Quelle guerre civile voyez-vous venir ?
En 2016, Ivan Rioufol, le chroniqueur du Figaro, publiait : « La guerre civile qui vient » (Ed. Pierre Guillaume de Roux).
Depuis lors, deux autres ouvrages sur le même thème sont parus :
La guerre civile raciale de Guillaume Faye et La guerre civile qui monte de Franck Buleux
Le premier titre, La guerre civile raciale, est un brin provocateur pour parler ouvertement du problème racial dans le monde blanc, celui qu’on feint de ne pas voir et que nos gouvernements nous interdisent de nommer.
Guillaume Faye, excellent théoricien de l’archéofuturisme, décédé le jour de la parution du livre, l’a dédicacé comme une ultime provocation, à l’américain Jared Taylor, nationaliste blanc partisan de l’existence des races sur le plan biologique et scientifique, et convaincu que les Blancs et les Noirs ont des dispositions en moyenne différentes. Fort de ce constat, il prône, non pas une domination blanche sur la population noire, mais une cohabitation séparée.
Le problème, selon Faye, n’est pas idéologique, ni même religieux, mais anthropologique. Pour lui en effet, la guerre qui s’annonce opposera des peuples qui n’ont rien à se dire et qui n’auraient jamais dû cohabiter.
Lors de conflit, la sentence est simple et tient en trois hypothèses :
• la soumission, si face aux envahisseurs , les Français ne se défendent pas…
• la défaite des autochtones français et autres européens ayant contre eux leur propre État, ou …
• la victoire, avec des conséquences historiques incalculables, dont l’effondrement de nos paradigmes politiques.
Malgré un titre éloquent, Faye ne parle pourtant pratiquement que de l’Islam dans son ouvrage. La question purement raciale n’y est que partiellement abordée, en citant notamment les travaux de Bernard Lugan, l’africaniste réputé. Il faut dire à sa décharge, qu’à l’époque, le mouvement Black Lives Matter n’avait pas explosé à la face du globe comme il l’a fait ces deux dernières années. Cela aurait peut-être fléchi sa façon de voir les choses…
Cette parenthèse refermée, le problème de l’islam est fondamentalement disséqué, depuis les mouvements salafistes, le CCIF, les djihadistes, et toutes les inter-connexions entre eux, y compris leurs soutiens logistiques ou intellectuels dans la société française. Il n’épargne pas les Plenel, Morin, Todd ou Hamonni, ni les gouvernements successifs, responsables et coupables à ses yeux (il en profite également pour régler un petit compte personnel avec Alain de Benoist, mais c’est une autre histoire…). Aujourd’hui, il serait ravi de voir créé le terme « islamo-gauchisme » que sans savoir il a décrit parfaitement avant l’heure.
Sa conclusion est à la fois pessimiste et prophétique. Faisant un état des lieux de la France en 2020, il perçoit la défaite au bout de cette guerre raciale qu’il juge inéluctable… à moins que, paraphrasant Renaud Camus, pour éviter le « Grand remplacement », la France procède auparavant à une « remigration » en bonne et due forme. Nous voilà prévenus.
Franck Buleux, universitaire normand spécialisé dans la criminologie, nous propose un titre très proche, « La guerre sociale qui vient » pour un ouvrage très différent.
Ouvrage différent, parce que si l’ouvrage de Guillaume Faye abordait clairement une guerre à venir, celui-ci, malgré son titre pessimiste, présente plutôt un historique de tous les mouvements violents de la gauche sociale et radicale, ainsi que l’adaptation de ces mouvements à la vie sociale française, depuis les années 60, notamment après ce que l’on nomme « la mondialisation ».
Si, à l’origine, ces mouvements d’extrême gauche avaient tous une orientation selon une conception économique marxiste, issue du trotskisme pour la plupart, aujourd’hui, c’est une vague nébuleuse anti-tout, un fourre-tout idéologique, sans ligne directrice précise qui est à la manœuvre. De l’antifascisme (mais où est le fascisme en 2021?), à Black Lives Matter, en passant par les lutteuses féministes et genrées, ou l’inénarrable antiracisme, sans oublier la condition animale et les sans-papiers !
Plus rien à voir donc avec les groupes comme Action Directe, les Brigades Rouges, qui sont toujours restés à l’écart et d’une indépendance sans faille, n’ayant toujours que des objectifs ciblés comme le général Audran ou Georges Besse, le patron de Renault.
Différents aussi des groupes terroristes palestiniens ou arabes qui ont sévi dans les années 70 (rue des Rosiers, rue Copernic, Métro St Michel), qui à chaque fois établissaient bien leurs cibles en focntion de critères strictement politiques, même si parfois, des victimes « françaises innocentes » (petit tacle de l’auteur à la citation de Raymond Barre) venaient grossir la liste des dommages collatéraux.
Aujourd’hui les luttes de ces derniers mouvements convergent vers le rejet de toute oppression, toute agression et pression, insulte ou attitude violente, comme l’écrivait Stéphane Hessel dans « Indignez-vous » un petit essai paru en 2010 et largement relayé par tous les médias… prélude présageant des mouvements de luttes actuelles, qui ne puisent plus depuis longtemps leur théorie chez Marx ou Trotski.
