Nuit du 4 août 1789 : l’abolition des privilèges
« Un État chancelle quand on en ménage les mécontents. Il touche à sa ruine quand on les élève aux premières dignités. » (Diderot (1713−1784) « Principes de politique des souverains »)
« La société est composée de deux grandes classes : ceux qui ont plus de dîners que d’appétit et ceux qui ont plus d’appétit que de dîners. » (Nicolas de Chamfort (1740−1794), « Pensées, maximes et anecdotes »)
« Je ne consentirai jamais à dépouiller mon clergé, ma noblesse…C’est alors que le peuple français pourrait m’accuser d’injustice et de faiblesse…Si la force m’obligeait, alors je céderais, mais alors il n’y aurait plus en France ni monarchie ni monarque… » (Lettre prémonitoire – début 1789 – du Roi Louis XVI)
Notre république, gavée aux idéaux des Lumières et qui a fait de la Révolution son marqueur historique, ne fête jamais la nuit du 4 août 1789. Allez savoir pourquoi !
Certes, quand on voit la suffisance, l’arrogance, le train de vie, les privilèges et les passe-droits de nos petits marquis de la politique, il serait malvenu – presque indécent – de critiquer l’Ancien Régime. En période de crise – une crise d’une ampleur inégalée depuis la seconde guerre mondiale – le premier ministre vient de nous annoncer la nomination de 11 secrétaires d’État, en plus d’un nombre déjà pléthorique de ministres, ministres délégués, sous-ministres. Et on attend encore d’autres nominations : on va même recréer le poste, parfaitement inutile, de « haut commissaire au Plan », comme à la Libération. Il semble que ce job de parasite sera offert à François Bayrou, le crétin des Pyrénées, qui pourra ainsi rester maire de Pau (et cumuler les deux rémunérations). Elle est belle la « moralisation de la vie politique » souhaitée par Macron et Bayrou en 2017 ! Ce gouvernement, qui décidément ne recule devant RIEN, a même réussi à recycler Sibeth N’diaye qui aura la charge de découvrir les talents politiques de demain. De qui se moque-t-on ?
Autrefois, les petits hobereaux de province respectaient le peuple car ils étaient souvent presque aussi pauvres que lui. De nos jours, Macron voit, dans les gares, « des gens qui ne sont rien » et l’un de ses baronnets ironise sur « ceux qui clopent et qui roulent au diésel ».
Quelle morgue, quelle suffisance, quel mépris !
Mais parlons de cette fameuse « nuit de 4 août 1789 » car elle n’est pas sans rappeler la collaboration honteuse, la veulerie, le « genou à terre » devant la racaille allogène, la complaisance à l’égard du clan Traoré, l’incapacité à sanctionner la canaille, à rétablir l’ordre dans les banlieues de non-droit, en deux mots la lâcheté des « élites » qui prétendent nous gouverner. La nuit du 4 août, c’est une longue séance nocturne de l’Assemblée Constituante au cours de laquelle fut votée la suppression des privilèges féodaux. Débutée à sept heures du soir, elle allait se prolonger jusqu’à deux heures du matin. L’Assemblée Constituante mettait à terre le système féodal. C’était l’abolition pure et simple de tous les droits et privilèges féodaux ainsi que de tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations, à l’initiative du « Club Breton », le futur « Club des Jacobins ».
