À quoi bon se faire vacciner ?
Alors que Nice se targue d’avoir « battu le record » journalier de vaccinations (lire Vaccination contre la Covid-19 : le record de France a été battu à Nice avec plus de 5.300 personnes au rendez-vous), qu’il nous soit permis de nous questionner : POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?
1) Les personnes vaccinées ne sont pas dégagées des restrictions de libertés imposées par le vrai-faux confinement. Le Conseil d’État, dans son ordonnance du vendredi 2 avril dernier, a indiqué que « les personnes vaccinées peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». Et que, dès lors, l’« atteinte à la liberté individuelle […] ne peut […] être regardée comme disproportionnée en tant qu’elle s’applique aux personnes vaccinées » (lire Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées).
2) Les vaccins précipitamment concoctés qu’on nous administre n’ont pas encore passé la phase expérimentale, (lire Covid : oui, les vaccins sont expérimentaux ! du 19 mars 2021).
3) Ils peuvent être dangereux au point que certains « vaccins » sont retirés en catastrophe des vaccinodromes (lire Vaccins Pfizer et AstraZeneca : des effets indésirables très surveillés).
4) Ils ne nous protègent pas forcément : « C’est une question incroyablement importante, à laquelle nous n’avons tout simplement pas la réponse », disait il y a quelques semaines le virologue Timothy Henrich, qui étudie les effets à long terme de la maladie (lire Scientists want to know if vaccinated people can still become COVID-19 long-haulers, en anglais).
5) S’ils protègent, c’est sur du court terme : environ 3 mois comme l’explique l’étude sur le vaccin Moderna bien que les chercheurs espèrent davantage (lire Durability of responses after SARS-CoV‑2 mRNA-1273 vaccination, en anglais). L’espoir fait vivre.
Par ailleurs, avoir contracté la Covid-19 ne protège pas davantage : une personne de mon entourage, infectée en décembre, a déjà perdu, après trois mois, la quasi totalité des anticorps protecteurs contre la maladie (révélé par test sanguin de contrôle) ! Elle veut donc se faire vacciner… Pour quel bénéfice ? Trois mois de plus ? Et après ?
Dans ces conditions, à quoi bon se faire vacciner ?
En 1957 et 1969, les épidémies de grippe – non médiatisées : il n’y avait pas le croque-mort de 20h, chaque soir, dans la petite lucarne – auraient fait respectivement 20 000 et 30 000 morts en France. Personne ne s’en souciait plus que ça, aucun vaccin n’a été bricolé dans l’urgence, et l’immunité collective a fait le reste. Aujourd’hui, dans notre société de l’émotion, du sensationnel, du « buzz » mais aussi de plus en plus hygiéniste, réfutant le risque et les responsabilités, cette grippe saisonnière a pris des proportions dramatiques faisant basculer le monde dans la psychose et l’irrationnel.
Partant, si vous croyez voir rouvrir les théâtres et les cinémas au 15 mai (et les restaurants dans la foulée), comme l’a annoncé Macron, si vous pensez être libérés des restrictions en tous genres avant l’été, vous vous bercez d’illusions. Surtout qu’après les variants anglais, australien, sud-africain, brésilien, voici venu le variant breton ! Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 dont on nous dit qu’il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques. Donc, il va se répandre. Et d’autres après lui. Car le propre des virus, c’est de muter !
Alors, à bon paranoïaque, salut !
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
Au vu de l’arrêt du Conseil d’Etat, il n’y a plus de raison objective de se faire vacciner si on a moins de 75 ans et si l’on n’a pas de contact répété avec des personnes susceptibles d’être contaminantes.
D’autre part il est clair que le vaccin n’est qu’un moyen de protection individuel en aucun cas un moyen d’acquérir une immunité collective puisque le vacciné reste (et peut-être demeure) contaminant.
Tout ça si on suppose que le vaccin soit efficace.
Dès lors la mascarade apparait au grand jour, mais curieusement l’opposition politique est aussi silencieuse qu’une plume de duvet et le journalisme d’investigation est aux abonnés absents sauf sur quelques webzines comme le vôtre.
Ça sent le coup fourré !
Félicitations pour les illustrations.
pour le moment, mon mari et moi ne voulons pas nous faire vacciner… trop de mensonges des politiques depuis plus d’un an, et surtout pas assez de recul avec le (les) vaccins.
quand on ajoute à cela la toute puissance des labos pharmaceutiques…
Très bonne question POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?
Car on le sait plus que jamais et comme nous le rappelle la généticienne Alexandra :
« On vous fait faire des anticorps par les vaccins qui au lieu de neutraliser votre virus, vont l’aider à enter dans les cellules, parfois même de se répliquer… »
Donc…
La réponse est simple, elle nous est donnée par Jacques Attali :
https://www.attali.com/coronavirus‑2/la-pandemie-et-apres/
Et en 2019 se préparait … mais vous le savez tous.
Pour rappel – entre autres :
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2021/04/07/tout-etait-prevu-6308195.html
Il est dingue
Un mot : LIBERTÉ
Une idée : LAISSEZ-NOUS VIVRE
Finalement aucun journaliste n’est allé parcourir ces files d’attente pour savoir pourquoi ces personnes se font vacciner !
Je serais vraiment curieux de savoir leurs motivations.
la peur
Il y a une corrélation entre le vaccinodrome du stade de France et le vélodrome d’hiver pendant l’occupation.
La peur, la croyance du retour d’à la vie d’avant… la photo montre tout cela.