÂliste de terÂroÂrisme d’État du N.O.M :
Me Isabelle COUTANT-PEYRE :
215 BD SAINT GERMAIN 75007 PARIS
Téléphone : 01 42 22 84 95 Courriel : coutant.peyre@gmail.com
Je vouÂdrais Ă©mettre un bĂ©mol sur la dĂ©fiÂniÂtion de la RĂ©publique prĂ©ÂsenÂtĂ©e comme « notre bien le plus prĂ©cieux ».
Je crains qu’il n’y ait lĂ une erreur d’apÂprĂ©ÂciaÂtion dans la mesure oĂą la RĂ©publique n’est qu’une forme strucÂtuÂrelle de l’orÂgaÂniÂsaÂtion des pouÂvoirs publics dans une nation. Mais cette erreur vient du fait qu’il manque une prĂ©ÂciÂsion dans la dĂ©fiÂniÂtion prĂ©ÂcĂ©Âdente, Ă savoir celle de la dĂ©moÂcraÂtie : la dĂ©fiÂniÂtion est bonne, mais elle n’a en rĂ©aÂliÂtĂ© jamais exisÂtĂ© nulle part. Dans une cerÂtaine mesure, on peut dire qu’elle a un peu exisÂtĂ© penÂdant deux siècles Ă Athènes il y a ±2500 ans. En France, la rĂ©voÂluÂtion n’éÂtait en aucun cas une rĂ©voÂluÂtion popuÂlaire mais d’une cerÂtaine manière la preÂmière rĂ©voÂluÂtion de couÂleur tĂ©lĂ©ÂguiÂdĂ©e par une bourÂgeoiÂsie qui vouÂlait prendre la place du roi. Mais la popuÂlaÂtion n’a jamais eu le pouÂvoir de quoi que ce soit. On l’a bomÂbarÂdĂ© de « citoyens » mais en oubliant par exemple que dans une dĂ©moÂcraÂtie, c’est le citoyen qui dĂ©fiÂnit et vote les lois. AU lieu de cela, on nous a ponÂdu un oxyÂmore avec la « dĂ©moÂcraÂtie reprĂ©ÂsenÂtaÂtive » et nous affirÂmant que la grande conquĂŞte du citoyen est son droit de vote alors qu’en rĂ©aÂliÂtĂ© il ne vote pas mais Ă©lit celui qui va avoir le droit de vote.
Quant Ă la devise « LibertĂ© – ÉgalitĂ© – FraternitĂ© », ça vient des franc-maçons qui ont piloÂtĂ© la rĂ©voÂluÂtion franÂçaise. C’est de la dĂ©maÂgoÂgie, de la maniÂpuÂlaÂtion de gens peu insÂtruits leur laisÂsant croire Ă la rĂ©aÂliÂtĂ© d’une forÂmuÂlaÂtion qui n’est en fin de compte que du vent pour camÂpagne Ă©lectorale.
Les rĂ©voÂluÂtionÂnaires ont transÂfĂ©ÂrĂ© la foi reliÂgieuse dans le Roi, reprĂ©ÂsenÂtant de Dieu, vers la foi reliÂgieuse envers l’État, garant du bien commun.
Et comme Ă cheÂval donÂnĂ© on ne regarde pas les dents, en Ă©change de ce serÂvice de bien comÂmun offert par l’État et tomÂbĂ© du ciel, il a bien sur falÂlu abanÂdonÂner toute idĂ©e posÂsible de diviÂsion des resÂsources terÂrestres, auquel tout homme Ă©gal Ă ses semÂblables y aurait droit thĂ©oriquement.
Et pour se prĂ©ÂveÂnir de toute contesÂtaÂtion posÂsible sur ce nouÂvel Ă©tat des choses, on a invenÂtĂ© la dĂ©moÂcraÂtie reprĂ©ÂsenÂtaÂtive oĂą les citoyens seraient priÂvĂ©s de tout exerÂcice indiÂviÂduel de leur pouÂvoir politique.
Bien sĂ»r, on ne leur a pas demanÂdĂ© leur avis : leur vie et celle de leur famille sera dĂ©sorÂmais plaÂcĂ©e entre les mains d’éÂlus qui auront le pouÂvoir de dĂ©ciÂder d’abÂsoÂluÂment tout, que cela leur plaise ou non.
C’est cela la nouÂvelle notion de liberÂtĂ© humaine, selon les rĂ©voÂluÂtionÂnaires de 1789, et ensuite selon tous ceux qui ont contiÂnuĂ© leur Ĺ“uvre.
Article bien strucÂtuÂrĂ© et très « pĂ©daÂgoÂgique ». Mais pourÂquoi faire dĂ©marÂrer l’Histoire de France et du monde Ă la rĂ©puÂblique franÂçaise ?
N’y aurait-il rien eu avant ? Il y aura quelÂqueÂchose après.
C’est ce que nous montrent les Ă©vĂ©ÂneÂments actuels : nous vivons la fin d’un monde, mais d’un monde rĂ©puÂbliÂcain.
C’est bien notre forme de gouÂverÂneÂment rĂ©puÂbliÂcain qui est moriÂbond. Alors jetons le ! Tournons la page !
Il y a eu d’autres choses avant la RĂ©volution franÂçaise. Il y a mĂŞme eu d’autres rĂ©puÂbliques.
La fin d’un monde n’est pas la fin du monde.