La France, laboratoire de la Secte mondialiste

par | 3 octobre 2023 | 12 Commentaires 

Transcription de l’intervention de Pierre-Émile Blairon au col­loque de la Ligue du Midi, 1er octobre 2023, Villeneuve-lès-Avignon, sur le thème :

Décadence et chaos

La France, laboratoire de la Secte mondialiste

Dans mon expo­sé, je vais uti­li­ser cer­taines cita­tions, la plu­part de ces cita­tions pro­viennent des res­pon­sables eux-mêmes des deux sectes qui pré­tendent diri­ger le monde et qui sont com­plices : la Secte mon­dia­liste et la Secte trans­hu­ma­niste, ceci pour prou­ver que je n’invente rien.

1. Le coup d’État planétaire de 2020

Je ne sais pas s’il y aura des his­to­riens sur notre pla­nète au 22e siècle, ni même s’il y aura quelqu’un, mais s’il y en a, ils retien­dront l’année 2020 comme la ten­ta­tive d’un coup d’État pla­né­taire, c’est le Grand Reset, comme l’appelle Klaus Schwab, qui semble être le chef, ou l’adjudant-chef, de la ecte mon­dia­liste qui a pré­pa­ré ce coup d’État avec ses amis mil­liar­daires trans­hu­ma­nistes. Ce Grand Reset est la forme qu’a prise l’accouchement d’un long pro­ces­sus de sub­ver­sion qui éclate au grand jour ; ce bébé qui est né en 2020 – un bébé mer­veilleux selon ses géni­teurs, puisqu’il est 2.0, et même deux fois 2.0, puisqu’il est né en 2020 ; vous savez ce que signi­fie ce 2.0 ; selon le dic­tion­naire, cette for­mule qua­li­fie « une chose qui s’est tota­le­ment renou­ve­lée, trans­for­mée, qui a connu une évo­lu­tion majeure, une qua­si-révo­lu­tion. »
Le repré­sen­tant des trans­hu­ma­nistes en France, Laurent Alexandre, dans un débat face à Michel Onfray, a dit ceci : « L’Homme 1.0 est mort, l’homme 2.0 modi­fié par la tech­no­lo­gie arrive. Si nous ne nous hybri­dons pas avec l’IA (l’intelligence arti­fi­cielle), nous allons être mar­gi­na­li­sés, et nous allons dis­pa­raître. » Ce qui veut dire que nous devons nous trans­for­mer en robots.
Ce bébé 2.0 me rap­pelle celui du film Rosemary’s baby, du réa­li­sa­teur Roman Polanski, dont on connaît les déboires judi­ciaires, un film sor­ti en 1968, une année hau­te­ment sub­ver­sive, un film qui sonne comme le signal de départ des évé­ne­ments à venir ; ce bébé uni­ver­sel qui est né alors est bien celui de Satan.

2. Manifestations juvéniles de « satanisme »

Pour des esprits ration­nels, Satan – ou le diable – n’existe peut-être pas, on peut les com­prendre, cette réfé­rence paraît ana­chro­nique, faite pour faire peur aux enfants qui ne sont pas sages, comme l’histoire du Chaperon rouge et du grand méchant loup, mais il faut bien admettre que les sata­nistes, qui se défi­nissent eux-mêmes comme tels, sont bien réels comme les déci­sions déli­rantes qu’ils nous imposent.
Nous allons voir que beau­coup d’actions des mon­dia­listes sont déter­mi­nées par rap­port à la numé­ro­lo­gie, dates, chiffres, nombres sym­bo­liques, ou par rap­port à d’anciennes for­mules magiques ; c’est le monde d’Harry Potter cou­plé à celui de l’Inquisition, ça semble très infan­tile, à la limite de la débi­li­té, mais il ne faut pas oublier que ça nous vient des États-Unis, la nation qui a été fon­dée par les pre­miers pil­grims et les sectes bibliques, et ensuite conti­nué plus ou moins gen­ti­ment par Hollywood et Walt Disney. Quand j’emploie le mot « secte » pour dési­gner la mou­vance mon­dia­liste, c’est avec un brin d’humour. Ces gens paraissent ridi­cules aux yeux de per­sonnes ayant gar­dé un peu de bon sens. Par exemple, on a peine à ima­gi­ner que cer­tains diri­geants des États-Unis, comme la famille Bush, ont appar­te­nu à un groupe plus ou moins secret, appe­lé Skull and Bones, crâne et os. Ne manquent plus que les toiles d’araignée et les dégui­se­ments de fan­tômes pour évo­quer Halloween, autre­ment dit la Samain, l’une des grandes fêtes celtes que les Américains, et même cer­tains Européens, se sont appro­priée pour en faire une réjouis­sance pseu­do-sata­ni­co-com­mer­ciale en y expo­sant les enfants cen­sés effrayer leurs parents.
Voici quelques exemples de ces curieuses inter­ven­tions de per­son­na­li­tés qu’on aurait crues moins super­sti­tieuses et plus aus­tères :
Par exemple, Christine Lagarde, qui dirige le FMI, a deman­dé à son audi­toire, lors d’une inter­ven­tion en 2014, de « pen­ser au 7 magique » (pour­quoi en 2014 ? Parce que la somme de tous les chiffres de 2014 est 7, tout bon­ne­ment), et elle a pré­dit « 7 années pros­pères qui vont suivre jusqu’à 2021, année où le FMI aura quelque chose à faire », rajoute-t-elle sur un ton mys­té­rieux. 7 années pros­pères peut-être pour les mon­dia­listes et une année 2021 qu’elle espé­rait sans doute celle du triomphe de ses amis oli­garques.
Autre exemple, Bill Gates qui a dépo­sé un bre­vet concer­nant un « sys­tème de cryp­to-mon­naie uti­li­sant des don­nées sur l’activité cor­po­relle » (celui qui sait ce que ça veut dire est un cham­pion), bre­vet numé­ro­té : 060606, 666, « le nombre de la bête » dans l’Apocalypse de Jean ; je vous en rap­pelle le texte d’origine :

À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle impose une marque sur la main droite ou sur le front. Et nul ne pour­ra ache­ter ou vendre, s’il ne porte la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom. C’est le moment d’avoir du dis­cer­ne­ment : celui qui a de l’intelligence, qu’il inter­prète le chiffre de la bête, car c’est un chiffre d’homme : et son chiffre est six cent soixante-six.
La marque, c’est évi­dem­ment cette volon­té des mon­dia­listes de tra­cer tous les humains par une puce implan­tée, mais nous ver­rons que ce nombre n’est pas que ça..
Dr Laurent Alexandre - La mort de la mort
À pro­pos de ladite « bête », Macron a eu cette phrase : « Je crois que notre géné­ra­tion doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du ter­ro­risme, de cette grande pan­dé­mie ou d’autres chocs. » C’est une tech­nique habi­tuelle des membres de cette élite auto­pro­cla­mée : ils décrivent ce qui va se pas­ser en fai­sant croire qu’il ne s’a­git pas de leur plan mais d’une « fata­li­té » dont ils ne sont pas res­pon­sables et même qu’ils combattraient.

