Ma semaine d’observation de l’info (27 décembre 2020)
Dimanche 20 décembre 2020
J’ai souvent parlé ici des « féminicides », ces assassinats de femmes, souvent dans des violences conjugales. On se rappelle encore de la sordide mort de Salomé à Cagnes, massacrée par son petit ami Amin. J’ai toujours soutenu que la majorité des meurtriers de femmes étaient des étrangers, souvent musulmans, pour une bonne et simple raison, c’est que la femme dans leurs sociétés n’est qu’un objet de seconde zone, et que la vie d’une femme vaut parfois moins que celle d’un chameau.
Le Service Statistique Ministériel de la Sécurité Intérieure (SSMSI) vient de me donner raison : en 2019, 63 % des mis en cause pour des violences sexuelles sont… de nationalités étrangères, les 27% restant étant français oui, mais de quelle origine, de quelle religion ? Pourrait-on le savoir savoir ?
Lundi 21 décembre 2020
Une explosion dans une usine pharmaceutique à Taiwan a fait deux blessés et a provoqué un incendie en début d’après-midi, hier 20 décembre. Ceci ne pourrait être qu’un banal fait divers auquel personne ne porterait le moindre intérêt si… cette usine ne produisait pas des API d’hydroxychloroquine, et n’était pas le deuxième plus grand fournisseur de matières premières d’hydroxychloroquine au monde comme l’annonce le Liberty Times. Toute allusion douteuse sera jugée complotiste.
Mardi 22 décembre 2020
Hier soir, Florian Philippot (et non Marine Le Pen comme l’a insidieusement annoncé le ministre de la santé, dévoilait dans un tweet le projet de loi du gouvernement instituant « un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires ».
Ce texte, déposé à l’Assemblée Nationale est consultable ici.
On y trouve effectivement la menace de devenir des citoyens de seconde zone si nous refusons le vaccin. Comme le préconisait une députée LREM, la création d’un « passeport vert » (à la façon israélienne), nous autoriserait ou non à fréquenter les restaurants, les salles de spectacle, à utiliser les transports, si et seulement si, le vaccin était effectué. Vous n’y croyez toujours pas ? C’est écrit en toutes lettres dans le texte :
Aussitôt, levée de boucliers bien naturelle sur les réseaux sociaux, de la part des internautes et des politiques…
Ce qui a dû effrayer un peu le gouvernement qui comptait faire passer son texte en catimini. Le ministre Véran, interrogé le soir même sur TF1, jura (un peu tard) que le texte serait proposé plus tard, bien plus tard, lorsque les conditions de sécurité sanitaires seront réunies… et que le vaccin ne serait en aucun cas rendu obligatoire.
Comme quoi la pression populaire peut toujours avoir un effet… retardateur ?
Mercredi 23 décembre 2020
Des milliers de personnes ont été incapables de travailler ou d’effectuer leurs activités quotidiennes, ou ont dû se faire soigner par un professionnel de santé, après avoir reçu le nouveau vaccin contre le COVID-19, selon de nouvelles données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), bien entendu occultées en France !
Le 18 décembre, 3 150 personnes avaient déjà signalé « des événements ayant un impact sur la santé » après avoir été vaccinées.
Un événement ayant un impact sur la santé est défini de la manière suivante : « incapable d’effectuer ses activités quotidiennes normales, incapable de travailler, nécessitant des soins de la part d’un médecin ou d’un professionnel de santé ».
Les personnes ayant signalé ces effets négatifs ont pu le faire par l’intermédiaire de V‑safe, une application pour smartphone. L’outil utilise les SMS et des enquêtes en ligne afin de fournir des bilans de santé personnalisés. Il permet également aux utilisateurs d’indiquer rapidement aux CDC s’ils ressentent des effets secondaires.
Les CDC et Pfizer, qui produit le vaccin avec BioNTech, n’ont pas répondu à la demande de commentaires.
L’information a été présentée par le Dr Thomas Clark, épidémiologiste des CDC, au Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation, un panel indépendant qui fournit des recommandations à l’agence, samedi. Vous pouvez lire ce rapport ici.
