Mais quelle est cette secte qui dirige le monde ?

6 fĂ©vrier 2021 | 6 Commentaires 

Portrait d’un robot

Il nous faut d’abord dres­ser un por­trait-robot (on ne peut pas si bien dire !) du sec­ta­teur mon­dia­liste-type ; choi­sis­sons-le de natio­na­li­tĂ© fran­çaise, celle que nous connais­sons le mieux, mais il n’est pas plus fran­çais que gua­té­mal­tèque ou mar­tien.
Il a été for­ma­té en France (ENA et Sciences Po) et aux États-Unis (Yale ou Harvard) ; c’est un Young Leader(1), la créa­ture arro­gante d’une sorte de club éli­tiste fran­co-amé­ri­cain qui se per­met de choi­sir (en finan­çant leurs études) les futurs diri­geants poli­tiques, finan­ciers, éco­no­miques et média­tiques de la socié­té fran­çaise (existe main­te­nant en ver­sion fran­co-chi­noise – on n’arrête pas le pro­grès- avec la béné­dic­tion de l’inévitable Attali, le fléau de Dieu, celui qu’on voit sou­rire béa­te­ment der­rière chaque Président fran­çais depuis Mitterrand lors des céré­mo­nies d’investiture).
Le Young Leader fait aus­si par­tie de l’une ou de plu­sieurs de ces offi­cines qui ras­semblent leurs membres pĂ©rio­di­que­ment dans un grand fra­cas mĂ©dia­tique sous pré­texte que leurs rĂ©unions sont « secrètes Â» : Bilderberg, TrilatĂ©rale, Open Society de Soros, Forum de Davos, Fondation Rockfeller, le club Le Siècle d’Olivier Duhamel(2), Skull and Bones, Fondation Gates, etc.
Jacques_Attali_Homme_nomadeNotre homme-robot est un par­fait nomade qui n’a de connais­sance des pays qu’il tra­verse que le confort des hĂ´tels de luxe qui l’hĂ©bergent, confort agré­men­tĂ© de « shoots Â» et de gâte­ries sexuelles selon ses « orien­ta­tions Â», la plu­part du temps exclu­si­ve­ment per­verses (c’est qu’on s’ennuie dans la rou­tine !)
On lui a incul­quĂ© une aver­sion totale pour la nature, l’histoire, les tra­di­tions, l’enracinement, l’attachement Ă  un sol ou Ă  un peuple ; il n’a aucune connais­sance cultu­relle en dehors de ses spé­cia­li­tĂ©s consa­crĂ©es prin­ci­pa­le­ment Ă  l’économie, aux opé­ra­tions bour­sières et Ă  l’art de mani­pu­ler les foules en jouant de la flĂ»te ; il est pro­bable qu’un Ă©lève stu­dieux d’une 3e des annĂ©es 1950 aurait pu lui en remon­trer en culture gĂ©né­rale mais s’il ne s’est jamais aven­tu­rĂ© dans les laby­rinthes lumi­neux de la langue d’un Gracq, il vous dira ce qu’il faut en pen­ser parce que ses maĂ®tres n’auront pas oubliĂ© de pro­gram­mer le neu­rone adé­quat. Notre « homme Â» est un as de la simu­la­tion et de la dis­si­mu­la­tion.
Enfin, pour com­plé­ter ce char­mant tableau, il a une haine vis­cé­rale pour « le bon peuple Â» en mĂŞme temps que ces manants lui ins­pirent une trouille tout aus­si incon­trô­lĂ©e ; c’est juste Ă  ce (der­nier) moment qu’il rede­vient humain.
Il nous faut voir main­te­nant com­ment on est arri­vé à l’émergence d’un tel monstre.

Les films prophétiques de Stanley Kubrick

Eyes wide shut -Stanley KubrickStanley Kubrick est mort le 7 mars 1999 juste après avoir ter­mi­né la réa­li­sa­tion de Eyes wide shut, qu’il consi­dé­rait comme son meilleur film (illus­tra­tions ci-des­sus et à la une). Il y a donc 22 ans.
La plu­part des spec­ta­teurs du film, mais aus­si des cri­tiques, n’y ont rien com­pris ; et mieux, pour se dĂ©fendre de leur inca­pa­ci­tĂ© Ă  l’expliquer, ils ont affir­mĂ© que, de toutes façons, il n’y avait rien Ă  com­prendre, que ce n’était qu’un « film de cul Â» dĂ©cri­vant une orgie sata­nique orga­ni­sĂ©e par l’upper­class new-yor­kaise avec un scé­na­rio aux dia­logues indi­gents rap­pe­lant le film de sĂ©rie B Ă©po­nyme : Orgie sata­nique, sor­ti en 1965. Ce bon Kubrick est bien fati­guĂ©, cir­cu­lez, y a rien Ă  voir.
Mais Stanley Kubrick ne s’est pas conten­té d’être par­mi les plus grands cinéastes de tous les temps, salué pour sa tech­nique et l’éclectisme de ses choix, il est aus­si un vision­naire, de ceux dont on ne recon­naît le génie pré­dic­tif que lorsque les évé­ne­ments qu’ils ont décrits arrivent effec­ti­ve­ment.
J’ai choi­si de par­ler des œuvres de Stanley Kubrick pour n’avoir pas à remon­ter aux racines du mal, à savoir au fran­kisme (fin du XVIIIe siècle), aux Illuminati (début du XVIIIe siècle) ou aux francs-maçons (fin du XVIe siècle) même si ces socié­tés plus ou moins secrètes et d’autres beau­coup plus anciennes (la Kabbale, La Confrérie du Serpent) consti­tuent les réfé­rences (mal com­prises) de celle qui gou­verne la pla­nète aujourd’hui.