C’est ce que fait aus­si Laurent Alexandre, le repré­sen­tant en France de la Secte trans­hu­ma­niste qui est en com­plète fusion avec la Secte sata­niste mon­dia­liste, quand il écrit dans son livre au titre très expli­cite La Mort de la mort(1) (tou­jours cette obses­sion de deve­nir « immor­tel »): « Rien ne garan­tit qu’une huma­ni­té aug­men­tée sera tolé­rante vis-à-vis des humains tra­di­tion­nels. La pos­sible tyran­nie de la mino­ri­té trans­hu­ma­niste doit être envi­sa­gée avec luci­di­té. » Il écrit encore : « Avoir des mil­lions de nano­ro­bots médi­caux dans le corps est une pers­pec­tive inté­res­sante, à condi­tion que la sécu­ri­té infor­ma­tique soit assu­rée. Imaginez que des bio­ter­ro­ristes par­viennent à prendre le contrôle de ces nano­ro­bots ! En les ren­dant agres­sifs, ils pour­raient tuer d’un clic de sou­ris des mil­lions d’individus. Une attaque ter­ro­riste virale, avec par exemple une ver­sion géné­ti­que­ment modi­fiée du SRAS (c’est un coro­na­vi­rus), de la variole ou autre, pour­rait pro­vo­quer des mil­lions de vic­times avant qu’un vac­cin ne soit dis­po­nible. »
C’est très inté­res­sant, sur­tout quand on sait que ce livre est paru en avril 2011 ! Donc, en 2011, Laurent Alexandre, tel un pro­phète, envi­sage l’éventualité d’une pan­dé­mie de coro­na­vi­rus qui pour­rait pro­vo­quer des mil­lions de morts et il ajoute : « avant qu’un vac­cin soit disponible » !

3. Les psychopathes

Depuis l’année 2020, nous sommes entrés par la grâce de ces psy­cho­pathes, dans un monde de cau­che­mar que nous ne pou­vions même pas ima­gi­ner. Et encore aujourd’hui, la plu­part de nos conci­toyens n’en ont tou­jours pas pris conscience. Je rap­pelle la défi­ni­tion d’un psy­cho­pathe, elle cor­res­pond exac­te­ment au carac­tère de ces gens : « ce syn­drome carac­té­rise des gens arro­gants, très mani­pu­la­teurs, insen­sibles, séduc­teurs et domi­nants. Ils n’ont aucun remords ou empa­thie. »
En France, toutes les ava­nies qui semblent nous tom­ber brus­que­ment sur le dos dans des domaines très dif­fé­rents comme :
l’invasion migra­toire pré­mé­di­tée, l’insécurité orga­ni­sée et la jus­tice poli­ti­sée, la liqui­da­tion de nos fleu­rons éco­no­miques et indus­triels comme EDF, Alstom et bien d’autres, la totale déli­ques­cence de nos valeurs tra­di­tion­nelles, la néga­tion de nos prin­cipes les plus évi­dents et natu­rels comme la dif­fé­ren­cia­tion sexuelle ou la pré­ser­va­tion de l’innocence et de la pure­té de nos enfants, l’abolition de nos fron­tières, la des­truc­tion métho­dique de l’instruction publique et de notre sys­tème de san­té, la dis­pa­ri­tion de notre qua­li­té de vie dont per­sonne n’ose même plus évo­quer ne serait-ce que le concept, tel­le­ment c’est deve­nu un luxe, dis­pa­ri­tion qui conduit au sac­cage de nos ter­roirs, de nos pay­sages et de notre cadre de vie avec leurs nou­velles éner­gies soi-disant renou­ve­lables, les diverses mani­pu­la­tions géné­tiques ou dérè­gle­ments cli­ma­tiques (c’est leur nou­velle lubie – il est pro­bable que toutes ces catas­trophes dites natu­relles qui se mul­ti­plient sur toute la pla­nète actuel­le­ment ne soient pas si natu­relles que ça), toutes ces épreuves que nous subis­sons – et la liste est loin d’être exhaus­tive – ne sont pour­tant pas le fruit du hasard.
Il faut bien nous rendre à l’évidence : elles nous sont impo­sées, il s’agit d’un plan concer­té.
Nos esprits rai­son­nables n’ont pas mesu­ré l’ampleur de la catas­trophe qui s’abattait sur nous. Il ne s’agit pas tant de la noci­vi­té d’un virus qui aurait été concoc­té dans un labo­ra­toire fran­co-chi­nois, mais plu­tôt de ce qu’il repré­sen­tait comme test pour mesu­rer nos capa­ci­tés de résis­tance à une mani­pu­la­tion somme toute gros­sière.
Ce qui nous a effec­ti­ve­ment per­mis de décou­vrir le véri­table désastre : la grande majo­ri­té de la popu­la­tion fran­çaise, euro­péenne et même pla­né­taire est tom­bée dans le pan­neau, s’est sou­mise à toutes les injonc­tions éta­tiques sans avoir éle­vé la moindre objec­tion ; il suf­fi­sait de faire peur aux foules.
Certains d’entre nous ont gar­dé un esprit cri­tique, ceux qu’on a appe­lés d’abord des lan­ceurs d’alerte, puis ensuite des com­plo­tistes mais qui ne sont que des gens aver­tis et curieux ; ces per­sonnes lucides ont com­pris ceci : les com­plo­tistes sont dési­gnés ain­si par ceux qui orga­nisent les com­plots, à savoir les com­plo­teurs.
Victor Hugo écri­vait dans Les Misérables : « Mentir, c’est la face même du démon ; Satan a deux noms : il s’ap­pelle Satan et il s’ap­pelle Mensonge. »
Au début de leur prise de Pouvoir, les mon­dia­listes ont régné effec­ti­ve­ment par le men­songe ; on se sou­vient des décla­ra­tions contra­dic­toires de nos gou­ver­nants d’un jour à l’autre, ou d’un ministre à l’autre, au début de cette période covi­diste, qui nous ont fait pen­ser qu’ils étaient incom­pé­tents ; mais non : nous avons fini par com­prendre que cha­cune de leurs inter­ven­tions et de leurs actions était par­fai­te­ment pré­mé­di­tée et cali­brée. Ces gens maî­trisent par­fai­te­ment l’art du men­songe, de la mani­pu­la­tion des masses – ou de l’ingénierie sociale, pour par­ler un lan­gage plus moderne.
Puis, peu à peu, ces mêmes diri­geants, un peu par­tout dans le monde, ont ces­sé de men­tir, ils n’ont plus rien caché de leurs véri­tables inten­tions.
Pourquoi sont-ils si sûrs d’eux-mêmes ? Pour deux rai­sons prin­ci­pales.
• D’abord parce qu’ils savent qu’ils ont réus­si au moins une par­tie de leur plan : leur emprise sur les masses. Ils peuvent affir­mer les pires insa­ni­tés, expo­ser leurs pro­jets les plus liber­ti­cides, les popu­la­tions lobo­to­mi­sés n’y prêtent plus atten­tion, comme si elles refu­saient d’y croire. En fait, peu importe aux masses que ce soit vrai ou faux, elle ne veulent tout sim­ple­ment pas en entendre par­ler. Depuis des années, les aler­teurs s’échinent à appor­ter les preuves de la grande mani­pu­la­tion ; en vain ; c’est : « Après moi, le déluge ! »
• Il faut dire aus­si que ces diri­geants occi­den­taux, qui se consi­dèrent comme « l’élite », sont arro­gants à ce point pour une deuxième rai­son : c’est parce que les adjudants–chefs comme Schwab, qui les super­visent, les ont convain­cus qu’ils étaient invin­cibles (voire immor­tels), parce qu’ils seraient pro­té­gés par une caste secrète de Supérieurs incon­nus, selon leur jar­gon, qui est celui d’un occul­tisme de bas-astral, une caste qui action­ne­rait tous les rouages qui fabriquent le monde maté­riel, caste elle-même héri­tière de très anciennes offi­cines qui ont œuvré depuis des siècles, voire des mil­lé­naires, pour prendre ce pou­voir bien ter­restre qu’elles pensent avoir arra­ché aux ins­tances divines. Le sata­nisme de nos modernes élites est à la fois pué­ril, archaïque et féroce ; il puise ses réfé­rences dans les vieux gri­moires de magie noire et s’accompagne presque tou­jours de per­ver­sions sexuelles comme nous l’avait mon­tré Stanley Kubrick dans le der­nier film qu’il a réa­li­sé, Eyes wide shut, les yeux grands fer­més, un titre qui carac­té­rise bien l’attitude timo­rée de la masse.
Eyes wide shut -Stanley Kubrick