En fait, cette décision d’abolir les privilèges découle d’un mélange de peur et de démagogie de la part des « élites » de l’époque : qui dira que l’Histoire ne repasse pas les plats ? L’Assemblée était en train d’élaborer la future constitution (ainsi que la « Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen ») lorsqu’elle fut informée, par plusieurs récits alarmistes, des émeutes et mouvements populaires qui sévissaient un peu partout en France. L’Assemblée Constituante envisage alors deux hypothèses :
• soit réaffirmer les valeurs de la propriété, et donc contrôler la révolte. Solution rejetée, car ces messieurs ont la trouille au ventre ; une peur panique de la colère paysanne ;
• soit instaurer des « bureaux de secours », qui permettraient d’aider les plus pauvres. Mais cette suggestion ne répond en rien à l’urgence de la situation. C’est donc pour sortir de ce blocage, nous dit-on, que naît l’idée de l’abolition des droits seigneuriaux. En réalité, cette idée fumeuse a germé au sein du « Club Breton ». Ce projet émane de quelques aristocrates ouverts aux idéaux des Lumières (et, pour la plupart, francs-maçons) : le duc d’Aiguillon lance l’idée, aussitôt reprise par de vicomte de Noailles. Dans une ambiance de quasi panique, Guy de Kerangal, le vicomte de Beauharnais, Lubersac, l’évêque de La Fare vont surenchérir en supprimant, pêle-mêle, les banalités, les pensions sans titre, les juridictions seigneuriales, le droit de chasse, les privilèges ecclésiastiques…etc…etc… Le marquis de Foucault demande que « le premier des sacrifices soit celui que feront les grands, et cette portion de la noblesse, très opulente, qui vit sous les yeux du Prince, et sur laquelle il verse sans mesure et accumule des dons, des largesses, des traitements excessifs, fournis et pris sur la pure substance des campagnes ». Une généreuse envolée digne de la « gauche-caviar » actuelle ! Le vicomte de Beauharnais propose « l’égalité des peines sur toutes les classes des citoyens, et leur admissibilité dans tous les emplois ecclésiastiques, civils et militaires ». Cottin demande l’extinction de « tous les débris du régime féodal qui écrase l’agriculture ». L’Assemblée est en proie à une cacophonie démagogique ; chacun y va de sa proposition. Michelet écrira un siècle plus tard, dans un style emphatique(1) : « Après les privilèges des classes, vinrent ceux des provinces. Celles qu’on appelait Pays d’État, qui avaient des privilèges à elles, des avantages divers pour les libertés, pour l’impôt, rougirent de leur égoïsme, elles voulurent être France, quoi qu’il pût en coûter à leur intérêt personnel…Le Dauphiné, dès 1788, l’avait offert magnanimement pour lui-même et conseillé aux autres provinces. Il renouvela cette offre. Les plus obstinés, les Bretons, liés par les anciens traités de leur province avec la France, n’en manifestèrent pas moins le désir de se réunir. La Provence en dit autant, puis la Bourgogne et la Bresse, la Normandie, le Poitou, l’Auvergne, l’Artois. La Lorraine, dit… qu’elle avait le bonheur de se réunir à ses frères, d’entrer avec eux dans cette maison maternelle de la France, dans cette immense et glorieuse famille ! Puis ce fut le tour des villes… » Enfin, Lally-Tollendal termine la séance en apothéose en proclamant Louis XVI « Restaurateur de la Liberté française »(2). En une nuit, les fondements d’un système vieux de plusieurs siècles s’effondrent. Le bon Roi Louis XVI n’accorde sa sanction (son aval) à ces décrets que contraint et forcé, le 5 octobre. Ainsi disparaissent les privilèges des ecclésiastiques, des nobles, des corporations, des villes et des provinces. Toutefois, « charité bien ordonnée commençant pas soi-même », les droits féodaux sont déclarés rachetables le 15 mars 1790, et leurs détenteurs ne sont pas tenus d’en prouver l’origine. Mais, devant le refus de quelques communautés paysannes, l’Assemblée supprime le rachat des droits le 25 août suivant. Enfin, le 17 juillet 1793, la Convention vote leur abolition complète, sans indemnité, et l’autodafé des titres féodaux.
