L’antiracisme jusqu’à la nausée
Le monde du football, où les joueurs africains sont majoritaires – et les supporteurs au front bas très majoritaires –, est depuis longtemps confronté au problème du racisme. On ne compte plus les incidents avant, pendant et après matchs, ces regroupements hautement culturels où le prolétariat va porter volontairement son maigre fric à des multi-millionnaires au cerveau dans les pieds qui courent derrière un ballon. Les mesures disciplinaires défrayent régulièrement les chroniques de ces nouveaux jeux du cirque. Mais le plus consternant, en ces temps BLM, comprenez « black lives matter », ce sont les mesures « éducatives » préventives venues s’imposer dans ce sport, sous forme de « minutes de silence contre le racisme » exigées par les fédérations sportives et qui sont désormais devenues la règle en ouverture des matchs, y compris chez les amateurs.
Or, v’là-t‑y pas que le monde sportif tout entier, ayant trouvé de bon ton ce rituel imbécile, s’en empare maintenant. Ainsi a‑t-on pu voir, samedi dernier, notre équipe nationale de rugby sacrifier à la mode lors de la rencontre Italie-France à Rome. Voilà pourtant un sport « de gentlemen » où le respect de l’adversaire est exemplaire, autant sur le terrain que dans les tribunes, et qui n’a jamais eu à déplorer de problèmes de racisme. Il faut avoir vécu des rencontres du Tournoi des VI nations en Irlande ou en Écosse pour en attester.
Pour en revenir au principe de cette minute de silence censée sensibiliser à la lutte contre le racisme, il y a beaucoup à dire. D’abord, le racisme est loin d’être le seul problème rencontré dans le sport ? La parole se « libérant », on se rend compte que la pédocriminalité fait bien plus victimes et avec des conséquences bien plus dramatiques. Il ne s’agit pas de simples paroles mal interprétées ou de stupides cris dans des tribunes. Il y a abus sexuels d’adultes sur des mineurs.
Le patinage artistique, la natation, la gymnastique, le judo (entre autre) sont particulièrement touchés. Le livre que vient de publier Pierre-Emmanuel Luneau-Daurignac « L’entraîneur et l’enfant » (Seuil), délivre une analyse structurelle du phénomène qui fait froid dans le dos. D’après son enquête, un sportif sur sept serait victime d’une forme de violence sexuelle avant ses 18 ans. Et ce taux reste très, très largement en deçà de la réalité, prévient l’auteur.
Alors, à quand une minute de silence pour dire stop à ces pratiques sordides ?
Et puis, pourquoi pas des minutes de silence contre le dopage ? À ce jour, on sait que la prise de produits dopants peut avoir des conséquences d’une extrême gravité sur la santé : accidents cardiaques et circulatoires, insuffisances rénales et hépatiques, cancers, impuissance, stérilité, troubles pendant la grossesse, troubles psychologiques et du comportement, sans parle des addictions jusqu’à la toxicomanie… Et puis, tant qu’on y est, pourquoi pas des minutes de silence étendues à d’autres situations de sportifs, de par le monde, dont la gravité est plus avérée que celle du « racisme » verbal dont seraient victimes nos danseuses en crampons. Je pense, par exemple, à l’interdiction faite aux femmes de pratiquer certains sports voire tous les sports… Et on pourrait allonger encore la liste.
Alors, ras-le-bol de ces pantomimes « Black Lives Matter » imposées par la Bien-Pensance dans notre pays où le seul vrai racisme est aujourd’hui anti-blanc. Ras-le-bol de voir des fédérations en mal d’image, qui pensent ainsi s’acheter une une respectabilité, suivre stupidement, les unes après les autres, cette mode ridicule. Samedi dernier, le rugby s’est abaissé en se soumettant au dictat de la pensée obligatoire. Il a ainsi perdu beaucoup de sa noblesse. Désolant.
Charles André
Le cancer s’efforce de convaincre les cellules saines que leur comportement est tout sauf normal, ce stratagème lui permet d’entrer dans la place et de tout détruire. La prostitution a été interdite avec la bénédiction de l’église, mais que se passe t‑il vraiment ? le monde actuel, qui est en fait, un corps de frustration permanente, n’a plus d’exutoire, il s’en prendra naturellement aux plus faibles prioritairement, les millions de migrants s’en prendront nécessairement aux femmes et aux enfants, loin de moi de faire la promotion de la prostitution, mais les anciens avait compris qu’elle avait un avantage social, l’hystérie américaine qui voit dans le dévoilement d’un sein quelque chose d’obscène, n’a pour but, à part le fait de faire voir le mal où il n’existe pas selon les paroles de René Barjavel, que de canaliser l’énergie sexuelle à leur profit, voir le roman de George Orwell.
Dans ce monde décadent qui est le nôtre, on peut être :
menteur, tricheur, voleur, manipulateur, pédophile voire pédosataniste, etc.
Bref vous pouvez être la pire des fripouilles et des violeurs, mais vous n’avez pas le droit d’être RACISTE.
Ah non, tout mais pas RACISTE !
Et encore vous pouvez être raciste à l’égard des blancs, ça passe encore, mais pas raciste à l’égard des noirs, des arabes et des juifs.
Cette absurdité ne pourra durer bien longtemps.