La Covid19 et la fin de l’Histoire
Nos colonnes sont ouvertes à nos lectrices et lecteurs. L’un d’eux, Mazetto, nous fait parvenir cet article rigoureusement écrit et documenté qui a retenu l’attention de notre rédaction.
Nous le publions volontiers ci-dessous :
Introduction
Le concept de « la fin de l’Histoire » fut revisité en 1992 par Francis Fukuyama, pour avancer l’idée que la démocratie libérale, en s’universalisant, l’emporterait sur toutes les autres formes possibles de systèmes politiques, qui auraient été explorées par l’humanité à travers l’histoire. Selon lui, la fin de la guerre froide annonçait la victoire définitive et irréversible de la démocratie et serait le point oméga de l’évolution socio-culturelle de l’humanité.
On peut donc en déduire que ce qui aura contribué à faire advenir cette fin de l’histoire, c’est bien ce courant de pensée subversif, issu des loges maçonniques, qui se développa au cours du 18e siècle, pour constituer le ferment de toutes les révolutions politiques, culturelles, sociales et sociétales, de son origine à nos jours : le libéralisme.
Dans le contexte actuel, ce virus à « couronne », semble approprié pour symboliser à la fois le triomphe de cette idéologie diabolique, qui a pu si bien s’emparer de l’âme et de l’esprit des peuples, et ce terrorisme sanitaire, qui marque le basculement dans le monde d’après, où apparaît au grand jour la volonté des maîtres du discours de verrouiller définitivement les sociétés et leur histoire, avant de les acheminer vers la destination finale du libéralisme : le goulag global.
Fukuyama et les néo-conservateurs
Fukuyama, figure importante du néo-conservatisme américain, a été un membre actif du « Projet pour un nouveau siècle américain », dont les ambitions militaires, déclarées dans le document « Reconstruire les Défenses de l’Amérique », définissaient le leadership américain comme « à la fois bon pour l’Amérique et bon pour le monde ». Le terme, « néo-conservateur », est bien sûr un vocable fallacieux, qui escamote habilement toute relation visible au trotskisme, dont il est la continuation par d’autres moyens. Léo Strauss, le père spirituel du mouvement, était un Juif allemand, qui émigra aux États-Unis en 1937, et qui fut un grand admirateur de Machiavel, qui lui inspira son livre « Pensées sur Machiavel ». Un autre néo-conservateur notoire, Michael Ledeen, avait aussi une grande admiration pour ce philosophe, et dans la Revue Juive Mondiale de juin 1999, il écrivit un article intitulé « Ce que Machiavel (un juif secret?) apprit de Moïse », où l’on peut y lire « Écoutez sa philosophie politique et vous entendrez la musique juive. »(1)
La quête d’un Nouvel Ordre Mondial ou d’une Pax Judaica
Machiavel n’était peut-être pas juif, mais sa philosophie politique, où la fin justifie les moyens, semble bien résonner à l’unisson avec celle des communistes, des bolchéviques et des néo-conservateurs. Si l’on garde à l’esprit ce facteur « machiavélique » pour évaluer leurs actions, on se rend compte que les maîtres du discours ne commettent pas les erreurs, dont les accusent parfois leurs médias, en guise de justification de leurs stratégies cruelles et destructives pour les peuples, car ils ne manquent jamais de suivre scrupuleusement un plan mûrement réfléchi. Ne disent-ils pas dans le premier protocole : « Nous avons devant nous un plan sur lequel est tirée une ligne stratégique, dont nous ne pouvons nous écarter sans détruire l’œuvre de siècles entiers. » La finalité de leurs actions, en dépit des apparences, vise exclusivement au seul « bien commun » vers lequel ils tendent, génération après génération, et dont ils ne dévient jamais : l’unification du monde, ou la « Pax Judaica » imposée à la planète entière.
Cette citation, extraite du livre de Maurice Samuel « Vous les Gentils », exprime bien leur quête pour un monde qui serait à leur image : « Nous les Juifs, nous, les destructeurs, resterons les destructeurs pour toujours. Rien de ce que vous ferez ne répondra jamais à nos besoins et à nos exigences. Nous détruirons à jamais, parce que nous avons besoin d’un monde à nous, un monde-Dieu, qu’il n’est pas dans votre nature de construire. »(2)
En langage géopolitique, ce qu’exprime cet auteur, correspond à ce « Nouvel Ordre Mondial » auquel aspirent les sympathisants de la cabale mondialiste.
