L’Histoire revient en force, les Français veulent renouer avec leurs racines
Depuis la génération soixante-huitarde, l’Histoire de France est mise à mal par les élites mondialistes qui n’ont de cesse d’effacer la mémoire identitaire. Cette idéologie mondialiste veut créer un homme déraciné (lire par exemple La « nouvelle chronologie » : dernière arme pour détruire l’Occident du 7 avril 2021).
Le Français de souche, celui qui fait sien le Roman historique de Vercingétorix à Clémenceau, en passant par Charles Martel l’islamophobe et Colbert l’esclavagiste, se doit de battre sa coulpe sur toutes les horreurs qui ont noirci son Histoire. Même Napoléon, dont on célèbre le bi-centenaire de sa mort, est frappé de reductio ad servitutem. On déboulonne les statues, on renomme les rues, tout doit disparaître. L’Éducation nationale s’y emploie.
Les plus anciens se souviennent d’Alain Decaux, académicien, considéré comme l’un des pionniers des programmes d’histoire dans les médias. Pendant près d’un demi-siècle, il anima le petit écran en noir et blanc avec ses émissions de vulgarisation historique, avec son compère André Castelot, très populaire également malgré sa proximité avec l’Allemagne nazie et membre du comité de soutien du mouvement L’Unité capétienne, avec les Jean Dutourd, Marcel Jullian, Reynald Secher, Gonzague Saint Bris et Georges Bordonove. Ce qui ne l’a pas empêché de recevoir la Légion d’Honneur. Autres temps, autres mœurs.
On observe dans les médias un sursaut des Gaulois réfractaires : ils aiment leur Histoire et en redemandent.
Et peu importe le contenu, pourvu qu’on ait l’ivresse du roman historique. Les Français redécouvrent ces émissions qui faisaient jadis les soirées de la petite lucarne :
• Stéphane Bern et son Secret d’Histoire, 146 émissions depuis 2007. Au début une petite heure le dimanche après-midi sur France 2, fort de son succès, aujourd’hui deux heures en prime-time sur France 3.
• Tous les soirs, Marc Menant nous fait revivre un moment d’Histoire sur l’excellente émission de CNews Face à l’Info, animée par Christine Kelly. Il est habité par ses personnages et s’agite comme un beau diable pour faire revivre ceux qui ont marqué notre Histoire. Puis, avec son excellent compère Franck Ferrand, ils remettent le couvert tous les dimanches à 14 heures.
• RMC découverte, La Cinq, LCP, etc. les programmations historiques sont de plus en plus nombreuses aux heures de grande écoute. Certes, quelques intellectuels à l’esprit chagrin y dénicheront les erreurs historiques, du populisme, de la naïveté, qu’importe.
Un signe ? Sans doute.
« L’Histoire est écrite par les vainqueurs » écrivait Robert Brasillach, fusillé par de Gaulle pour avoir « mal pensé ». Jusqu’à présent, les vainqueurs étaient les mondialistes, les patriotes n’étaient pas morts : Gergovie ‑52, Poitier 732, Marignan 1515, Austerlitz 1804, Reconquête 2021.
L’Histoire est de retour, elle est En Marche, n’en déplaise à nos gouvernants.
Michel Lebon
Comment on a écrit l’histoire ?
Il est des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
Il est curieux d’étudier comment cet ordre de choses a commencé, quels ont été les mobiles des premières erreurs voulues, et quels hommes, les premiers, ont eu l’audace de les écrire.
A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants de la splendeur du régime précédent qu’on venait renverser : la destruction et l’altération des textes.
L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.
(…)
Exemple à propos du régime primitif en Egypte :
En Egypte comme partout, le régime féminin a précédé le régime masculin et il a dû avoir une longue durée de prospérité et de paix, puisque, au moment où commence l’histoire, c’est-à-dire le règne de l’homme, le pays possède déjà une langue bien formée, l’écriture, et des institutions sociales qui serviront de base à l’organisation future des sociétés. Enfin une religion, un culte, une haute morale. Tout cela réalisé avant les temps historiques.
L’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons. Celui qu’on appelle « le premier Roi » est Mena (devenu Menés), mot qui veut dire Mère, comme le Manou des hindous. On appelle les féministes Philo-Mena.
Les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux, toujours représentés en costumes de femmes.
Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme.
La Femme gardait en dépôt les Livres de science et les cachait à tous les yeux avec des précautions infinies.
La connaissance des lois de la Nature, que les Livres sacrés avaient enseignées, facilitait tous les travaux, qui ne sont en somme que les applications de ces lois à la vie, ou à l’industrie.
Les lois de la physique (le Kosmos), de la chimie (l’art sacré des Temples), de la physiologie (imposées dans le Connais-toi du Temple de Delphes), étaient la base solide des travaux entrepris.
On savait tout ce que la science des modernes explique si mal, on connaissait la cause réelle de tous les phénomènes, et l’on est surpris de voir avec quelle précision tout était expliqué.
Ces connaissances qui étaient le fond de l’éducation religieuse donnée par les femmes (les Déesses qui écrivent, les Prêtresses qui enseignent) passaient dans les mœurs, dans les institutions, dans tout le milieu ambiant. Il n’y avait pas encore de place reconnue (officielle) pour l’erreur. Nous sommes, il est vrai, à l’aurore du mensonge, mais il n’a pas encore triomphé.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Bien entendu que notre Histoire est truffée de mensonges puisqu’écrite par les vainqueurs, heureusement quelques historiens bien intentionnés font des recherches pour tenter d’éclairer le citoyen qui, dans sa grande majorité, veut retrouver sa souveraineté qui fait partie de son ADN.
La culture doit reprendre une place prépondérante dans la petite lucarne.
Une personne a défendu la vérité historique
HENRI GUILLEMEN ils l ont forcé à fuir la France pour la mise en lumière de la vérité