2001 : L’OdyssĂ©e de l’espace et le transhumanisme

Stanley Kubrick - 2001 OdyssĂ©e espace2001 : L’OdyssĂ©e de l’espace, l’autre film pro­phé­tique de Kubrick est sor­ti en 1968 ; il y a trois per­son­nages prin­ci­paux dans ce film : un mono­lithe noir(3) qui sym­bo­lise la Connaissance appor­tĂ©e aux hommes par des extra­ter­restres, vrai­sem­bla­ble­ment ori­gi­naires de Jupiter, un humain, David Bowman, qui ser­vi­ra d’objet d’observation Ă  ces mĂŞmes extra­ter­restres(4), un ordi­na­teur, appe­lĂ© HAL 9000(5) dans la ver­sion ori­gi­nale et Carl 500 dans la ver­sion fran­çaise qui va pré­fi­gu­rer la rĂ©volte des robots qui vont s’humaniser jusqu’à dĂ©fier leurs crĂ©a­teurs et se libé­rer de leur joug. En quelque sorte, l’histoire de PromĂ©thĂ©e dĂ©fiant les dieux qui recom­mence.
Le scé­na­rio ? Il y a plu­sieurs mil­lions d’annĂ©es, une tri­bu d’australopithèques dĂ©couvre un mono­lithe noir dĂ©po­sĂ© devant leur caverne ; en le tou­chant, ils acquièrent un savoir qui leur per­met d’utiliser les os des ani­maux qu’ils mangent comme armes pour vaincre les tri­bus enne­mies. C’est la scène-culte, exac­te­ment archĂ©o­fu­tu­riste, la plus cĂ©lèbre de l’histoire du ciné­ma, qui montre l’un d’eux tuant son adver­saire avec un os qu’il va ensuite lan­cer vers le ciel ; l’os tour­noyant se trans­forme en un vais­seau spa­tial qui vogue au rythme d’une valse de Strauss ; rac­cour­ci stu­pé­fiant entre notre plus vieille his­toire et notre plus loin­tain futur. Une Ă©quipe de cos­mo­nautes retrou­ve­ra ce mĂŞme mono­lithe enfoui dans le sol lunaire(6), Ă©met­tant des ondes en direc­tion de Jupiter ; il sera encore pré­sent, immense, en orbite autour de Jupiter oĂą va accé­der David Bowman au terme d’un voyage Ă  tra­vers l’espace et le temps, et le temps aus­si de sa propre vie qui dĂ©fi­le­ra devant les yeux hal­lu­ci­nĂ©s du cos­mo­naute.
Le mono­lithe noir se dres­se­ra une qua­trième fois, impla­cable, tel Thanatos, le juge des morts, devant le lit de Bowman, vieillard ago­ni­sant.
La der­nière image du film est celle d’un fœtus, pro­ba­ble­ment Bowman lui-même, image d’espoir, de recom­men­ce­ment, de renais­sance, sym­bo­li­sant le cycle des réin­car­na­tions.
Une grande par­tie du film, entre les fan­tas­tiques images de dĂ©but et de fin, raconte l’emprise pro­gres­sive du robot sur les humains qui sont cen­sĂ©s ĂŞtes ses maĂ®tres. L’humanisation du robot ou la robo­ti­sa­tion de l’Homme est un lieu com­mun de la science-fic­tion depuis Frankenstein. L’œuvre de Marie Shelley, si bien nom­mĂ©e : Frankenstein ou le PromĂ©thĂ©e moderne, a Ă©tĂ© Ă©crite en 1818 ; on connaĂ®t l’histoire : Un jeune savant nom­mĂ© Frankenstein(7) dĂ©cide de fabri­quer un ĂŞtre humain en assem­blant des par­ties diverses de cadavres gla­nĂ©es dans les cime­tières. Nous allons voir que « La secte qui dirige le monde Â» a plus d’affinitĂ©s avec la crĂ©a­ture hagarde de Frankenstein, com­po­sĂ©e de chairs putrides san­gui­no­lentes, qu’avec une rĂ©pli­quante (femme-robot) de Blade Runner (l’autre film-culte de la SF) mignonne et bien propre sur elle.

