Quelle guerre civile voyez-vous venir ?

10 mars 2021 | 10 Commentaires 

En 2016, Ivan Rioufol, le chro­ni­queur du Figaro, publiait : « La guerre civile qui vient » (Ed. Pierre Guillaume de Roux).

Ivan Rioufol Ivan Rioufol - La guerre civile qui vient

Depuis lors, deux autres ouvrages sur le même thème sont parus :
La guerre civile raciale de Guillaume Faye et La guerre civile qui monte de Franck Buleux

Le pre­mier titre, La guerre civile raciale, est un brin pro­vo­ca­teur pour par­ler ouver­te­ment du pro­blème racial dans le monde blanc, celui qu’on feint de ne pas voir et que nos gou­ver­ne­ments nous inter­disent de nommer.

Guillaume Faye, excellent théo­ri­cien de l’archéo­fu­tu­risme, décé­dé le jour de la paru­tion du livre, l’a dédi­ca­cé comme une ultime pro­vo­ca­tion, à l’a­mé­ri­cain Jared Taylor, natio­na­liste blanc par­ti­san de l’exis­tence des races sur le plan bio­lo­gique et scien­ti­fique, et convain­cu que les Blancs et les Noirs ont des dis­po­si­tions en moyenne dif­fé­rentes. Fort de ce constat, il prône, non pas une domi­na­tion blanche sur la popu­la­tion noire, mais une coha­bi­ta­tion sépa­rée.
Le pro­blème, selon Faye, n’est pas idéo­lo­gique, ni même reli­gieux, mais anthro­po­lo­gique. Pour lui en effet, la guerre qui s’an­nonce oppo­se­ra des peuples qui n’ont rien à se dire et qui n’au­raient jamais dû coha­bi­ter.
Lors de conflit, la sen­tence est simple et tient en trois hypo­thèses :
• la sou­mis­sion, si face aux enva­his­seurs , les Français ne se défendent pas…
• la défaite des autoch­tones fran­çais et autres euro­péens ayant contre eux leur propre État, ou …
• la vic­toire, avec des consé­quences his­to­riques incal­cu­lables, dont l’ef­fon­dre­ment de nos para­digmes politiques.

Guillaume Faye Guillaume Faye - Guerre civile raciale

Malgré un titre élo­quent, Faye ne parle pour­tant pra­ti­que­ment que de l’Islam dans son ouvrage. La ques­tion pure­ment raciale n’y est que par­tiel­le­ment abor­dée, en citant notam­ment les tra­vaux de Bernard Lugan, l’a­fri­ca­niste répu­té. Il faut dire à sa décharge, qu’à l’é­poque, le mou­ve­ment Black Lives Matter n’a­vait pas explo­sé à la face du globe comme il l’a fait ces deux der­nières années. Cela aurait peut-être flé­chi sa façon de voir les choses…

Cette paren­thèse refer­mée, le pro­blème de l’is­lam est fon­da­men­ta­le­ment dis­sé­qué, depuis les mou­ve­ments sala­fistes, le CCIF, les dji­ha­distes, et toutes les inter-connexions entre eux, y com­pris leurs sou­tiens logis­tiques ou intel­lec­tuels dans la socié­té fran­çaise. Il n’é­pargne pas les Plenel, Morin, Todd ou Hamonni, ni les gou­ver­ne­ments suc­ces­sifs, res­pon­sables et cou­pables à ses yeux (il en pro­fite éga­le­ment pour régler un petit compte per­son­nel avec Alain de Benoist, mais c’est une autre his­toire…). Aujourd’hui, il serait ravi de voir créé le terme « isla­mo-gau­chisme » que sans savoir il a décrit par­fai­te­ment avant l’heure.

Sa conclu­sion est à la fois pes­si­miste et pro­phé­tique. Faisant un état des lieux de la France en 2020, il per­çoit la défaite au bout de cette guerre raciale qu’il juge iné­luc­table… à moins que, para­phra­sant Renaud Camus, pour évi­ter le « Grand rem­pla­ce­ment », la France pro­cède aupa­ra­vant à une « remi­gra­tion » en bonne et due forme. Nous voi­là prévenus.

