Mobilisation générale 2S

6 mai 2021 | 10 Commentaires 

Nous par­tîmes cin­quante ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trente mille en arri­vant au port

Dans sa Lettre ouverte à nos gou­ver­nants, le capi­taine Jean-Pierre Fabre-Bernadac a déclen­ché la mobi­li­sa­tion géné­rale des patriotes.

Signée en pre­mière inten­tion par quelques géné­raux 2S, qua­li­fiés à tort de « quar­te­ron de géné­raux en retraite », sui­vant la for­mule célèbre, cette lettre s’est enflam­mée comme une traî­née de poudre… à canon. L’escouade des vingt pre­miers signa­taires sont, par de prompts ren­forts, deve­nus une cen­tu­rie de géné­raux accom­pa­gnés de 24 281 par­ti­sans au matin du 5 mai. Des mil­liers d’an­ciens mili­taires de tous grades, de réser­vistes, viennent en nombre gros­sir les rangs chaque jour.

Ladite ministre de la Défense natio­nale, Florence Parly, qui ne connaît stric­te­ment rien à la chose mili­taire, sur­joue la vierge effa­rou­chée devant ces « fac­tieux » qu’elle qua­li­fie de rebelles. Macron, en souf­france avec ses mili­taires dont il pré­tend être « Le chef ! » a jus­te­ment mis cette inca­pable Parly aux com­mandes, sans doute pour humi­lier la Grand Muette. Le 5 étoiles Lecointre grand-géné­ral-en-chef d’État major, le fayot à sa mémère, porte-coton de Macron, le petit doigt sur la cou­ture du pan­ta­lon, a décla­ré vou­loir punir 18 signa­taires d’ac­tive sédi­tieux. La Fraternité d’armes ne fait pas par­tie de ses valeurs.

Le décor est plan­té. Cette lettre n’en finit pas de déclen­cher des réac­tions de tous bords. Des mili­taires bien sûr, mais aus­si des civils qui s’or­ga­nisent, des retrai­tés mais aus­si des jeunes. 58% des Français « admi­nis­tra­tifs » sou­tiennent ces offi­ciers, sans doute 99% des Français de souche.

Quelques extraits gla­nés comme celui-ci d’Alain Ricaud, sol­dat:« Il est évident Madame Parly, que ce n’est pas à Air France à la SNCF ou les cabi­nets minis­té­riels, en ayant été for­mée à l’ENA, tout comme votre col­lègue Madame Pannier-Rusacher, que vous pou­vez ne serait-ce qu’entrevoir ce que peut être un sol­dat, un sol­dat de France Madame, un sol­dat du peuple fran­çais Madame, pas un mer­ce­naire ou oppor­tu­niste de l’État, mais un ser­vi­teur du Peuple et de la Nation ».

Ou bien comme ce Contre Appel bien plus rebelle encore à l’i­ni­tia­tive du contre-ami­ral Claude Gaucherand et qui pointe du doigt Bilderberg, Davos et le CRIF !

lettre-contre-appel-militaires
Excellent, à lire dans son intégralité :

Voici sans esprit de polé­mique l’opinion émise à titre per­son­nel par un groupe de citoyens qui ont en com­mun d’avoir ser­vi à une période active de leur vie comme offi­ciers dans l’une des trois Armées. C’est à ce titre qu’ils par­tagent une inquié­tude concer­nant le pré­sent et l’avenir de la France qu’à terme plus ou moins rap­pro­ché ils lègue­ront à leur descendance.

Ce fai­sant aucun ne reven­dique pour autant la repré­sen­ta­tion de l’opinion des mili­taires d’active ni ne sug­gère un quel­conque enga­ge­ment de la part de ces der­niers, eux qui sont dédiés à ser­vir acti­ve­ment et sou­vent au péril de leur vie leur nation consi­dé­rée comme un tout.

L’heure est grave, la France est en péril, plu­sieurs dan­gers mor­tels la menacent.”
(…)
Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impé­ra­ti­ve­ment trou­ver le cou­rage néces­saire à l’éradication de ces dan­gers. Pour cela, il suf­fit sou­vent d’appliquer sans fai­blesse des lois qui existent déjà. N’oubliez pas que, comme nous, une grande majo­ri­té de nos conci­toyens est excé­dée par vos lou­voie­ments et vos silences cou­pables.”