Dr Laurent Alexandre - La mort de la mort Blade Runner

C’est cette par­tie-lĂ  du film qui met en vedette le robot qui inté­resse pré­ci­sé­ment La-Secte-qui-dirige-le-monde ; car la prin­ci­pale obses­sion (ils en ont d’autres) des membres de la Secte qui sont bio­lo­gi­que­ment des humains, quoi qu’ils fassent, est l’immortalitĂ© du corps ; celle de l’âme ne les inté­resse aucu­ne­ment comme ne les inté­ressent pas non plus les corps autres que le leur, ils ne sont pas du tout altruistes ; quand ils pensent « Ă©li­tistes Â», il convient de tra­duire : « Ă©goĂŻstes Â». Les Sectateurs sont psy­chia­tri­que­ment malades, dotĂ©s d’un Ă©go sur­di­men­sion­nĂ©, d’une vani­tĂ© incom­men­su­rable (qui se tra­duit uni­ver­sel­le­ment par ce qu’on appelle l’hubris), d’un nar­cis­sisme hors normes qui en fait des mani­pu­la­teurs per­vers ; on retrou­ve­ra ces traits de leur carac­tère tout au long de leur par­cours socié­tal, notam­ment par de sor­dides faits divers qui les impliquent dans des his­toires de dĂ©lin­quance finan­cière ou sexuelle dont ils se sortent tou­jours. On ne compte plus les membres du gou­ver­ne­ment mis en exa­men(8).
Les Sectateurs sont pro­gres­sistes, c’est-Ă -dire qu’en bons maté­ria­listes athĂ©es, ils ne croient qu’au pro­grès de la tech­nique. Or ce pro­grès-lĂ  se heurte, dans son Ă©vo­lu­tion qu’ils aime­raient infi­nie et sans obs­tacle, Ă  une Ă©vi­dence natu­relle que nous pen­sions jusqu’à pré­sent incon­tour­nable : la mort.
Les Sectateurs se com­portent comme des Titans pro­mé­thĂ©ens : ils rĂŞvent de gigan­tisme (de tita­nisme), ils rĂŞvent d’être Dieu, de le rem­pla­cer, de crĂ©er (pour eux uni­que­ment) un para­dis sur Terre.
Les savants savent désor­mais com­ment enrayer l’oxydation des cel­lules qui est le prin­ci­pal fac­teur de leur vieillis­se­ment(9). Les études qui se pour­suivent dans ce domaine sont, bien évi­dem­ment, finan­cées par les richis­simes diri­geants de la Secte, comme ils financent aus­si la recherche sur les nano­par­ti­cules insé­rées dans des corps humains qui per­met­tront de chan­ger les organes défi­cients et donc, à terme, le corps en entier(10)
Mais, mes­dames et mes­sieurs qui me lisez, ne rĂŞvez pas ! L’immortalitĂ©, ça n’est pas pour vous !
Et c’est là que vous allez com­prendre (pour ceux qui ont raté quelques épi­sodes(11)) ce qui est en train de se pas­ser au moment où j’écris, le 6 février 2021.
« Rien ne garan­tit qu’une huma­ni­tĂ© aug­men­tĂ©e sera tolé­rante vis-Ă -vis des humains tra­di­tion­nels. […] La pos­sible tyran­nie de la mino­ri­tĂ© trans­hu­ma­niste doit ĂŞtre envi­sa­gĂ©e avec luci­di­tĂ©. Â»
Ainsi s’exprime le repré­sen­tant du trans­hu­ma­nisme en France, Laurent Alexandre, dans son livre dont le titre ne prĂŞte Ă  aucune ambi­guï­tĂ© : La Mort de la mort(12).
Et il va rajou­ter un peu plus loin :
« Avoir des mil­lions de nano­ro­bots mĂ©di­caux dans le corps est une pers­pec­tive inté­res­sante, Ă  condi­tion que la sĂ©cu­ri­tĂ© infor­ma­tique soit assu­rĂ©e. Imaginez que des bio­ter­ro­ristes par­viennent Ă  prendre le contrĂ´le de ces nano­ro­bots ! En les ren­dant agres­sifs, ils pour­raient tuer d’un clic de sou­ris des mil­lions d’individus […] Une attaque ter­ro­riste virale, avec par exemple une ver­sion gĂ©né­ti­que­ment modi­fiĂ©e du SRAS, de la variole ou autre, pour­rait pro­vo­quer des mil­lions de vic­times avant qu’un vac­cin ne soit dis­po­nible(13). »
Époustouflantes, ces der­nières lignes, non ? Le copain de Bill Gates a Ă©crit son livre en 2011, il y a 10 ans !
Mais les pre­mières lignes sont aus­si « pro­phé­tiques Â» ; je le dis et le redis : la Secte ne cache jamais rien de ses mons­trueuses inten­tions. D’abord, la menace : « La pos­sible tyran­nie de la mino­ri­tĂ© trans­hu­ma­niste Â» que la Secte met pré­ci­sé­ment Ă  exé­cu­tion en ce moment. Puis le pro­jet est expo­sĂ© : en fait de « ter­ro­ristes Â», ce sont les adeptes de la Secte eux-mĂŞmes qui pren­dront « le contrĂ´le de ces nano­ro­bots Â» et qui pour­ront donc Ă©li­mi­ner Ă  leur guise tout contre­ve­nant Ă  leurs dik­tats : « Ils pour­raient tuer d’un clic de sou­ris des mil­lions d’individus Â», nous pré­cise Laurent Alexandre.
Il n’a jamais Ă©tĂ© ques­tion pour la Secte d’étendre le bĂ©né­fice de l’immortalitĂ© cor­po­relle Ă  l’ensemble de l’humanitĂ©. Et pour cause ! Imaginez la pla­nète qui dĂ©borde dĂ©jĂ  avec 7 mil­liards d’individus dont les enfants pour­raient ne jamais mou­rir… LĂ  encore, la Secte nous a aver­tis (par les ins­crip­tions sur les « Georgia Guidestones Â»(14)) qu’elle avait fixĂ© le seuil maxi­mal de la popu­la­tion mon­diale Ă  500 mil­lions d’individus. Il faut bien Ă©li­mi­ner les autres d’ici lĂ , donc 6 mil­liards 500 mil­lions d’humains.
La Secte espé­rait bien arri­ver Ă  ses fins avec la fabri­ca­tion par les Chinois (et les Français aus­si, semble-t-il(15)) d’un virus qui per­met­trait une belle hĂ©ca­tombe pour com­men­cer. RatĂ©, l’élĂ©phant n’a accou­chĂ© que d’une sou­ris et la ter­rible pan­dé­mie que d’une grippe Ă  peine plus sĂ©vère que les grippes sai­son­nières. La Secte va-t-elle se rat­tra­per avec l’inoculation d’un pseu­do-vac­cin OGM(16) bien mor­tel ? L’avenir nous le dira. En atten­dant, le pre­mier volet de l’objectif Covid a Ă©tĂ© plei­ne­ment atteint : la sou­mis­sion de la popu­la­tion pla­né­taire aux injonc­tions pour­tant hau­te­ment stu­pides de la Secte ; mais, d’un mou­ton, on ne fait pas un loup et d’un imbé­cile un gĂ©nie et, comme disait CĂ©line : « J’ai tou­jours su et com­pris que les cons sont la majo­ri­tĂ©, que c’est donc bien for­cĂ© qu’ils gagnent ! Â»

