Un putsch sans soldats
À l’heure où la « lettre des généraux » ébranle le Pouvoir qui s’imaginait s’appuyer sur la léthargie ou la niaiserie des militaires, il est bon de rappeler que le général Henri Roure écrivait une autre lettre, le 27 mai 2017, quelques jours à peine après le putsch sans soldat de Macron (publiée dans le magazine suisse Arrêt sur info).
Nous relayons volontiers cette lettre qui vient conforter celles qui circulent en ce moment au sein des Armées.
L’élection présidentielle, qui a amené M. Macron à la présidence, est le fruit vénéneux d’un déni de démocratie.
Il s’agit d’une spoliation, résultat d’un rejet masqué de l’idéal démocratique. La manipulation vient de loin. Elle est probablement la forme la plus élaborée du coup d’État car elle ne refuse pas le principe des élections sur lequel repose l’expression de la volonté populaire, mais, sciemment – j’allais écrire scientifiquement – elle pervertit, oriente, sculpte l’opinion publique. Elle repose sur l’énorme puissance d’un système qui a l’ambition de s’imposer au monde, à commencer par ce que nous appelons, aujourd’hui, improprement, l’Occident. Ses moyens sont, à l’évidence, considérables.
Nous sommes confrontés à un monstre que certains ont baptisé l’internationalisme financier, ou l’ultralibéralisme, mais qui, en tout état de cause, est intimement lié à la puissance étatsunienne. Il s’agit de l’avatar le plus ingénieux de l’impérialisme étatsunien relayé par son allié fidèle l’Union Européenne.
La vraie démocratie est trop dangereuse pour la finance internationale, car elle peut amener au Pouvoir des personnes véritablement choisies par le Peuple avec des idées aussi saugrenues que la défense des intérêts nationaux, la patrie, la protection sociale, la morale, l’éducation et la culture, le service public ou encore l’État de droit. Ce risque ne peut être accepté quand il s’agit de globaliser ou plus exactement d’américaniser et de subordonner les Peuples au puissant réseau politico-bancaire piloté par Washington. Il est donc nécessaire de tendre vers une pensée unique.
Difficile cependant de s’affranchir des élections… Dès lors il faut les truquer à l’aide de la désinformation aboutissant à la manipulation de l’opinion publique ; c’est tellement plus simple et moins risqué puisque le Système est propriétaire des médias et des instituts de sondage et peut s’appuyer sur quelques dirigeants, intellectuels ou bobos, bien placés et convaincus. Il ne faut pas s’étonner, ainsi, de l’assassinat politique de François Fillon, dont le programme trop judicieux et national pouvait éloigner la France de cette subordination. L’astuce fut de l’accuser de ce que l’immense majorité des parlementaires fait, en toute légalité, mais qui, pour lui, fut présenté, dans un acharnement médiatique sans limite, comme de la corruption. Aucun journaliste ne s’éleva pour regarder les faits avec objectivité. Et pour cause, tous dépendent du Système…
Aude Lancelin, ancienne rédactrice en chef adjointe de l’Obs le dit clairement : « L’ensemble des médias est sous la coupe du CAC 40 ».
En association avec eux quelques juges haineux trop liés à un Pouvoir désireux de se survivre à lui même et intimement impliqué dans le réseau.
La suite se présentait d’évidence. Face à un éclatement consommé des partis traditionnels, résultat de primaires inspirées de la vision étatsunienne de la sélection des candidats et inadaptées à la culture politique française, un inconnu, issu directement du milieu bancaire, et présentant l’image de la nouveauté, pu être propulsé dans le pseudo débat. Le Système, alors, n’a même pas cherché à se dissimuler sous les atours d’une apparente objectivité. Les médias aux ordres n’eurent qu’à relayer l’habituelle hystérie anti Front National en utilisant tous les vieux procédés passant de l’association d’images aux citations hors contexte et à l’insinuation. Il fallait faire « barrage » sans que quiconque sache vraiment pourquoi, ou, plus justement, de crainte que le constat devienne trop clair que ce parti avait récupéré les idées gaullistes, imprudemment abandonnées par la droite classique.
