Mobilisation générale 2S
Dans sa Lettre ouverte à nos gouvernants, le capitaine Jean-Pierre Fabre-Bernadac a déclenché la mobilisation générale des patriotes.
Signée en première intention par quelques généraux 2S, qualifiés à tort de « quarteron de généraux en retraite », suivant la formule célèbre, cette lettre s’est enflammée comme une traînée de poudre… à canon. L’escouade des vingt premiers signataires sont, par de prompts renforts, devenus une centurie de généraux accompagnés de 24 281 partisans au matin du 5 mai. Des milliers d’anciens militaires de tous grades, de réservistes, viennent en nombre grossir les rangs chaque jour.
Ladite ministre de la Défense nationale, Florence Parly, qui ne connaît strictement rien à la chose militaire, surjoue la vierge effarouchée devant ces « factieux » qu’elle qualifie de rebelles. Macron, en souffrance avec ses militaires dont il prétend être « Le chef ! » a justement mis cette incapable Parly aux commandes, sans doute pour humilier la Grand Muette. Le 5 étoiles Lecointre grand-général-en-chef d’État major, le fayot à sa mémère, porte-coton de Macron, le petit doigt sur la couture du pantalon, a déclaré vouloir punir 18 signataires d’active séditieux. La Fraternité d’armes ne fait pas partie de ses valeurs.
Le décor est planté. Cette lettre n’en finit pas de déclencher des réactions de tous bords. Des militaires bien sûr, mais aussi des civils qui s’organisent, des retraités mais aussi des jeunes. 58% des Français « administratifs » soutiennent ces officiers, sans doute 99% des Français de souche.
Quelques extraits glanés comme celui-ci d’Alain Ricaud, soldat:« Il est évident Madame Parly, que ce n’est pas à Air France à la SNCF ou les cabinets ministériels, en ayant été formée à l’ENA, tout comme votre collègue Madame Pannier-Rusacher, que vous pouvez ne serait-ce qu’entrevoir ce que peut être un soldat, un soldat de France Madame, un soldat du peuple français Madame, pas un mercenaire ou opportuniste de l’État, mais un serviteur du Peuple et de la Nation ».
Ou bien comme ce Contre Appel bien plus rebelle encore à l’initiative du contre-amiral Claude Gaucherand et qui pointe du doigt Bilderberg, Davos et le CRIF !
Voici sans esprit de polémique l’opinion émise à titre personnel par un groupe de citoyens qui ont en commun d’avoir servi à une période active de leur vie comme officiers dans l’une des trois Armées. C’est à ce titre qu’ils partagent une inquiétude concernant le présent et l’avenir de la France qu’à terme plus ou moins rapproché ils lègueront à leur descendance.
Ce faisant aucun ne revendique pour autant la représentation de l’opinion des militaires d’active ni ne suggère un quelconque engagement de la part de ces derniers, eux qui sont dédiés à servir activement et souvent au péril de leur vie leur nation considérée comme un tout.
“L’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.” (…) “Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.” |
Ces militaires font un constat que l’on ne peut que partager dans sa généralité mais apparait plus discutable quand on en vient au choix plus précis des dits dangers.Quant à la solution pour éradiquer le grand péril, il apparait n’être qu’un vœu pieux.
En effet quand on veut soigner un mal il convient de distinguer les symptômes et la racine du mal proprement dite et donc de distinguer le traitement de confort comme disent les médecins du traitement curatif. Ils sont complémentaires. Le premier sans le second est inopérant et, le plus souvent, le second n’est pas humainement supportable sans l’apport du premier.
C’est dans cette approche que réside notre désaccord car si nous partageons la définition de ces dangers ils nous apparaissent comme les simples symptômes d’un mal plus profond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France survive. N’est-il pas illusoire de demander à ceux qui instillent le poison de façon probablement consciente et sans doute en toute sincérité de bien vouloir changer de seringue pour nous instiller le contre-poison ?
Dans sa grande majorité la classe politique de notre pays servie par un système parlementaire plus que séculaire a été depuis des décennies dévoyée par la haute finance qui détient les cordons de la bourse et la maîtrise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, servie en cela par toutes sortes de relais que sont parmi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.
Cette classe politique que Jean Pierre Chevènement alors lucide avait qualifiée de pareille-au-même, servie par une administration solide et déférente, n’est là que pour faire exécuter les dictats de ceux qui détiennent le pouvoir c’est à dire la haute finance, dictats relayés par l’organisation de la communauté européenne composée de plus de 25000 fonctionnaires qui n’ont été élus par personne mais sont investis de l’autorité que leur confèrent les traités.
Alors qu’il s’agisse d’immigration, de délitement de la nation et de la multiplication des zones de non-droit, de violence et de montée de la haine entre communautés, la classe politique aux manettes ne fait que suivre la feuille de route qui lui est dictée devant aboutir à la destruction de la nation très ancienne que nous sommes, obstacle symbolique au mondialisme montant qu’il convient de faire disparaître.
Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et …le chef de l’Etat lui-même, c’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.
