Les généraux sur la Place d’Armes
Le site internet Place d’Armes a publié le 14 avril 2021(1) une lettre ouverte au Président de la République, aux membres du gouvernement et au Parlementaires.
Cette lettre ouverte fut publiée en avant-première dans le Journal d’Aix-les-Bains le 8 avril 2021, puis reprise in extenso dans le numéro de Valeurs Actuelles de mercredi dernier le 21 avril 2021.
Nous reprenons à notre tour cette lettre qui représente une opportunité exceptionnelle de faire bouger les lignes :
Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs du gouvernement,
Mesdames, Messieurs les parlementaires,
L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Nous qui, même à la retraite, restons des soldats de France, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays.
Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi la France et ont donné leur vie pour elle. Sur ces drapeaux, nous trouvons en lettres d’or les mots « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie.
– Délitement qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés. Aujourd’hui, certains parlent de racialisme, d’indigénisme et de théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre raciale que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de statues, à d’anciennes gloires militaires et civiles en analysant des propos vieux de plusieurs siècles.
– Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Français, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans l’Hexagone ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.
– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.
Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour. Qui aurait prédit il y a dix ans qu’un professeur serait un jour décapité à la sortie de son collège ? Or, nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement – comme l’exigeait notre état militaire, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs.
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.
Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.
Capitaine Jean-Pierre FABRE – BERNADAC
Ancien officier de l’Armée de Terre et de la Gendarmerie, auteur de 9 ouvrages
Dès sa première diffusion, la lettre est signée par une vingtaine de généraux, et non des moindres :
Général de Corps d’Armée (ER) Christian PIQUEMAL (Légion Étrangère), général de Corps d’Armée (2S) Gilles BARRIE (Infanterie), général de Division (2S) François GAUBERT ancien Gouverneur militaire de Lille, général de Division (2S) Emmanuel de RICHOUFFTZ (Infanterie), général de Division (2S) Michel JOSLIN DE NORAY (Troupes de Marine), général de Brigade (2S) André COUSTOU (Infanterie), général de Brigade (2S) Philippe DESROUSSEAUX de MEDRANO (Train), général de Brigade Aérienne (2S) Antoine MARTINEZ (Armée de l’air), général de Brigade Aérienne (2S) Daniel GROSMAIRE (Armée de l’air), général de Brigade (2S) Robert JEANNEROD (Cavalerie), général de Brigade (2S) Pierre Dominique AIGUEPERSE (Infanterie), général de Brigade (2S) Roland DUBOIS (Transmissions), général de Brigade (2S) Dominique DELAWARDE (Infanterie), général de Brigade (2S) Jean Claude GROLIER (Artillerie), général de Brigade (2S) Norbert de CACQUERAY (Direction Générale de l’Armement), général de Brigade (2S) Roger PRIGENT (ALAT), général de Brigade (2S) Alfred LEBRETON (CAT), médecin Général (2S) Guy DURAND (Service de Santé des Armées), contre-amiral (2S) Gérard BALASTRE (Marine Nationale).
La Place d’Armes ne doit pas servir qu’aux cérémonies funéraires
Si le gouvernement n’a pas réagi officiellement à ce texte, plusieurs personnalités politiques se sont exprimées à la suite de ce pavé dans la mare aux canards de l’exécutif.
À droite, Marine Le Pen a immédiatement réagi et a proposé à ces généraux de la rejoindre : « Je vous invite à vous joindre à notre action pour prendre part à la bataille qui s’ouvre (…) qui est avant tout la bataille de la France ». La présidente du Rassemblement National a précisé : « Comme citoyenne et comme femme politique, je souscris à vos analyses et partage votre affliction. Comme vous, je crois qu’il est du devoir de tous les patriotes français, d’où qu’ils viennent, de se lever pour le redressement et même, disons-le, le salut du pays. »
Florian Philippot, lui, a applaudi : « 20 généraux français appellent au patriotisme ! Belle initiative, vive la France éternelle ! »
Les instigateurs de la lettre ont publié le 24 avril une lettre qui recadre un peu ces deux partisans un peu trop hâtifs :
En réponse à Marine LE PEN
Nous avons été surpris en lisant la lettre ouverte de Marine Le Pen dans « Valeurs actuelles », lettre écrite suite à l’article : « Pour un retour de l’honneur de nos gouvernants » : 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme ». Il nous paraît important d’effectuer une mise au point et deux remarques relativement aux propos de la présidente du Rassemblement National.