Le matraquage, cette fois, fit l’éloge du néophyte et, toute honte bue, ceux qui auraient dû rester neutres ou au moins discrets, affirmèrent péremptoirement qu’il fallait voter pour lui.
Preuve suprême de cet internationalisme bien loin d’être prolétarien, l’étatsunien Obama apporta bruyamment son soutien, Merkel de même et l’inénarrable Juncker donna sa contribution. Des étrangers intervenaient dans une élection française ! Personne n’y vit un scandale…
Dans un panorama politique trafiqué et disloqué, le banquier fut élu
Il le fut avec les voix d’électeurs qui, par opposition, viscérale et entretenue, à l’autre candidat, celui de la négation absolue de ce Système, se sont piégés. Comment faire désormais pour se séparer de celui qu’ils ont, de fait, contribué fortement à porter à la magistrature suprême ?
Ajoutons que l’opération était tellement bien montée que le nouveau président a été élu alors que l’immense majorité du corps électoral lui était, sinon hostile, du moins opposée. Qui le dit ? Regardons les chiffres sous un angle particulier. La participation a été de 74,56% soit 25% d’abstentions. Il y a eu 66% de suffrages exprimés, c’est à dire 34% de nuls ou blancs. Si, à ce chiffre, nous ajoutons les 34% qui ont voté Le Pen, nous constatons que 68% des personnes qui se sont déplacées jusqu’aux urnes n’ont pas voté pour Macron. Dans cette élection nombreux sont ceux qui se sont abstenu par hostilité aux finalistes. En minorant leur nombre parmi les non-votants, nous pouvons les estimer à 6 ou 7%. Ce qui fait un total intermédiaire voisin de 75% qui ont refusé Macron. Si nous ajoutons à ce dernier chiffre ceux qui ont voté Macron par opposition à le Pen, mais pas par adhésion à ses idées, nous aboutissons, probablement, à 85% du corps électoral qui ne soutient pas le nouvel « élu »…
Le nouveau président est peut être légal aux termes de la Constitution, mais illégitime au regard de la morale politique. Au bilan, Macron est un usurpateur. En réalité, la démocratie française d’aujourd’hui n’est qu’une dictature qui se déguise. Elle est devenue le pire des régimes comme tous les autres. J’ose espérer que personne parmi ces profiteurs, qui vont suivre Macron, ne proférera la moindre critique sur la façon dont nos amis africains voient la démocratie…
Je ne suis donc pas en opposition mais en résistance, tout en sachant que le combat sera long et difficile. Je débute ma marche…
Général Henri Roure
Secrétaire national pour les questions de défense au CNIP (Centre National des Indépendant et Paysans)
Les élections Régionales sont bientôt là et des brochures trouvées dans ma boîte aux lettres, aucune n’évoque les problèmes de génocide qui se prépare, demain nos enfants y passent, l’Europe impose aux États de se passer du consentement des parents.
Moi je dis qu’il faut bouger, les Américains ont commencé leur épuration après la constatation de la fraude électorale. Ils ont mis à jour l’incroyable préparation du plan viral, que les solutions découvertes par nos professeurs français, Raoult, Peronne et d’autres étaient viables et avaient été écartées sciemment par nos gouvernants.
Le temps que l’on va mettre la même chose en place, combien il y aura de perte. Je suis révolté et je veux voir bouger les choses. Certes, il y a des tas de forums de dissidents, complotistes, conspirateurs, révélateurs de vérité. Ils parlent beaucoup mais ne savent pas quoi faire. Nos soldats numériques comptent sur les Américains parce qu’ils voient que cela bouge là-bas, mais je ne veux pas que mes petits-enfants soient victimes d’une culture imposée comme nous y avons eu droit dans notre enfance. C’est à nous de bouger, nous ne refuserons pas leur aide. Mais nous devons être sur un même pied d’égalité.