Eyes wide shut et le satanisme

Revenons au der­nier film de Kubrick ; le titre est Ă©lo­quent : tra­duc­tion mot Ă  mot « Les yeux grand fer­mĂ©s Â». C’est exac­te­ment l’attitude de repli des popu­la­tions actuel­le­ment ; il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ; les Ă©lé­ments qui viennent Ă  l’encontre du matra­quage mĂ©dia­tique concer­nant cette pseu­do-pan­dé­mie comme les sta­tis­tiques offi­cielles prou­vant les unes après les autres qu’il n’y a jamais eu d’augmentation du nombre de morts supé­rieure Ă  la moyenne depuis 1945 ne servent Ă  rien ; les masses ont dĂ©ci­dĂ© de ne rien voir, de gar­der les yeux grand fer­mĂ©s. Il est plus confor­table d’adopter une atti­tude mou­ton­nière et de faire comme la majo­ri­tĂ© plu­tĂ´t que de pen­ser par soi-mĂŞme, de se faire une opi­nion et de dĂ©cou­vrir que la vĂ©ri­tĂ© va Ă  contre-cou­rant de la doxa offi­cielle.
LĂ  encore, la Secte ne cache pas les sta­tis­tiques ni leur carac­tère offi­ciel, donc authen­tique et vĂ©ri­fiable comme si elle savait que rien dĂ©sor­mais ne pour­rait convaincre les foules que le Covid n’existe pas et n’a jamais exis­tĂ© ; le lavage de cer­veau, qui fait croire qu’on peut mou­rir du Covid alors qu’on meurt d’une comor­bi­di­tĂ© (ou de vieillesse, ou des deux), s’est avé­rĂ© d’une totale effi­ca­ci­tĂ© sur la qua­si-tota­li­tĂ© de la popu­la­tion pla­né­taire et l’on reste tou­jours effa­rĂ© de consta­ter cette una­ni­mi­tĂ© mĂŞme si l’on connaĂ®t les mĂ©thodes employĂ©es pour arri­ver Ă  ce rĂ©sul­tat. L’idĂ©e m’était mĂŞme venue (parce que j’aime bien lire des ouvrages de science-fic­tion) que ce pou­vait ĂŞtre avec l’appui (et sur l’injonction) d’autres puis­sances exté­rieures Ă  notre monde, plus effi­caces que la Secte, mais tout aus­si nocives, sinon plus.
En vĂ©ri­tĂ©, et pour reve­nir sur Terre, notre pla­nète, cette tech­nique de pro­pa­gande (du titre de l’ouvrage d’Edward Bernays, Propaganda, dont se sont ins­pi­rĂ©s tous les petits appren­tis-dic­ta­teurs), a Ă©tĂ© bien Ă©tu­diĂ©e par Noam Chomsky, Lucien Cerise ou Philippe Bobola qui nous ont expli­quĂ© com­ment fonc­tionne la « fabri­ca­tion du consen­te­ment Â» des masses sur le prin­cipe de l’hypnose, ce qu’on appelle « l’ingĂ©nierie sociale Â».Edward Bernays - Propaganda
Mais ce titre – et ce film – concernent un autre domaine, moins poli­cĂ© et moins lisse sur le plan esthé­tique que celui trai­tĂ© par 2001 : l’OdyssĂ©e de l’espace, oĂą l’opinion est tout aus­si volon­tai­re­ment aveugle et qui consti­tue l’autre visage de la Secte, encore plus effrayant, et c’est pour cette rai­son que ce visage est dis­si­mu­lĂ© dans les plus impor­tantes scènes du film.
Le per­son­nage prin­ci­pal est un méde­cin dont le rôle est inter­pré­té par Tom Cruise, fré­quen­tant la haute bour­geoi­sie new-yor­kaise, qui, par curio­si­té, se fait invi­ter à une soi­rée très spé­ciale et très fer­mée – il n’en sait pas plus – où l’on doit se rendre mas­qué.
Dans ce grand manoir for­te­ment gar­dĂ© oĂą arrivent de luxueuses limou­sines, le jeune mĂ©de­cin va se trou­ver confron­tĂ© Ă  un spec­tacle mĂŞlant Ă  la fois la fré­né­sie de scènes orgiaques et la rigueur gla­çante d’une cĂ©ré­mo­nie accom­pa­gnĂ©e de lugubres mĂ©lo­pĂ©es, offrant tous les aspects d’un rite sata­nique. Le mĂ©de­cin, qui n’a pas reçu d’invitation en bonne et due forme, est dĂ©mas­quĂ© – dans les deux sens du terme – et doit encou­rir une lourde sanc­tion dont on devine la sĂ©vé­ri­tĂ© ; il est secou­ru par une jeune femme qui s’offre Ă  sa place en sacri­fice et qui sera effec­ti­ve­ment retrou­vĂ©e morte le len­de­main d’une over­dose.
Il raconte sa mĂ©sa­ven­ture Ă  Ziegler(17), l’organisateur de la soi­rĂ©e qu’il connait bien, puisqu’il est l’un de ses riches patients, mais dont il igno­rait le rĂ´le et la pré­sence Ă  la soi­rĂ©e. S’ensuit au cours de cette entre­vue un dia­logue oĂą Ziegler l’admoneste et lui fait entre­voir le dan­ger auquel il vient d’échapper : « Ă‰coute, Bill, tu ne sais pas dans quel guê­pier tu t’es four­rĂ© hier soir. Tu as une idĂ©e du monde que tu as cĂ´toyĂ© ? Crois-moi, ces gens ne sont pas n’importe qui ; si je te disais com­ment ils s’appellent… Je ne vais pas le faire, Ă©vi­dem­ment, mais si je te le disais, tu n’en dor­mi­rais pas de la nuit. Â»
Drogue, sexe, sata­nisme, meurtres, magie noire : la Secte. L’affaire Epstein 20 ans avant. Il n’y manque que la pĂ©do­phi­lie et les enfants offerts en sacri­fice au diable.

Magie kabbalistique et puritanisme biblique : l’alliance de la carpe et du lapin

Mais, pour reve­nir Ă  la rĂ©a­li­tĂ©, com­ment des gens qui ne croient ni Ă  Dieu, ni Ă  diable, par­ti­ci­pe­raient-ils Ă  de telles orgies dont le deco­rum et les rites semblent ins­pi­rĂ©s d’une autre Ă©poque ? Comment une femme aus­si aus­tère que Christine Lagarde qui dirige le FMI peut-elle s’enticher de numé­ro­lo­gie(18) ? On l’entend dans cette vidĂ©o deman­der Ă  son audi­toire de « pen­ser au 7 magique Â» et pré­dire en 2014 (gué­ma­trie : 7, en addi­tion­nant les chiffres) « les 7 annĂ©es pros­pères qui vont suivre jusqu’à 2021 Â», annĂ©e oĂą « le FMI aura quelque Ă  faire Â».
Sans doute, 7 annĂ©es « pros­pères Â» pour les mon­dia­listes et une annĂ©e 2021 oĂą ils espèrent leur triomphe final, mais une annĂ©e ter­rible pour les peuples oppri­mĂ©s par eux.
La secte la plus cĂ©lèbre et la plus fer­mĂ©e des États-Unis a son siège Ă  Yale ; elle a Ă©tĂ© fon­dĂ©e en 1832 et a accueilli en son sein cer­tains pré­si­dents des États-Unis, comme la famille Bush ; la secte s’appelle très roman­ti­que­ment Skull and Bones, tra­duc­tion crâne et os.