Franck Buleux, uni­ver­si­taire nor­mand spé­cia­li­sé dans la cri­mi­no­lo­gie, nous pro­pose un titre très proche, « La guerre sociale qui vient » pour un ouvrage très différent.

Franck Buleux Franck Buleux - La guerre sociale qui vient

Ouvrage dif­fé­rent, parce que si l’ou­vrage de Guillaume Faye abor­dait clai­re­ment une guerre à venir, celui-ci, mal­gré son titre pes­si­miste, pré­sente plu­tôt un his­to­rique de tous les mou­ve­ments vio­lents de la gauche sociale et radi­cale, ain­si que l’a­dap­ta­tion de ces mou­ve­ments à la vie sociale fran­çaise, depuis les années 60, notam­ment après ce que l’on nomme « la mon­dia­li­sa­tion ».
Si, à l’o­ri­gine, ces mou­ve­ments d’ex­trême gauche avaient tous une orien­ta­tion selon une concep­tion éco­no­mique mar­xiste, issue du trots­kisme pour la plu­part, aujourd’­hui, c’est une vague nébu­leuse anti-tout, un fourre-tout idéo­lo­gique, sans ligne direc­trice pré­cise qui est à la manœuvre. De l’an­ti­fas­cisme (mais où est le fas­cisme en 2021?), à Black Lives Matter, en pas­sant par les lut­teuses fémi­nistes et gen­rées, ou l’i­né­nar­rable anti­ra­cisme, sans oublier la condi­tion ani­male et les sans-papiers !
Plus rien à voir donc avec les groupes comme Action Directe, les Brigades Rouges, qui sont tou­jours res­tés à l’é­cart et d’une indé­pen­dance sans faille, n’ayant tou­jours que des objec­tifs ciblés comme le géné­ral Audran ou Georges Besse, le patron de Renault.
Différents aus­si des groupes ter­ro­ristes pales­ti­niens ou arabes qui ont sévi dans les années 70 (rue des Rosiers, rue Copernic, Métro St Michel), qui à chaque fois éta­blis­saient bien leurs cibles en focn­tion de cri­tères stric­te­ment poli­tiques, même si par­fois, des vic­times « fran­çaises inno­centes » (petit tacle de l’au­teur à la cita­tion de Raymond Barre) venaient gros­sir la liste des dom­mages collatéraux.

Aujourd’hui les luttes de ces der­niers mou­ve­ments convergent vers le rejet de toute oppres­sion, toute agres­sion et pres­sion, insulte ou atti­tude vio­lente, comme l’é­cri­vait Stéphane Hessel dans « Indignez-vous » un petit essai paru en 2010 et lar­ge­ment relayé par tous les médias… pré­lude pré­sa­geant des mou­ve­ments de luttes actuelles, qui ne puisent plus depuis long­temps leur théo­rie chez Marx ou Trotski.

Origine éga­le­ment chez les Verts, mou­ve­ment poreux, sol­li­ci­té élec­to­ra­le­ment et qui en a pro­fi­té pen­dant des années pour s’in­fil­trer dans la vie élec­to­rale et se fon­der une sorte de vir­gi­ni­té vis à vis du terrorisme.

Les grands forums éco­no­miques annuels (Davos, G8, G20…) sont pré­textes à de vio­lents affron­te­ments entre des groupes de type Black Blocs et notam­ment les forces de police, sym­boles de « l’op­pres­sion » citée plus haut. On retrouve ces groupes en masse pour dis­cré­di­ter éga­le­ment les mani­fes­ta­tions plus paci­fiques qu’elles infiltrent, comme par exemple les Gilets Jaunes. Le chaos est leur seul mot d’ordre, leur « lutte finale » en quelque sorte. Mais ces groupes sont bien orga­ni­sés, bien ordon­nés, et de nom­breux mou­ve­ments de jeunes natio­na­listes pour­raient y prendre exemple…

