Après les discours anxiogènes, le chantage
Il n’est pas un jour sans que les autorités et les médias dominants mettent en avant des chiffres alarmistes : nombre de morts, nombre de contaminations, nombre de réanimations, nombre de cas, taux d’incidence… En tel pays, ce serait l’hécatombe, en tel autre, on durcit les mesures de restriction, en France, on préfère les petites doses mais le but est le même… Pour faire passer le suppositoire, médecins et autres experts squattent les plateaux de télévision et les studios de radios pour diffuser des propos plus angoissants les uns que les autres : nouvelle vague, nouveaux variants, pic de contamination, saturation des hôpitaux, des lits de réanimation… Tous étant des adeptes obstinés du confinement dur.
Nonobstant, le pouvoir jupitérien hésite, tergiverse, atermoie… Alors, les « enfermistes » se mobilisent et montent au créneau pour terroriser un peu plus la population et élever encore le niveau d’angoisse collective pour arriver à leurs fins : les médecins franciliens publient une tribune annonçant qu’ils en sont arrivés au « tri des patients » à l’hôpital. Bigre ! Pour faire anxiogène, il n’y a pas mieux. Dans le texte de cette déclaration, on peut lire : « Dans les quinze prochains jours […] nous savons d’ores et déjà que nos capacités de prise en charge seront dépassées au terme de cette période ». La démarche étant, selon eux, dans le seul « but d’information et d’alerte légitime ». Et, cette légitimation, comme à l’habitude, n’est autre que le désir « de sauver le plus de vies possibles ». Imparable.
Hélas pour ces « enfermistes », cette initiative a suscité le désaveu de la Fédération Hospitalière de France (FHF), qui l’estime alarmiste. Celle-ci s’est fendue d’un communiqué le 29 mars pour répondre à cette tribune incongrue disant en ressentir les conséquences néfastes sur « les familles des patients admis à l’hôpital ». La FHF qui rassemble et représente les établissements publics de santé juge que cette tribune « n’est utile ni pour les soignants ni pour les patients ». Son président, Serge Blisko, la regrette car « elle affole », ce qui n’est utile pour personne. Et de conclure que les établissements « feront leur possible pour répartir l’effort de manière équitable et faire en sorte de prendre en charge au mieux les patients qui se présentent à l’hôpital ».
La bombe était donc parfaitement désamorcée.
Pas totalement, semble-t-il, puisque le ministre de l’Économie Bruno Le Maire s’est cru obligé de faire une déclaration sur la radio RCJ, estimant que le tri des malades dans les hôpitaux, du fait de l’augmentation des cas de Covid-19, est une « ligne rouge absolue ».
Le plus grave, c’est que nous voyons quantité de Français assommés par la propagande demander encore plus de mesures liberticides alors que, de l’avis de spécialistes, le confinement n’est pas la solution au problème. Hélas, c’est le propre de l’humain de se ranger du côté du Pouvoir, surtout lorsque celui-ci durcit sa gouvernance. Il est aujourd’hui effarant de constater à quel point les citoyens français ont basculé dans la psychose au point d’épier, de fustiger, de condamner, voire de dénoncer leurs compatriotes apparemment plus relativistes. Nous sommes en plein dans ce que La Boétie décrivait comme la servitude volontaire.
D’ailleurs, je laisserai la conclusion de mon propos à ce grand penseur : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un oubli si profond de sa liberté qu’il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu’on dirait à le voir qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté, mais bien gagné sa servitude. »
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
Personnellement, je suis en admiration face à des voisins âgés de 80 ans et plus, atteints de comorbidités multiples qui refusent les vaccins quels qu’ils soient car ils ne croient aucunement à la propagande véhiculée par le gouvernement et les médias à leur solde. J’approuve cette résistance à la pensée unique.
Je suis étonnée de constater que les humains n’utilisent plus leur bon sens et qu’ils gobent ce que la télé leur assène. Pourquoi, dès qu’on parle d’un traitement, y a t’il immédiatement un refus du Pouvoir de l’essayer ? Pourquoi accepte t’on un « vaccin » qui n’empêche pas d’être contagieux ?
C’est au slogan de LIBERTÉ qu’on asservit, à celui d’ EGALITE que l’on élit, et enfin à celui de FRATERNITÉ que l’on divise. Que ce soit le libéralisme et/ou le marxisme, tous les matérialismes conduisent aux enfers, appuyés en cela par toutes les fausses spiritualités anti-Christ.
Et voilà comment une hystérie mondialiste, suggérée par un virus ridicule (létal à 0,3 %), orchestrée par des dirigeants humanistes (dont finalement on ne voit que les pions) qui nous veulent du bien, nous plongent dans des lendemains inquiétants.
La mort étant devenu un scandale, on finirait par espérer l’immortalité plutôt que la vie éternelle, l’enfermement et/ou le vaccin plutôt que la liberté et/ou le risque, et finalement la mort plutôt que la vie.
Si l’on parvient à examiner la chose avec du recul, on pourra alors se surprendre à constater l’hystérie orchestrée, feinte et comique dans laquelle nos dirigeants apparents, élites auto-proclamées, et autres charlatans grotesques nous ont conduits, à moins que ces drôles de remèdes (vaccins, enfermements, muselières…) finissent par avoir raison de NOUS, sans doute pas tous ?
Pour ma part je n ai plus aucun doute sur cette PLANDÉMIE orchestrée par la petite dizaine de philanthropes milliardaires dont les noms n ont plus besoin d être cités. Réduction de la population mondiale et mise en place d’un gouvernement 👹
« Imaginez un vaccin tellement sûr, que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez. »
Pr Denis Rancourt