Une mise au point : Madame Le Pen a parfaitement la légitimité d’attirer à elle des généraux. C’est son droit et chacun des militaires qui a signé la « lettre aux gouvernants » a la possibilité suivant ses convictions de répondre favorablement à sa demande. Mais ceci n’engage en rien « Place d’Armes ». Notre site n’a pas pour but d’aiguiller ses membres vers un parti, chaque adhérent possède le discernement nécessaire pour trouver seul sa voie politique.
Deux remarques :
• Il est pour le moins maladroit d’effectuer une opération de « racolage » pour des objectifs électoraux. Elle aurait pu simplement se dire en phase avec nos préoccupations. De plus, qu’elle se rassure, nous n’en resterons pas à de simples exhortations. Notre combat commence à peine, nous ne lâcherons rien tant que nous n’aurons pas atteint notre but : sauver notre pays de la destruction.
• Ensuite, et peut-être le plus grave dans sa lettre, est la méconnaissance totale du monde militaire. En effet sur le millier de signataires (et il en arrive de nouveaux en permanence), elle a privilégié les seuls vingt généraux. Or si les armées sont commandées par des généraux, aucun général n’existerait sans la troupe et par troupe j’entends aussi bien les hommes du rang que les sous-officiers et les officiers. En mettant exclusivement en avant 18 gradés de haut rang elle a négligé les 980 autres militaires qui se sont engagé en paraphant notre missive.
Place d’Armes
Mais cette lettre a également suscité des réactions de la gauche soixante-huitarde :
Mélenchon tout d’abord pour qui : « Stupéfiante déclaration de militaires s’arrogeant le droit d’appeler leur collègue d’active à une intervention contre les islamogauchistes. Il est temps de se mobiliser pour défendre les valeurs que ces gens piétinent. »
L’appel des militaires (en retraite) factieux, diffusé par l’hebdo d’extrême-droite Valeurs Actuelles et soutenu par Marine Le Pen reste sans réaction de #Macron. (…) J’en appelle à tous : personnalités, partis, associations et syndicats. Il est plus que temps de réagir ! pic.twitter.com/d5S8kkDkZH
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) April 24, 2021
Son lieutenant Éric Coquerel n’est pas en reste : « Des militaires appellent à une chasse aux sorcières, à une éradication, à défendre des “valeurs civilisationnelles” à rebours de la République, ça finit sur une menace de guerre civile, Le Pen salue ces apprentis factieux et ? Rien. On se réveille ? »
Du côté des « socialistes », Benoît Hamon, qui s’y connait en Histoire, note que : « 60 ans après le début du “putsch d’Alger”, 20 généraux menacent explicitement la République d’un coup d’État militaire. »
Chez les « Marcheurs », on dénonce le danger du côté du terrorisme islamiste, mais « en même temps », le danger de « l’ultranationalisme », les deux mettant en danger la République.
Silence gêné des autres… ou désapprobation ?
Toujours est-il que la ministre des armées, Florence Parly, a fini par réagir elle aussi, deux jours après, en s’en prenant plus à Marine Le Pen qu’aux officiers. On devine là la gêne du gouvernement, gêne traduisant un aveu d’acceptation de ce délit de délitement ? « Deux principes immuables guident l’action des militaires vis-à-vis du politique : neutralité et loyauté. Les mots de Madame Le Pen reflètent une méconnaissance grave de l’institution militaire, inquiétant pour quelqu’un qui veut devenir cheffe des armées. (…) La politisation des armées suggérée par Madame Le Pen affaiblirait notre outil militaire et donc la France. Les armées ne sont pas là pour faire campagne mais pour défendre la France et protéger les Français. (…) Précisons que Marine Le Pen joue sur une confusion qui l’arrange : la tribune irresponsable publiée dans Valeurs Actuelles est uniquement signée par des militaires à la retraite, qui n’ont plus aucune fonction dans nos armées et ne représentent qu’eux-mêmes. »
Patrice LEMAÎTRE
Le site Place d’Armes se présente ainsi :
Notre site a deux buts :
• créer une fraternité d’arme d’entraide et de camaraderie
• peser de tout son poids pour que les valeurs inculquées par l’Armée : Honneur Patrie et Fidélité, soient à même de nous fédérer, au-delà des clivages politiques, pour préserver notre nation.