Franck Buleux nous met en garde contre cette guerre sociale qui semble venir. Le pays a les moyens de lut­ter, s’il en a le désir, mais il ne semble pas vrai­ment sou­cieux de le mon­trer ! L’auteur apporte tou­te­fois une lueur d’es­pé­rance : les forces de police et le ren­sei­gne­ment (bien que le signal don­né par le gou­ver­ne­ment ne soit pas encou­ra­geant), mais sur­tout l’é­veil des popu­la­tions par une ré-infor­ma­tion dénon­çant ces luttes idéo­lo­giques comme illé­gi­times et irres­pon­sables sont, pour lui, les clés pour évi­ter cette guerre sociale qui vient…

Nous y œuvrons à Nice Provence Info.

Patrice LEMAÎTRE

« La guerre civile raciale » de Guillaume Faye (2019, Ed. Conversano)
« La guerre sociale qui vient » de Franck Buleux (2021, Ed. Dualpha)

10 Commentaires 

  1. Entièrement d’ac­cord avec Patrick Tiso. J’ajoute qu’à une autre époque Macron aurait été fusillé comme traitre à la patrie.

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  2. La guerre nous devons la mener contre les lar­bins de la banque et le fran­çais Crémieusiné (décret Isaac Crémieux) le vilain Eric Zemmour « algé­rien » deve­nu raciste contre ceux qui ont accueilli sa dia­spo­ra.
    Ils ont tout pré­pa­ré pour que cela se passe ain­si par le chaos arme abso­lue de nos colo­ni­sa­teurs cos­mo­po­lites. Une petite mino­ri­té de racailles en perte de vitesse et le boum-rang leur sera fatal. Ce Zemmour et consorts haïssent la HAINE !
    Nous exi­geons l’a­mour, le par­tage et la justice.

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    • Au nom de la liber­té d’ex­pres­sion, per­met­tez moi de vous pré­ci­ser que les choses ne sont pas telles que vous les pré­sen­tez.
      Eric Zemmour porte le nom d’une tri­bu ber­bère, dont le fief se situe au Maroc actuel.
      On peut donc ima­gi­ner que les ancêtres d’Eric Zemmour sont ins­tal­lés en Afrique du Nord bien avant que l’Algérie n »existe et que cette terre soit musul­mane.
      Comment, à quelle époque, les ancêtres d’Eric Zemmour, ber­bères donc, se sont-ils conver­tis au judaïsme ? Il fau­drait lui deman­der, s’il le sait.
      Mais jamais les musul­mans issus de la pénin­sule ara­bique et conqué­rants de l’Afrique du Nord, qu’ils ont conver­tie à l’is­lam par le sabre, n’ont accueilli la dia­spo­ra juive, parce que celle-ci les a pré­cé­dés !
      Il est même pro­bable que les ancêtres ber­bères d’Eric Zemmour aient choi­si le judaïsme pour ne pas se sou­mettre à l’islam.
      Les musul­mans ont bri­mé les juifs en Afrique du Nord et c’est la rai­son pour laquelle au moment de l’in­dé­pen­dance, les juifs d’Afrique du Nord ont quit­té la terre de leurs ancêtres pour rejoindre la métro­pole avec les pieds-noirs.
      On peut même se deman­der pour­quoi les musul­mans d’Afrique du Nord quittent à pré­sent leur pays « libé­ré » pour s’ins­tal­ler en France, puis­sance colonisatrice.

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    • La LIBERTÉ D’EXPRESSION, ce n’est pas dire importe quoi comme vous le faites allè­gre­ment sous la pul­sion d’un anti­sé­mi­tisme pri­maire qui trans­pire à cha­cune de vos phrases.
      Daniel Serfati a très bien remis les choses à leur juste place. Lisez-le et instruisez-vous !!!

