Voici comment est organisé le trafic négrier
L’arrivée demain du bateau chargé d’immigrés clandestins dans le port de Toulon, peut légitimement poser quelques questions.
S’il est humainement logique (et obligatoire) de porter secours à des bâtiments en péril sur la mer, suite à une avarie ou à de graves intempéries par exemple, le cas de ces bateaux affrétés par des ONG est tout à fait différent. Ils ne sont en aucun cas en danger, et ne réclament donc pas d’être secourus de la même manière.
Il faut se poser la question : comment ces immigrés clandestins se sont-ils retrouvés à bord de ce bateau ?
Quand les médias nous montrent ces scènes effroyables d’immigrés clandestins, naviguant par dizaines sur des embarcations de fortune, au péril de leur vie, le quidam moyen a de quoi s’émouvoir. Il s’imagine la détresse de l’embarquement sur les côtes de Libye ou d’ailleurs, le frêle esquif s’éloignant des côtes emportant ces humains tétanisés de peur pour une destination plus qu’aléatoire. Et tout le monde de souhaiter la rapidité des ONG qui viendront leur porter secours avant une probable fin tragique…
Oui mais voilà, cette scène n’est pas du tout conforme à la réalité
La réalité a été filmée par un drone guidé depuis un avion de Frontex (rebaptisée depuis 2016 « Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes »). Cette scène filmée à 100 km à peine de Lampedusa montre sans la moindre ambigüité, le transfert en pleine mer de dizaines de futurs « naufragés » en grand péril et que l’Ocean Viking, parfaitement informé de la manœuvre et maillon complice de ce trafic, viendra hisser à son bord.
Un vrai bateau, celui de passeurs grassement enrichis, rempli de candidats à l’émigration, tracte une frêle embarcation. En pleine mer, celui-ci stoppe et transborde les immigrés clandestins dans la barque qu’il remorquait, repart et laisse à la dérive la barque pleine à ras bord. C’est alors que les passeurs appellent les bateaux des ONG, qui, bien informés de la manœuvre, ne sont pas très loin et se dirigent sans erreur vers ces embarcations de mise en scène, pour hisser à bord ces faux naufragés et participer ainsi à ce trafic négrier.
Patrice LEMAÎTRE
Vous pouvez voir sur leur site où l’Ocean Viking fait ses « sauvetages ». La plupart sont juste au bord des eaux territoriales d’Afrique ou du Moyen-Orient.
On voit très bien sur cette carte que ces opérations se déroulent de plus en plus près des côtes africaines.
Bientôt l’Europe ira chercher ses futurs livreurs UberEats au mieux, mais plutôt délinquants ou violeurs, directement en avion. Ça ira plus vite et ça coûtera moins cher.
Il faut ajouter que ces migrants prennet sciemment des risques. Or le droit français stipule que « nul ne peut se prévaloir des ses propres turpitudes ».
Et ces ONG sont subventionnées avec nos impôts !
Cette situation est connue et pourtant elle perdure.
La responsabilité en revient à nos dirigeants qui n’ont pas le courage politique de prendre les bonnes décisions.
Et Bruxelles dans tout ça !!! Quelqu’un tire bien profit non ?
C’est honteux !