Ces mili­taires font un constat que l’on ne peut que par­ta­ger dans sa géné­ra­li­té mais appa­rait plus dis­cu­table quand on en vient au choix plus pré­cis des dits dangers.Quant à la solu­tion pour éra­di­quer le grand péril, il appa­rait n’être qu’un vœu pieux.

En effet quand on veut soi­gner un mal il convient de dis­tin­guer les symp­tômes et la racine du mal pro­pre­ment dite et donc de dis­tin­guer le trai­te­ment de confort comme disent les méde­cins du trai­te­ment cura­tif. Ils sont com­plé­men­taires. Le pre­mier sans le second est inopé­rant et, le plus sou­vent, le second n’est pas humai­ne­ment sup­por­table sans l’apport du premier.

C’est dans cette approche que réside notre désac­cord car si nous par­ta­geons la défi­ni­tion de ces dan­gers ils nous appa­raissent comme les simples symp­tômes d’un mal plus pro­fond à la racine duquel il convient de s’attaquer si l’on veut que la France sur­vive. N’est-il pas illu­soire de deman­der à ceux qui ins­til­lent le poi­son de façon pro­ba­ble­ment consciente et sans doute en toute sin­cé­ri­té de bien vou­loir chan­ger de seringue pour nous ins­til­ler le contre-poison ?

Dans sa grande majo­ri­té la classe poli­tique de notre pays ser­vie par un sys­tème par­le­men­taire plus que sécu­laire a été depuis des décen­nies dévoyée par la haute finance qui détient les cor­dons de la bourse et la maî­trise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, ser­vie en cela par toutes sortes de relais que sont par­mi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.

Cette classe poli­tique que Jean Pierre Chevènement alors lucide avait qua­li­fiée de pareille-au-même, ser­vie par une admi­nis­tra­tion solide et défé­rente, n’est là que pour faire exé­cu­ter les dic­tats de ceux qui détiennent le pou­voir c’est à dire la haute finance, dic­tats relayés par l’organisation de la com­mu­nau­té euro­péenne com­po­sée de plus de 25000 fonc­tion­naires qui n’ont été élus par per­sonne mais sont inves­tis de l’autorité que leur confèrent les traités.

Alors qu’il s’agisse d’immigration, de déli­te­ment de la nation et de la mul­ti­pli­ca­tion des zones de non-droit, de vio­lence et de mon­tée de la haine entre com­mu­nau­tés, la classe poli­tique aux manettes ne fait que suivre la feuille de route qui lui est dic­tée devant abou­tir à la des­truc­tion de la nation très ancienne que nous sommes, obs­tacle sym­bo­lique au mon­dia­lisme mon­tant qu’il convient de faire disparaître.

Ce qui met mor­tel­le­ment en péril la France, c’est tout sim­ple­ment le libé­ra­lisme effré­né qui est ins­crit dans le marbre des trai­tés dits euro­péens se tra­dui­sant par la dés­in­dus­tria­li­sa­tion du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du glo­bish par les médias, la publi­ci­té enva­his­sante et …le chef de l’Etat lui-même, c’est aus­si la des­truc­tion de l’outil de l’énergie nucléaire et la poli­tique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occa­sion, c’est encore le déli­te­ment de l’éducation natio­nale et de la poli­tique de san­té publique, c’est enfin la mise en rési­dence sur­veillée de 66 mil­lions de Français avec port obli­ga­toire de la muselière.

C’est tout cela que sou­ligne notre ser­vile ali­gne­ment sur la doc­trine poli­tique et mili­taire anglo-saxonne que concré­tisent notre appar­te­nance à l’OTAN et notre sou­ve­rai­ne­té perdue.

Chers cama­rades mili­taires voi­là ce que nous pen­sons être de notre devoir de vous répondre.

