20/01/2021, fin de l’épisode démocratique ?
Beaucoup de personnes s’imaginent encore que nous vivons dans une démocratie, que le peuple souverain décide de son destin à l’issue d’une consultation transparente de laquelle se dégage une majorité consensuelle.
Mais le putsch électoral politico-médiatique fomenté par les amis de Macron a ébranlé ces certitudes chez de nombreux Français.Les Français n’avaient pas besoin de cela après avoir été bernés par Sarkozy qui a tout bonnement bafoué la consultation populaire du référendum sur le traité de Maastricht. Les Français n’oublient pas ce dédain de l’ancien président à leur encontre et le lui feront payer lors des primaires « de la droite et du centre » en 2016, en lui préférant Fillon et Juppé alors qu’il était président sortant !
Les entraves à la libre consultation du Peuple sont innombrables, et c’est ce qui a conduit les Gilets Jaunes à demander l’instauration du Référendum d’Initiative Citoyenne. Ce qui a déclenché la violente répression policière que l’on connaît.
C’est ce que nous expliquait Valérie Bugault lors de sa conférence à Nice le 12 septembre 2020. Elle évoquait même l”«inexistence démocratique » :
L’inexistence démocratique : la représentation populaire contre le Peuple
Les élus ne rendent plus compte à leurs électeurs mais au parti auquel ils appartiennent et auquel ils sont bel et bien soumis par une discipline de parti, indépendamment du corps électoral. L’élu est devenu un homme de paille.
Il n’y a pas de séparation des Pouvoirs (législatif – exécutif – judiciaire) telle que l’imaginait Montesquieu car tous les Pouvoirs sont concentrés dans les mains des partis vainqueurs. Curieusement le Pouvoir le plus puissant, le Pouvoir financier, n’apparaît pas dans ce triptyque alors que nous vivons sous un régime ploutocratique absolu. Bruxelles est le reflet de cette ploutocratie omnipotente.
Le Pouvoir n’est pas contre-balancé par une responsabilité équivalente.
La Justice est confisquée par la finance. Dans un État économique, la sécurité juridique n’est plus assurée.
Le Parlement, en charge de notre sécurité juridique, organise en fait notre insécurité juridique par une inflation législative. Une superposition de droits individuels fait disparaître l’intérêt collectif. Le droit au service d’intérêts privés n’est plus du droit. Alors que les devoirs rassemblent les sociétés humaines, celles-ci s’émiettent sous une avalanche de droits catégoriels.
Louis Latzarus (1878−1942), auteur et journaliste français, l’exprime très bien à sa manière : « En démocratie, la politique est l’art de faire croire au peuple qu’il gouverne. »
Machiavel a institutionnalisé la ruse et le mensonge comme méthodes de gouvernement avec son fameux « La fin justifie les moyens ». Si la fin justifie les moyens, tous les coups sont alors permis, toute morale disparaît et c’est le retour à la loi du plus fort (du plus menteur). C’est donc le retour à la barbarie.
C’est bien ce qu’il se passe en ce moment aux États-Unis : la fin est d’être élu, peu importe de quelle manière. Tous les coups sont permis : machines électroniques truquées, les morts qui votent, les votes par correspondance attribués exclusivement au candidat Biden. La fraude électorale dépasse les centaines de milliers de voix.
Cette fraude est attestée.
Vous n’y croyez pas ? Sidney Powell publie 270 pages de documents prouvant le trucage étranger de l’élection présidentielle de 2020.
Vous n’y croyez toujours pas ? Téléchargez ce document et lisez le (en anglais).
La justice américaine ne conteste pas la réalité de la fraude. Elle dit qu’elle n’est pas compétente pour en juger !
Le Peuple ? Les Pouvoirs en place arrivent à s’en passer. C’est bien ce que nous dit ouvertement Jean-Claude Juncker qui fut président de la Commission européeenne : « Si c’est “oui”, nous dirons : on poursuit ; si c’est “non”, nous dirons : on continue ! ». On ne peut être plus clair.
Tous ceux qui célèbrent aujourd’hui la victoire de Biden célèbrent en même temps la fin de l’illusion démocratique. La démocratie est bien morte hier à Washington.
Ce n’est pas un hasard si :
• Macron fut l’un des premiers à féliciter Biden dès l’annonce de CNN alors que le scrutin n’était pas clos et cette nuit même par une joie qu’il ne dissimule pas ; qui se ressemble s’assemble
• de même avec le pape François
• et toute la Bien Pensance politique et médiatique qui se réjouit de ce nouveau putsch réussi.

Affiche de Mai 68
Les soixante-huitards, aujourd’hui aux « affaires », ne pouvaient pas si bien dire.
Tous institutionnalisent la fraude, la manipulation et le mensonge. Le dernier voile qui nous faisait encore croire à un jeu démocratique s’est dissipé. Qui aura encore envie de jouer à ce jeu-là après cette mascarade ? Cela donne raison à ceux qui ne votent pas : à quoi bon puisque cela ne se passe pas dans les urnes ?
Il revient aux personnes responsables de réfléchir à ce qu’il peut advenir à présent. Cela passe par un retour aux fondamentaux : qu’est-ce qui nous fait vivre ensemble ? Sûrement plus l’embrouille démocratique telle que nous la connaissons depuis la Révolution. Alors quoi ? Si vous avez des idées (pertinentes), n’hésitez pas à nous en faire part.
Georges Gourdin
Les documents que vous produisez en lien seraient des preuves si l’essentiel n’était pas noirci. En l’état, ils n’en sont pas et votre propos perd toute sa force persuasive.
La victoire de Biden, c’est aussi la victoire du Nouvel Ordre Mondial, il est vrai qu’il ne restera pas longtemps au pouvoir, mais certainement assez pour reprendre les guerres incessantes du temps d’Obama, et celles-ci pourraient hélas nous mener jusqu’à la troisième guerre mondiale.