Le site Place d’Armes appelle à participer à l’opération « lettre ouverte » car on n’est pas obligé d’être général pour défendre le drapeau :
Ce site est ouvert à tous les militaires à la retraite, d’active, et de réserve qui aiment la France et réalisent que celle-ci est au bord du gouffre. Aujourd’hui nos ennemis sont dans la place, aussi devons-nous nous regrouper quel que soit notre arme ou notre grade pour montrer que nous sommes mobilisés pour défendre notre drapeau.
Il est ouvert en premier aux retraités car leur expression est libre et souvent incisive, de plus elle n’est pas soumise au devoir de réserve.
Il est ouvert aux personnels d’active qui peuvent soulever des problèmes généraux inhérents à l’institution militaire, apporter des éléments d’actualité sur l’institution ou réagir aux évènements majeurs secouant notre société en s’exprimant à travers le blog.
Il est ouvert enfin aux réservistes qui ayant fait le choix de conserver un pied dans le cadre militaire peuvent par leurs positions prendre le pouls de notre pays face aux forces toxiques qui l’assaillent.
Ancien inspecteur des Troupes de Marine, héritières des Troupes Coloniales, j’ai l’impérieux devoir de prendre es qualité leur défense morale, en réaction à votre diabolisation de la colonisation. Ma carrière d’officier colonial épanoui, à la charnière de la colonisation et de la décolonisation de l’Afrique, me confère le double caractère d’acteur de terrain et de témoin privilégié. Je me sens donc parfaitement qualifié pour vous administrer une salutaire leçon d’histoire que vous n’aurez pas volée.
Tout d’abord, je dois vous rappeler que la conception de l’épopée coloniale de la France fut l’œuvre de grands Républicains appartenant au Panthéon de votre obédience politique.
N’est-ce pas Jules Ferry qui a voulu « porter la civilisation aux races inférieures » ?
Albert Sarraut a défini notre « politique indigène comme étant la Déclaration des Droits de l’Homme interprétée par Saint Vincent de Paul » (sic).
De son côté, Léon Blum a déclaré en 1925 à la tribune du Palais Bourbon « il est du devoir des races supérieures de venir en aide aux races inférieures ».
Et honni soit qui mal y pense de ce vocabulaire !!!
Les prestigieux artisans de cette grande œuvre humaniste s’appelèrent Gallieni, Lyautey, Savorgnan de Brazza, Auguste Pavie, Charles de Foucauld et autre docteur Schweitzer, figures de proue d’une nombreuse cohorte de valeureux exécutants plus humbles.
Résumons leur œuvre à l’essentiel. Ils ont d’abord libéré les populations autochtones du joug sanguinaire de ce que l’on a appelé les « rois nègres », à la source de l’immonde chaîne de l’esclavage qu’ils ont aboli. Ils ont mis un terme aux perpétuelles guerres tribales qui saignaient à blanc le continent africain, apportant un siècle de « paix française ». A défaut d’une totale liberté qui n’était pas l’aspiration prioritaire, ils ont apporté l’Ordre et la Justice de nos admirables administrateurs coloniaux. Ils ont éradiqué les épidémies qui anéantissaient des tribus entières. Ils ont fait disparaître les endémiques famines qui aggravaient la dépopulation.
Libre à vous, monsieur Macron, de penser que les conquêtes de la Liberté, de la Paix et de la Santé sont des crimes contre l’humanité !