4. Les origines

Comment en sommes-nous arri­vés là ? Pour com­prendre un pro­blème et ten­ter de le résoudre, il faut tou­jours retour­ner à ses ori­gines.
4.1. Origines anciennes
Je parle de siècles et de mil­lé­naires.
Nos modernes sata­nistes sont les héri­tiers de la race des Titans qui, dans la mytho­lo­gie grecque, ont vou­lu se mesu­rer aux dieux par la révolte de leur figure la plus emblé­ma­tique qui s’appelle Prométhée, lequel est répu­té avoir créé les humains ; le pro­mé­théisme, ou le tita­nisme, a don­né nais­sance au sur­hu­ma­nisme, qui est lui-même l’antichambre de l’actuel trans­hu­ma­nisme, qui milite pour un homme aug­men­té, équi­valent du sur­homme.
Cette vani­té, cet orgueil qui a pous­sé les Titans à défier les dieux s’appelle l’hubris, la déme­sure éle­vée en mode de fonc­tion­ne­ment de nos socié­tés actuelles, la folie tita­nesque ; je ne pren­drai pour seul exemple de cette folie, exemple qui est cari­ca­tu­ral, que cette course à celui qui élè­ve­ra la plus haute tour au monde (on pense à la Tour de Babel), com­pé­ti­tion enga­gée par les Bédouins richis­simes du Golfe per­sique qui les dis­trait de leurs col­lec­tions de Ferrari ou des courses de cha­meaux dont ils sont res­tés friands ; mais cette fré­né­sie de construc­tions ver­ti­cales appa­rue à New-York et à Chicago, à la fin du 19e siècle, hautes tours qu’on a appe­lées gratte-ciel – le mot gratte-ciel sym­bo­lise à mer­veille cette volon­té de concur­ren­cer les dieux – , Oswald Spengler - Déclin Occidentcette fré­né­sie s’est éten­due à l’ensemble de la pla­nète, si bien que les villes de culture, qui se dis­tin­guaient par une archi­tec­ture enra­ci­née, perdent leur par­ti­cu­la­ri­té et sombrent dans l’anonymat et l’uniformité de ces ter­ri­fiantes méga­poles dont Oswald Spengler avait si bien pro­phé­ti­sé la sinistre emprise au début du 20e siècle, dans son livre Le déclin de l’Occident.Le psy­cho­thé­ra­peute Paul Diel dira que « Les hommes, en tant que créa­tures de Prométhée, for­més de boue et ani­més par le feu volé, réa­lisent la révolte du Titan et ne pour­ront que se per­ver­tir. Guidés par la vani­té de l’intellect révol­té, fiers de leurs capa­ci­tés d’invention et de leurs créa­tions ingé­nieuses, les hommes s’imagineront être pareils aux dieux(2). »
Et ce n’est pas un hasard si l’équivalent des Titans chez les mono­théistes sont les anges rebelles, et de ce fait déchus, dont le chef s’appelle évi­dem­ment Satan, dont la racine serait la même que celle de Titan, selon le cher­cheur Daniel E. Gershenson. La cause de la déchéance de ces anges est iden­tique à celle qui a pous­sé Prométhée à défier les dieux : l’hubris, l’orgueil, la vani­té, la volon­té de se mesu­rer à Dieu, voire de le rem­pla­cer.
On peut consta­ter que paga­nisme et chris­tia­nisme se rejoignent ici, pour une fois, au moins pour avoir un diable en commun.