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    • @Daniel Serfati et jack­no­bo­dy,
      Messieurs SVP cal­mez vous et pas de bêtises, mer­ci.
      Beaucoup d’entre vous ne connaissent même pas l’his­toire de leur pays. Dommage.
      Savez vous au moins qu’une grande reine kabyle, KAHINA la magni­fique, se bat­tit contre les pre­miers musul­mans. Aucun d’af­fir­mer qu’elle fut juive ou chré­tienne ? le mys­tère n’a pas été réso­lu puisque — n’en déplaise à cer­tains — les deux com­mu­nau­tés vivaient en bonne intel­li­gence, gloire et grâce à DIEU.
      Donc redes­cen­dons 350 ans en arrière et per­met­tez moi de vous dire et aucun his­to­rien ne peut le contes­ter LE PLUS GRAND DES KABYLES, ou AMAZIGH ou BERBÈRE, fut, excu­sez du peu, le Grand SAINT AUGUSTIN, né le 13 novembre 354 à Thagaste, l’ac­tuelle Souk Ahras, Algérie. Ce saint homme écri­vit des textes aus­si puis­sants que l’Ancien et Nouveau Testament sur tout ce qui concerne et le Divin et la vie sous toutes ses formes com­por­te­men­tales pour ses frères humains. Vers 300 après Jésus-Christ, il vint même en par­tie conver­tir ce qui se pré­pa­rait à deve­nir la France de Clovis, la Gaule et par­tit ensuite pour Rome.
      Ce fut une époque où Tunisie, Maroc, et ce qui ne s’ap­pe­lait pas encore l’Algérie qui n’é­tait qu’un désert vide à part les Kabyles leurs habi­tants NON SÉMITES, pas grave. Ces pays abri­taient les deux com­mu­nau­tés dont envi­ron 70% de chré­tiens et 30% ou plus de juifs et il ne faut sur­tout pas oublier que les juifs d’Afrique du Nord étaient les véri­tables des­cen­dants du patriarche Habram et de la lignée de David. Bizarrement, à l’é­poque, la plu­part des 2 com­mu­nau­tés étaient faites de conver­tis kabyles ou chré­tiens ou juifs d’où très sûre­ment des­cend Eric Zemmour. Il n’exis­tait sûre­ment pas à cette époque de concur­rence de conver­sion entre les deux com­mu­nau­tés et cha­cun optait pour sa pré­fé­rence.
      La chien­lit arri­va lors de l’ar­ri­vée féroce de l’is­lam divi­seur. Le pro­blème fut réglé par l’en­va­his­seur selon lequel c’est ou la tête tran­chée ou la conver­sion for­cée.
      Si l’on reprend l’é­poque des 300 ans après J.C, et mal­heu­reu­se­ment le sec­ta­risme fout tout en l’air, les des­cen­dants des Kabyles de l’é­poque ne subi­raient aucun apos­tat entre juif et chré­tien sur un chan­ge­ment de reli­gion même actuel­le­ment. Trop de liens 2 fois mil­lé­naires n’en déplaise à cer­tains, unissent ces deux com­mu­nau­tés. C’est d’ailleurs pour cela que notre Seigneur Jésus-Christ avant l’heure lors de la reli­gion mixte qu’il créa — n’en déplaise cer­tains — annon­ça tout sim­ple­ment que qui­conque se ferait bap­ti­ser en son nom serait cir­con­cis de l’es­prit qui fut une sen­tence lan­cée au monde de ce qui devint le chris­tia­nisme actuel, pas la reli­gion prê­chée par l’é­vêque rené­gat François qui habite à Rome.