Il est de notre devoir de Français d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont laissé leur vie dans cette grandiose aventure humaine dont nous devons être fiers. J’ai pu me recueillir sur bon nombre de leurs sépultures, qui jalonnent notre épopée coloniale. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour remédier à leur état lamentable, jusqu’à m’attirer les foudres d’une administration lointaine. En ces lieux émouvants, cadres et simples soldats côtoient leurs frères d’armes du service de santé, particulièrement éprouvés par leur place en première ligne des épidémies. Ces Français de condition
modeste avaient votre âge, monsieur Macron. Ils avaient quitté courageusement le cocon métropolitain pour servir la France au loin sans esprit de lucre et au mépris des dangers encourus. Alors, de grâce, daignez leur accorder un minimum de respect.
Voilà, monsieur Macron, ce que j’ai eu à cœur de vous dire. Au Tribunal de l’Histoire devant lequel je vous ai fait comparaître, je laisse à votre conscience et au suffrage universel le soin de prononcer le verdict.
Général de corps d’armée
Michel Franceschi
J’ai été très ému par cette lettre qui vient du coeur. Fils d’administrateur des colonies ou de la France d’Outre Mer, j’ai pu admirer le travail admirable de mon père qui traçait des routes, construisait des écoles et des dispensaires, rendait la justice.
Je me suis senti insulté par les paroles de Macron sur la colonisation. Qu’il soit inscrit au champ du déshonneur de la France !
Après la France profonde (les Gilets jaunes) voici le corps militaire (patriote par essence) qui s’ébroue enfin devant le républicanisme de bas niveau et l’européisme destructeur des Nations instillés par petites touches depuis VGE.
Il faut les suivre et les encourager… mais CE NE SONT PAS DES POLITIQUES ! Alors qu’ils s’alignent derrière une mouvance politique patriote sans quoi ce sera le soufflé qui se dégonfle ou le coup d’État militaire.
Tous les Présidents de la République se recommandent du Gal de Gaulle qui avait su se contenter de sa retraite de général sans avoir à puiser dans les caisses de la République, alors que tant d’autres successeurs ont fait le contraire mettant à mal l’économie de notre pays. De nombreux chef d’Etat, Allemagne, Canada, Croatie, et d’autres, n’abusent pas et ne profitent pas de l’argent public et méritent également d’être cités en exemple.
La France a grand besoin, en ce moment, d’une autorité, d’une discipline, d’une gestion, d’une direction qui soit à la hauteur de la Nation. Ce ne sont pas les bonimenteurs de la politique actuelle qui peuvent trouver la solution aux différents problèmes car ces problèmes sont créés par leur inaptitude et leur incapacité à diriger le pays depuis cinquante ans.
Courage, Messieurs, vous n’êtes pas seuls, le Peuple saura reconnaître et suivre la marche qui conduira à son salut.
Bravo aux généraux !
Enfin ! En espérant que ce ne soit pas déjà trop tard ?
La déclaration de ces généraux est particulièrement louable mais ce qui est important, c’est de porter remède aux maux qu’ils dénoncent.
Pourquoi, depuis près d’un demi siècle, les Français portent-ils au pouvoir, par leurs votes, des hommes qui conduisent une politique ouvertement anti-nationale (invasion étrangère, fin de l’indépendance nationale, répression des patriotes, dénigrement de notre nation, réécriture et occultation de notre Histoire etc…)?
‑parce que les médias sont, soit la propriéré de quelques milliardaires, soit la propriété du régime,
‑parce que l’éducation des jeunes est entre les mains de l’extrême gauche,
‑parce que le monde de la culture est contrôlé par les tenants du cosmopolitisme
‑parce que des millions d’étrangers, qui ont été naturalisés par le régime, votent à la place des autochtones lesquels ne parviennent pas, de ce fait, à faire prévaloir leurs préoccupations identitaires.
Tout ce qui détermine un vote est sous l’emprise des ennemis de la nation.
Les dés sont donc totalement pipés !
Il est donc nécessaire que les autochtones, avant qu’il ne soit trop tard, réalisent leur « grand rassemblement » afin d’engager les luttes pour retrouver leur Droit légitime à disposer d’eux mêmes.
Magnifique analyse… et exposé de la nécessité de voies et recours, qui, me semble-t-il, sont en train de se dessiner, amdullah ! Dieu fasse que cela se produise, et aussitôt que possible.
Panique dans la basse cour !