Sont donc abolis par ces diverses lois : la main-morte réelle et personnelle (article 1er), la servitude personnelle (article 1er), l’exclusivité seigneuriale sur les colombiers (article 2), la chasse (article 3), l’exclusivité sur l’accès à certaines professions (article 11), les justices seigneuriales (article 4), les dîmes (article 5), la vénalité des offices (article 7), les privilèges particuliers de provinces (article 10) ainsi que la pluralité des bénéfices (article 14)…
Le Roi Louis XVI est proclamé « Restaurateur de la liberté française » par l’article 17. L’année suivante, à la « Fête de la Fédération », il donnera le premier coup de pioche pour planter « l’arbre de la Liberté » et acceptera de coiffer le bonnet phrygien. Puis, le 21 janvier 1793, sa tête finira dans le panier du « rasoir national », toujours au nom de la Liberté bien sûr !
L’abolition des privilèges était-elle une nécessité inéluctable ? Si l’on tient compte du pourrissement – moral et mental – d’une noblesse de cour, nourrie et enrichie sur le dos d’une paysannerie qui, elle, crevait de faim, cela ne fait aucun doute. D’autant que cette noblesse, qui n’en avait plus que les titres et privilèges, se plaisait à critiquer le Roi et l’Église dans les salons de quelques cocottes(3) ou dans les Loges maçonniques qui fleurissaient partout. On avait oublié que les privilèges et droits féodaux imposaient, en contrepartie, des devoirs sacrés : le Chevalier était, si besoin, homme de guerre. Il mettait son épée au service de son Roi(4), protégeait ses vassaux et défendait « la veuve et l’orphelin ». Il était prêt à verser l’impôt du sang. Le clergé soignait les malades et les indigents, hébergeait les pèlerins, aidait les pauvres et les nécessiteux, créait des écoles. Saint Vincent-de-Paul est le précurseur de la Sécurité Sociale(5) et non pas l’abbé Pierre, car ce curaillon miteux avait une charité chrétienne à géométrie variable(6).
Les dynasties bourgeoises – les banquiers, les armateurs, les maîtres de forges – ont supplanté les aristocrates.
On a remplacé Dieu par le fric-roi et on a envoyé dans les mines des enfants de 10 ans (auxquels on accordait généreusement une journée de repos pas semaine et des journées limitées à… 12 heures de travail). Rien de nouveau sous le soleil puisque, de nos jours, le « bobo » achète des vêtements « froissés chics » fabriqués au Vietnam ou au Bengladesh par des gosses qui triment six jours sur sept pour un salaire de misère. Au début des années 60, la loi scélérate dite « Pisani-Debatisse » (tous deux francs-maçons) supprimait l’un des derniers privilèges : celui des bouilleurs de cru. L’État jacobin ne supportait pas l’idée qu’un petit propriétaire puisse transmettre à son fils le droit de confectionner sa goutte, sa gnole, son marc, et de surcroît sans payer de taxes.
Alors oui, on peut s’interroger sur l’intérêt ou la nécessité d’abolir les privilèges. Sous l’Ancien Régime, les impôts étaient nombreux et le vassal devait un tiers de ses gains – en temps ou en argent – au Royaume et/ou à son suzerain. De nos jours, Le Figaro nous apprend que, si l’on retire de ses revenus les impôts, taxes, et cotisations sociales diverses et variées, le Français travaille pour l’état jusqu’au… 25 juillet. En clair, notre économie socialiste – car il s’agit bien de cela ! – lui prend les deux tiers de ce qu’il gagne. Et la France bat un record mondial d’hyper-fiscalité puisqu’on compte chez nous plus de 200 impôts et taxes. Notons, au passage, que les pays qui sont encore des monarchies – certes constitutionnelles – s’en sortent plutôt mieux que nous.
Franchement, cela valait-il le coup de faire une révolution, de guillotiner le Roi, de massacrer la Vendée, de mettre l’Europe à feu et à sang ? Sincèrement, je pense que non mais ceci n’engage que moi !
Éric de Verdelhan
(1) « Histoire de Révolution française », de Jules Michelet, Flammarion, 1897–1898.