4.2. Histoire contem­po­raine
Voyons main­te­nant rapi­de­ment quelques épi­sodes de l’histoire contem­po­raine qui ont favo­ri­sé l’émergence de la Secte.
En même temps que les gratte-ciel, sont appa­rues tout au long du 19e siècle quan­ti­té d’inventions scien­ti­fiques et tech­niques qui fai­saient pen­ser que le monde entrait dans une phase de bon­heur et de pros­pé­ri­té maté­riels.
La fée élec­tri­ci­té, le ciné­ma, la pho­to­gra­phie, le télé­graphe, le télé­phone, la machine à vapeur, le train, l’avion… un tour­billon d’inventions tech­niques qui ne pour­ront que tour­ner la tête des foules et les per­sua­der qu’une ère nou­velle était en train de bou­le­ver­ser leur vie, celle du Progrès sans fin.
Un autre évé­ne­ment, cultu­rel cette fois, va s’insérer dans cette suite de révo­lu­tions tech­niques ; c’est la paru­tion d’un livre qui va chan­ger radi­ca­le­ment l’idée qu’on se fai­sait de l’origine de l’Homme. Jusqu’à la paru­tion en 1859 de l’ouvrage de Darwin, L’Origine des espèces, c’était les reli­gions du Livre, les bien nom­mées, qui expli­quaient que c’était leur Dieu unique qui avait créé l’espèce humaine, les ani­maux, la terre et la nature, le cos­mos dans son ensemble.
DarwinLes thèses de Darwin sur l’évolution sup­posent que l’ancêtre de l’Homme est le singe et vont, bien sûr, à l’encontre de la doc­trine créa­tion­niste des mono­théistes. L’ouvrage de Darwin eut un grand suc­cès qui per­dure encore ; cette théo­rie de l’évolution a été à l’origine d’une autre théo­rie qui en découle et qui est tout aus­si aber­rante : celle du Progrès , qui a don­né nais­sance à ses par­ti­sans, nos chers amis les Progressistes.
On com­prend pour­quoi l’influence de l’Église com­mence alors à décli­ner à cette époque ; et c’est même en 1850 qu’on voit appa­raître le mot : anti­clé­ri­cal.
À cette même période, l’Université crée les pre­mières chaires d’Histoire, et va for­mer de nou­veaux his­to­riens qui vont révi­ser leurs connais­sances à l’aune de leur époque si fer­tile en nou­veau­tés. Ils ont alors esti­mé que le Moyen-Âge était une période obs­cu­ran­tiste, sans doute parce que c’est au Moyen-Âge qu’ont été éri­gées les plus somp­tueux édi­fices réa­li­sés par le génie euro­péen : je veux par­ler des cathé­drales ; c’est encore au Moyen-Âge qu’on a vu le retour des valeurs éter­nelles qui ont consti­tué le socle spi­ri­tuel indo-euro­péen avec l’élaboration du code de che­va­le­rie, c’est tou­jours au Moyen-Âge que l’on a assis­té à une résur­gence fugace de la Tradition pri­mor­diale avec l’apparition du cycle du Graal.
Selon ces his­to­riens, l’époque moderne débute soit en 1453 avec la chute de Constantinople, soit en 1492 avec la décou­verte de l’Amérique, en gros à la Renaissance, ce qui induit que la Renaissance, par un retour­ne­ment séman­tique inclus dans toute fin de cycle, était donc le début de la fin ; selon ce même prin­cipe, le mou­ve­ment phi­lo­so­phique qu’on appel­le­ra le Siècle des Lumières (entre 1715 et 1789) sera le début de l’obscurcissement de la pen­sée et de la dis­pa­ri­tion des valeurs tra­di­tion­nelles jusqu’à l’apparition de la Révolution fran­çaise qui aura été pré­pa­rée par ce même mou­ve­ment ratio­na­liste, indi­vi­dua­liste et libé­ral.
Il est pro­bable que la Révolution fran­çaise ne fut à l’origine qu’une agi­ta­tion de quelques fana­tiques émé­chés, recru­tés dans les bas-fonds et mani­pu­lés par les bour­geois issus du mou­ve­ment des Lumières, des troubles que les his­to­riens pro­gres­sistes feront pas­ser pour une révolte popu­laire et qui sera le modèle de toutes les révo­lu­tions san­glantes qui lui ont suc­cé­dé de par le monde. La Révolution engen­dre­ra la République fran­çaise, un concept poli­tique que nos diri­geants contem­po­rains aime­raient bien faire pas­ser pour l’âme même de la France, comme si l’histoire de notre pays avait com­men­cé à la Révolution. Certains se sou­viennent que nos vieux maîtres d’école nous appre­naient que nous étions Français, de souche gau­loise, sous un régime momen­ta­né­ment républicain.

5. Évolution ou involution ?

Le prin­cipe de pro­grès et d’évolution qui est entré alors dans la tête et la logique de tous au point d’être consi­dé­ré comme une évi­dence, est la plus for­mi­dable réus­site de mani­pu­la­tion et de condi­tion­ne­ment des masses, avant même celle de la pseu­do-pan­dé­mie et du pseu­do-vac­cin que nous avons vécu en direct. Mais ces notions sont d’ordre pure­ment humain, issues de l’intelligence, ou de l’ignorance, humaine. Nous allons voir que ces théo­ries ne sont, en fait, que des uto­pies, puisqu’elles ne se rat­tachent à aucun élé­ment concret.Julius Evola
Selon Julius Evola, seule une petite mino­ri­té de per­sonnes a conscience de cette mani­pu­la­tion parce que ces per­sonnes ont conser­vé ce qu’il appelle « cette héré­di­té des ori­gines, cet héri­tage qui nous vient du fond des âges qui est un héri­tage de lumière. […] Seul peut adhé­rer au mythe de l’évolutionnisme et du dar­wi­nisme l’homme chez qui parle l’autre héré­di­té (celle intro­duite à la suite d’une hybri­da­tion) car elle a réus­si à se rendre suf­fi­sam­ment forte pour s’imposer et étouf­fer toute sen­sa­tion de la pre­mière(3) ».
Evola pré­cise qu’il est « plus juste de dire que le singe dérive de l’homme par invo­lu­tion que d’affirmer que l’homme dérive du singe par évo­lu­tion(4) . »
Et il rajoute dans Révolte contre le monde moderne : « Le fait qu’à la concep­tion aris­to­cra­tique d’une ori­gine d” « en haut », d’un pas­sé de lumière et d’es­prit, se soit sub­sti­tuée de nos jours l’i­dée démo­cra­tique de l’é­vo­lu­tion­nisme, qui fait déri­ver le supé­rieur de l’in­fé­rieur, l’homme de l’a­ni­mal, la civi­li­sa­tion de la bar­ba­rie – cor­res­pond moins au résul­tat « objec­tif » d’une recherche scien­ti­fique consciente et libre, qu’à une des nom­breuses influences que, par des voies sou­ter­raines, l’a­vè­ne­ment dans le monde moderne des couches infé­rieures de l’homme sans tra­di­tion, a exer­cées sur le plan intel­lec­tuel, his­to­rique et bio­lo­gique. »
Encore un mot à pro­pos de cette théo­rie de l’évolution pour nous retrou­ver au cœur des évé­ne­ments actuels.
Professeur Didier RaoultNotre bon pro­fes­seur Raoult, avant de s’opposer aux repré­sen­tants de la pseu­do-méde­cine, avait écrit un livre qui posait les vraies ques­tions à pro­pos du tra­vail de Darwin et il en démo­lis­sait les dogmes ; le titre de son livre ne laisse aucun doute sur son conte­nu : Dépasser Darwin, livre paru chez Plon en 2010, qui déran­geait la presse de gauche puisque l’Express titrait sur cette paru­tion dans le style bien tor­du que nous lui connais­sons : « L’étrange évo­lu­tion du pro­fes­seur Raoult ; ver­dict : Raoult s’é­gare et se contre­dit. ». Ces braves petits jour­na­listes se per­mettent de condam­ner cette som­mi­té mon­diale du haut de leur igno­rance, mais on com­pren­dra mieux la per­fi­die de cette démarche, sachant que l’article est daté du 28 mai 2020, en plein pro­cès sta­li­nien du pro­fes­seur Raoult. Que c’est bon de pou­voir hur­ler avec les loups…
Cette facul­té spi­ri­tuelle innée, qui per­met à cer­tains de conser­ver la mémoire des temps pri­mor­diaux comme le disait Evola, pré­sente l’avantage de ne pas être vul­né­rable aux attaques des nou­veaux Titans qui ne peuvent s’exercer que sur le plan de la tech­nique et de la maté­ria­li­té ; face à ces hommes et ces femmes dif­fé­ren­ciés, la charge trans­hu­ma­niste, qui vise à s’introduire dans le corps de chaque indi­vi­du pour en faire un robot ou un esclave, ne peut rien.