C’est tout cela que souligne notre servile alignement sur la doctrine politique et militaire anglo-saxonne que concrétisent notre appartenance à l’OTAN et notre souveraineté perdue.
Chers camarades militaires voilà ce que nous pensons être de notre devoir de vous répondre.
Votre appel parle à juste titre de gilets jaunes. Et si c’était la voie qui permette enfin d’attaquer le mal à la racine tout en appliquant les mesures que vous préconisez pour le traitement de confort dont notre nation ressent un très urgent besoin ?
Rappelons cette brève citation du alors Président Charles De Gaulle : « Les Français ont besoin d’un projet ». En aucun cas d’une guerre civile.
Faut-il trouver dans ce contre-appel le deuxième tir qui cernera l’adversaire ?
Le Grand Rassemblement contre le Grand Remplacement ?
• Ces généraux deuxième section (2S) encore jeunes, loin d’être retraités, sauront-ils activer leurs camarades d’active ? Il faut des chefs de corps, de compagnie, de section prêts à leur emboîter le pas, à la tête de leurs hommes. Certes ces cadres sont muselés par leur obligation de réserve mais ça fomente dans les escadrons.
• Ces généraux deuxième section encore jeunes, loin d’être retraités, sauront-ils rassembler la France périphérique, celle des premières heures des Gilets-jaunes, avant que les nervis black blocs au service du Pouvoir, viennent pourrir le mouvement.
Notons que le rédacteur de la lettre, le capitaine Jean-Pierre Fabre-Bernadac se revendique d’être un Gilet-jaune de la première heure, comme beaucoup d’autres ex-militaires dès novembre 2019.
Pauvre Emmanuel Macron qui a dû subir 65 actes de Gilets-jaunes !
Heureusement pour lui, il y a le rhume Covid qui lui a permis de façon opportuniste d’assigner à résidence la population. Arrivera-t-il à se débarrasser aussi facilement des factieux ? Je doute que ses troupes de gauchistes, d’antifas et autres black blocs pèsent bien lourd face aux militaires armés.
Chaque formation militaire a sa devise. Pour l’avenir de la France, pour qu’elle dure, je retiendrai celle du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine retenue par un autre général, le meilleur d’entre tous : Marcel Bigeard. Être et durer.
Et puis aussi : Honneur et Traditions. Tout le contraire de la république moderne et progressiste, sans foi ni loi, de Macron.
Michel Lebon
Bien belle remise à l’heures des pendules du général Franceschi. Je n’aime guère les uniformes mais avouons qu’il faut dire et redire la vérité s’agissant des points positifs de la colonisation à la française qui, contrairement à la colonisation à l’anglaise, s’est effectuée au maximum dans la sérénité, pour le bienfait de ces populations (souvent opprimées par des occupants illégitimes) et au détriment de l’intérêt lucratif, du moins à partir des années 1930. Nous avons honte d’être Français depuis Hollande et Macron.
Mme PARLY n’est pas De Gaulle, M. Macron n’est pas De Gaulle, que le gouvernement n’est pas celui de De Gaulle (majorité de résistants) et la politique d’aujourd’hui n’est pas celle de De Gaulle.
Tout ce beau monde ne peut pas imaginer ce qui anime ces Français.
Ce sont des concepts qui ne s’apprennent pas à l’ENA : le patriotisme, la fraternité, le don de soi pour des « valeurs » plus importante que sa petite personne.
Croyant bêtement que leurs peurs pourraient s’appliquer à tous.
Menacer des personnes qui mettent la France au-dessus de leur vie ne peut être que contreproductif. Elle ne sait pas que ceux qui n’ont plus rien à perdre que leur dignité, sont plus dangereux.
Lecointre, Marat, Robespierre dans le même sac comme le fait Patrick Tiso, ça ne simplifie pas les choses. Mazzeto me parait plus près de la vérité. Le problème est à Wall Street et à Jérusalem, pas la ville située géographiquement, l’autre (pas la Céleste non plus pour éviter toute confusion), celle qui a son oeil au sommet de la pyramide pour ceux qui ont des yeux pour voir les symboles. Il y eut un général qui savait cela, les Français l’ont aimé puis Jérusalem l’a fait tomber et peu à peu, par pompidou-giscard-mitterrand-sarkösi-hollande-macron, nous voilà arrivés au terminus.
On réagit ou on est mort.
Quand je vois les masques qui continuent à raser le murs ou à faire la leçon à ceux qui sont à visage découvert, j’ai des craintes. Voyez la vidéo d’Alexandra Henrion-Caude à Marseille ce 9 mai pour comprendre un peu plus loin pourquoi le monde devient un camp de concentration bien plus efficace que le modèle allemand breveté.
Un comble : le gouvernement ne sanctionne pas les coupables mais ceux qui dénoncent leurs agissements.
Bravo à ces militaires qui citent le CRIF. Rappelons-nous comment le président de l’association qui ne représente en rien les Juifs de France a brandi de force la main de notre prostituée servile et pleutre Macron. Président de rien élu avec la fraude des machines Dominion ! A partir de cet instant on sait qui gouverne !