Votre appel parle à juste titre de gilets jaunes. Et si c’était la voie qui per­mette enfin d’attaquer le mal à la racine tout en appli­quant les mesures que vous pré­co­ni­sez pour le trai­te­ment de confort dont notre nation res­sent un très urgent besoin ?

Rappelons cette brève cita­tion du alors Président Charles De Gaulle : « Les Français ont besoin d’un pro­jet ». En aucun cas d’une guerre civile.

Faut-il trou­ver dans ce contre-appel le deuxième tir qui cer­ne­ra l’adversaire ?

Le Grand Rassemblement contre le Grand Remplacement ?

Ces géné­raux deuxième sec­tion (2S) encore jeunes, loin d’être retrai­tés, sau­ront-ils acti­ver leurs cama­rades d’ac­tive ? Il faut des chefs de corps, de com­pa­gnie, de sec­tion prêts à leur emboî­ter le pas, à la tête de leurs hommes. Certes ces cadres sont muse­lés par leur obli­ga­tion de réserve mais ça fomente dans les escadrons.

Ces géné­raux deuxième sec­tion encore jeunes, loin d’être retrai­tés, sau­ront-ils ras­sem­bler la France péri­phé­rique, celle des pre­mières heures des Gilets-jaunes, avant que les ner­vis black blocs au ser­vice du Pouvoir, viennent pour­rir le mouvement.

Notons que le rédac­teur de la lettre, le capi­taine Jean-Pierre Fabre-Bernadac se reven­dique d’être un Gilet-jaune de la pre­mière heure, comme beau­coup d’autres ex-mili­taires dès novembre 2019.

Militaires - Gilets Jaunes

Pauvre Emmanuel Macron qui a dû subir 65 actes de Gilets-jaunes !

Heureusement pour lui, il y a le rhume Covid qui lui a per­mis de façon oppor­tu­niste d’as­si­gner à rési­dence la popu­la­tion. Arrivera-t-il à se débar­ras­ser aus­si faci­le­ment des fac­tieux ? Je doute que ses troupes de gau­chistes, d’an­ti­fas et autres black blocs pèsent bien lourd face aux mili­taires armés.

Chaque for­ma­tion mili­taire a sa devise. Pour l’a­ve­nir de la France, pour qu’elle dure, je retien­drai celle du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine rete­nue par un autre géné­ral, le meilleur d’entre tous : Marcel Bigeard. Être et durer.

Et puis aus­si : Honneur et Traditions. Tout le contraire de la répu­blique moderne et pro­gres­siste, sans foi ni loi, de Macron.

Michel Lebon

10 Commentaires 

  1. Bien belle remise à l’heures des pen­dules du géné­ral Franceschi. Je n’aime guère les uni­formes mais avouons qu’il faut dire et redire la véri­té s’a­gis­sant des points posi­tifs de la colo­ni­sa­tion à la fran­çaise qui, contrai­re­ment à la colo­ni­sa­tion à l’an­glaise, s’est effec­tuée au maxi­mum dans la séré­ni­té, pour le bien­fait de ces popu­la­tions (sou­vent oppri­mées par des occu­pants illé­gi­times) et au détri­ment de l’in­té­rêt lucra­tif, du moins à par­tir des années 1930. Nous avons honte d’être Français depuis Hollande et Macron.

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  2. Mme PARLY n’est pas De Gaulle, M. Macron n’est pas De Gaulle, que le gou­ver­ne­ment n’est pas celui de De Gaulle (majo­ri­té de résis­tants) et la poli­tique d’au­jourd’­hui n’est pas celle de De Gaulle.
    Tout ce beau monde ne peut pas ima­gi­ner ce qui anime ces Français.
    Ce sont des concepts qui ne s’ap­prennent pas à l’ENA : le patrio­tisme, la fra­ter­ni­té, le don de soi pour des « valeurs » plus impor­tante que sa petite per­sonne.
    Croyant bête­ment que leurs peurs pour­raient s’ap­pli­quer à tous.
    Menacer des per­sonnes qui mettent la France au-des­­sus de leur vie ne peut être que contre­pro­duc­tif. Elle ne sait pas que ceux qui n’ont plus rien à perdre que leur digni­té, sont plus dangereux.