Skull Bones - Yale

Dans l’en­ca­drĂ© : George H.W. Bush, ancien patron de la CIA, ancien pré­sident des États Unis, père de George Walker Bush, ancien pré­sident des États-Unis, Ă©ga­le­ment membre de l’association

Des visi­teurs qui se sont intro­duits par effrac­tion dans le « saint des saints Â» ont contem­plĂ© un dĂ©cor funèbre : murs tapis­sĂ©s de velours noir ou rouge, penta­gramme, une gra­vure repré­sen­tant un cer­cueil et des crânes : tous les ingré­dients du par­fait petit magi­cien, genre Harry Potter. On pour­rait en sou­rire si cette cari­ca­ture de dĂ©cor de film pour faire peur aux enfants n’était pas prise au sĂ©rieux par les indi­vi­dus les plus puis­sants des États-Unis et donc de la pla­nète.
Il est pro­bable que cette mise en scène macabre qui sou­ligne l’attrait des AmĂ©ricains pour le sata­nisme consi­dé­rĂ© alors comme une trans­gres­sion libé­ra­trice, trouve ses ori­gines dans celles des États-Unis, avant mĂŞme les pom­peux rituels maçon­niques, lorsque les pre­miers puri­tains chas­sĂ©s d’Angleterre s’installèrent dès 1620 dans le Massachusetts, gens frustes et mani­chĂ©ens n’ayant pour tout repère spi­ri­tuel que les injonc­tions bibliques aux­quelles ils s’adonnaient dans la plus stricte obser­vance, Ă©touf­fant les moindres ten­ta­tives de liber­tĂ© de pen­ser et d’indĂ©pendance ; c’est dans ce mĂŞme Massachusetts que, quelques annĂ©es plus tard, en 1692, Ă©cla­ta l’affaire des « sor­cières Â» de Salem et les pro­cès sor­dides qui s’ensuivirent qui abou­tirent Ă  l’exĂ©cution de 14 femmes et 6 hommes.
Nous allons retrou­ver ce mĂŞme archaĂŻsme super­sti­tieux dans ce qu’on pen­sait ĂŞtre l’endroit idĂ©al oĂą s’épanouissait la « moder­ni­tĂ© Â», la joie de vivre et la libé­ra­tion des mĹ“urs de cette AmĂ©rique coin­cĂ©e : Hollywood.
On se trom­pait lour­de­ment ; le ciné­ma amé­ri­cain est tout aus­si prude que les pre­miers pil­grims et il faut s’appeler Kubrick pour oser fil­mer une paire de fesses ; par contre, l’hĂ©moglobine coule Ă  flots et on s’ingĂ©nie Ă  mon­trer com­plai­sam­ment et avec force dĂ©tails tous les mas­sacres, Ă  la tron­çon­neuse ou avec tout autre usten­sile.
Les affaires de sexe ne se traitent pas dans les films, elles se font dans les cou­lisses et sur les cana­pĂ©s des pro­duc­teurs ; le rĂ©pu­gnant Weinstein sera le pre­mier Ă  tom­ber sous la charge accu­sa­trice de pas moins de 93 actrices.
Les Américains, dont les pul­sions sexuelles étaient refou­lées depuis des siècles, s’étaient arran­gés autre­ment depuis long­temps et s’adonnaient secrè­te­ment à toutes sortes de per­ver­si­tés, pra­tiques d’autant plus faci­li­tées qu’ils dis­po­saient d’un solide compte en banque et d’une noto­rié­té suf­fi­sante pour décou­ra­ger les soupçons.

Hollywood et la pédophilie

Mais que peut-on cher­cher quand on a tout : l’argent, le pou­voir, la gloire ? D’abord, l’immortalitĂ©, on l’a vu ; mais après ?
Eh bien, on cherche des déri­va­tifs à son ennui (sur­tout s’il doit durer éter­nel­le­ment), de nou­velles sen­sa­tions, on cherche à jouer avec ses pairs à qui repous­se­ra tou­jours plus loin les limites de sa puis­sance et à trans­gres­ser tout ce qui paraît consti­tuer les tabous d’une socié­té qui ne doivent être res­pec­tés que par les autres, ceux qu’on paye et qu’on domine.
Et voi­ci qu’on en arrive à la pédo­phi­lie, une per­ver­sion qui gan­grène la tota­li­té de la pla­nète.
Aux USA, le FBI annonce qu’il y a actuel­le­ment 1800 enquêtes en cours, qu’une opé­ra­tion datant du mois de jan­vier de cette année a per­mis de libé­rer 33 enfants, que 473 per­sonnes ont été arrê­tés l’année der­nière pour tra­fic d’enfants(19).
Hollywood se retrouve encore en pre­mière ligne. Un jeune pro­duc­teur hol­ly­woo­dien s’est réso­lu à dénon­cer ce dont il a été témoin(20) ; c’était en août 2020.
Et la saga Epstein Ă©tait dĂ©jĂ  pas­sĂ©e par lĂ , affaire qui, après celle de Weinstein, libère la parole ; Epstein, cet homme d’affaires mil­liar­daire, agent du Mossad et de la CIA – exac­te­ment le mĂŞme pro­fil que le père de sa com­pagne Guislaine Maxwell, Robert Maxwell, mil­liar­daire bri­tan­nique aujourd’hui dis­pa­ru(21) – fil­mait les Ă©bats sexuels de ses pres­ti­gieux invi­tĂ©s avec des jeunes filles mineures ; cela per­met­tait ensuite bien sĂ»r de les faire chan­ter ; on a rĂ©pé­tĂ© entre autres les noms des Clinton(22) et du prince Andrew, le fils de la reine Élisabeth ; Epstein sera retrou­vĂ© pen­du dans sa cel­lule ; per­sonne ne croit Ă  un sui­cide, bien sĂ»r ; il est inutile de s’attarder sur cette affaire que tout le monde connaĂ®t ; il nous faut juste rap­pe­ler que, dans ce grand cercle des puis­sants, tout le monde se fré­quente, inves­tit dans les mĂŞmes entre­prises, Ă©change ses par­te­naires, femmes, filles, fils, maris, se retrouve dans les mĂŞmes clubs sĂ©lects, les mĂŞmes plages para­di­siaques, les mĂŞmes Ă®les pri­vĂ©es, prend les mĂŞmes cock­tails dans les mĂŞmes yachts ou les mĂŞmes jets, boit les mĂŞmes coupes de cham­pagne dans les mĂŞmes hĂ´tels par­ti­cu­liers, tous aus­si luxueux dans n’importe quelle par­tie du globe, et par­ti­cipe, in fine, aux mĂŞmes orgies pĂ©do-sata­niques sans crainte de se faire prendre en se pro­té­geant les uns les autres.
Guislaine Maxwell est tou­jours en pri­son et tou­jours vivante ; a‑t-elle parlĂ© ?

