Justice partisane et politisée
Quelques leçons à tirer des événements du weekend
Ainsi donc un énième déséquilibré a semé la terreur dans un quartier de Villeurbanne armé d’un couteau et d’une broche à rôtir. Un mort et plusieurs blessés, pour certains gravement. Quelle leçon doit-on en tirer ? Les premières infos données dans les médias nous disent immédiatement, que l’acte terroriste doit être écarté (comme d’habitude). On apprend par la suite qu’il est afghan, qu’il est demandeur d’asile après être passé par plusieurs pays européens, qu’il a débarqué en France où il bénéficie d’un permis de séjour sous plusieurs identités.
Immédiatement, l’homme est classé « déséquilibré », frustré de ne pas avoir obtenu son droit d’asile. Donc il pète les plombs comme on dit, et décide de poignarder tous ceux qui passent à sa portée, parce qu’ils « ne lisent pas le Coran ».
Il faut bien que je le dise parce que personne ne l’a dit ou écrit : il se réclame donc bien de l’Islam !
Comme tous ceux qui l’ont précédés. On ne compte plus les « déséquilibrés » ayant mené des attaques en solitaire en se référant au prophète ! Si ce ne sont pas des actes terroristes, inspirés par toujours la même religion, qui pourrait m’en donner la vraie définition ?
Par ailleurs, une fois de plus, que faisait sur le sol français un Afghan débouté du droit d’asile ? Les Afghans sont un peuple chatouilleux, violent et déterminé. Demandez aux Russes et aux Américains ce qu’ils en pensent. Raison de plus pour ne pas les laisser trop s’exprimer à leur manière chez nous.
Comment est-il entré en France à plusieurs reprises ? Je reviens sur la question et cela pose à nouveau quelques questions qui mériteraient une réponse. Cela montre bien la volonté du gouvernement de nous imposer de toute force une multitude de gens qui n’ont rien à faire sur nos terres, sinon pour certains d’entre eux, mettre la vie de nos compatriotes en danger.
La majorité des clandestins, quelle que soit leur origine, arrivent en France depuis l’Italie. Deux points de passage essentiellement : le col de l’Échelle dans les Hautes Alpes et la vallée de la Roya dans les Alpes Maritimes.
Si cette dernière hypothèse est la bonne, le passeur Cédric Herrou serait un peu co-responsable de la tuerie de Villeurbanne ?
Reste l’autre hypothèse : l’entrée en France par les Hautes Alpes. La police et les douaniers ont abandonné depuis longtemps la surveillance de cette frontière qu’ils jugeaient peut être inaccessible pour des Africains, ceux-là n’étant pas vraiment des habitués des pistes enneigées, un peu comme les éléphants d’Hannibal.
C’est pour cette raison que les jeunes de Génération Identitaire avaient décidé en avril 2018 de montrer l’incohérence du gouvernement de ce côté-là aussi. Quelques heures sur place pour interdire le passage et raccompagner poliment et sans violence les clandestins en Italie, cela doit être souligné non comme un infraction mais comme un acte civique exemplaire. Or, c’est tout le contraire qui est formulé par notre drôle de « justice ».
On se souvient d’un certain Benalla, déguisé en policier, frappant à bras raccourcis sur des manifestants parisiens. Lui n’a jamais été condamné.
Une autre preuve de la volonté unique de condamner lourdement tout ce qui peut ralentir l’immigration massive qu’on nous impose se trouve dans le texte de l’accusation :
L’identité des membres du groupe « de randonnée » n’a pas été relevée, mais il est établi que c’est Damien LEFEVRE qui a effectué la réservation des hélicoptères et mené la négociation avec le gérant, en particulier pour exiger que le logo soit apposé non pas sur l’hélicoptère rouge et blanc de la compagnie, ce qui aurait dû être le cas en principe, mais sur l’hélicoptère bleu, ce qui a nécessité des adaptations, au prétexte que le logo « DEFEND EUROPE » ne se serait pas suffisant détaché ou n’aurait pas été suffisamment visible sur une carlingue rouge et blanche. On ne peut ici compte-tenu du contexte éliminer l’hypothèse que l’insistance de Damien LEFEVRE pour que le logo soit apposé sur la carlingue de l’appareil bleu soit due à la similitude de cet appareil avec ceux de la gendarmerie ou du PGHM, similitude de nature, sinon destinée à créer une confusion
Accusation que tout un chacun peut vérifier sur la photo ci-dessous !
Cela donne une idée objective de la partialité de la justice dans la France de Macron
Il faut dire que, d’après Jean-Yves Le Gallou, la présidente du tribunal de Gap, Isabelle Defarge, décorée de la Légion d’Honneur, avait participé en tant que magistrate à un colloque immigrationniste tenu à Toulon en 2007 :
Des juges qui confondent la robe de magistrat avec un habit de militant politique ne rendent plus la justice au nom du peuple Français, mais en leurs propres noms. L’appareil judiciaire n’est alors plus qu’un instrument politique au service d’intérêts particuliers. https://t.co/p4KTAuq8Wu
— 🇫🇷 Alt-Droite (matricule 6921) (@CtrlAltDroite) August 31, 2019
Nous avons en France des juges partiaux qui font preuve d’une bienveillance militante à l’égard de « déséquilibrés » meurtriers tous islamisés tandis qu’ils condamnent outrageusement les Français qui refusent cet abandon.
Combien de morts encore pour que la France se réveille ?
Patrice LEMAÎTRE