(2) Et, le 21 janvier 1793, la France guillotinera le « Restaurateur de la Liberté française », sans doute pour le remercier d’avoir été si bon ?
(3) De nos jours, on dirait « poules de luxe ».
(4) Et au service de Dieu car le Roi était monarque « de droit divin ».
(5) Mais qui ne coûtait rien au contribuable.
(6) En 1954, le saint homme, avant de lancer son appel en faveur des sans-abris, avait refusé sa pitié aux combattants de Diên-Biên-Phu qui faisaient — selon lui — « une sale guerre colonialiste ». C’est le même qui, plus tard, condamnera les parachutistes d’Algérie mais pas le FLN.
Excellent article.
Vive Dieu, vive le Roi de France (son lieutenant sur Terre), vive la France et à bas la République.
La monarchie royale et catholique est le gouvernement naturel des Français. Entre le Roi et son peuple, nul intermédiaire n’est nécessaire car le Franc est réputé homme libre.
Nulle liberté sans le Christ et son Église, qui est la Religion des Français et l’âme de la France.
Nicolas ZAHAR
@Jean VIBES
Nous avons suffisamment de recul historique pour apercevoir que l’abolition de l’absolutisme n’a été, pour les peuples, qu’un bienfait très illusoire. Les maîtres du discours, dont la profonde connaissance de l’âme humaine est reflétée dans leur art séculaire, avant la lettre, de l’ingéniérie sociale, contenu dans le manuel qu’ils nous léguèrent, volens nolens, en 1903, savaient que la protection de dernier recours pour le peuple, c’était l’absolutisme. Ils se sont donc efforcés, avec succès, de la détruire. Relisons le 10e protocole dans la traduction Nilus. Il nous dit : « Le libéralisme donna naissance aux gouvernements constitutionnels, qui prirent la place du despotisme – la seule forme de gouvernement saine pour les Gentils. »
La traduction anglaise donne : « Le libéralisme donna naissance aux gouvernements constitutionnels, qui prirent la place de ce qui fut l’unique protection des Gentils, c’est-à-dire le despotisme. »
(La traduction Boutmi omet complètement la proposition relative et s’arrête court à « gouvernements constitutionnels ».)
Faisons donc confiance à leur expertise, car nous pouvons aussi constater, par tous ses effets funestes, que l’abolition de l’absolutisme a bien détruit la dernière protection des peuples.
Si, aujourd’hui, nous n’avons même plus la liberté de respirer librement et que la loi entérine la négation du principe premier du code de Nuremberg, quelle preuve supplémentaire voulons-nous ? Ce ne sont pas quelques individus, isolés dans les gares, qui ne sont rien, mais c’est bien nous, le peuple tout entier, qui ne sommes plus rien.
De la même manière, les instances mondialistes, aujourd’hui, nous informent de leurs plans à notre égard et se fient à la vertu de l’adage « Qui ne dit mot, consent », dont ils contrôlent la stricte application par la dominance culturelle qu’ils infligent aux masses. La vision de notre avenir est disponible à quiconque le désire sur le site du Forum Économique Mondial. La Grande Remise à zéro incluera également celle de nos idées, dont nos maîtres ont déjà défini ce qu’elles devront être.
« Il n’y a pas photo entre une société américaine libérale et le stalinisme ». Quel principe directeur du communisme de Weishaupt n’a pas encore été mis en œuvre par le libéralisme ? Le bolchévisme n’est qu’une version enfantine, édulcorée, de ce que sera le stade final du libéralisme. L’euphorie béate induite par le grand canular médiatique de la Chute du Mur de Berlin a seulement été la présentation de la médaille symbolique sous l’autre face, le profil droit du communisme, pour nous anesthésier. Mais on voit aujourd’hui que la destination est bien restée la même.
Tout y est passé, notre culture, nos valeurs dérivées de la loi naturelle, notre religion, notre famille et nos libertés.