Que la secte sabbatéo-frankiste ait pris le contrôle de cette cabale, avec une volonté ou non de détruire le judaïsme et d’abolir la Torah, ne doit pas faire perdre de vue que les voix juives qui se sont élevées pour dénoncer ce complot contre la civilisation, sont restées bien rares, ce qui pourrait indiquer que le monde juif dans sa totalité serait à la merci de la secte.
L’autre possibilité serait que les références bibliques du projet existent et pourraient inciter le plus grand nombre à accorder son consentement tacite au projet.
Sources idéologiques et religieuses du Nouvel Ordre Mondial
Si nous remontons à sa source idéologique, la Torah, on y trouve bien la justification de ce suprémacisme juif, qui crée cette séparation fondatrice entre le peuple élu et les nations. En hébreu, le mot goyim (goy au singulier) se traduit par les nations ou les gentils. C’est ce qu’illustre bien Élie Benamozegh, ce rabbin kabbaliste de Livourne, dans le livre qu’il écrivit en 1885, « Israël et l’Humanité ».
Le titre, à lui seul, révèle le clivage entre le peuple élu et l’humanité, deux entités vues comme fondamentalement distinctes et où il propose la solution de religion universelle basée sur le judaïsme : le mosaïsme sacerdotal pour les Juifs, qui deviendraient le peuple « prêtre », et le noachisme laïc pour l’humanité (les Gentils).
Le noachisme est un judaïsme réduit à sa plus simple expression, sur la base des 7 lois de Noé. Celles-ci ont déjà été adoptées officiellement par les États-Unis. La loi publique américaine 102–14, signée en 1991(3) par George H. W. Bush stipule que « les sept lois noachides sont les valeurs éthiques de la société civilisée et sont la base sur laquelle la nation américaine a été fondée et que sans ces valeurs et principes éthiques, la société court le grave danger de retour au chaos ». Il est intéressant de noter que l’arc-en-ciel est aussi le symbole traditionnel du noachisme.(4)
La fin : le peuple prêtre et l’esclavage des nations.
Quant à la finalité du communisme ou du libéralisme, son image inversée, qui est d’asservir les nations et de capter la totalité des richesses des nations (goyim) au profit du peuple élu, elle est présente dans Isaïe et a déjà été pratiquement réalisée par le réseau mondial de banques centrales qui sont entre ses mains :
Isaïe 60 :
10- Les fils de l“étranger rebâtiront tes murailles, et leurs rois seront tes serviteurs ; car je t“ai frappée dans ma colère, mais, dans ma bienveillance, j’ai eu compassion de toi.
11- Tes portes seront toujours ouvertes ; jour et nuit, elles ne seront pas fermées, afin de laisser entrer chez toi les trésors des nations et leurs rois en cortège triomphal.
12- Car la nation et le royaume qui ne te serviront point périront ; ces nations-là seront entièrement détruites.
Isaïe 61 :
5- Les étrangers seront là pour paître vos troupeaux ; les fils de l“étranger seront vos laboureurs et vos vignerons.
6- Mais vous, on vous appellera prêtres de Yahweh ; on vous nommera « ministres de notre Dieu ». Vous mangerez les richesses des nations, et vous vous parerez de leur magnificence.
Les moyens : l’usure.
Pour ce qui est de l’asservissement des nations par la dette, l’usure à l’usage des Gentils est gravée dans le marbre éternel du Deutéronome et d’éminents et très respectés rabbins, comme Maïmonide, l’ont considérée comme mitzvah, c’est-à-dire à prendre comme un commandement. Ici vient à l’esprit la phrase de Lloyd Blankfein, alors PDG de Goldman Sachs, qui se définissait comme « juste un banquier faisant le travail de Dieu ».(5)
Deutéronome 15.6 :
Car Yahweh, ton Dieu, te bénira, comme il te l’a dit ; tu feras des prêts à beaucoup de nations, et toi tu n“emprunteras pas ; tu domineras sur beaucoup de nations, et elles ne domineront pas sur toi (traduction Augustin Crampon, version 1923).
Yahweh et le dieu unique
Dans la Torah, Yahweh, le dieu originel du peuple élu était bien un dieu tutélaire tribal, lui-même polythéiste, car sa jalousie envers les autres dieux, confirme bien qu’il croyait en leur existence. Dans son livre « Qui est Dieu ? » Jean Soler, montre que le monothéisme juif n’est apparu que vers le 7e siècle av. J.C. et cela, justement pour des raisons « stratégiques ». Tout le génie machiavélique (avant la lettre) du judaïsme aurait été de faire croire aux goyim — et d’entretenir cette confusion — que le dieu tribal Yahweh était aussi le Dieu unique universel, créateur du ciel et de la terre, mais que celui-ci aurait conservé l’ancienne préférence de Yahweh pour son peuple choisi, ce qui lui confère éternellement des droits spéciaux et exclusifs. Jean Soler affirme, en boutade, que Moïse et Abraham ne croyaient pas en « Dieu », puisqu’ils vénéraient seulement Yahweh, le dieu tribal et polythéiste juif(6).
