L’écologie jusqu’à l’absurde
Il apparaît de plus en plus au grand jour que, l’écologie étant devenue le cheval de bataille des politiciens de tout bord pour assouvir leurs ambitions personnelles, les dirigeants du monde se sont engouffrés dans des voies totalement insensées en matière de production énergétique.
Deux dogmes « verts » – le nucléaire est dangereux et les énergies fossiles sont polluantes –, les ont amenés à faire des choix absurdes en termes de coût, d’efficacité, de rendement, d’incidence environnementale et, le comble, en termes d’écologie !
Leur politique d’abandon de l’industrie nucléaire de l’électricité, fondée sur le remplacement des moyens de production fiables et pilotables par des sources intermittentes comme l’éolien, commence à faire la démonstration de son caractère insensé. Tout particulièrement en périodes froides anticycloniques, à l’instar de celle que nous traversons en ce moment, caractérisée par le manque de vent. Les hideuses éoliennes ne produisent alors pas d’électricité. En ce moment, en France, pour une puissance installée voisine de 14 000 MW, les éoliennes fournissent 946 MW seulement ! Même pas 1% du total de la consommation électrique du pays (voir notre article du 16 janvier : Les écolos, une catastrophe écologique).
Mais l’absurdité des politiques écologistes ne s’arrête pas là. Dans les pays froids comme la Suède, la Norvège ou encore le Canada, les éoliennes ne servent pratiquement à rien car elles sont confrontées au givrage des pales qui les empêche de tourner. Alors, pour remédier au problème, on emploie les grands moyens : le dégivrage par hélicoptère ! De l’eau est chauffée (pendant toute la nuit) par un camion citerne spécial équipé d’un brûleur fioul de 260 kW. À l’aube, les 44 mètres cube d’eau à 60 degrés ainsi produits sont pulvérisés par un hélicoptère qui fait de multiples navettes entre le camion et les moulins à vent givrés. À raison de 850 litres (capacité du réservoir suspendu) d’eau par voyage, cela représente 52 rotations au moins soit 2 heures de travail au bas mot (si le camion n’est pas trop éloigné).
Pour effectuer l’opération, trois personnes sont nécessaires : le pilote de l’hélicoptère, l’opérateur qui commande le pulvérisateur à l’aide d’une télécommande et le chauffeur du camion qui remplit le réservoir suspendu. Les bilans financier et écologique sont catastrophiques. Jugez plutôt :
• location d’un hélicoptère avec pilote (minimum 800 €/h) ;
• location d’un camion spécial avec chauffeur (minimum 250 € la 1/2journée) ;
• location d’un pulvérisateur avec opérateur (tarif non connu).
Soit 3450 € la demi-journée (hors coût de la pulvérisation). Sachant qu’une éolienne n’est jamais isolée mais fait toujours partie d’un « parc éolien », plusieurs hélicoptères sont sans doute nécessaires. Cette opération de dégivrage incohérente doit donc coûter plusieurs dizaines de milliers d’euros par jour pour un seul parc. À multiplier par le nombre de jours de grand froid. Imaginez la dépense chaque hiver. Qui paye ?… Le consommateur, évidemment ! L’écologie, quand elle est incohérente à ce point, revient décidément très cher au gogo qui croit au discours fallacieux de la planète en danger. Mais le plus fou, c’est le bilan écologique désastreux de cette incongruité. En effet, plusieurs brûleurs fioul de 260 kW qui tournent chaque nuit et des hélicoptères qui prennent le relais chaque matin (100 à 140 litres de kérosène/heure), cela représente des tonnes de CO2, classifié « criminel » par les intégristes verts, dans l’atmosphère ! Sans oublier le glycol (un corps gras) ajouté à l’eau chaude pour empêcher l’adhérence d’une nouvelle couche de givre après nettoyage, dispersé généreusement dans l’environnement.
L’absurdité écologique de la situation a amené les constructeurs à imaginer des système moins coûteux et moins « impactants » pour l’environnement. Un projet financé par l’UE a développé une solution innovante combinant ultrasons et ondes de basse fréquence pour dégivrer et prévenir le dépôt de glaces sur les pales des éoliennes. Au Canada, on souffle de l’air chaud le long des pales ou à l’intérieur (puisqu’elles sont creuses). On expérimente aussi l’utilisation de drones géants, une solution à la fois plus rapide et plus sûre que l’envoi de personnels dans une nacelle élévatrice et moins coûteuse que l’hélicoptère. Mais quel que soit le procédé, il s’agit de consommer de l’énergie pour pouvoir en produire… Sans certitude et sans adéquation avec les besoins ! L’irrationnel reste de mise.
Voilà la triste réalité de l’éolien
Une réalité qui se traduit par l’absurde obligation de rallumer les vieilles centrales à charbon pour palier l’inefficience de ces énergies dites « renouvelables » et la menace de coupures d’électricité. Une réalité qui vient balayer tous les mensonges perpétrés depuis des années par les promoteurs de l’éolien – dont l’agence de maitrise de l’énergie (ADEME) – qui nous vantent abusivement les milliers de foyers potentiellement alimentés par chaque nouvelle éolienne implantée en affirmant qu’il y aura toujours du vent quelque part. Ce qui leur permet de justifier un déploiement dit « foisonnant » pour garantir la production du parc éolien français. Plus il y en aura, plus on aura de chance d’avoir du jus. Imparable… Et affolant !
Cette stratégie irresponsable a pourtant été actée par la signature de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE). Le gouvernement a non seulement sacrifié l’indépendance de la France, sa liberté d’action et son statut de grande puissance mais en plus, comme le prouvent les annonces de RTE et de Mme Pompili, il a désormais mis en danger la sécurité du territoire.
Vive l’écologie !
Charles ANDRÉ
Contrôler les Infos…
https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9EH2KE‑1
L’écologie n’est plus une science mais un dogme, une religion.
Celui qui ne croit pas à ce dogme devra être éliminé, comme ceux qui au moyen âge qui ne croyaient pas à Jésus.
Il ne faut pas oublier le plus grand écologiste du Monde appelé POL POT qui a détruit tous les progrès scientifiques et techniques au Cambodge pour faire revenir le peuple vers des valeurs non polluantes, cultiver la terre à la houe, et pécher avec un morceau de ficelle, et dormir à même le sol. Maitre Hulot et Pompilis ne sont que des nains par rapport à POL POT.
Bonne chance à l’humanité !
Sans oublier le réchauffement climatique que l’on met sur le dos de l’homme dans sa production de CO2 !
Les avions ne polluent pas, les bateaux non plus, la voiture oui !
La preuve par le confinement : la pollution n’a baissé que de 1%.
Merci
Ce n’est plus de l’écologie c’est l’asservissement par la culpabilité
2000 ans on a donné
Éolienne, Dette, Cov19, Vaccin, République = ESCROQUERIE !