Tout comme la singularité précédant le « big bang » est dite avoir déjà contenu potentiellement toutes les lois futures de la physique, le principe luciférien du libéralisme contenait, ab ovo, l’avortement au 9e mois et toutes les abominations transhumanistes à venir.
En paraphrasant JMLP, on pourrait aussi dire que l’abolition des privilèges n’a été qu’un « détail » de l’histoire du libéralisme, qui fut instigué par la Franc-Maçonnerie. Si l’on examine le programme d’Adam Weishaupt, fondateur de la Loge des « Illuminés » en 1776 et inspirateur du Club des Jacobins, on est aussitôt convaincu que Weishaupt est bien le fondateur de la Première Internationale, comme relaté dans « Symphonie en Rouge Majeur » de Josef Landowsky, durant l’interrogatoire, par la police staliniste, de Christian Rakovsky, un proche de Trotsky.
Nesta Webster dans son livre « La révolution mondiale » avait déjà analysé le parallèle des idées de Weishaupt avec celles de Marx. Les points forts du programme de la Loge des « Illuminés » peuvent être résumés ainsi :
1. Abolition de la monarchie
2. Abolition de la propriété privée,
3. Suppression de l’héritage.
4. Abolition du patriotisme.
5. Abolition de la famille
6. Abolition de toute religion.
Le sous-titre de son livre, « Le complot contre la Civilisation », est sans doute plus compréhensible avec notre vécu d’aujourd’hui, qu’il n’a pu l’être en 1921.
On ne peut s’empêcher de remarquer que 1776 correspond aussi à la création de la première république maçonnique, les États-Unis d’Amérique, présidés par G. Washington, Grand Maître de la Loge Alexandria no.22 en Virginie. Et c’est aussi le franc-maçon français Bartholdy qui a conçu la « Liberté éclairant le monde », communément appelée la Statue de la Liberté. C’était le cadeau officiel de la franc-maçonnerie française à ses « frères » de la république américaine. La torche représente le symbole des Lumières.
Celui ou celle qui « porte la lumière », peut se traduire en latin par « Lucifer », et c’est certainement le symbole approprié pour représenter cette lumière délétère destinée à être répandue sur le monde, le « poison du libéralisme ». L’essence de l’idéologie de Weishaupt pourrait être symbolisée par une médaille, qui aurait sur une face, un marteau et une faucille et sur l’autre la statue de la Liberté.
Avec notre civilisation et notre nation à l’agonie, la mise en garde de 1903, prise dans tout son contexte, résonne bien comme une prophétie maléfique : « Lorsque nous eûmes injecté le poison du libéralisme dans l’organisation de l’État, sa complexion politique changea ; les États furent infectés d’une maladie mortelle : la décomposition du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie ».
Pour aussi entraînante que soit cette dialectique, je ne dirais pas que « l’abolition des privilèges » n’a été qu’un détail de l’histoire du libéralisme : elle fut plutôt, à mes yeux, l’abolition de l’absolutisme dont elle témoigne par un signe fort. Non pas que j’adhère à la Révolution française dans son inadmissible évolution montagnarde qui nous fait honte, pas plus que je ne puis adhérer à un amalgame d’après lequel l’abolition des privilèges devrait s’accompagner nécessairement de celle de la liberté privée ‑c’est même l’inverse!- et de toute la litanie qui nous est proposée. On ne peut pas confondre Marx et Tocqueville : certes aucun système n’est parfait pas plus que ne l’est la nature humaine mais comme diraient les Jeunes, il n’y a pas photo entre une société américaine libérale et le stalinisme : on pourrait développer la comparaison sur de nombreux aspects sociétals sans même évoquer l’économie. En revanche je partage totalement l’esprit de l’article du journal montrant justement comment cette république a l’outrecuidance de négliger cette abolition, et dans les discours et dans les faits.