Nicolas Hulot : hors du dogme, je refuse de débattre
Lundi 13 janvier, 18 heures 20, dans son émission quotidienne « On refait le monde », Thomas Sotto reçoit Nicolas Hulot, notre célébrissime écolo national aux neuf véhicules à moteur thermique, aux belles villas en Bretagne et en Corse(1), l’éphémère ministre de la fumeuse Transition écologique et solidaire qui, dans un grand sanglot ridicule, donna sa démission au Président par média interposé. Autour de lui, les polémistes du jour : Abnousse Sahlmani, journaliste d’origine iranienne, Elsa Grangier, humoriste, Laurence Taillade, présidente de l’Observatoire de la laïcité du Val d’Oise, présidente de Forces Laïques et Jean-Bernard Schmidt, journaliste.
Le débat porte évidemment sur la situation de l’Australie en proie à de dramatiques incendies
Tout le monde s’accorde à en déplorer la gravité pour la faune et la flore avec, tout de même, une petite pensée pour les victimes humaines. Hulot y va donc de sa partition catastrophiste sur les conséquences du réchauffement climatique responsable de centaines de milliers de morts chaque année. Lancé dans une de ces tirades rebattues sur la fin du monde qui nous guette, il lance :
« Combien de personnes sont tuées par les extrêmes climatiques ? »
— « Onze mille en 2008 » coupe Abnousse Sahlmani qui ajoute aussitôt :
— « Il étaient 3,7 millions en 1931 ».
C’en est trop pour notre apôtre de l’apocalypse persuadé de détenir la vérité. Scandalisé, il accuse aussitôt sa contradictrice de négationnisme. Le point Godwin n’est jamais bien loin chez nos dirigeants.
« D’où sortez-vous ces chiffres fantaisistes ? » s’insurge-t-il.
— « Ce sont les chiffres du GIEC… », répond calmement Abnousse Sahlmani,
— « Tirés du rapport de Michael Shellenberger(2) », précise-t-elle.
Une page de publicités vient opportunément interrompre l’échange.
À la reprise, Thomas Sotto rappelle rapidement le nom de ses invités lorsque Nicolas Hulot lui coupe la parole :
« Ah, pardon, là vous ne refaites pas le monde, vous refaites l’Histoire ! Je suis désolé mais moi, je ne participerai pas à une émission où on polémique sur les changements climatiques. Le monde a suffisamment souffert de ça. Maintenant, la science a tranché, à la fois sur ses effets, ses causes et ses conséquences et d’entendre sur une radio nationale que l’on minimise les effets et que l’on prend ça comme un petit problème parmi d’autres, excusez-moi mais je ne participe pas à la polémique, je ne veux pas abonder dans ce sens. Simplement, je ne refuse pas le débat ; le débat, il a eu lieu avant, il a été tranché par la science, par les économistes et je ne veux pas que, dans cette émission, tout ce qui a été dit soit anéanti par des chiffres qui n’ont absolument aucune valeur parce qu’ils mélangent tout. » Sur ce, Hulot se lève pour se retirer du débat. Thomas Sotto réussira à le convaincre de rester en le priant de répondre à une question d’un jeune auditeur, Antoine, 9 ans, qui voulait savoir pourquoi le vélo est moins développé à Paris qu’à Amsterdam.
Notre grand écolo millionnaire et menteur-tricheur ne supporte pas la contradiction. Arc-bouté derrière LA science, celle du GIEC dont il n’accepte même plus les chiffres s’ils ne servent pas son évangile, il perd ses nerfs et se donne en ridicule sur la plus grande radio de France. Ce petit monsieur aux mille et une contradictions qui a roulé les Français dans la farine avec un simulacre de démocratie participative lors de la consultation sur la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Énergie), se prend désormais pour un pape qui ne saurait être contredit. Quiconque conteste le dogme est un hérétique avec lequel il ne faut plus discuter. Et si l’autodafé n’est plus en pratique de nos jours, Nicolas Hulot continue de le perpétrer à sa manière.
Quand on est vrai écologiste au quotidien, que l’on pratique consciencieusement les mille gestes censés apporter une petite pierre à l’édifice, comment peut-on encore admirer cet écologiste doctrinaire, fouettard et fumeux, et qui vit grand train ?
Mais puisqu’on vous dit qu’il est la personnalité préférée des Français !
Charles André
(1) Encore un qui triche sur sa déclaration de patrimoine, comme tous ses anciens collègues ministres. Ainsi en 2004 il achète une villa à Saint-Lunaire en Bretagne 1 million 6, il y fait 800 000 euros de travaux — quand même, et c’est lui qui le dit. Résultat : la villa est évaluée par Nicolas Hulot 1 million 5 ! La bonne blague.
(2) Auteur et militant écologiste américain, fondateur de l’association Environmental Progress et du « think tank » Breakthrough Institute
SI CE MESSIEUR SAVAIT CE QUE LA SCIENCE DIT « C EST QUE CE N EST PAS UN RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » MAIS UN CHANGEMENT CLIMATIQUE CAR LA GALAXIE SE RECHAUFFE CELA TOUS LES ASTRONOMES LE SAVENT SAUF LUI ET BIEN SUR UN REEQUILIBRAGE DOIT SE FAIRE
CELA ME RAPPELLE CEUX QUI ON FAIT UN DOGME DE DARWIN QUI LUI MEME A DIT QUE C ETAIT UNE THEORIE
A noter que ce guignolo ne sait pas ce que c’est que La Science, une chose qui n’existe pas alors qu’existent “les sciences” toutes différentes et en évolution constante sans jamais de résultat définitif…
Quelques lectures lui feraient du bien !
Notre grand Tartuffe, hypocrite, bobo, prétentieux, affairiste et gonflant fait encore des siennes. Il devient vraiment détestable ce type !
Mais comment ce type peut-il être la personnalité préférée des Français ?
Pour être élu « personnalité préférée » des Français, il faut se foutre de leur gueule !