Le sourire kabyle
Le sourire kabyle pour voler l’Algérie hier, pour voler la France aujourd’hui
Le sourire kabyle était le nom donné par les militaires aux assassinats perpétrés au couteau par le FLN pendant la guerre d’Algérie ; consistant à égorger le roumi d’une oreille à l’autre. Quand ces assassins ne lui cousaient pas la bouche de leurs victimes de ses organes. Cette tradition, barbaresque et barbare, s’est exportée aujourd’hui, sur la terre de France. Après l’indépendance de l’Algérie obtenue par le FLN en 1963 le Kassaman a été officiellement adopté comme hymne national. Cet extrait des paroles est explicite, nous avons bien été prévenus !
« … Ô France ! Le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre.
Ô France ! Voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! Voici notre réponse… »
En effet, voilà donc leur réponse. Les comptes se règlent au hachoir de cuisine. Un demi-siècle plus tard, la rancune est tenace et a fait tache d’huile de palme. C’est maintenant tout le monde musulman qui exècre les Français : 1,8 milliard, 24% de la population mondiale ; ça en fait des ennemis.
De la Turquie du calife Erdogan au Koweït, du Maroc au Pakistan.
La décapitation récente de Samuel Paty nous a rappelés à ces nombreux souvenirs que les médias s’empressent de faire disparaître, une fois les bougies éteintes et les nounours partis à la benne.
Un petit rappel, non exhaustif :
• 2015, Yassin Salhi, musulman, décapite son patron Hervé Cornara et accroche son trophée sur un grillage dans l’Isère. L’image est insoutenable.
• 2016, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, musulmans, égorgent en pleine messe le père Hamel, âgé de 86 ans.
• 2016, Larossi Abballa, musulman, égorge un couple de policiers à Magnanville, devant leur enfant de 3 ans.
• 2017, Ahmed Hanachi, musulman, massacre Laura et Mauranne, toutes deux âgées de 20 ans, gare St Charles, à Marseille.
• 2018, Radouane Lakdim, musulman, tranche la gorge du lieutenant-colonel Beltrame au Super‑U.
Si ces exemples ont pu bénéficier (si j’ose dire) d’une large couverture médiatique, pour Adrien Perez, il aura fallu deux jours aux grands médias soumis pour réagir, après que les réseaux sociaux se sont emparé de l’affaire et leur forcent la parole. Impossible alors de mettre la poussière sous le tapis de prière musulmane. Younes et Yanis, musulmans sont identifiés.
Si l’on se donne la peine de s’informer un peu en parcourant les presses quotidiennes régionales, on s’aperçoit vite que ces attaques au couteau sont quotidiennes.
Des centaines par an !
Et ce, depuis des années. Bien avant Samuel Paty. Bien avant le sacristain de Nice !
Dans la presse, les victimes n’étaient jamais égorgées mais frappées au cou ou toute autre périphrase adoucissante. Les temps ont changé, on parle bien aujourd’hui, si ce n’est de sourire kabyle, de DÉCAPITATION ! On progresse, merci.
Par contre, le surineur n’est jamais identifié, Padamalgam oblige.
Il ne faut surtout pas « donner le nom de l’assassin » estime ce psychiatre azuréen après l’attentat à Nice.[source]
Seules les victimes ont droit aux gros titres. Mais c’est trop tard.
La peur des mots est une totale soumission à la religion de la soumission à Allah. Paradoxe dans notre pays qui s’affiche laïc ou athée, en réalité anti-chrétien.
Dans notre France maçonnique, on ne touche pas à Charlie-Hebdo.
Macron s’est mis en colère, non mais ! Il s’est mis à dos le reste du monde, musulman. Bêtise contre bêtise : d’un côté on ne touche pas à Allah, de l’autre on ne touche pas à Charlie.
En même temps, chaque jour les Français, Charlie bien malgré eux, désarmés, continuent à se faire saigner. Incapable de restaurer la sécurité, le gouvernement, à se demander s’il n’est pas complice, se contente de maquiller les statistiques, de cacher l’identité des criminels et de mettre le couvercle sur un maximum de crimes et d’informations.
Dans les faits, rien n’est entrepris qui pourrait endiguer la Dictature en Marche du Grand Remplacement
Aucune mesure, au minimum judiciaire, n’est prise pour protéger les Français. Pas d’expulsions de masse et des peines de prison symboliques pour ceux des délinquants qui finissent par passer en justice. Le fichier S n’est qu’un trombinoscope inutile. Tout juste ferme-t-on une mosquée (six mois) ou invitons à repartir, s’il le veut bien, un imam particulièrement vindicatif.
Eric Ciotti, président du conseil départemental des Alpes maritimes, évoque la nécessite d’un Guantanamo à la française. Sans blague, on croit rêver !
Eric Ciotti sur la création d’un Guantanamo français : « Il faut une rétention administrative. Il faut isoler ces personnes dangereuses. Ce n’est pas une question de localisation. (…) Il faut les empêcher d’agir » dans #LaMatinale pic.twitter.com/2lhofk7VyV
— CNEWS (@CNEWS) October 30, 2020
En attendant, préparez les nounours et les bougies
et troquez vos masques contre des minerves !
Michel Lebon
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