5.1. Le prin­cipe cyclique
Quelques mots sur le prin­cipe cyclique qui est à l’opposé du prin­cipe linéaire des pro­gres­sistes.
Toutes les civi­li­sa­tions tra­di­tion­nelles, dès l’apparition de l’humanité, se sont réfé­rées à l’observation de la nature pour com­prendre la marche du monde. Elles en ont toutes conclu que le monde vivait sur Terre selon un prin­cipe cyclique, qui est lui-même d’essence cos­mique ; tout vit et meurt et revient ; il n’y a ni début ni fin ; nos ancêtres ont éta­bli une mesure du temps en obser­vant le mou­ve­ment cyclique des pla­nètes. Les heures, les jours, naissent et meurent selon la course du Soleil, de même que les sai­sons, les arbres fleu­rissent chaque année et leurs feuilles tombent à l’automne pour la plu­part et, sauf inter­ven­tion humaine, il fait froid en hiver et chaud en été sous nos cli­mats dits tem­pé­rés.
On a l’illusion d’un pro­grès parce que celui-ci est maté­riel, qu’il se voit, qu’il se touche, avec lequel on vit ; ce pro­grès est entiè­re­ment relié à la tech­no-science que les hommes semblent avoir inven­tée comme une sorte de pro­thèse pour rem­pla­cer les pou­voirs natu­rels qu’ils pos­sé­daient dans les temps anciens, selon les mythes d’origine.
On se mas­sa­crait autre­fois à coups d’épée, et main­te­nant, c’est à coups de canon ; le sang coule tou­jours à flots et ça réjouit notre Secte sata­niste, mais où est le pro­grès spi­ri­tuel ?
Jean Giono qui a consa­cré son œuvre à vou­loir com­prendre le fonc­tion­ne­ment de la nature écrit dans Triomphe de la vie : « Le seul mot d’ordre depuis l’ivresse de la fin du 19e siècle, c’est aller de l’avant. Tout cela est bel et bon quand on sait en pre­mier lieu qu’aller de l’avant, c’est retour­ner en arrière… Constamment, vous retour­nez en arrière parce que c’est la loi de tout(5). »
En réa­li­té, nous ne retour­nons pas en arrière ; c’est le secret que ne pour­ront jamais per­cer ceux qui ne cessent de cou­rir après, même si on le leur dévoile ; nous ne retour­nons pas en arrière, nous retour­nons à la source, la source de la civi­li­sa­tion pri­mor­diale qui est à l’origine de toutes les socié­tés tra­di­tion­nelles et qui est la source du savoir sur notre pla­nète. Plus on est « moderne », donc d’apparition récente, et plus on est archaïque, déli­ques­cent, parce que plus éloi­gné de l’origine, de la source, qui est un renou­vel­le­ment per­ma­nent, comme une fon­taine de Jouvence, puisque l’eau qui en sur­git n’est jamais la même. Ceci vaut aus­si pour les civi­li­sa­tions. l’Amérique, appe­lée aus­si le Nouveau Monde, est en fait le plus dégé­né­ré, car le plus loin de la source, ou pour les reli­gions comme l’islam, qui est la der­nière reli­gion mono­théiste d’importance appa­rue dans l’univers reli­gieux qui est donc la plus éloi­gnée de la spi­ri­tua­li­té originelle.

5.2. Les quatre âges d’un cycle
Les anciennes socié­tés indo-euro­péennes — hin­doues, grecques et ira­niennes prin­ci­pa­le­ment — ont éta­bli la concep­tion d’un cycle du temps divi­sé en quatre âges : le plus ancien, le plus long et le plus heu­reux, c’est l’Âge d’or, rem­pla­cé par l’Âge d’argent, puis l’Âge de bronze, et enfin vient l’âge de la fin du cycle appe­lé l’Âge de fer chez les Grecs, le Kali-Yuga chez les Indous, l’Âge du loup ou l’Âge sombre chez les Germains, un âge dont nous vivons actuel­le­ment les der­niers ins­tants. Les cycles se suivent et se res­semblent, ils se ter­minent tous dans la confu­sion, le chaos, la déca­dence et la totale inver­sion de toutes les valeurs ver­tueuses qui consti­tuaient le socle de nos socié­tés mil­lé­naires ; mais un arbre, s’il pou­vait par­ler, se déso­le­rait tout autant de voir ses feuilles faner, se trans­for­mer en pour­ri­ture, mais aus­si en humus qui pré­pa­re­ra l’engrais pour une nou­velle sai­son, pour un nou­veau cycle. Pour les humains, il faut attendre l’horreur abso­lue (et je crois que nous n’en sommes pas loin) pour voir arri­ver la fin de ces désordres et l’émergence du nou­veau cycle.
Cette hor­reur est inévi­table, mais ce n’est pas une rai­son pour des Européens à la longue mémoire de se com­por­ter comme des spec­ta­teurs pas­sifs en consi­dé­rant de loin, dans leur fau­teuil, les évé­ne­ments tra­giques qui vont inévi­ta­ble­ment se dérou­ler ; tout chan­ge­ment de cycle se fait grâce à une infime mino­ri­té clair­voyante et réso­lue qui est en charge de pré­pa­rer les bases de ce nou­veau cycle et, sur­tout, de pré­ser­ver le moyeu intan­gible de cette roue qu’ils sont ame­nés à faire repar­tir sous les attaques de ceux qui veulent rem­pla­cer Dieu, ou les Dieux, en l’occurrence pour notre cycle actuel, ce que j’appelle la Secte mon­dia­liste.
Juste quelques remarques sur des faits évi­dents mais que per­sonne n’évoque parce que ces faits natu­rels vont à l’encontre de la doxa évo­lu­tion­niste ; c’est pour cette rai­son que j’ai par­lé d’aberration à pro­pos des théo­ries de Darwin et des Progressistes.
À l’observation de la nature, nous voyons bien que tout est invo­lu­tion sur Terre, et non pas évo­lu­tion, ce qui est l’utopie des Progressistes. Tout va tou­jours du meilleur au pire et non pas du pire au meilleur. Évolution humanité décadence obésité