La dimension religieuse du projet du Nouvel Ordre Mondial est la seule qui puisse justifier la nature même d’un projet multi-séculaire, et si l’on examine son histoire, on la trouve semée de guerres, de révolutions et d’atrocités innommables perpétrées au cours des siècles, dans la poursuite de cette utopie. Plus près de nous, on constate que la destruction culturo-marxiste de tout ce qui a fait la beauté de nos arts et de notre culture est telle, que l’on peut maintenant voir que l’action délétère du libéralisme est proche d’avoir réussi à vider notre civilisation de sa substance. Si l’on y ajoute cette tyrannie sanitaire, qui est en passe d’être imposée à tous les peuples de la terre, en vue de les priver à jamais de leurs libertés élémentaires, tout cela ne nous incite guère à conclure que cela se fait au nom du Dieu unique, bon et miséricordieux. La secte sabbatéo-frankiste, qui, de son côté, a sombré corps et âme dans l’inversion sataniste pour tenter d’atteindre le tréfonds même du mal, en invoquant une future rédemption messianique par ses péchés, ne semble pas non plus nous rapprocher de quelque chose que notre nature humaine tiendrait de son créateur.
Instauration du Nouvel Ordre Mondial par la démocratie
La démocratie libérale a été l’outil de choix pour permettre à une minorité de s’approprier les gouvernements. Déjà en 1918, dans son livre, « Le Déclin de l’Occident », Oswald Spengler définissait la démocratie comme étant « l’arme de l’argent ». Le corollaire, qui s’ensuit, est que celui détient l’argent possède le contrôle des démocraties. Comme l’argent est sous le contrôle absolu des usuriers internationaux et que les Gentils ne détiennent que la dette éternelle, cela faisait dire à Ezra Pound qu”« une démocratie est maintenant définie en Europe, comme un pays dirigé par les Juifs ».
Nous voyons donc que le concept de « Fin de l’Histoire », consécutif à l’universalisation de la démocratie libérale, a, en fait, pour base préalable, l’universalisation de la mise en esclavage des nations par l’usure. Souvenons-nous que lorsque Sarkozy et son éminence grise à chemise blanche s’appliquaient à détruire le pays du méchant dictateur libyen, une banque centrale « indépendante » avait été prestement mise en place, en toute première priorité, alors que la guerre faisait toujours rage et que Kadhafi était encore vivant.
On peut rappeler ici que le modèle très envié de démocratie directe qu’est la Suisse, constitue aussi le centre mondial de l’usure organisée à l’échelle planétaire. La BRI, basée à Bâle, la banque centrale des banques centrales, originellement fondée en 1930 par Montagu Norman, gouverneur de la banque d’Angleterre et Hjalmar Schacht, le président de la Reichsbank, est une sorte de petit État dans l’État, jouissant d’une immunité complète vis-à-vis de la loi suisse et elle est exemptée, ainsi que tous ses employés, de l’impôt cantonal ou fédéral. Curieusement, la Suisse abrite aussi à Genève le siège de l’OMS et GAVI, l’Alliance du Vaccin. Celle-ci bénéficie aussi, depuis 2009, d’une immunité vis-à-vis de la loi suisse et d’une exemption d’impôts. Rappelons que la vaccination obligatoire est un sujet, qui est apparu dans la plupart des législations des pays démocratiques, y compris la Suisse, après la première fausse pandémie de 2009.
Tous les outils nécessaires à la domination mondiale absolue sont donc concentrés sur le territoire suisse et s’il fallait une preuve supplémentaire que la « démocratie » est bien l’instrument de contrôle des peuples, la Suisse, ce bastion indomptable de la démocratie directe, a été « persuadée » en 1992 d’adhérer au FMI et a été tenue, ipso facto, d’abandonner la couverture or de sa monnaie pour accepter que le franc suisse devienne un simple dérivatif du pétro-dollar, comme toutes les autres monnaies fiduciaires. Le président actuel de la BNS, Thomas Jordan est un franc-maçon, tout comme l’était son prédécesseur Philipp Hildebrand et comme le sont généralement la plupart des directeurs de banque centrale du monde(7). La démocratie est donc bien la façade de la franc-maçonnerie, à l’usage des gentils usagers de la matrice.