Du marécage new-yorkais au Marais parisien

Epstein avait des liens Ă©troits avec la France, il pos­sé­dait un bel hĂ´tel par­ti­cu­lier Ă  Paris, ave­nue Foch, Guislaine Maxwell est bri­tan­nique, mais aus­si fran­çaise (nĂ©e Ă  Maisons-Laffitte), mais aus­si amé­ri­caine ; l’une de ses sĹ“urs, Christine, spé­cia­li­sĂ©e dans le domaine de l’internet avec sa socié­tĂ© Chiliad, s’est ins­tal­lĂ©e en France, Ă  Meyreuil, une petite com­mune limi­trophe d’Aix-en-Provence, Ă  la fin des annĂ©es 1990(23).
Jeffrey Epstein avait un cor­res­pon­dant Ă  Paris, Jean-Luc Brunel-Benchemoul, qui avait crĂ©Ă© deux agences de man­ne­quins et qui aurait four­ni Epstein en très jeunes filles ; accu­sĂ© de viol sur mineurs, il a Ă©tĂ© arrê­tĂ© par la police fran­çaise le 17 dĂ©cembre 2020.
Comme l’Europe et la France ont tou­jours ava­lé toutes les tur­pi­tudes venant des USA, le cou­rant pédo­phile a tra­ver­sé l’Atlantique pour s’installer en France où il semble encore plus actif, et peut-être depuis aus­si long­temps qu’aux États-Unis.
Tout comme en Amérique aus­si, les langues se sont récem­ment déliées avec le témoi­gnage de nom­breuses vic­times de pédo­philes gra­vi­tant dans les hautes sphères du pou­voir poli­tique, média­tique, cultu­rel.
Certains se sou­viennent de l’affaire du Coral en 1982, un centre Ă©du­ca­tif oĂą ont Ă©tĂ© com­mis des actes pĂ©do­philes ; l’un des pro­ta­go­nistes, qui accu­sait cer­taines per­son­na­li­tĂ©s du monde poli­tique et lit­té­raire (dĂ©jĂ ) est retrou­vĂ© mort ; les enquê­teurs ont conclu Ă  un sui­cide (dĂ©jĂ ).
En 1996, c’est l’affaire Dutroux en Belgique, en 2003, l’affaire Fourniret, en 2005, l’affaire d’Outreau, en 2007, l’affaire Évrard… mais c’est l’affaire Matzneff, qui va véri­ta­ble­ment réveiller l’opinion en 2019 quand elle s’aperçoit que les milieux cultu­rels, poli­tiques et média­tiques étaient depuis tou­jours très tolé­rants à l’égard de la pédo­phi­lie au point que cer­tains indi­vi­dus invi­tés à l’émission Apostrophes diri­gée par Bernard Pivot, comme Daniel Cohn-Bendit ou Gabriel Matzneff, n’hésitaient pas à décrire leurs expé­riences pédo­philes.
Le livre de Vanessa Springora paru en dĂ©cembre 2019, qui raconte sa rela­tion avec Matzneff alors qu’elle avait 14 ans, jette un pavĂ© dans la mare de la bien­pen­sance ; le livre de Camille Kouchner, fille de Bernard Kouchner et d’Evelyne Pisier, Familia Grande, s’engouffre dans la brèche en dĂ©non­çant les agres­sions sexuelles com­mises envers son frère Julien par leur beau-père, Olivier Duhamel.
C’est ain­si que l’on reparle de la mort mys­té­rieuse de l’actrice Marie-France Pisier, retrou­vĂ©e au fond de la pis­cine de la pro­prié­tĂ© fami­liale de Sanary, par la voix de Julien : « Je n’ai jamais cru que ma tante se soit sui­ci­dĂ©e, mais je ne sais pas com­ment elle est morte. Ma seule cer­ti­tude, c’est que toute cette his­toire [concer­nant l’acte de pĂ©do­phi­lie] l’a tuĂ©e. Â» Marie-France Pisier s’était Ă©le­vĂ©e, avant sa mort, contre l’apathie de sa soeur Ă  pro­pos des rela­tions connues d’Olivier Duhamel avec son beau-fils ; il se pas­sait de drĂ´les de choses dans cette mai­son de Sanary oĂą « les jeunes sont offerts aux femmes plus âgĂ©es Â» selon les dires de Camille(24). Enfin, la der­nière qui vient de sor­tir, le 25 jan­vier 2020, juste quelques jours après l’affaire Duhamel : l’affaire Richard Berry, un acteur connu, mariĂ© Ă  l’époque Ă  Jeane Manson, chan­teuse et actrice, accu­sĂ© par sa fille de l’avoir vio­lĂ©e alors qu’elle avait 8 ans ; elle en a 45 aujourd’hui.
Il est fort pro­bable que la liste des plaintes Ă  venir sera longue, en AmĂ©rique, en France et ailleurs puisque ces pra­tiques inces­tueuses et pĂ©do­philes sont habi­tuelles chez les adeptes de la Secte.

