Vous dites bien « féminicide » ?
Après le drame de Cagnes
L’indignation bien normale est à son comble dans tous les médias, qui dénoncent le 100e « féminicide » de l’année, qui a été perpétré dans notre département, honneur dont celui-ci se serait bien passé.
Mais au fait… est-ce bien un « féminicide » ?
Si le terme est abondamment usité ces jours-ci en raison de l’actualité, il ne faut pas pour autant l’employer à tort et à travers.
Un seul dictionnaire de la langue française propose une définition à ce mot, c’est Le Robert. Et il indique qu’un féminicide, c’est « le meurtre d’une femme, d’une fille, en raison de son sexe ». Est-on donc bien toujours en présence d’un féminicide ?
Je ne crois pas.
Si le mot sonne bien dans l’actualité, grâce à l’usage qu’en font toutes les féministes, il est le plus souvent galvaudé et utilisé mal à propos. Toutes ces malheureuses femmes assassinées par leur mari, conjoint, concubin, compagnon, ne l’ont pas toutes été forcément et uniquement parce qu’elles étaient femmes, de la même manière que la caissière d’un bureau de tabac braqué par des petits truands succombe d’une balle perdue…
L’amalgame est criant, mais le Politiquement Correct n’en a cure
Un article de TV5 Monde citait dans les exemples de vrais féminicides : les avortements de filles en Chine, les meurtres d’honneur ou encore les meurtres massifs de femmes au Mexique et au Guatemala à partir du début des années 1990.
Bien entendu, il faut surfer sur la vague émotionnelle produite par les médias, et donc promouvoir ce néologisme pour cacher la duré vérité(1). C’est politiquement payant et Mme Schiappa ne s’y est pas trompée, prenant vite le train de l’indignation en marche.
L’identité des tueurs n’étant que très rarement divulguée, on peut quand même, au vu de l’événement horrible de Cagnes, observer que la jeune femme n’a pas été tuée parce qu’elle était une femme, mais parce qu’elle refusait de vivre sous la contrainte d’un « homme » qui exigeait d’elle une soumission totale, vestimentaire, alimentaire et ainsi de suite. Une autre femme a d’ailleurs témoigné avoir subi des tortures de la part de ce barbare.
Si on pouvait faire des statistiques et des études sur le profil des tueurs, je suis certain que beaucoup auraient des points communs avec Amin le Grassois, comme on peut le deviner dans cette enquête et ce sondage réalisés en Suisse par le quotidien 20 minutes, il y a tout juste deux jours.
On s’aperçoit donc que la « féminité » n’est pas la cause première, même si elle intervient comme facteur aggravant, une femme étant (n’en déplaise aux féministes), moins forte physiquement qu’un homme, le crime en est d’autant plus facile, et donc lâche.
Le facteur déterminant, c’est la culture, et donc la religion
Et comme on peut s’y attendre, ce sont les pays islamisés qui sont le plus touchés par cette violence. Bien qu’il nous soit interdit de l’envisager, les meurtres de femmes sont donc bien liés à l’immigration, et par suite ils sont en constante augmentation. Mais ce facteur ne sera jamais pris en compte dans le « Grenelle des violences conjugales » prôné par Marlène Schiappa. Ce qui n’est guère encourageant pour les femmes de notre pays qui continueront de tourner autour du pot en dénonçant et en comptabilisant les « féminicides » tant qu’on leur interdira de dire la vérité.
Patrice LEMAÎTRE
(1) Féminicide est un néologisme inventé par la Police de la Pensée afin de faire pendant à homicide.
C’est stupide puisque homicide vient du latin homo, ‑inis : homme, dans le sens « espèce humaine, être humain », et caedere : tuer. Il est vrai que nous n’avons pas en français de terme pour désigner l’être humain, homme et femme confondus. Nous trouvons un subterfuge en écrivant « Homme » — avec H majuscule — pour l’espèce humaine, et « homme » — avec h minuscule — pour désigner les êtres masculins. Il faut bien reconnaître que ce n’est guère satisfaisant.
Les Allemands ont « der Mensch » : le genre humain, « der Mann » : l’homme et « die Frau » : la femme.
Si à présent le Politiquement Correct distingue le féminicide de l’homicide, il faudrait alors distinguer le « viricide » pour désigner le meurtre de personnes mâles.
La Police de la Pensée est très attentive à notre vocabulaire. Elle a inventé par exemple le mot « migrant » pour désigner des immigrés clandestins.
[NDLR] Illustration à la une : La lapidation d’une femme adultère, illustration d’un manuscrit des 1001 Nuits d’Abou Hassan Ghaffari ou de son atelier, Téhéran, 1853–1857 (source Wikipedia).
“Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde.”
Qu’Albert Camus en soit l’auteur (certains le contestent) ou non, n’enlève rien à la forte pertinence de cet aphorisme !
Vous avez osé aborder ce problème en désignant la culture, la religion, et l’origine des agresseurs ( l’illustration de votre propos : la lapidation en est une preuve!!.…) Il faudra bien qu’enfin on tienne compte de ces facteurs.…..Hélas nos gouvernants tournent la tête devant la réalité!!
« Hélas nos gouvernants tournent la tête devant la réalité » Nos gouvernants tournent DÉLIBÉRÉMENT la tête devant cette réalité. Pire : ils nous interdisent de la voir !
C’est bien qu’ils ont une idée derrière la tête. C’est donc bien qu’ils veulent nous IMPOSER cette immigration arabo-musulmane.
Merci pour cette rectification. Les mots sont souvent détournés par les médias.
Bravo également d’aborder un des points essentiels du problème : l’origine des agresseurs. Les massacres ont explosé depuis cette immigration massive.
Qu’est ce qu’il faut pour que la masse ouvre les yeux et réagisse ?!
Pour changer les consciences , se servir de l’obligation donnée par l’état d’apprendre le français par des cours de français ou d’Alpha selon les cas ! La culture est porteuse de réflexion et de débats ! Leur donner le moyen de vivre en harmonie à la française permettra d’éradiquer bien des situations causées par leur ethnicité plus ou moins refoulée !