Casse-tête Castets
C’est un grand show de téléréalité républicain, l’avis de recherche du prochain maillon faible du gouvernement : le Premier Ministre. Après Borne, homosexuelle non déclarée, Gabynounet homosexuel déclaré, c’est une inconnue au bataillon qui sort du chapeau pour revêtir l’habit officiel de fusible. Celui ou celle qui sautera pour sauver d’un mauvais pas le Président en place, ici Macron.
C’est donc une certaine Lucie Castets qui met fin à ce casse-tête bas du front populaire. Du coup, tous les moteurs de recherche con-verge vers la donzelle qui, symbole de médiatisation absolu, se voit aussi sec « wikipédiatiser » :
On y découvre qu’elle aurait un enfant dont on ignore tout (le sexe, la couleur, le système de procréation), pas de con-joint identifié, et qu’elle serait sportive : footballeuse. De là à supputer sur son orientation… digne de succéder aux deux précédents.
Elle a certes une bonne gueule. Imaginez un peu, on aurait pu devoir se farcir la maudite Mathilde Panot, si bien décrite par Jacques Brel.
On entend chez les bas du front populaire républicain qu’elle cocherait toutes les bonnes cases.
• En effet, Lucie Castets est très active pour ruiner Paris. Elle est directrice financière de la ville de Paris, ville dont la dette a quasiment doublé en un mandat (9 milliards) et qui est à deux doigts d’être mise sous tutelle budgétaire. C’est de bon augure pour la suite de la France qu’il faut détruire.
• Elle fait partie de l’Observatoire National de l’Extrême Droite : ONED. Un comité théodule grassement subventionné par notre impôt pour nous observer.
On y compte d’autres personnalités comme Danièle Obono, Clémentine Autain, Manon Aubry ou encore Marine Tondelier.
Elle ne sera pas Première Ministre. Il semble que Jean Mimi Macron ne veuille pas introniser cette jolie dame.
Lucie Castets pourrait alors devenir la Première Ministre à ne jamais avoir été Premier Ministre.
Trêve olympique oblige, le jeu de téléréalité reprendra après panem et circenses. Qu’est-ce qu’on se marre avec tous ces gens.
Michel Lebon
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