Le GIEC poursuit son lobbying politique
Qui, de nos jours, peut encore se targuer de ne pas avoir entendu parler du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ce « machin » – comme aurait dit de Gaulle – intergouvernemental, non scientifique, créé sous l’égide de l’ONU et qui empoisonne de plus en plus nos vies au quotidien ? Car le GIEC, en imposant l’idéologie du réchauffement climatique soi-disant causé par nos émissions de gaz carbonique (CO2), est à l’origine de toutes les mesures gouvernementales coercitives, punitives et liberticides qui nous frappent depuis plus de trente ans.
Ce « machin » constitué d’« experts » auto-proclamés – le terme « experts » a été introduit abusivement dans la traduction française du sigle anglais IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) – au sein d’une structure hybride soumise à la politique internationale, qui ne produit que des résultats se prétendant scientifiques quoique très controversés. Car ce qui proprement ahurissant, c’est que le dogme anthropo-réchauffiste est carrément inscrit dans les statuts de l’organisation. Ceux-ci stipulent, avant toute approche scientifique, qu’il y a réchauffement et que la seule cause réside dans les émissions de CO2 résultant de l’activité humaine ! C’est exprimé en ces termes : « Évaluer sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. » Ainsi, avant la mise en route de la moindre étude, la conclusion a déjà été inscrite dans le marbre :
le « réchauffement climatique » est indiscutable et il est d’origine « anthropique » !
Messieurs les « experts », à vous de mettre tout en œuvre pour confirmer ce postulat. Le GIEC doit convaincre que la science souveraine a parlé.
Pour cela, depuis depuis novembre 1988, date de sa création, ce groupe de pression financé par l’argent du contribuable filtre les études scientifiques réalisées dans le monde entier pour n’homologuer que celles qui vont dans le sens de sa doctrine. Tout le reste, considéré comme contraire à la doxa, est qualifié de complotiste. Le GIEC se comporte tout simplement comme un lobby politique qui s’impose par la propagande et la peur au travers de rapports d’évaluation (ou « spéciaux ») plus culpabilisants les uns que les autres dont il nous gratifie à intervalles réguliers. Celui du 23 juin dernier, n’échappe pas à la règle. Des éléments contenus dans son résumé (encore à l’état de brouillon) destiné aux décideurs ont « fuité » dans la presse : comme toujours, ce sont des propos alarmistes annonçant un certain nombre de conséquences liées à ce supposé « réchauffement climatique anthropique ». Tout cela annoncé par les oracles du GIEC que sont les projections des modèles numériques dont la fiabilité reste toujours très douteuse et très discutée par les authentiques chercheurs.
On vient de le voir, pour rédiger ses rapports scientifiques, le GIEC compile de nombreuses publications en excluant soigneusement celles qu’il juge « indésirables » (comprenez : qui remettent le dogme en question). En revanche, le résumé péremptoire à destination des décideurs (Summary for Policy Makers) est, quant à lui, élaboré par les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements. C’est la phase de négociations où l’on supprime toutes les nuances, toutes les incertitudes, tous les aveux de méconnaissance susceptibles de figurer encore dans le volumineux document de base. Un tripatouillage qui, par le fait, lui retire toute valeur scientifique. Après quoi, le SPM est présenté en grande pompe aux États, aux institutions internationales et aux médias du monde entier afin que la parole divine soit largement diffusée. Dès cet instant, les rédacteurs du rapport original sont priés de mettre leur travail en conformité avec le résumé ! Ce qui explique que le document complet – remis dans le droit chemin – soit publié plusieurs mois après le SPM. Un dévoiement de la science jamais vu dans l’histoire depuis ses origines (mis en lumière en 2015 par des « hakers ») et dénoncé par le philosophe Jean-Marc Bonnamy après avoir constaté dans les rapports du GIEC disponibles sur la toile combien le SPM s’affranchissait des rapports scientifiques qui étaient supposés lui servir de base.
En dépit des nombreuses casseroles qu’il traîne, le GIEC continue son entreprise de manipulation pour imposer son dogme et permettre à ceux qui gouvernent l’adoption de mesures toujours plus liberticides. Son dernier rapport à paraître en atteste. Tout cela, bien sûr, s’inscrit dans le projet de Nouvel Ordre Mondial prévu pour préparer le « Great Reset » initié, en janvier dernier, par l’économiste allemand Klaus Schwab lors du dernier Forum de Davos. Projet activement soutenu par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la patronne du FMI, Kristalina Georgieva, et… Lord Stern, le spécialiste de l’économie du climat ! La boucle est bouclée.
Charles André
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
Baisse de 7% du CO2 pendant le confinement et c est nous petits automobilistes qui créons le problème ?
Par contre la geo ingénierie accélère le réchauffement climatique avec les chemtrails
Votre ciel n est plus bleu il est laiteux
GIEC même escroquerie que le COVID 19 de l’Institut Pasteur !