Serons-nous confinés jusqu’en 2030 ?

27 mars 2021 | 4 Commentaires 

C’est pour­tant le nou­vel hori­zon pour les citoyens s’imaginant voir bien­tôt la sor­tie du tun­nel. Celle-ci nous a été annon­cée, en direct sur CNews, par le pro­fes­seur Djillali Annane, chef du ser­vice de réani­ma­tion de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). Invité de Laurence Ferrari, le méde­cin réani­ma­teur a dres­sé un tableau très pes­si­miste quant à l’évolution de la pan­dé­mie de Covid-19.

Selon lui, la sor­tie de crise n’est pas pour demain : « Je crains qu’on enten­dra par­ler du Covid-19 pen­dant toute la décen­nie […] C’est une pan­dé­mie mon­diale, il faut attendre qu’elle s’arrête à l’échelle mon­diale [ … ] Je ne vois pas la situa­tion reve­nir à la nor­male avant la fin de la décen­nie » a‑t-il pro­phé­ti­sé, ajou­tant même que le manque de vac­cins com­bi­né à la reprise des dépla­ce­ments fera à nou­veau flam­ber la pandémie.

Voilà donc une décla­ra­tion d’« expert » sup­plé­men­taire de choc pour entre­te­nir le cli­mat anxio­gène qui pèse lour­de­ment sur les populations.

Mais tout cela dans quel but ?

Car, si l’on regarde les chiffres de près, la Covid ne fait pas autant de vic­times qu’on veut nous le faire croire. En France, on a comp­ta­bi­li­sé 658 000 morts en 2020 (don­née INSEE) contre 613 243 en 2019. Le dif­fé­ren­tiel est donc de 44 757 morts. En admet­tant que cet excès de décès soit uni­que­ment impu­table à la Covid, on est encore loin des 68 000 vic­times dont les médias font état tous les jours (voire près de 100 000 selon certains).

Or, il faut savoir que la hausse de la mor­ta­li­té est une constante depuis le début de la décen­nie : la France vieillis­sante voit s’éteindre mas­si­ve­ment sa popu­la­tion issue du « baby boom ». En 2015, par exemple, le nombre de morts a aug­men­té de 34 387 par rap­port à l’année pré­cé­dente et, en 2017, le nombre de morts a encore aug­men­té de 12 409 par rap­port à 2016. L’augmentation moyenne des décès sur 10 ans étant de 10 678 par an.

Décès et taux de mortalité
Année Nombre de décès Taux de mor­ta­li­té
(pour 1 000 habitants)
2020 ℗ 658 000 9,8
2019 ℗ 613 243 9,1
2018 ℗ 609 648 9,1
2017 606 274 9,1
2016 593 865 8,9
2015 593 680 8,9
2014 y c. Mayotte 559 293 8,4
2014 hors Mayotte 558 727 8,5
2013 569 236 8,7
2012 569 868 8,7
2011 545 057 8,4
2010 551 218 8,5
2009 548 541 8,5
2008 542 575 8,5
2007 531 162 8,3
2006 526 920 8,3
2005 538 081 8,5
2004 519 470 8,3
2003 562 467 9,1
2002 545 241 8,9
2001 541 029 8,8
2000 540 601 8,9
℗ : décès 2020, taux de mor­ta­li­té 2018 à 2020 : don­nées pro­vi­soires arrê­tées à fin 2020.
Lecture : en 2020, le nombre de décès est de 658 000, soit 9,8 décès pour 1 000 habi­tants.
Champ : France hors Mayotte jus­qu’en 2014 et y com­pris Mayotte à par­tir de 2014.
Source : Insee, esti­ma­tions de popu­la­tion et sta­tis­tiques de l’é­tat civil.

Ainsi, même sans la Covid, le pays pré­sen­tait toutes les pro­ba­bi­li­tés d’enregistrer davan­tage de décès en 2020 que les années pré­cé­dentes. Combien ? Difficile à dire. Toutefois si l’on s’en tient à l’augmentation moyenne, les morts stric­te­ment dus à la Covid-19 en 2020 seraient 34 078 seule­ment (44 757 – 10 678). Loin des chiffres alar­mistes du couple Véran-Castex, relayés par les médias sub­ven­tion­nés. C’est d’ailleurs ce que fait obser­ver France Meslé, cher­cheuse à l’INED (Institut National d’Études Démographiques) : « La France appa­raît comme un cas par­ti­cu­lier, avec des morts dus à la pan­dé­mie bien supé­rieurs au bilan glo­bal des décès. […] Mais cela s’explique par­fois par des mau­vaises sai­sies des causes de décès. »

Il n’y a plus aucun phé­no­mène de sur­mor­ta­li­té en Europe ! (lire ceci).

Alors pour­quoi nos diri­geants s’ingénient-ils à entre­te­nir la peur et l’angoisse dans la popu­la­tion ? Pourquoi font-ils peser le spectre d’une dic­ta­ture sani­taire péren­ni­sée sine die ? Y a‑t-il là une volon­té déli­bé­rée des forces mon­dia­listes qui voient dans ce virus l’opportunité de bâillon­ner les peuples pour impo­ser leur « grand reset » ? Mais non, bien sûr, je m’égare dans le com­plo­tisme… Une chose est sûre cepen­dant, l’avenir s’assombrit encore pour les popu­la­tions de plus en plus anes­thé­siées par la trouille les ren­dant inca­pables de réagir.

Charles ANDRÉ

« L’important n’est pas de convaincre mais de don­ner à réflé­chir. »

4 Commentaires 

  1. L’info sui­vante va dans le sens de votre article : [Vidéo sous titrée FR – 25 mn] SAVIEZ-VOUS QUE LA BANQUE MONDIALE A PROGRAMMÉ LA COVID-19 JUSQUAU 31 MARS 2025 ?

    La banque mon­diale a pro­gram­mé la fin du Covid-19 pour le 31 mars 2025 : le virus sui­vant s’appelle SPARS !
    La pan­dé­mie « SPARS » 2025–2028

    Découvrez-en le scé­na­rio public de l’u­ni­ver­si­té Johns Hopkins (Baltimore – USA) dis­po­nible en PDF ci-des­­sous NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aus­si célèbre que la tour Eiffel en France.

    Johns Hopkins University SPARS pan­de­mic scenario :
    https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf

    https://odysee.com/@STOP_Masques_Vaccins_National:2/Sc%C3%A9nario-2009-pand%C3%A9mie–SPARS-2025–2028:f?r=7MJKMEzAaNb88AsLs8vB1huFxhDJsj9x

    (voir page 6 du docu­ment PDF )
    « Votre ave­nir est écrit dans ce docu­ment, pas uni­que­ment aux États Unis d’Amérique mais dans le monde entier. »

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  2. Bill’s Gates will not prevail

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  3. LE MICROBE N EST RIEN LE TERRAIN EST TOUT
    tous les méde­cins savent ce que je dis : il faut aider l être à gar­der la san­té en main­te­nant le sys­tème immu­ni­taire à son maxi­mum
    de plus on ne parle que de vac­cin, plus de soins
    méde­cins vous avez cour­bé le dos avec l aide de l Ordre de méde­cins
    ils ne vous ont pas aidé et ne vous aide­ront jamais

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  4. En réa­li­té d’a­près Gaston Georgel et sa théo­rie des cycles, on arrive à 2030
    D’autres arrivent à 2034
    Mais nous ne sommes pas à 4 ans près, le résul­tat sera identique.

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