Origine également chez les Verts, mouvement poreux, sollicité électoralement et qui en a profité pendant des années pour s’infiltrer dans la vie électorale et se fonder une sorte de virginité vis à vis du terrorisme.
Les grands forums économiques annuels (Davos, G8, G20…) sont prétextes à de violents affrontements entre des groupes de type Black Blocs et notamment les forces de police, symboles de « l’oppression » citée plus haut. On retrouve ces groupes en masse pour discréditer également les manifestations plus pacifiques qu’elles infiltrent, comme par exemple les Gilets Jaunes. Le chaos est leur seul mot d’ordre, leur « lutte finale » en quelque sorte. Mais ces groupes sont bien organisés, bien ordonnés, et de nombreux mouvements de jeunes nationalistes pourraient y prendre exemple…
Franck Buleux nous met en garde contre cette guerre sociale qui semble venir. Le pays a les moyens de lutter, s’il en a le désir, mais il ne semble pas vraiment soucieux de le montrer ! L’auteur apporte toutefois une lueur d’espérance : les forces de police et le renseignement (bien que le signal donné par le gouvernement ne soit pas encourageant), mais surtout l’éveil des populations par une ré-information dénonçant ces luttes idéologiques comme illégitimes et irresponsables sont, pour lui, les clés pour éviter cette guerre sociale qui vient…
Nous y œuvrons à Nice Provence Info.
Patrice LEMAÎTRE
« La guerre civile raciale » de Guillaume Faye (2019, Ed. Conversano)
« La guerre sociale qui vient » de Franck Buleux (2021, Ed. Dualpha)
Entièrement d’accord avec Patrick Tiso. J’ajoute qu’à une autre époque Macron aurait été fusillé comme traitre à la patrie.
La guerre nous devons la mener contre les larbins de la banque et le français Crémieusiné (décret Isaac Crémieux) le vilain Eric Zemmour « algérien » devenu raciste contre ceux qui ont accueilli sa diaspora.
Ils ont tout préparé pour que cela se passe ainsi par le chaos arme absolue de nos colonisateurs cosmopolites. Une petite minorité de racailles en perte de vitesse et le boum-rang leur sera fatal. Ce Zemmour et consorts haïssent la HAINE !
Nous exigeons l’amour, le partage et la justice.
Au nom de la liberté d’expression, permettez moi de vous préciser que les choses ne sont pas telles que vous les présentez.
Eric Zemmour porte le nom d’une tribu berbère, dont le fief se situe au Maroc actuel.
On peut donc imaginer que les ancêtres d’Eric Zemmour sont installés en Afrique du Nord bien avant que l’Algérie n »existe et que cette terre soit musulmane.
Comment, à quelle époque, les ancêtres d’Eric Zemmour, berbères donc, se sont-ils convertis au judaïsme ? Il faudrait lui demander, s’il le sait.
Mais jamais les musulmans issus de la péninsule arabique et conquérants de l’Afrique du Nord, qu’ils ont convertie à l’islam par le sabre, n’ont accueilli la diaspora juive, parce que celle-ci les a précédés !
Il est même probable que les ancêtres berbères d’Eric Zemmour aient choisi le judaïsme pour ne pas se soumettre à l’islam.
Les musulmans ont brimé les juifs en Afrique du Nord et c’est la raison pour laquelle au moment de l’indépendance, les juifs d’Afrique du Nord ont quitté la terre de leurs ancêtres pour rejoindre la métropole avec les pieds-noirs.
On peut même se demander pourquoi les musulmans d’Afrique du Nord quittent à présent leur pays « libéré » pour s’installer en France, puissance colonisatrice.
La LIBERTÉ D’EXPRESSION, ce n’est pas dire importe quoi comme vous le faites allègrement sous la pulsion d’un antisémitisme primaire qui transpire à chacune de vos phrases.
Daniel Serfati a très bien remis les choses à leur juste place. Lisez-le et instruisez-vous !!!
@Daniel Serfati et jacknobody,
Messieurs SVP calmez vous et pas de bêtises, merci.
Beaucoup d’entre vous ne connaissent même pas l’histoire de leur pays. Dommage.
Savez vous au moins qu’une grande reine kabyle, KAHINA la magnifique, se battit contre les premiers musulmans. Aucun d’affirmer qu’elle fut juive ou chrétienne ? le mystère n’a pas été résolu puisque — n’en déplaise à certains — les deux communautés vivaient en bonne intelligence, gloire et grâce à DIEU.
Donc redescendons 350 ans en arrière et permettez moi de vous dire et aucun historien ne peut le contester LE PLUS GRAND DES KABYLES, ou AMAZIGH ou BERBÈRE, fut, excusez du peu, le Grand SAINT AUGUSTIN, né le 13 novembre 354 à Thagaste, l’actuelle Souk Ahras, Algérie. Ce saint homme écrivit des textes aussi puissants que l’Ancien et Nouveau Testament sur tout ce qui concerne et le Divin et la vie sous toutes ses formes comportementales pour ses frères humains. Vers 300 après Jésus-Christ, il vint même en partie convertir ce qui se préparait à devenir la France de Clovis, la Gaule et partit ensuite pour Rome.