Pour conclure, j’aimerais don­ner un ordre d’idée de ce que pour­rait repré­sen­ter numé­ri­que­ment la Secte sur le plan mon­dial en pre­nant arbi­trai­re­ment comme uni­té de base l’unité déci­male pour sim­pli­fier.
Pour une popu­la­tion mon­diale de 7 mil­liards d’individus (oĂą l’on retrouve le chiffre 7) :
En pas­sant rapi­de­ment sur le cĹ“ur du noyau de la Secte (7, 70, 700, 7000 qui seraient les vĂ©ri­tables maĂ®tres du monde) :
Les com­plo­teurs seraient au nombre de 70 000, en y ajou­tant les chefs d’État, les membres des gou­ver­ne­ments de la pla­nète, les divers membres des clubs secrets dĂ©jĂ  citĂ©s, les com­mu­ni­cants : (jour­na­listes, publi­ci­taires), les grands patrons, les vedettes du show­biz col­la­bos, la jet set, les syn­di­ca­listes cor­rom­pus… donc en pour­cen­tage sur la tota­li­tĂ© de la popu­la­tion pla­né­taire : 0,001 %
Leurs affi­dĂ©s, leurs sui­veurs, leurs employĂ©s, leur clien­tèle comme on disait chez les patri­ciens romains, leurs laquais, gras­se­ment payĂ©s, aux­quels il faut rajou­ter leurs chiens de garde (leurs milices : police, gen­dar­me­rie…) bien dres­sĂ©s, Ă  dĂ©faut d’être bien payĂ©s : 70 mil­lions, soit 1 % de la popu­la­tion mon­diale. Le dis­si­dent russe Zinoviev, opé­rant les mĂŞmes cal­culs, esti­mait Ă  quelques 50 mil­lions le nombre de ces employĂ©s du Système(25) en 1999.
Les enne­mis des com­plo­teurs seraient les com­plo­tistes, selon la qua­li­fi­ca­tion des com­plo­teurs. Nous repren­drons les mĂŞmes chiffres, pour ĂŞtre Ă  Ă©ga­li­tĂ©. 70 000 rĂ©sis­tants, lan­ceurs d’alertes, Ă©cri­vains, jour­na­listes, blo­gueurs, influen­ceurs qui ont ana­ly­sĂ© les inten­tions mal­fai­santes de la Secte bien avant le dĂ©but de leur appli­ca­tion, soit 0,001 %.
Les hommes et les femmes de bon sens, qui sont pas­sĂ© au tra­vers du nuage toxique qui se dif­fuse prin­ci­pa­le­ment par hyp­nose (ingé­nie­rie sociale) en allu­mant la tĂ©lé­vi­sion (publi­ci­tĂ©, infos, images sub­li­mi­nales) ou la radio (publi­ci­tĂ©, infos, sons sub­li­mi­naux) ; esti­mons donc cette popu­la­tion lucide et en bonne san­tĂ© men­tale Ă  70 mil­lions d’individus, soit : 1 % de la popu­la­tion mondiale. Joueur flĂ»te

Et puis, vient le trou­peau incons­cient qui a sui­vi les joueurs de flĂ»te sans se poser de ques­tions, qui le conduisent Ă  l’abĂ®me oĂą il se jet­te­ra mas­si­ve­ment. Les bons tou­tous muse­lĂ©s et dĂ©cé­ré­brĂ©s res­pec­tant les gestes-bar­rières (pas de bar­rières le long du pré­ci­pice, la Secte a oubliĂ© d’en dis­po­ser) sont au nombre de 6 mil­liards 859 mil­lions et des pous­sières, soit 98,998 % et des pous­sières.
En rame­nant tous ces chiffres Ă  la France, en sup­po­sant qu’elle contient 70 mil­lions d’habitants, donc 1% de la popu­la­tion mon­diale, nous obte­nons 700 sec­ta­teurs com­plo­teurs, 700 000 affi­dĂ©s, 700 rĂ©sis­tants dits « com­plo­tistes Â», 700 000 per­sonnes avec un cer­veau en Ă©tat de marche, et 68 mil­lions 589 000 mou­tons lobotomisĂ©s.

L’objectif sou­hai­té de 500 mil­lions de sur­vi­vants au maxi­mum recom­man­dé par les Georgia Guidestones sera lar­ge­ment atteint si rien ne change d’ici la fin.
Chapeau ! Rideau !

Pierre-Émile Blairon

(1) Parmi tant d’autres exemples, Emmanuel Macron est Young Leader, ain­si que celui qui lui a ser­vi de Premier ministre, Édouard Philippe.
(2) Lire dans Valeurs actuelles : Onze ministres de Macron sont membres du Siècle, ce club Ă©li­tiste ultra-fer­mĂ© ou dans nos colonnes : Le rĂ©per­toire de l’oligarchie du 5 mars 2020
(3) Qui fait des émules en appa­rais­sant mys­té­rieu­se­ment un peu par­tout sur la pla­nète Terre depuis 2019.
https://www.businessinsider.fr/ce-que-lon-sait-des-mysterieux-monolithes-de-lutah-et-de-roumanie-185997#une-reference-a-2001-lodyssee-de-lespace
(4) Stanley Kubrick révèle le sens de la fin de 2001, L’Odyssée de l’espace dans une inter­view per­due.
(5) Pour l’anecdote, 2001 : L’OdyssĂ©e de l’espace a Ă©tĂ© rĂ©a­li­sĂ© en 1968 ; le 21 juillet 1969, l’Homme (amé­ri­cain) mar­chait sur la Lune pour la pre­mière fois. Dans une vidĂ©o que vous trou­ve­rez ci-après, dif­fu­sĂ©e par les Inrocks, qui aurait Ă©tĂ© tour­nĂ©e 3 jours avant sa mort, Stanley Kubrick disait que les AmĂ©ricains n’étaient jamais allĂ©s sur la Lune et que les images du pré­ten­du alu­nis­sage ont Ă©tĂ© tour­nĂ©es par lui sur Terre sur com­mande des auto­ri­tĂ©s amé­ri­caines en com­pé­ti­tion avec les Russes pour la maî­trise de l’espace Ă  l’époque. Selon l’article des Inrocks qui accom­pagne ces images (et selon tous les mĂ©dias mains­tream), la vidĂ©o en ques­tion est un faux (Moon hoax) et c’est un acteur qui tient le rĂ´le de Kubrick ; je n’ai pas trou­vĂ© de rĂ©ponses aux ques­tions que je me pose mais elles existent peut-ĂŞtre : quel est le nom de cet acteur ? D’autre part, en 2021, les tech­niques de recon­nais­sance faciale et vocale sont suf­fi­sam­ment sĂ»res pour per­mettre l’accès Ă  des sites sen­sibles ; quelle est la socié­tĂ© maî­tri­sant ces tech­niques qui a dĂ©ter­mi­nĂ© que l’homme qui parle dans cette vidĂ©o ne peut pas ĂŞtre Kubrick ?
(6) HAL, com­pre­nez : H+=I, A+1=B, L+1=M, clin d’œil Ă  IBM.
(7) Il est tou­jours bon de le pré­ci­ser car on assi­mile sou­vent le nom du créa­teur à sa créa­ture.
(8) https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/ces-affaires-qui-ternissent-le-quinquennat-macron-138374.
(9) Voir mon livre La Roue et le sablier, p. 263.
(10) Id. p.259.
(11) Voir mon article Objectif Covid : sou­mis­sion et robo­ti­sa­tion de la popu­la­tion pla­né­taire, du 1er aoĂ»t 2020.
(12) Laurent Alexandre, La Mort de la mort, édi­tions J.C. Lattès.
(13) Voir La Roue et le sablier, p. 265.
(14) La Roue et le sablier, p. 267.
(15) Lire : Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 fĂ©vrier 2020.
(16) SacrĂ© avan­tage quand mĂŞme pour ceux qui se feront vac­ci­ner : plus la peine de regar­der les Ă©ti­quettes dans les super­mar­chĂ©s pour savoir si le pro­duit que vous ache­tez com­porte des OGM ; les OGM sont dĂ©jĂ  inclus : c’est vous !
(17) Interprété par le cinéaste Sidney Pollack, réa­li­sa­teur de plu­sieurs chefs‑d’œuvre, dont Jeremiah Johnson et Out of Africa.
(18)

