Ma semaine d’observation de l’info (29 novembre 2020)
Chronique du Kali-Yuga
Dimanche 22 novembre 2020
Jonathan Daval condamné à 25 ans pour le meurtre de sa femme. C’est un verdict somme toute assez juste pour un jeune homme fragile, dominé par sa femme et qui finit, à force d’humiliations par la tuer d’une manière assez sordide. Les médias ont tenu le public en haleine, mais en dehors d’un certain voyeurisme, il n’en saura pas plus, il ne saura pas pourquoi Jonathann a tué sa femme. Il n’aura pas la réponse, et de toutes façons ce n’est pas le plus important. Deux sortes de procès intéressent les médias : les procès pour terrorisme et les procès pour crimes passionnels.
Si dans les premiers, les coupables sont tous issus d’un même groupe, d’une même religion, ce n’est pas forcément le cas pour les seconds. Alors, pour une fois qu’on a un européen blanc coupable, on ne va pas se priver de le jeter en pâture à l’opinion publique. S’il s’était agi d’un non européen, on aurait été beaucoup plus discret, on aurait même été comme bien souvent jusqu’à travestir son nom dans les journaux avant le procès.
Un procès qui a plu au public. Et qui réjouira celles qui luttent contre les « féminicides » en collant des papiers sur les murs, tout en ne voulant pas faire d’amalgame et ouvrir les yeux.
On verra bien si le procès d’Amin B., qui avait sauvagement tué la jeune Salomé à Cagnes-sur-Mer l’an dernier sera autant médiatisé.
Lundi 23 novembre 2020
Vendredi 20 novembre, lors de l’émission « L’instant politique » sur la chaîne locale Tébéo (Télé Bretagne Ouest) Richard Ferrand, président de l’Assemblée Nationale et député LREM du Finistère, a laissé entendre qu’une restriction de circulation pour les personnes qui n’accepteraient pas d’être vaccinées contre la Covid 19 était dans le domaine du possible : « Ceux qui voudraient refuser d’être vaccinés, il faudrait conséquemment éviter qu’ils viennent contaminer d’autres ». La journaliste lui pose alors la question : « Ça pourrait être un passeport ? » Réponse laconique : « D’une certaine manière ».
Venant d’un très proche du Président de la République, on reste abasourdi d’une telle réponse. Est-ce un leurre destiné à tester l’opinion ? Va-t-on vraiment instaurer un « apartheid » médical entre les Français vaccinés et les autres ? La vaccination contre la Covid 19 n’a pas l’air de faire vraiment débat. La majorité des Français semble plutôt pour. Mais son obligation, même détournée ? Et quid de la dangerosité du vaccin ? Le débat sur ce sujet semble évité… pourquoi ?
Le président de l’Assemblée Nationale comme la plupart des médias joue la carte de la peur et de la méfiance à l’égard de l’autre. En même temps il prépare le terrain juridique qui permettra d’emprisonner les réfractaires à la vaccination (lire Quel est ce pays qui a décidé d’incarcérer sans jugement ? du 26 novembre).
Mardi 24 novembre 2020
Suite à l’occupation illégale de la place de la République à Paris par quelques dizaines d’émigrés clandestins, communément appelés « migrants », et d’associations immigrationnistes, le préfet a finalement décidé l’évacuation par la police. Devant les cris d’orfraie poussés par certains, le ministre de l’Intérieur a tout de suite courageusement choisi son camp : « Certaines images de la dispersion du campement illicite de migrants place de la République sont choquantes. Je viens de demander un rapport circonstancié sur la réalité des faits au Préfet de police d’ici demain midi. Je prendrai des décisions dès sa réception. »
Pourtant si on réfléchit bien, l’occupation étant illégale, son évacuation est donc légale. Chacun sait que dans ce genre de cas, l’évacuation ne se fait pas dans la douceur et le respect des gestes barrières de la part des évacués. Il ne faut donc pas s’étonner si la police agit un peu brutalement.
Ah, si Darmanin avait pu voir les images des manifestations de gilets jaunes…
Pour autant, il vient de perdre une belle occasion de montrer qu’il était avec ses forces de l’ordre comme il l’avait annoncé il y a peu. Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Mercredi 25 novembre 2020
Voilà, il a de nouveau causé dans le poste ! Beaucoup de monde l’attendait. Des petits commerçants étranglés aux stations de ski inquiètes, en passant par les restaurateurs affamés. Il a parlé, mais rappelez-vous :
2017 : « Je ne toucherai pas aux retraites »
Mars 2020 : « Il n’y aura pas de confinement »
Avril 2020 : « Le masque ne sert à rien »
Octobre 2020 : « Il n’y aura pas de reconfinement »
Hier soir, après un calendrier de la réduction des peines, Macron a parlé un peu du virus et un peu du vaccin à venir. On ne sait toujours pas lequel. Vaccin classique, vaccin à ARN ou vaccin à ADN ? L’américain efficace à 70 % à 39 € la dose, le russe efficace à 95 % à 10 € la dose ? Un autre ?
En attendant, il a promis qu’il ne rendrait pas le vaccin obligatoire. Si on se réfère aux lignes ci-dessus (lundi 23 novembre), il y a de quoi s’inquiéter quand même ! On peut jouer autrement, par en-dessous, comme on dit à la belote. Comme le proposait le sus-nommé Richard Ferrand président de l’Assemblée Nationale, vendredi dernier : sans rendre le vaccin obligatoire, on peut interdire l’accès de certains lieux aux non vaccinés… Ça laisse la liberté de choisir, non ? Sinon, ce sera le confinement en prison, puisqu’il a fait voter la loi qui le permet.