L’idéal de la franc-maçonnerie est indissolublement lié à la symbolique et à la reconstruction du temple de Jérusalem. Comme la fin de l’histoire des Gentils approche à grands pas, la reconstruction du 3e temple et la reprise des holocaustes, en offrande à Yahweh, sont en préparation depuis déjà belle lurette. On peut même voir virtuellement à quoi ressemblera le nouveau temple(8). Mais, n’oublions pas qu’avant cette reconstruction, il y aura une démolition importante à effectuer, celle de la mosquée Al Aqsa, qui occupe actuellement l’espace du mont Moriah, où le nouveau temple devrait être érigé. Le concept du “Choc des civilisations” de Bernard Lewis tombe à point nommé, puisque la franc-maçonnerie contrôle les deux parties du conflit, ayant infiltré, au 19e siècle, tous les pays musulmans à travers les confréries soufies et, surtout, par sa manipulation du réformisme islamique, qui aboutit à la création de la Confrérie des Frères Musulmans, dont la vision mondialiste de l’Islam est l’outil adéquat pour la déstabilisation de l’Europe du « vivre ensemble » et le ferment du « choc » à venir. Al Qaeda, Al Nousra, l’État Islamique et toutes les mouvances salafistes sont des créations directes de cette confrérie. Le mouvement palestinien Hamas en est aussi issu et il constitue le dispositif efficace de division et de neutralisation de la résistance palestinienne.
Covid-19 : la fin de l’histoire
Le covid-19 est annonciateur de la fin de l’Histoire en ceci, qu’il nous fait entrevoir que bientôt le libéralisme aura accompli l’œuvre pour laquelle il a été conçu, c’est-à-dire conquérir les nations et leurs richesses et provoquer l’avènement de l’ère messianique tant attendue. Tout imprégné de liberté qu’il fût, le libéralisme n’a jamais été que le piège satanique, patiemment mis en œuvre par des esprits machiavéliques, pour conduire les Gentils là où ils ne seront plus les acteurs de leur histoire, mais où ils seront assujettis à un esclavage à jamais figé, la vision orwellienne d’une botte écrasant un visage humain. Tous les outils technologiques semblent avoir été développés pour que cette prophétie diabolique se réalise : la vaccination avec implant d’identification numérique sera le point de non-retour à la liberté pour tous les peuples de la terre.
Conclusion : Babel 2.0
La pièce n’est pas encore jouée, car la prise de conscience s’accélère. Les peuples s’éveillent et les grands rassemblements populaires redonnent espoir. Dans le désordre de cette mascarade générale imposée, la matrice commence à avoir du mal à tisser la trame d’une histoire cohérente, maintenant que les maîtres du discours ont dû révéler suffisamment d’indices concernant leurs intentions réelles. Les contorsions de la propagande médiatique commencent à être insuffisantes pour conserver un semblant de logique, crédible au plus grand nombre, qui est la force des peuples. Le livre que Pierre Hillard écrivit en 2007, « La Marche irrésistible du Nouvel Ordre Mondial », comportait un sous-titre : « Destination Babel ». Ce symbole(9) de l’hubris par excellence est aussi celui du parlement de l’Union Européenne(10) qui a été voulue comme le premier bloc supra-national du Nouvel Ordre Mondial, destiné à s’associer plus tard aux autres blocs en voie de création. Avoir pris pour symbole celui d’un projet, que Dieu, lui-même a fait échouer, est sans doute inspiré par quelqu’un qui a une revanche à prendre sur Dieu. Cela ne semble pas augurer d’une fin heureuse. Le projet mondialiste sera vraisemblablement voué au même sort que la Tour de Babel.
Mazetto
(1) http://www.jewishworldreview.com/0699/machiavelli1.asp
(2) https://archive.org/details/yougentiles00samurich/page/155
(3) https://www.thetruthseeker.co.uk/?p=127852
(4) https://fr.wikipedia.org/wiki/Nohaisme
(5) https://dealbook.nytimes.com/2009/11/09/goldman-chief-says-he-is-just-doing-gods-work/
(6) https://b‑ok.cc/book/3268521/2efcab
https://www.amazon.it/Massoni-responsabilit%C3%A0-illimitata-scoperta-Ur-Lodges/dp/886190159X
(8) https://www.hidabroot.com/what-will-the-third-temple-look-like-watch-amazing-simulation/
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_Babel
(10) http://www.suesterling.com/blog/wp-content/uploads/2012/08/European-Parliament-building-in-Strasbourg-France.-17.07.12.jpg
Bon, c’est clair. Merci pour cette synthèse !
Remarquable synthèse !
Merci Mazetto.