Ce fut une époque où Tunisie, Maroc, et ce qui ne s’appelait pas encore l’Algérie qui n’était qu’un désert vide à part les Kabyles leurs habitants NON SÉMITES, pas grave. Ces pays abritaient les deux communautés dont environ 70% de chrétiens et 30% ou plus de juifs et il ne faut surtout pas oublier que les juifs d’Afrique du Nord étaient les véritables descendants du patriarche Habram et de la lignée de David. Bizarrement, à l’époque, la plupart des 2 communautés étaient faites de convertis kabyles ou chrétiens ou juifs d’où très sûrement descend Eric Zemmour. Il n’existait sûrement pas à cette époque de concurrence de conversion entre les deux communautés et chacun optait pour sa préférence.
La chienlit arriva lors de l’arrivée féroce de l’islam diviseur. Le problème fut réglé par l’envahisseur selon lequel c’est ou la tête tranchée ou la conversion forcée.
Si l’on reprend l’époque des 300 ans après J.C, et malheureusement le sectarisme fout tout en l’air, les descendants des Kabyles de l’époque ne subiraient aucun apostat entre juif et chrétien sur un changement de religion même actuellement. Trop de liens 2 fois millénaires n’en déplaise à certains, unissent ces deux communautés. C’est d’ailleurs pour cela que notre Seigneur Jésus-Christ avant l’heure lors de la religion mixte qu’il créa — n’en déplaise certains — annonça tout simplement que quiconque se ferait baptiser en son nom serait circoncis de l’esprit qui fut une sentence lancée au monde de ce qui devint le christianisme actuel, pas la religion prêchée par l’évêque renégat François qui habite à Rome.
Ne confondons pas le monde chrétien-juif d’Afrique du Nord et l’affaire des Khazars du nord de l’Europe. Voir Arthur Kessler (les Khazars), deux peuples qui veulent la même appellation, dont l’un est sémite et l’autre pas. Mystère des mystères…
Arrêtez également de parler de colonisation.
Il faudrait remettre les choses à leur place en ce qui concerne la colonisation. Que mangeraient les peuples sahariens en 2021 sans l’éducation de ces populations ? Il y a eu assez de famines par les temps passés. Et maintenant avec leur surpopulation démente ? Simplifions à l’extrême : vous les faux-culs et autres critiques sur la colonisation, accepteriez vous de consommer des crottes de chèvre pour ne pas mourir de faim ? Qu’en pensez vous ?
Cordialement…
Réponse à Claude Germain :
Il est vrai que les communautés chrétienne et juive d’Afrique du Nord ont cohabité sereinement pendant des siècles. Les tensions sont arrivées avec les conquérants arabo-musulmans. Vous avez tout à fait raison de le rappeler.
Mais là où vous vous éloignez de l’Histoire, c’est lorsque vous parlez de « religion mixte » pour le christianisme. Le christianisme est né dans l’opposition à la religion hébraïque, détournée des dix commandements par un clergé cupide. C’est le clergé juif qui a fait condamner le Christ. Ce clergé porte à jamais le poids de ce déicide.
Les choses iront mieux entre chrétiens et juifs lorsque ces derniers reconnaitront leur responsabilité dans cette condamnation à mort.
Sait-on jamais ?
Cordialement,
L’administration en France a fait barrage à toute immigration venant des pays de l’est, les nombreux témoignages de Polonais, de Tchèques, de Hongrois, etc… qui souhaitaient obtenir la nationalité française et qui n’ont pas pu l’obtenir sont très nombreux
Les pays sous-développés furent le choix des gouvernements parce qu’ils étaient beaucoup plus manipulables, mais malheureusement inassimilables de par leur conception mentale d’un autre âge. Ils détruiront nécessairement à un moment donné toute les structures des sociétés européennes, car il semblerait que leur rôle soit réduit uniquement à cela.
Bien entendu nous irons vers une guerre civile que prépare allègrement Macron par ses multiples provocations, le pouvoir cible certaines personnes et d’autres pas pour diviser, un public non éveillé nous amènera à la catastrophe, il faudra réagir coûte que coûte.
Depuis une génération les Français sont dégenrés, LGBTifiés, dévirilisés, déculturés, lobotomisés, meltingpotés.
Non pas par l’envahisseur, mais par les traitres bien français qu’on commence, enfin, à nommer : les islamogauchistes.
Avec la disparition du service militaire, ils ne savent plus ce qu’est une arme à feu. Ils ne sont plus bons qu’à allumer des bougies et brandir des nounours.
La guerre civile à venir risque fort de se transformer en un grand massacre.
À moins qu’une génération spontanée d’identitaires européens choisisse la guerre.
Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre. (W. Churchill)
J’ai toujours suivi Guillaume et particulièrement pendant nos universités d’été depuis 1977 à nos jour avec son dernier livre.