Et notre Armée, garante de la sauvegarde de la population a‑t‑elle prévue de bouger…
Nous ne sommes pas des moutons ! Nous avons compris le plan prévu pour nous manipuler.
A nous le Grand Reset, nous exigeons :
1) Fin du programme de vaccination Covid, retour aux thérapies qui soignent
2) Contrôle des frontières et surveillance des transferts de monnaie
3) Annulation des élections Régionales, préparation d’un référendum
4) Destitution du gouvernement, Sénat et Chambre des députés
5) Appel à l’Armée garante de la protection du Peuple français
6) Mise en place d’un gouvernement provisoire sélectionné par tirage au sort
7) Fin provisoire des relations avec cette Europe corrompue
8) Nationalisation des banques et anciennes entreprises de service public
9) Constitution de tribunaux militaires pour trahison et crimes contre l’humanité
10) Révision de la Constitution pour une nouvelle République
Liberté, Équité, Fraternité
Pour une France démocratique Une et Indivisible
Inspirons nous des États Généraux de 1945
Tant que les Français ne se seront pas fait taper suffisamment sur la tronche, ils ne se réveilleront pas.
À ceci je ne vois qu’une solution : en remettre une louche pour 5 ans avec Macron.
En effet ces gens sont tellement mauvais, c’est une vraie chance pour la France !
Rendez-vous compte : en deux ans ils nous ont servi les gilets jaunes. Aujourd’hui les bérets verts. Demain le pass sanitaire. Puis la guerre civile.
Encore 6 ans de plus avec LREM et la ripoublique pourra définitivement être enterrée.
Ces minables font le boulot à notre place. Ce serait vraiment dommage de s’arrêter en si bon chemin. Vous ne pensez-pas ?
Désolé mais le chiffre de 34% de nul ou blanc est complètement faux. Il inclut les 25.44% d’abstention. 25.44% d’abstention, 6.35% de blancs et 2.24% de nuls. Il y a 66% des inscrits qui ont exprimé un suffrage. Dommage car ça plante tout le raisonnement. Un minimum de rigueur de la part d’un général serait la bienvenue. Espérons pour notre pays qu’il ne gère pas ses troupes et son budget ainsi.
La démonstration chiffrée est arithmétiquement juste sauf que si Le Pen était passée, on aurait assisté à la même démonstration chiffrée du fait de la très importante abstention (pour des présidentielles). Cela pour dire que ce scrutin a été d’une fragilité inouïe. Était-ce Fillon le plus légitime pour être élu ? Beaucoup le pensent mais quand il disait qu’il ne fallait surtout pas voter Le Pen, il s’est automatiquement discrédité. Si l’année prochaine, les choses se présentent de la même façon, il faut craindre le pire ie la réélection de Macron.
Très pertinente analyse du Général.
Ce cher monsieur oublie les machines à votes Dominion alors en embuscade au ministère de l’intérieur confortées par les sondages truqués. Pourquoi Attali le vilain se permet de prédire qui sera président ? D’ailleurs Ouest France affirme à 20H45 QUE MACRON NE RECUEILLAIT QUE 1% DE VOIX AU PREMIER TOUR ET FILLON (l’escroc) PAS MIEUX. Tout est pourri et c’est cela les valeurs de la république bancaire et franc-maçonne !
Ils mentent, ils volent , ils violent, ils tuent et le mouton vote ! Le Peuple est souverain et ces chiens ne sont rien si ensemble nous nous levons pour le Bien Commun !
Le méprisant Macron n’a pas du tout été élu par le peuple ! C’est le logiciel DOMINION qui l’a mis en premier dans les résultats…Voter ne sert absolument à rien :
https://www.profession-gendarme.com/les-vrais-resultats-du‑1er-tour-de-lelection-presidentielle-de-2017/
Il est temps de comprendre que le peuple est manipulé à 100% et de reprendre notre souveraineté en main, sans l’aide des politiciens !!