Notre propre vie ne se fait pas de la vieillesse à la jeu­nesse, ou de la mort à la nais­sance, mais c’est le contraire ; nous allons tou­jours vers la mort ; c’est d’ailleurs pour faire men­tir la nature que les trans­hu­ma­nistes veulent sup­pri­mer la mort, un phé­no­mène bien regret­table mais inévi­table. Au sol­stice d’été, nous fêtons la nuit la plus courte de l’année, et donc le jour le plus long ; mais dès le len­de­main du sol­stice, les jours com­mencent à rac­cour­cir. Les civi­li­sa­tions et les cultures font de même : il y a une nais­sance, un apo­gée, un déclin, l’ancien monde romain, par exemple.
Je vous donne deux exemple concrets pour bien com­prendre une fin de cycle.
L’exemple de la pis­cine : quand on saute dans une pis­cine, il faut attendre de tou­cher le fond pour don­ner un petit coup de talon pour remon­ter.
L’exemple de la montre : je n’ai pas trou­vé de meilleur exemple concret pour sym­bo­li­ser le concept de cyclo­lo­gie. Regardez la montre que vous avez au poi­gnet ; si elle n’est pas numé­rique, elle est com­po­sée de rouages, des roues den­tées de dif­fé­rents dia­mètres et de trois aiguilles repré­sen­tant les heures, les minutes et les secondes, chaque aiguille étant sou­vent ter­mi­née par une flèche ; un grand cycle comme celui dont nous vivons la fin est lui aus­si com­po­sé de petits cycles qui ont tous démar­ré au zénith, les trois aiguilles poin­tant leur flèche sur le 12, le midi, le point le plus haut du soleil, et ils ter­mi­ne­ront leurs cycles, les flèches inver­sées tête en bas sur le 6 ; lorsque les trois aiguilles pointent en même temps sur le 6, elles com­posent le 666 de l’Apocalypse, donc la fin du cycle avec une totale inver­sion des valeurs, l’Apocalypse est une conjonc­tion de catas­trophes natu­relles ou ini­tiées par l’humain, mais, en même temps com­mence la remon­tée vers le midi, vers le nou­veau cycle, ce que la reli­gion chré­tienne appelle la Révélation.
Chacun de nous porte le début et la fin du monde à son poi­gnet.

6. Le projet de la Secte

Quel est le pro­jet de la Secte ?
Le pro­jet de la Secte est jus­te­ment d’arrêter le cours du cycle natu­rel pour le rem­pla­cer par leur propre uto­pie en mode linéaire qui consiste à sup­pri­mer la mort par des moyens tech­niques, immor­ta­li­té dont seraient béné­fi­ciaires uni­que­ment une cer­taine caste, la leur. Jacques Attali nous dévoile ce pro­jet sans com­plexe.Jacques Attali - sataniste
Le nom même d’Attali n’échappe pas à ce besoin mala­dif d’inversion dont la Secte est si gour­mande. On se demande s’il n’a pas fait exprès de por­ter ce nom. Je l’appelle Attali, le fléau de Dieu. Dans une vidéo que j’ai vue récem­ment, il a tout bon­ne­ment décrit le monde qu’ils sont en train de nous concoc­ter.
Il a énon­cé son dis­cours avec un cynisme effrayant et un total manque d’empathie.
Écoutez bien, il dit ceci : « Il est évident que ça se ter­mi­ne­ra un jour par un gou­ver­ne­ment mon­dial, équi­li­bré, démo­cra­tique (ben voyons !) qui met­tra en place des règles, qui domi­ne­ra le sys­tème finan­cier, il y aura une mon­naie mon­diale. Les humains se divi­se­ront en trois caté­go­ries : il y aura les nomades de luxe ; mais leur déra­ci­ne­ment sera un luxe choi­si et non pas une souf­france ; ils auront tous les moyens, tous les outils de la liber­té, y com­pris la liber­té géné­tique de deve­nir un autre (Je ne vois pas où est l’intérêt ? Si ce n’est de cau­tion­ner toutes ces mani­pu­la­tions géné­tiques) ; ils seront 100 à 150 mil­lions.
A l’autre bout, il y aura 5 ou 6 mil­liards de nomades de misère qui seront nomades d’une ville à l’autre, d’une cam­pagne à l’autre par néces­si­té, pour trou­ver à man­ger.
Et, au milieu, une classe moyenne qui vivra dans l’espérance illu­soire de rejoindre les nomades de luxe et dans la ter­reur réelle de bas­cu­ler dans l’infra-nomadisme. Ces gens regar­de­ront la vie des nomades de luxe à la télé et se réjoui­ront de regar­der le spec­tacle de la souf­france des autres, de la misère des autres, en se réjouis­sant de ne pas en être. ».
Voilà le mer­veilleux pro­jet de la Secte mon­dia­liste.
Cet homme doit avoir une drôle de men­ta­li­té pour pen­ser que des gens nor­maux peuvent se réjouir de la misère des autres, il le dit même deux fois ; c’est l’attitude typique du mani­pu­la­teur qui reporte ses propres tur­pi­tudes sur ses vic­times.
Dans cette vidéo, il fait sem­blant d’ignorer la pre­mière des mesures que ces nou­veaux maîtres veulent prendre : à savoir la réduc­tion de la popu­la­tion mon­diale, à moins qu’il ne consi­dère que ces 5 ou 6 mil­liards d’individus infra-nomades, comme il dit, sont des­ti­nés tout sim­ple­ment à mou­rir de faim, ce qui est impli­cite dans sa des­crip­tion.
D’autant plus qu’on se sou­vient qu’il avait lan­cé l’idée d’une eutha­na­sie pour les plus de 65 ans qui, pas­sé cet âge, ne servent plus à rien. Je le cite enocre : « Dès qu’on dépasse 60–65 ans, l’homme vit plus long­temps qu’il ne pro­duit et il coûte cher à la socié­té, il est bien pré­fé­rable que la machine humaine s’arrête bru­ta­le­ment plu­tôt qu’elle ne se dété­riore pro­gres­si­ve­ment. C’est par­fai­te­ment clair si l’on se rap­pelle que les deux tiers des dépenses de san­té sont concen­trées sur les der­niers mois de vie. L’euthanasie sera un des ins­tru­ments essen­tiels de nos socié­tés futures dans tous les cas de figure(6). » Lui qui aura 80 ans le mois pro­chain ne se sent évi­dem­ment pas concer­né puisqu’il se range d’emblée dans la caste des nomades de luxe qui auront toute liber­té de vivre comme bon leur semble.