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  3. Lecointre, Marat, Robespierre dans le même sac comme le fait Patrick Tiso, ça ne sim­pli­fie pas les choses. Mazzeto me parait plus près de la véri­té. Le pro­blème est à Wall Street et à Jérusalem, pas la ville située géo­gra­phi­que­ment, l’autre (pas la Céleste non plus pour évi­ter toute confu­sion), celle qui a son oeil au som­met de la pyra­mide pour ceux qui ont des yeux pour voir les sym­boles. Il y eut un géné­ral qui savait cela, les Français l’ont aimé puis Jérusalem l’a fait tom­ber et peu à peu, par pom­­pi­­dou-gis­­card-mit­­ter­­rand-sarkö­­si-hol­­lande-macron, nous voi­là arri­vés au ter­mi­nus.
    On réagit ou on est mort.
    Quand je vois les masques qui conti­nuent à raser le murs ou à faire la leçon à ceux qui sont à visage décou­vert, j’ai des craintes. Voyez la vidéo d’Alexandra Henrion-Caude à Marseille ce 9 mai pour com­prendre un peu plus loin pour­quoi le monde devient un camp de concen­tra­tion bien plus effi­cace que le modèle alle­mand breveté.

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  4. Un comble : le gou­ver­ne­ment ne sanc­tionne pas les cou­pables mais ceux qui dénoncent leurs agissements.

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  5. Bravo à ces mili­taires qui citent le CRIF. Rappelons-nous com­ment le pré­sident de l’as­so­cia­tion qui ne repré­sente en rien les Juifs de France a bran­di de force la main de notre pros­ti­tuée ser­vile et pleutre Macron. Président de rien élu avec la fraude des machines Dominion ! A par­tir de cet ins­tant on sait qui gouverne !

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    • En effet « les Juifs » sont pris en otage par ceux qui se jugent être leur maître. Ils n’hé­si­te­ront pas à les sacri­fier à nou­veau, car ils croient dans l’ho­lo­causte, la race et Baal

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  6. L’appel du capi­taine Jean-Pierre Fabre-Bernadac monte très vite à l’as­saut en disant « l’heure est grave, la France est en péril, plu­sieurs dan­gers mor­tels la menacent » et puis pata­tras, il nous assène les thèmes chers à Zemmour et concoc­tés par la franc-maçon­­ne­­rie, l’is­la­misme et l’antiracisme.
    Ces vaillants offi­ciers n’ont pas pu iden­ti­fier la vraie gra­vi­té de la situa­tion de fausse pan­dé­mie et de tyran­nie sani­taire et sur­tout l’en­ne­mi, la base pre­mière de toute stra­té­gie mili­taire. Ont-ils reçu l’ordre de pré­pa­rer l’Opération Ronces ? Ou de « Qanonniser » les Français ?
    Honneur au contre-ami­­ral Claude Gaucherand, qui dans son contre-appel ose nom­mer les vrais maux et les vrais enne­mis de la France. L’appel de la Place d’Armes aura quand même l’a­van­tage de mettre en lumière cette par­tie de l’ar­mée sur laquelle les Français ne doivent jamais compter.