Une chose que les quelques commentateurs n’ont pas soulignée hier soir (du moins ceux que j’ai entendus), c’est que pour la première fois, Emmanuel Macron a parlé de « complotisme ». Et ça, c’est inquiétant. Parce que cela veut dire que la liberté d’expression risque d’être encore plus sérieusement menacée. Qui veut tuer l’opinion publique, l’accuse de complotisme (autrement dit d’antisémitisme), c’est bien connu (lire Nice-Matin nous interdit de réfléchir du 31 mars 2020).
Alors… méfiance, comme toujours. Le grand frère qui tire les ficelles dans l’ombre est à la manœuvre, et il risque bien de réagir…
Jeudi 26 novembre 2020
Les « sleeping giants » sont nés en 2016 après l’élection de Donald Trump. Ce sont des militants anonymes qui se sont donné pour but de dénigrer systématiquement ce qu’ils considèrent de droite dans l’espace médiatique. Boulevard Voltaire ou Valeurs Actuelles en ont ainsi fait les frais.
Cette semaine c’est avec Décathlon qu’ils avancent leurs pions. La chaine de magasins de sports a ainsi décidé de retirer ses spots publicitaires de la chaîne Cnews jusqu’à la fin de l’année, et probablement pour 2021. Cnews a en effet la mauvaise idée de donner la parole à Éric Zemmour, et cela ne plait pas. Et à gauche, quand ça ne plait pas, on interdit, on censure, ou on coupe les vivres.
Vive réaction sur les réseaux sociaux cette semaine après la diffusion de la nouvelle. Un appel au boycott de la marque a immédiatement été lancé par l’intermédiaire d’un hashtag #BoycottDecathlon. Il faut dire que la marque, propriété du groupe Mulliez(1), n’en est pas à sa première soumission au monde musulman. On se rappelle de l’histoire du « hijab » pour la course à pieds qui avait déjà défrayé la chronique il y a quelques années.
Par ailleurs Décathlon semble le fournisseur officiel des tentes pour les campements de migrants, achetées bien souvent par des ONG comme Médecins Sans Frontière (MSF) ou Utopia 56.
Il fut un temps ou les affiches publicitaires du groupe semblaient moins favorables aux migrants…
Vendredi 27 novembre 2020
Arnaud Gouillon est né à Grenoble en 1986. Ingénieur en prévention des risques, et humanitaire, en 2004, il fonde une ONG en 2004, Solidarité Kosovo, pour venir en aide aux Serbes de ce nouveau pays, maltraités par les musulmans. Parallèlement, en France, il fait partie du Bloc identitaire, ce qui le conduira en 2010, à se présenter comme candidat à l’élection présidentielle de 2012. Il abandonnera en 2011, pour cause de « manque de moyens financiers ».
Parlant très bien le serbe, Arnaud Gouillon a été récompensé plusieurs fois par le gouvernement de Serbie, qui l’a notamment nommé chevalier de l’Ordre National du Mérite Serbe. En mai 2015, le gouvernement lui a même offert la nationalité serbe sur critère de mérite !
Aujourd’hui, dernière consécration, il a été nommé secrétaire d’État pour les Serbes de la diaspora, sous l’autorité du ministre serbe des Affaires Étrangères.
Ses missions se déclinent en deux volets majeurs. Le premier concerne la préservation de l’identité culturelle, spirituelle et nationale des communautés serbes de la diaspora et de la Région. Second périmètre clé qui lui est dévolu, le développement des liens économiques entre la diaspora et la Serbie.
Samedi 28 novembre 2020
Pour terminer la semaine et montrer ce que devient le pays sous la direction de Macron et Castex, il suffit de voir le même jour la « Une » de certains journaux, dénonçant l’esprit délateur qui imprègne malheureusement nos concitoyens, comme aux heures les plus…
Que ce soient les caissiers de grands magasins qui sont dénoncés aux autorités, parce qu’ils ne reprochent pas aux clients d’être correctement masqués, ou les voisins qui ne supportent pas que receviez cinq amis chez vous pour l’apéro, ou les simples promeneurs qui ont remarqué que vous ne pratiquiez pas suffisamment à leurs yeux les gestes barrières ou encore que vous ne remontiez pas suffisamment le masque jusque sous les yeux. Cet esprit de délation est maintenu en place par le climat de peur, de trouille, de terreur instauré au plus haut de l’État. Les gens ont peur de mourir de ce satané virus, complice opportun de ce gouvernement, et la peur donne des ailes, qui permettent de voler jusqu’au poste de police le plus proche.
Bonne semaine à tous, et à dimanche prochain.…
Patrice LEMAÎTRE
Être vacciné empêche de développer la maladie… quand on a donc attrapé cette maladie.
La crainte des chercheurs est qu’il protège simplement du virus et de ses symptômes mais que les personnes vaccinées gardent un caractère contaminant pour les autres.
Les restrictions de liberté doivent donc s’appliquer à tous, ou à personne, vaccinés ou pas.
De plus, tout vaccin reste dans certaines proportions inefficace, et n’est pas définitif dans le temps.
Le vaccin est donc la plus mauvaise des solutions.
La médecine c’est soigner, pas vacciner. Et il apparait que ce Covid, déjà fort peu agressif dans la majorité des cas, est facile à soigner.
Malheureusement, soigner un malade, c’est perdre un client pour les labos mondialisés.
Complètement et j’ajoute que, sans recul, on ne connaît pas les effets délétères que tout vaccin peut occasionner ; dans mes proches, une amie est décédée du vaccin anti-hépatite B et mon propre frère a vu sa vie totalement détruite par le vaccin DTC avec une mort à 50 ans à la clef !!!!!!!
Fuyez aussi les onze vaccins obligatoires pour les nourrissons de la folle Buzin.