Jeudi 24 décembre 2020
On nous a bassinés depuis le début de la semaine, d’après une déclaration de Boris Johnson, qu’une nouvelle souche du virus était apparue en Angleterre, beaucoup plus sournoise que l’originale parce qu’elle se diffusait beaucoup plus vite, et surtout qu’elle était « hors de contrôle ». Du coup, branle-bas de combat, fermeture des frontières, on laisse les Français sur le territoire britannique, on supprime les transports de marchandises en provenance du Royaume Uni et on crée ainsi des dizaines de kilomètres de queue aux entrées des ports.
Dans la foulée on apprend que cette souche est également apparue en Italie… Les journaux, les chaînes de télévision ne parlent plus que de ça.
Et puis tout à coup, patatras, les scientifiques français qui étudient les rapports sur cette nouvelle souche ne trouvent rien d’alarmant, rien de plus que la souche originelle. Mais pas de démenti aussi formel que pour l’annonce de départ. L’OMS publie un démenti.Le virus n’est pas du tout hors de contrôle !
On continue de naviguer à vue, on ne s’est même pas aperçu que le capitaine était hors-jeu, on fait comme s’il était là, c’est à dire n’importe quoi. À moins que le capitaine ne fasse une promotion du vaccin providentiel sur sa propre personne ?
Vendredi 25 décembre 2020
Jour de Noël, les Français sont déçus, ils ont vainement attendu toute la journée. Ils ont guetté près du sapin, scruté la cheminée. Les averses de neige et de grêle qui se sont déversées sur notre département en étaient peut être la cause… Chacun se posait la question. Allait-il passer ?
Finalement non. Macron fraîchement libéré de sa geôle sanitaire, n’est pas venu souhaiter un Joyeux Noël aux Français. Vivement le Ramadan !
Samedi 26 décembre 2020
En ce jour d’arrivée massive des vaccins, il serait bon de faire deux petits rappels :
• L’immunité collective « se produit lorsqu’une population est immunisée soit par la vaccination, soit par une immunité développée par une infection antérieure. Cela signifie que même les personnes qui n’ont pas été infectées, ou chez qui une infection n’a pas déclenché de réponse immunitaire, sont protégées car les personnes immunisées de leur entourage peuvent servir de tampon entre elles et une personne infectée ».
Ça, c’était la définition originale de l’OMS. Mais ce n’était pas suffisant. L’OMS a modifié sa définition de la manière suivante : « “L’immunité collective”, également appelée “immunité des populations”, est un concept utilisé pour la vaccination, selon lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint ; l’immunité collective est obtenue en protégeant les personnes contre un virus, et non en les exposant à celui-ci. »
Autrement dit, en changeant la définition de l’« immunité collective », l’OMS réécrit littéralement des centaines d’années de compréhension scientifique de la signification réelle de ce terme.
• Ensuite les laboratoires à l’origine de vaccins contre le coronavirus auraient signé avec certaines autorités, dont l’Union européenne, une clause les dédouanant de toute responsabilité, au cas où leurs produits présenteraient des effets encore non identifiés à ce jour, qui seraient néfastes sur le long terme.
Comme l’a confirmé Axel Kahn, médecin généticien et président de la Ligue contre le cancer, les accords passés entre les laboratoires vendant les vaccins et la Commission européenne devraient être rendus publics. « À l’heure actuelle, il est question que les laboratoires se défaussent de leur responsabilité individuelle. Cela serait totalement anormal », a t‑il averti sur Europe 1. « Les discussions sont en cours, mais il est envisagé que l’Europe prenne à son compte les questions de sécurité et d’indemnisation », poursuit Axel Kahn, qui qualifie cette éventualité de « scandale ».
Le nombre de Français prêts à se faire vacciner est passé de 53% en novembre à 40% en cette fin décembre…
Bonne semaine à tous, et à dimanche prochain.…
Patrice LEMAÎTRE
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