(21) Mort mys­té­rieuse, car cet excellent marin serait tom­bé de son yacht… en pis­sant par-des­sus bord. Je n’ai pas comp­té le nombre de morts mys­té­rieuses évo­quées dans cet article.
(22) Le couple Clinton Ă©tant lui-mĂŞme impli­quĂ© dans une affaire de pĂ©do­phi­lie, le fameux « piz­za­gate Â».
(23) https://www.thedailybeast.com/ghislaine-maxwell-where-in-the-world-is-jeffrey-epsteins-girlfriend.
« Her older sis­ter, Christine Malina-Maxwell, has a home in Meyreuil, a semi-rural vil­lage about 8 miles from Aix-en-Provence Â» (Daily Beast).
(24) Affaire Olivier Duhamel : ces scènes sor­dides Ă  la mai­son fami­liale.
(25) La Roue et le sablier, p. 208.

Pierre-Émile Blairon a Ă©ga­le­ment publiĂ© :

Bonus de la rĂ©daction :

Skull Bones - Yale - 322L’emblème de la secte Skulls & Bones reprend le chiffre 322. Ce n’est pas ano­din. Il s’a­git d’un signe codĂ© de recon­nais­sance. Voir notre article : Pourquoi la Covid-19 s’arrĂŞte-t-elle Ă  322 vic­times ? du 4 juillet 2020.

Nos lec­teurs atten­tifs n’au­ront pas man­quĂ© de noter que Juan Branco est pas­sĂ© par la case Yale lors de sa for­ma­tion express que nous pré­sen­tions dans notre article Juan Branco nous cache quel­que­chose du 24 avril 2019. 

6 Commentaires 

  1. Pour sor­tir de la Dualité (Après tout c’est exac­te­ment à cela que nous par­ti­ci­pons tous en vivant les évé­ne­ments que nous tra­ver­sons actuel­le­ment).
    Nous vivons tous col­lec­ti­ve­ment un phé­no­mène d’ex­pan­sion de la Conscience et cette Expansion doit nous mener éven­tuel­le­ment vers l’Expérience de l’Unité (Il y aura un paquet de lais­sés pour compte, mais ce n’est pas bien grave, puisque ulti­me­ment nous sommes Immortels).
    Si nous fai­sons l’ef­fort de nous Ă©le­ver au-des­­sus de cette ExpĂ©rience duelle (comme le pré­co­nisent les AmĂ©rindiens, en adop­tant la « Vision de l’Aigle Â»), nous nous aper­ce­vons que tout est bien Ă  sa place et que les por­teurs du Grand Mensonge ne sont lĂ  que pour nous mon­trer ce que nous vou­lons ou ne vou­lons pas!… Le Mensonge ne sert Ă  rien d’autre qu’à faire prendre Conscience de son contraire… J’ai nom­mĂ© la VĂ©rité… VĂ©ritĂ© qui n’est autre que l’ex­pres­sion de l’UnitĂ©.
    Nous ne pou­vons que remer­cier tous ces « sata­nistes Â», car sans eux nous ne pour­rions faire ce che­min d’Éveil vers notre propre SouverainetĂ©.
    Car il s’a­git bien ici de Souveraineté et de rien d’autre!… La Souveraineté, issue de la Vérité, qu’elle soit Individuelle ou Collective est l’exact contraire de l’es­cla­va­gisme, qui n’est autre que l’ex­pres­sion du Mensonge…
    Je pour­rais encore affir­mer par une autre Métaphore, que nous sommes tous parts du même Corps… à l’é­chelle de l’Humanité, au même titre que ces cel­lules qui com­posent nos corps indi­vi­duels.
    Notre seule Vraie ResponsabilitĂ© n’est pas de cri­ti­quer, mais de soi­gner ce qui peut (doit) l’être en nous « m’Aime Â», pour que chaque cel­lule du grand corps qui com­pose notre HumanitĂ© gué­risse en s’ou­vrant Ă  la VĂ©rité… GuĂ©rison qui ne peut pas­ser que par le CĹ“ur et le rĂ©-Amour de nous « m’Aime Â».

    RĂ©pondre
  2. La lumière est plus forte que les ténèbres. Nous sommes à l’aube d’un nou­veau monde. Ayez confiance le juge­ment approche.

    RĂ©pondre
  3. Les sacri­fices humains sont pra­ti­quĂ©s dans le but de voler la vita­li­tĂ© des jeunes gens du peuple voire d’en­fants en bas âges pour asseoir le pou­voir des Ă©lites diri­geantes en pro­lon­geant leur vie.
    Le viol de vita­li­té per­met l’ac­cès à des facul­tés para­nor­males via la mémoire du sang. (auteur incon­nu)
    En ce qui concerne les Georgia Guidestones, ce qui inter­pelle le plus, c’est la qua­si absence des prin­ci­pales langues euro­pĂ©ennes, mis Ă  part l’an­glais et l’es­pa­gnol, mais qui concernent, je pense, l’AmĂ©rique du nord et du sud.

    RĂ©pondre
  4. La syna­gogue de Satan est la source de la pĂ©do­cri­mi­na­li­tĂ©, de la cor­rup­tion gĂ©né­ra­li­sĂ©e et de leurs sacri­fices sur les enfants. Bande de salo­pards votre heure approche !

    RĂ©pondre
  5. Toutes ces affaires de pĂ©do­phi­lie res­tent tout de mĂŞme très « communautarisĂ©es Â».

    RĂ©pondre
    • Et pour cacher la pré­do­mi­nance de cette com­mu­nau­tĂ© dont on ne peut par­ler, on nous res­sort ces his­toires de pĂ©do­phi­lie dans l’é­glise… L’arbre pour cacher la forĂŞt.

      RĂ©pondre

Répondre à tiso Annuler la réponse

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.