Manif contre les violences faites aux femmes ? Ou manif contre l’homme (blanc de préférence!) ?
Lors de la manifestation « Nous toutes » qui s’est déroulée samedi dernier à Paris le 22 novembre 2019, s’est produit un étrange événement. Un collectif de féministes qui dénonçait les agressions commises par les étrangers, a été expulsé par les autres manifestants présents.
Des femmes qui se font agresser lors d’une manif contre les violences faites aux femmes ? Elles pensaient pourtant que c’était le dernier endroit où cela pourrait se produire. C’est malheureusement ce qu’il se passe aujourd’hui, lorsque vous défendez un féminisme non-conforme qui ose pointer du doigt l’immigration de masse et ses répercussions sur la vie des femmes sur notre territoire. En moins de 15 minutes les militantes ont été violemment expulsées par des manifestantes. Et pourtant, n’avaient-elles pas raison ?
Une courte vidéo de notre passage à la manif #Noustoutes pic.twitter.com/ccsouGdd6O
— Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) November 24, 2019
Nos féministes patentées de la Bien Pensance préfèrent humilier l’homme (blanc) dans une scénette d’un mauvais goût sordide mais — hélas — révélatrice des motivations revanchardes et perverses de ces furies stupides et manipulées :
Marie s’infiltre dans le cortège de la manifestation contre les #feminicides à #paris #noustoutes pic.twitter.com/x3NKwX8EzY
— Alexandra QUARINI (@alexquarini) November 23, 2019
Ces pécores rejettent dogmatiquement que l’immigration massive que l’on subit depuis 50 ans, puisse être la cause de bien des maux, et les violences faites aux femmes n’est pas le moindre. Mais ça, c’est tabou.
Il suffit pourtant de regarder autour de soi. Et si on ne sort pas, il suffit de lire les résultats d’une enquête datant de 2016, parue dans le quotidien 20 Minutes, pour mieux comprendre le phénomène. Selon ce sondage : dans 52% des cas l’agresseur est de nationalité étrangère.
Ajoutons à cela, les Français de papier d’origine extra-européenne, imprégnés d’une culture où la femme est bafouée et le taux devient tout bonnement délirant : 70, 80, peut-être même 90% des violeurs seraient étrangers ou d’origines étrangères.
Portrait-robot du violeur type : c’est un étranger de 34 ans
C’est la police qui le dit ! En effet, les 322 agresseurs identifiés par la police (en 2016) sont tous des hommes (pour les agressions sur majeurs), et âgés en moyenne de 34 ans. Plus de la moitié d’entre eux sont de nationalité étrangère (52 %) et 44 % sont sans emploi, rapporte toujours le quotidien 20 Minutes. 48 % d’entre eux étaient connus des services de police, dont 20 % pour des infractions sexuelles. Dans cette logique, lutter contre la violence faite aux femmes induit de lutter contre l’immigration exogène massive. Mais allez faire comprendre cela à Mme Schiappa !
Les autorités françaises camouflent cette réalité en interdisant les statistiques ethniques. Pourquoi donc ?
Pour revenir à cette manifestation qui voulait dénoncer, à juste titre donc, les violences faites aux femmes, on tombe malheureusement dans la caricature des féministes de tous poils, qui n’ont qu’un but, la chasse aux hommes, blancs de préférence, ce qui explique les faits ci-dessus. Un travail de sape de plus à l’encontre de notre mode de vie. En effet, la minorité des hommes coupables de ces violences sur les femmes ne le sont pas par « coutume » ou « habitude », mais par des causes plus sociétales comme le chômage, la boisson… Alors que pour la majorité de ces crimes, le facteur déterminant, c’est la culture, comme je l’écrivais déjà dans un article précédent (lire Vous dites bien « féminicide » ? du 5 septembre 2019).
La violence sur les femmes n’a jamais fait partie des mœurs de l’homme européen. Depuis la nuit des temps, la femme est respectée en tant que telle, et les cas ne sont pas rares où les femmes ont joué un rôle prépondérant dans la conduite d’un clan, d’une tribu, d’un peuple, d’une province ou d’un pays. Même si effectivement, le rôle des femmes et des hommes a toujours été différent dans la société, ce que l’on peut regretter dans certains domaines, mais c’est un autre débat. L’homme européen n’a jamais rabaissé les femmes, ne les a jamais humiliées, ne les a jamais mises au ban de la société, à plus forte raison n’a jamais exercé sur elles des violences liées à sa culture. Au contraire, le galant homme est celui qui valorise la femme. Dans nos sociétés européennes, la femme n’est pas considérée comme inférieure à l’homme, contrairement aux sociétés africaines ou arabes.
L’égalitarisme homme-femme est une fable, un mythe. Je préfère parler de complémentarité homme-femme, ce qui serait possible dans une société non régie par l’argent. Mais ce dont rêvent les féministes d’aujourd’hui, c’est une société où elles prendraient leur revanche en asservissant l’homme, comme elles pensent que l’homme les a asservies. Autrement dit, retourner le problème… et non pas le résoudre.
Patrice LEMAÎTRE
UNE CHANCE POUR LA FRANCE A 100% !! Les vraies femmes n’ont aucune revanche à prendre ! Les bobos féministes lesbiennes ou mal satisfaites, elles sont dans la haine ! Le système est généreux pour leurs associations de connes aux frais du contribuables.