      Ne confon­dons pas le monde chré­­tien-juif d’Afrique du Nord et l’af­faire des Khazars du nord de l’Europe. Voir Arthur Kessler (les Khazars), deux peuples qui veulent la même appel­la­tion, dont l’un est sémite et l’autre pas. Mystère des mystères… 

      Arrêtez éga­le­ment de par­ler de colo­ni­sa­tion.
      Il fau­drait remettre les choses à leur place en ce qui concerne la colo­ni­sa­tion. Que man­ge­raient les peuples saha­riens en 2021 sans l’é­du­ca­tion de ces popu­la­tions ? Il y a eu assez de famines par les temps pas­sés. Et main­te­nant avec leur sur­po­pu­la­tion démente ? Simplifions à l’extrême : vous les faux-culs et autres cri­tiques sur la colo­ni­sa­tion, accep­te­riez vous de consom­mer des crottes de chèvre pour ne pas mou­rir de faim ? Qu’en pen­sez vous ?
      Cordialement…

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    • Réponse à Claude Germain :
      Il est vrai que les com­mu­nau­tés chré­tienne et juive d’Afrique du Nord ont coha­bi­té serei­ne­ment pen­dant des siècles. Les ten­sions sont arri­vées avec les conqué­rants ara­­bo-musul­­mans. Vous avez tout à fait rai­son de le rap­pe­ler.
      Mais là où vous vous éloi­gnez de l’Histoire, c’est lorsque vous par­lez de « reli­gion mixte » pour le chris­tia­nisme. Le chris­tia­nisme est né dans l’op­po­si­tion à la reli­gion hébraïque, détour­née des dix com­man­de­ments par un cler­gé cupide. C’est le cler­gé juif qui a fait condam­ner le Christ. Ce cler­gé porte à jamais le poids de ce déi­cide.
      Les choses iront mieux entre chré­tiens et juifs lorsque ces der­niers recon­nai­tront leur res­pon­sa­bi­li­té dans cette condam­na­tion à mort.
      Sait-on jamais ?
      Cordialement,

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  3. L’administration en France a fait bar­rage à toute immi­gra­tion venant des pays de l’est, les nom­breux témoi­gnages de Polonais, de Tchèques, de Hongrois, etc… qui sou­hai­taient obte­nir la natio­na­li­té fran­çaise et qui n’ont pas pu l’ob­te­nir sont très nom­breux
    Les pays sous-déve­­lop­­pés furent le choix des gou­ver­ne­ments parce qu’ils étaient beau­coup plus mani­pu­lables, mais mal­heu­reu­se­ment inas­si­mi­lables de par leur concep­tion men­tale d’un autre âge. Ils détrui­ront néces­sai­re­ment à un moment don­né toute les struc­tures des socié­tés euro­péennes, car il sem­ble­rait que leur rôle soit réduit uni­que­ment à cela.

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  4. Bien enten­du nous irons vers une guerre civile que pré­pare allè­gre­ment Macron par ses mul­tiples pro­vo­ca­tions, le pou­voir cible cer­taines per­sonnes et d’autres pas pour divi­ser, un public non éveillé nous amè­ne­ra à la catas­trophe, il fau­dra réagir coûte que coûte.

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  5. Depuis une géné­ra­tion les Français sont dégen­rés, LGBTifiés, dévi­ri­li­sés, décul­tu­rés, lobo­to­mi­sés, mel­ting­po­tés.
    Non pas par l’en­va­his­seur, mais par les traitres bien fran­çais qu’on com­mence, enfin, à nom­mer : les isla­mo­gau­chistes.
    Avec la dis­pa­ri­tion du ser­vice mili­taire, ils ne savent plus ce qu’est une arme à feu. Ils ne sont plus bons qu’à allu­mer des bou­gies et bran­dir des nou­nours.
    La guerre civile à venir risque fort de se trans­for­mer en un grand mas­sacre.
    À moins qu’une géné­ra­tion spon­ta­née d’i­den­ti­taires euro­péens choi­sisse la guerre.
    Vous avez eu à choi­sir entre la guerre et le déshon­neur, vous avez choi­si le déshon­neur, vous aurez la guerre. (W. Churchill)

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  6. J’ai tou­jours sui­vi Guillaume et par­ti­cu­liè­re­ment pen­dant nos uni­ver­si­tés d’é­té depuis 1977 à nos jour avec son der­nier livre.

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