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  7. Ancien ins­pec­teur des Troupes de Marine, héri­tières des Troupes Coloniales, j’ai l’impérieux devoir de prendre es qua­li­té leur défense morale, en réac­tion à votre dia­bo­li­sa­tion de la colo­ni­sa­tion. Ma car­rière d’officier colo­nial épa­noui, à la char­nière de la colo­ni­sa­tion et de la déco­lo­ni­sa­tion de l’Afrique, me confère le double carac­tère d’acteur de ter­rain et de témoin pri­vi­lé­gié. Je me sens donc par­fai­te­ment qua­li­fié pour vous admi­nis­trer une salu­taire leçon d’histoire que vous n’aurez pas volée.
    Tout d’abord, je dois vous rap­pe­ler que la concep­tion de l’épopée colo­niale de la France fut l’œuvre de grands Républicains appar­te­nant au Panthéon de votre obé­dience poli­tique.
    N’est-ce pas Jules Ferry qui a vou­lu « por­ter la civi­li­sa­tion aux races infé­rieures » ?
    Albert Sarraut a défi­ni notre « poli­tique indi­gène comme étant la Déclaration des Droits de l’Homme inter­pré­tée par Saint Vincent de Paul » (sic).
    De son côté, Léon Blum a décla­ré en 1925 à la tri­bune du Palais Bourbon « il est du devoir des races supé­rieures de venir en aide aux races infé­rieures ».
    Et hon­ni soit qui mal y pense de ce voca­bu­laire !!!
    Les pres­ti­gieux arti­sans de cette grande œuvre huma­niste s’appelèrent Gallieni, Lyautey, Savorgnan de Brazza, Auguste Pavie, Charles de Foucauld et autre doc­teur Schweitzer, figures de proue d’une nom­breuse cohorte de valeu­reux exé­cu­tants plus humbles.
    Résumons leur œuvre à l’essentiel. Ils ont d’abord libé­ré les popu­la­tions autoch­tones du joug san­gui­naire de ce que l’on a appe­lé les « rois nègres », à la source de l’immonde chaîne de l’esclavage qu’ils ont abo­li. Ils ont mis un terme aux per­pé­tuelles guerres tri­bales qui sai­gnaient à blanc le conti­nent afri­cain, appor­tant un siècle de « paix fran­çaise ». A défaut d’une totale liber­té qui n’était pas l’aspiration prio­ri­taire, ils ont appor­té l’Ordre et la Justice de nos admi­rables admi­nis­tra­teurs colo­niaux. Ils ont éra­di­qué les épi­dé­mies qui anéan­tis­saient des tri­bus entières. Ils ont fait dis­pa­raître les endé­miques famines qui aggra­vaient la dépo­pu­la­tion.
    Libre à vous, mon­sieur Macron, de pen­ser que les conquêtes de la Liberté, de la Paix et de la Santé sont des crimes contre l’humanité !
    Il est de notre devoir de Français d’honorer la mémoire de tous ceux qui ont lais­sé leur vie dans cette gran­diose aven­ture humaine dont nous devons être fiers. J’ai pu me recueillir sur bon nombre de leurs sépul­tures, qui jalonnent notre épo­pée colo­niale. J’ai fait tout ce qui était en mon pou­voir pour remé­dier à leur état lamen­table, jusqu’à m’attirer les foudres d’une admi­nis­tra­tion loin­taine. En ces lieux émou­vants, cadres et simples sol­dats côtoient leurs frères d’armes du ser­vice de san­té, par­ti­cu­liè­re­ment éprou­vés par leur place en pre­mière ligne des épi­dé­mies. Ces Français de condi­tion
    modeste avaient votre âge, mon­sieur Macron. Ils avaient quit­té cou­ra­geu­se­ment le cocon métro­po­li­tain pour ser­vir la France au loin sans esprit de lucre et au mépris des dan­gers encou­rus. Alors, de grâce, dai­gnez leur accor­der un mini­mum de res­pect.
    Voilà, mon­sieur Macron, ce que j’ai eu à cœur de vous dire. Au Tribunal de l’Histoire devant lequel je vous ai fait com­pa­raître, je laisse à votre conscience et au suf­frage uni­ver­sel le soin de pro­non­cer le ver­dict.
    Général de corps d’armée
    Michel Franceschi

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    • Absolument Mon Général,
      Tous ceux qui ont ser­vi l’Afrique en ser­vant la France le savent.
      Ceux qui se sont ser­vis sont évi­dem­ment les mieux pla­cés pour accu­ser les pre­miers, comme d’habitude

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  8. 1793 LA TERREUR, 2022 idem, milices, chasse aux sor­cières, le peuple scin­dé en deux, et peut-être l’ar­mée contre les der­niers Français, Lecointre, Marat, Robespierre et les autres qui donnent leurs ordres et res­tent cachés aux yeux de tous comme le font tous les lâches, mais Marat et Robespierre étaient loin d’être inintelligents.

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