Serons-nous confinés jusqu’en 2030 ?
C’est pourtant le nouvel horizon pour les citoyens s’imaginant voir bientôt la sortie du tunnel. Celle-ci nous a été annoncée, en direct sur CNews, par le professeur Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). Invité de Laurence Ferrari, le médecin réanimateur a dressé un tableau très pessimiste quant à l’évolution de la pandémie de Covid-19.
Selon lui, la sortie de crise n’est pas pour demain : « Je crains qu’on entendra parler du Covid-19 pendant toute la décennie […] C’est une pandémie mondiale, il faut attendre qu’elle s’arrête à l’échelle mondiale [ … ] Je ne vois pas la situation revenir à la normale avant la fin de la décennie » a‑t-il prophétisé, ajoutant même que le manque de vaccins combiné à la reprise des déplacements fera à nouveau flamber la pandémie.
Voilà donc une déclaration d’« expert » supplémentaire de choc pour entretenir le climat anxiogène qui pèse lourdement sur les populations.
Mais tout cela dans quel but ?
Car, si l’on regarde les chiffres de près, la Covid ne fait pas autant de victimes qu’on veut nous le faire croire. En France, on a comptabilisé 658 000 morts en 2020 (donnée INSEE) contre 613 243 en 2019. Le différentiel est donc de 44 757 morts. En admettant que cet excès de décès soit uniquement imputable à la Covid, on est encore loin des 68 000 victimes dont les médias font état tous les jours (voire près de 100 000 selon certains).
Or, il faut savoir que la hausse de la mortalité est une constante depuis le début de la décennie : la France vieillissante voit s’éteindre massivement sa population issue du « baby boom ». En 2015, par exemple, le nombre de morts a augmenté de 34 387 par rapport à l’année précédente et, en 2017, le nombre de morts a encore augmenté de 12 409 par rapport à 2016. L’augmentation moyenne des décès sur 10 ans étant de 10 678 par an.
Décès et taux de mortalité | ||
Année | Nombre de décès | Taux de mortalité (pour 1 000 habitants) |
2020 ℗ | 658 000 | 9,8 |
2019 ℗ | 613 243 | 9,1 |
2018 ℗ | 609 648 | 9,1 |
2017 | 606 274 | 9,1 |
2016 | 593 865 | 8,9 |
2015 | 593 680 | 8,9 |
2014 y c. Mayotte | 559 293 | 8,4 |
2014 hors Mayotte | 558 727 | 8,5 |
2013 | 569 236 | 8,7 |
2012 | 569 868 | 8,7 |
2011 | 545 057 | 8,4 |
2010 | 551 218 | 8,5 |
2009 | 548 541 | 8,5 |
2008 | 542 575 | 8,5 |
2007 | 531 162 | 8,3 |
2006 | 526 920 | 8,3 |
2005 | 538 081 | 8,5 |
2004 | 519 470 | 8,3 |
2003 | 562 467 | 9,1 |
2002 | 545 241 | 8,9 |
2001 | 541 029 | 8,8 |
2000 | 540 601 | 8,9 |
℗ : décès 2020, taux de mortalité 2018 à 2020 : données provisoires arrêtées à fin 2020. Lecture : en 2020, le nombre de décès est de 658 000, soit 9,8 décès pour 1 000 habitants. Champ : France hors Mayotte jusqu’en 2014 et y compris Mayotte à partir de 2014. Source : Insee, estimations de population et statistiques de l’état civil. |
Ainsi, même sans la Covid, le pays présentait toutes les probabilités d’enregistrer davantage de décès en 2020 que les années précédentes. Combien ? Difficile à dire. Toutefois si l’on s’en tient à l’augmentation moyenne, les morts strictement dus à la Covid-19 en 2020 seraient 34 078 seulement (44 757 – 10 678). Loin des chiffres alarmistes du couple Véran-Castex, relayés par les médias subventionnés. C’est d’ailleurs ce que fait observer France Meslé, chercheuse à l’INED (Institut National d’Études Démographiques) : « La France apparaît comme un cas particulier, avec des morts dus à la pandémie bien supérieurs au bilan global des décès. […] Mais cela s’explique parfois par des mauvaises saisies des causes de décès. »
Il n’y a plus aucun phénomène de surmortalité en Europe ! (lire ceci).
Alors pourquoi nos dirigeants s’ingénient-ils à entretenir la peur et l’angoisse dans la population ? Pourquoi font-ils peser le spectre d’une dictature sanitaire pérennisée sine die ? Y a‑t-il là une volonté délibérée des forces mondialistes qui voient dans ce virus l’opportunité de bâillonner les peuples pour imposer leur « grand reset » ? Mais non, bien sûr, je m’égare dans le complotisme… Une chose est sûre cependant, l’avenir s’assombrit encore pour les populations de plus en plus anesthésiées par la trouille les rendant incapables de réagir.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
L’info suivante va dans le sens de votre article : [Vidéo sous titrée FR – 25 mn] SAVIEZ-VOUS QUE LA BANQUE MONDIALE A PROGRAMMÉ LA COVID-19 JUSQU’AU 31 MARS 2025 ?
La banque mondiale a programmé la fin du Covid-19 pour le 31 mars 2025 : le virus suivant s’appelle SPARS !
La pandémie « SPARS » 2025–2028
Découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA) disponible en PDF ci-dessous NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aussi célèbre que la tour Eiffel en France.
Johns Hopkins University SPARS pandemic scenario :
https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf
https://odysee.com/@STOP_Masques_Vaccins_National:2/Sc%C3%A9nario-2009-pand%C3%A9mie–SPARS-2025–2028:f?r=7MJKMEzAaNb88AsLs8vB1huFxhDJsj9x
(voir page 6 du document PDF )
« Votre avenir est écrit dans ce document, pas uniquement aux États Unis d’Amérique mais dans le monde entier. »
Bill’s Gates will not prevail
LE MICROBE N EST RIEN LE TERRAIN EST TOUT
tous les médecins savent ce que je dis : il faut aider l être à garder la santé en maintenant le système immunitaire à son maximum
de plus on ne parle que de vaccin, plus de soins
médecins vous avez courbé le dos avec l aide de l Ordre de médecins
ils ne vous ont pas aidé et ne vous aideront jamais
En réalité d’après Gaston Georgel et sa théorie des cycles, on arrive à 2030
D’autres arrivent à 2034
Mais nous ne sommes pas à 4 ans près, le résultat sera identique.