7. La France, laboratoire de la Secte mondialiste

Pourquoi la France serait-elle le labo­ra­toire de la Secte mon­dia­liste ?
Parce que la France est un concen­tré de tout ce que l’Homme, son œuvre et la nature ont pu faire de mieux, c’était autre­fois le siège de la culture, du beau, du bon et du bien, un véri­table para­dis.
La France occupe une place unique dans le monde par sa situa­tion géo­gra­phique, son cli­mat, la diver­si­té de ses ter­roirs et de ses peuples, son his­toire, sa langue – qui fut long­temps celle des élites euro­péennes – l’œuvre de ses ancêtres ; sa dou­ceur de vivre repré­sen­tait le para­dis sur terre ; c’est pour cette rai­son que les sata­nistes ont jeté leur dévo­lu sur notre pays pour en faire leur pan­de­mo­nium(7), c’est-à-dire la demeure du diable, pour rem­pla­cer celle de Dieu. Ils veulent jouir du pou­voir de sac­ca­ger ce qui est beau. Il s’agit là d’un triple crime : Crime contre l’humanité, crime contre l’œuvre de l’Homme, crime contre la nature.
Le per­son­nel poli­tique fran­çais a été choi­si depuis long­temps pour cet autre grand rem­pla­ce­ment, par exemple, les indi­vi­dus for­ma­tés par la Secte, les Young lea­ders, nour­ris aux tech­niques de mani­pu­la­tion des masses comme les pou­lets de bat­te­rie sont nour­ris aux OGM ; Macron, Édouard Philippe, Gabriel Attal et d’autres sont pas­sés par cet appren­tis­sage, on note même le nom de Marlène Schiappa, dont on peut se deman­der en ver­tu de quoi (sans jeu de mots) elle a figu­ré sur cette liste ?
L’apparition de ces zom­bies de luxe avait été lar­ge­ment pré­pa­rée par les pré­si­dents de la République fran­çaise qui avaient pré­cé­dé Macron, et sur­tout par les deux der­niers, Nicolas Sarkozy et François Hollande.
Sarkozy col­lec­tionne les dik­tats mon­dia­listes :
Il a com­men­cé par tra­hir le peuple fran­çais en 2005 en ne tenant aucun compte du réfé­ren­dum sur le Traité consti­tu­tion­nel euro­péen dont les Français ne vou­laient pas à 55 % des voix. On sait que l’Europe de Bruxelles n’est qu’une cour­roie de trans­mis­sion de l’Ordre mon­dial.
Le 17 décembre 2008, il a prô­né le métis­sage obli­ga­toire des Français. Voici ce qu’il a dit : « En rele­vant le défi du métis­sage, la France est fidèle à son his­toire. D’ailleurs c’est la consan­gui­ni­té qui a tou­jours pro­vo­qué la fin des civi­li­sa­tions et des socié­tés. La France a tou­jours été au cours des siècles métis­sée. La France a métis­sé les cultures, les idées, les his­toires. La France qui a su métis­ser ces cultures et ces his­toires, en a construit, pro­duit un dis­cours uni­ver­sel parce que, elle-même, la France se sent uni­ver­selle dans la diver­si­té de ses ori­gines. Mesdames et mes­sieurs, c’est la der­nière chance. Si le volon­ta­risme répu­bli­cain ne fonc­tion­nait pas, il fau­dra alors que la République passe à des méthodes plus contrai­gnantes encore. »
Le 16 jan­vier 2009, il a cette phrase qui veut tout dire : «« On ira ensemble vers ce nou­vel ordre mon­dial, et per­sonne, je dis bien per­sonne, ne pour­ra s’y oppo­ser.« 
En 2011, il fait inter­ve­nir la France en Libye, ce qui a pour effet de libé­rer les Africains conte­nus par le gou­ver­ne­ment libyen qui vont se répandre sur le conti­nent euro­péen.
Hollande, lui, est res­pon­sable, entre autres, et c’est déjà beau­coup, de la mort de cen­taines de mil­liers de sol­dats russes et ukrai­niens et d’un par­jure de la France qu’il repré­sen­tait ; il était char­gé de garan­tir la bonne appli­ca­tion des accords de Minsk et il a au contraire tout fait pour que ces accords ne soient pas appli­qués, en avouant même que le seul but était de retar­der l’application de ces accords pour don­ner le temps à l’Ukraine et aux Occidentaux de s’armer.
Quant à Macron, c’est l’élu de la clique mon­dia­liste. Schwab a dit de lui : « Macron est celui qui doit nous emme­ner dans le monde d’après ».
Macron, le 26 avril 2023, a eu cette phrase, je ne sais plus à pro­pos de quoi, mais elle peut ser­vir de leit­mo­tiv à tout ce qu’il entre­prend : « On est en train d’inventer un modèle ; c’est plus dur de le réin­ven­ter quand tout n’a pas été détruit. »
Je le répète : les trans­hu­ma­nistes mon­dia­listes n’arriveront jamais à leurs fins parce qu’ils sont inca­pables de se his­ser à un niveau autre que maté­riel ; ils pour­ront tou­jours se dégui­ser en Belzébuth tant qu’ils vou­dront, rien n’y fera.

Je laisse à Cioran le soin de conclure avec cette phrase ter­rible : « Est-ce à cette ver­mine que devait abou­tir une civi­li­sa­tion aus­si déli­cate, aus­si com­plexe ? Peut-être fal­lait-il en pas­ser par là, par l’abjection, pour pou­voir ima­gi­ner un autre genre d’Homme ? »

Merci de m’avoir écouté.

Pierre-Émile Blairon


Pierre-Émile Blairon est l’auteur d’un cer­tain nombre de livres liés à l’Histoire, notam­ment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

Pierre-Émile Blairon - Iceberg
Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques
Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué
Pierre-Émile Blairon - Le messager des dieux
Pierre-Émile Blairon - Livre Tradition primordiale

Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

Dr Laurent Alexandre - La mort de la mort

Laurent Alexandre, La mort de la mort, édi­tions JCLattès

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Paul Diel, Le Symbolisme dans la mytho­lo­gie grecque, Payot.

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Julius Evola, Révolte contre le monde moderne

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Julius Evola, Métaphysique du sexe, édi­tions l’Âge d’Homme, p.18.

Q

Jean Giono, Le Triomphe de la Vie, page 31, édi­tions Grasset

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Jacques Attali, L’avenir de la vie, 1981, Seghers

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Pandémonium

Dict.: Capitale ima­gi­naire des Enfers où les esprits démo­niaques se ras­semblent autour de Satan.
Par ext. : Lieu ras­sem­blant un grand nombre de per­sonnes et pos­sé­dant l’un ou l’autre des carac­tères que l’on attri­bue ordi­nai­re­ment à l’en­fer (bruit, désordre, agi­ta­tion, souf­france) ou aux dam­nés (cor­rup­tion).

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John Martin – Le Pandemonium – Musée du Louvre

Q

12 Commentaires 

  1. Une seule cri­tique ! Le pro­fes­seur Raoult n’est pas si bon que cela ! C’est ce que l’on appelle un infil­tré, un traitre qui est un cadre de l’Institut Mérieux ! 

    https://docs.google.com/document/d/1udWFTxz3dnu2D4JkNpwx9od6jhyVnnRj8SbG55XawII/edit?pli=1

    Extrait : Professeur Didier Raoult, est-ce parce que vous admi­nis­trez la Fondation Mérieux avec lui depuis plu­sieurs années que vous applau­dis­sez celui qui, comme vous, avait sou­te­nu la déci­sion d’imposer l’obligation vac­ci­nale expé­ri­men­tale sur tous les soi­gnants et assi­mi­lés de France … et qui avait écrit ce qui pré­cède à Anthony Fauci ; Fauci, que la cou­ra­geuse lan­ceuse d’alerte Vera Sharav a accu­sé d’avoir tor­tu­ré des enfants ?