En effet « les Juifs » sont pris en otage par ceux qui se jugent être leur maître. Ils n’hésiteront pas à les sacrifier à nouveau, car ils croient dans l’holocauste, la race et Baal
L’appel du capitaine Jean-Pierre Fabre-Bernadac monte très vite à l’assaut en disant « l’heure est grave, la France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent » et puis patatras, il nous assène les thèmes chers à Zemmour et concoctés par la franc-maçonnerie, l’islamisme et l’antiracisme.
Ces vaillants officiers n’ont pas pu identifier la vraie gravité de la situation de fausse pandémie et de tyrannie sanitaire et surtout l’ennemi, la base première de toute stratégie militaire. Ont-ils reçu l’ordre de préparer l’Opération Ronces ? Ou de « Qanonniser » les Français ?
Honneur au contre-amiral Claude Gaucherand, qui dans son contre-appel ose nommer les vrais maux et les vrais ennemis de la France. L’appel de la Place d’Armes aura quand même l’avantage de mettre en lumière cette partie de l’armée sur laquelle les Français ne doivent jamais compter.
Ancien inspecteur des Troupes de Marine, héritières des Troupes Coloniales, j’ai l’impérieux devoir de prendre es qualité leur défense morale, en réaction à votre diabolisation de la colonisation. Ma carrière d’officier colonial épanoui, à la charnière de la colonisation et de la décolonisation de l’Afrique, me confère le double caractère d’acteur de terrain et de témoin privilégié. Je me sens donc parfaitement qualifié pour vous administrer une salutaire leçon d’histoire que vous n’aurez pas volée.
Tout d’abord, je dois vous rappeler que la conception de l’épopée coloniale de la France fut l’œuvre de grands Républicains appartenant au Panthéon de votre obédience politique.
N’est-ce pas Jules Ferry qui a voulu « porter la civilisation aux races inférieures » ?
Albert Sarraut a défini notre « politique indigène comme étant la Déclaration des Droits de l’Homme interprétée par Saint Vincent de Paul » (sic).
De son côté, Léon Blum a déclaré en 1925 à la tribune du Palais Bourbon « il est du devoir des races supérieures de venir en aide aux races inférieures ».
Et honni soit qui mal y pense de ce vocabulaire !!!
Les prestigieux artisans de cette grande œuvre humaniste s’appelèrent Gallieni, Lyautey, Savorgnan de Brazza, Auguste Pavie, Charles de Foucauld et autre docteur Schweitzer, figures de proue d’une nombreuse cohorte de valeureux exécutants plus humbles.
Résumons leur œuvre à l’essentiel. Ils ont d’abord libéré les populations autochtones du joug sanguinaire de ce que l’on a appelé les « rois nègres », à la source de l’immonde chaîne de l’esclavage qu’ils ont aboli. Ils ont mis un terme aux perpétuelles guerres tribales qui saignaient à blanc le continent africain, apportant un siècle de « paix française ». A défaut d’une totale liberté qui n’était pas l’aspiration prioritaire, ils ont apporté l’Ordre et la Justice de nos admirables administrateurs coloniaux. Ils ont éradiqué les épidémies qui anéantissaient des tribus entières. Ils ont fait disparaître les endémiques famines qui aggravaient la dépopulation.
Libre à vous, monsieur Macron, de penser que les conquêtes de la Liberté, de la Paix et de la Santé sont des crimes contre l’humanité !
Il est de notre devoir de Français d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont laissé leur vie dans cette grandiose aventure humaine dont nous devons être fiers. J’ai pu me recueillir sur bon nombre de leurs sépultures, qui jalonnent notre épopée coloniale. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour remédier à leur état lamentable, jusqu’à m’attirer les foudres d’une administration lointaine. En ces lieux émouvants, cadres et simples soldats côtoient leurs frères d’armes du service de santé, particulièrement éprouvés par leur place en première ligne des épidémies. Ces Français de condition
modeste avaient votre âge, monsieur Macron. Ils avaient quitté courageusement le cocon métropolitain pour servir la France au loin sans esprit de lucre et au mépris des dangers encourus. Alors, de grâce, daignez leur accorder un minimum de respect.
Voilà, monsieur Macron, ce que j’ai eu à cœur de vous dire. Au Tribunal de l’Histoire devant lequel je vous ai fait comparaître, je laisse à votre conscience et au suffrage universel le soin de prononcer le verdict.
Général de corps d’armée
Michel Franceschi
Absolument Mon Général,
Tous ceux qui ont servi l’Afrique en servant la France le savent.
Ceux qui se sont servis sont évidemment les mieux placés pour accuser les premiers, comme d’habitude
1793 LA TERREUR, 2022 idem, milices, chasse aux sorcières, le peuple scindé en deux, et peut-être l’armée contre les derniers Français, Lecointre, Marat, Robespierre et les autres qui donnent leurs ordres et restent cachés aux yeux de tous comme le font tous les lâches, mais Marat et Robespierre étaient loin d’être inintelligents.