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  2. Un grand bra­vo et mer­ci pour cette for­mi­dable ana­lyse qui englobe tout, que je peux me per­mettre d’ap­pré­cier suite à toutes les infor­ma­tions que j’ai apprises ici et là en par­ti­cu­lier depuis 2020. Informations qui m’ont appor­té beau­coup de réponses, de clar­té, de com­pré­hen­sion à des ques­tions que je me suis sou­vent posée par rap­port à ce sys­tème tel­le­ment désta­bi­li­sant, étrange, absurde, cor­rom­pu, dés­équi­li­bré et injuste, sur­tout les hor­reurs faites aux enfants. Je suis enfin quelque peu libé­rée.
    Ce que je sou­hai­te­rais de tout coeur qu’une majo­ri­té d’in­di­vi­dus prenne conscience de ce monde obs­cur dans lequel nous vivons afin qu’un bas­cu­le­ment vers du mieux se pro­duise. « Ils ne pas­se­ront pas » (film : le Seigneur des agneaux).

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  3. Une ana­lyse froide et pré­cise comme un scal­pel, bra­vo ! Je la dif­fuse largement.

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  4. Bravo pour cette ana­lyse complète

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  5. Une infor­ma­tion impor­tante pour vos lecteurs :

    Décision de la Cour suprême des États-Unis : les vac­cins anti-Covid ne sont pas des vac­cins.*
    >
    > Presque per­sonne n’a remar­qué que Robert F. Kennedy Jr. avait gagné son pro­cès contre tous les lob­byistes phar­ma­ceu­tiques. Les vac­cins contre le Covid-19 ne sont pas des vac­cins. Dans sa déci­sion, la Cour suprême confirme que les dom­mages cau­sés par les thé­ra­pies géniques Covid à ARNm sont irré­pa­rables. La Cour suprême étant le plus haut tri­bu­nal des États-Unis, il n’y a plus d’appel et toutes les voies d’appel ont été épui­sées. Dans une pre­mière décla­ra­tion, Robert F. Kennedy a sou­li­gné que ce suc­cès n’a été pos­sible que grâce à la coopé­ra­tion inter­na­tio­nale d’un grand nombre d’a­vo­cats et de scien­ti­fiques.
    >

    >
    > Bien enten­du, cette déci­sion crée un pré­cé­dent inter­na­tio­nal. En par­ti­cu­lier ici en Suisse, cette déci­sion devrait faire sen­sa­tion, car la Suisse occupe une posi­tion par­ti­cu­lière dans sa Constitution fédé­rale. D’une part, le Code de Nuremberg figure dans la Constitution avec l’ar­ticle 118b, et l’u­ti­li­sa­tion inap­pro­priée du génie géné­tique chez l’homme est inter­dite en Suisse, selon l’ar­ticle 119 de la Constitution fédé­rale. Ceci est com­plé­té par l’ar­ticle 230 bis du Code pénal, … Cela signi­fie que les auteurs risquent jus­qu’à 10 ans de pri­son. Mais cette phrase devrait aus­si faire réflé­chir le reste du monde, car le Code de Nuremberg a une vali­di­té inter­na­tio­nale et est éga­le­ment conte­nu dans l’ar­ticle 7 du Pacte inter­na­tio­nal rela­tif aux droits civils et poli­tiques. Dans le cas d’ac­cu­sa­tions cri­mi­nelles, la décla­ra­tion doit faire réfé­rence au scan­dale Contergan afin d’ac­cor­der un poids par­ti­cu­lier à l’im­por­tance d’une telle accu­sa­tion.
    >

    >
    > La poli­tique est donc confron­tée à un automne chaud. Il faut éga­le­ment savoir que l’a­vo­cat alle­mand Dr Rainer Füllmich et plus de 100 autres avo­cats alle­mands ont été impli­qués dans ces affaires. Aucun média n’en parle, ni en Suisse ni en Europe. Malheureusement, cela n’arrivera qu’avec du retard.

    > Veuillez trans­mettre cette déci­sion à votre famille, vos amis et vos connaissances.

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  6. Merci mon­sieur Pierre-Emile Blairon

    pour votre par­tage d’a­na­lyse sur la situa­tion actuelle : mal­heu­reu­se­ment un fac­tuel résu­mé de la dégé­né­res­cence de la socié­té dite humaine.

    Le maître mot de cette secte mon­dia­liste est la cor­rup­tion sous toutes formes, aus­si bien morale, phy­sique, maté­rielle que spirituelle.

    Le sadisme est leur mode de fonc­tion­ne­ment, c’est bien pour cela qu’ils s’a­donnent aux drogues qui les poussent vers le sata­nisme ; le culte du mor­bide, qui est para­doxa­le­ment leur han­tise « leur propre mort », d’où le culte de l’é­go, « le nar­cis­sisme », alors qu’ils ne s’aiment pas dans leurs imper­fec­tions ; vou­lant se prendre pour des dieux ; en fait se sont des psychopathes !

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    • En com­plé­ment de l’ar­ticle, un lien vidéo sur l’a­na­lyse géné­rale de la situa­tion, dont la prise de conscience pré­cur­seuse de la bien­veillante Claire Séverac
      Modification ADN et plan sata­nique :
      https://crowdbunker.com/v/CXP6sExcNC

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  7. REMARQUABLE !
    Tout y est, j’ai sau­ve­gar­dé et impri­mé en tota­li­té pour lire et relire à loi­sir à tête repo­sée…
    Merci infi­ni­ment,
    Bien à vous.

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  8. Sacré article, sacrée inter­ven­tion de M.Blairon. Quelle luci­di­té, quelle cohé­rence !
    Il sera trai­té de « com­plo­tiste » par les nou­veaux dic­ta­teurs, mais j’es­père que les sourds-muets-aveugles qui peuplent le monde en géné­ral et notre pays en par­ti­cu­lier vont se réveiller. 

    Je disais à mes patients, il y a une quin­zaine d’an­nées que le monde entrait en déca­dence mal­gré l’es­poir, plu­tôt l’illu­sion d’un monde meilleur à l’aube du XXIème siècle. Tout cela à cause de notre insou­ciance de notre jeu­nesse jus­qu’aux années 80–90 qui a lais­sé faire le machia­vé­lisme de cer­tains jeunes de l’é­poque aus­si qui ne vou­laient pas d’un monde libre, pros­père, hon­nête et en paix, mais tra­vaillant à la domi­na­tion de quelques riches sans scrupules.

    Ce chaos, cette déca­dence est effec­ti­ve­ment orches­trée savam­ment par quelques-uns qui pro­fitent de la rési­gna­tion des peuples qui pré­fèrent la sou­mis­sion à la lutte. Cette lutte fait trop peur, peur orga­ni­sée par les dic­ta­teurs qui nous dirigent par le tru­che­ment des médias.

    Répondre
  9. « Skull and Bones » existe bel et bien et depuis long­temps, j’ai été sol­li­cite pour en être. C’est une des grandes fra­­ter­­ni­­tés-soro­­ri­­tés étu­diantes post-gra­­duées des USA.

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  10. Mon com­men­taire est très SIMPLE
    VOUS CROYEZ QUE LA NATURE OU LE GRAND ARCHITECTE POUR LES FRANCS MAC VA LAISSER FAIRE ?

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