En France, presque un nouveau-né sur quatre est musulman !
Selon le très officiel Observatoire de la laïcité, notre pays ne compterait que 6 % de mahométans. Ce qui permet à toute l’intelligentsia négationniste d’infirmer la théorie du Grand Remplacement qui, pourtant, crève les yeux au quotidien : toujours plus de faciès boucanés sur les trottoirs, accoutrements vestimentaires charia-compatibles, trust de la main‑d’œuvre dans le bâtiment, les entreprises de nettoyage, des chauffeurs-livreurs, chez les aides-soignants, dans les sociétés ambulancières, les services de sécurité… par des allogènes venus de l’autre côté de la Méditerranée. Il y a des signes qui ne trompent pas.
Et des signes, il y en a partout. On en trouve de très forts dans la population carcérale où la proportion d’allogènes est largement dominante. Le taux de détenus musulmans y « dépasse souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues » selon le sociologue d’origine iranienne Farhad Khosrokhavar [L’Islam dans les prisons, Balland]. Ce que confirme Mohamed Loueslati, aumônier dans les prisons, qui reconnaît que « deuxième religion de France, l’islam est aujourd’hui la première religion carcérale » [L’Islam en prison, Bayard].
Ce qui explique que le nombre d’aumôniers musulmans a été multiplié par 2,5 en moins de dix ans, passant de 69 en 2006 à 176 en 2015 ! Soulignons au passage que la pratique du culte mahométan en milieu carcéral coûte au contribuable la bagatelle de 2,4 millions d’euros par an, d’après Julien Morel d’Arleux, sous-directeur de l’administration pénitentiaire, et que l’islam wahhabite – le plus radical – y est allègrement pratiqué. Ça fait un peu froid dans le dos.
Aujourd’hui, dans nos prisons françaises, on dénombre 54 % de détenus venant d’Afrique et du Maghreb dont les pays d’origine sont essentiellement l’Algérie et le Maroc. Ces détenus maghrébins sont en outre surreprésentés dans toutes les catégories des crimes et délits. Avec un taux de 33 %, les prisonniers de nationalités européennes font figure de petits joueurs d’autant que la grande majorité d’entre eux est d’origine roumaine du fait de la multiplicité des délits commis par les Roms.
La surreprésentation des étrangers en milieu carcéral est donc indiscutable
N’en déplaise à Dominique Simonnot, contrôleuse générale des lieux de privation de liberté qui s’indigne du surpeuplement des prisons : « C’est effroyable. Aujourd’hui, les conditions de détention sont redevenues épouvantables. Quel pays la France est-elle devenue pour supporter ça ? ». Il faut avoir une certaine dose de culot pour oser déplorer aussi fort des effets dont on chérit les causes.
Ces chiffres alarmants sont donc la preuve indéniable du remplacement de population qui est lui-même le principal artisan d’une délinquance en progression exponentielle : 75 % des mineurs jugés sont des mineurs étrangers, selon Pierre-Marie Sève, directeur général de l’Institut Pour la Justice (IPJ), interrogé le 18 juin 2021 par Le Figaro. Cette jeunesse allogène, forte d’une totale impunité dans notre pays, est responsable de 80 % des vols à l’arraché dans les grandes villes. Une situation qui génère logiquement un « sentiment d’insécurité » grandissant dans la population. Sentiment qui n’est pas près de se dissiper… Comme la population elle-même n’est pas près de reblanchir au cours des prochaines décennies. L’immigration incontrôlée, la grande fertilité des femmes africaines et la réticence à procréer de plus en plus revendiquée chez les femmes autochtones engendrent un déséquilibre démographique aujourd’hui parfaitement palpable : « La proportion des enfants immigrés ou enfants d’immigrés d’origine extra-européenne est en forte hausse depuis 30 ans » d’après France Stratégie, qui travaille à partir de données de l’INSEE. Rien que pour Paris, cette proportions est passée de 22,4 % à 37,4 % entre en 1990 et 2017 avec un taux atteignant 43 % dans le 18e arrondissement ! Quant à la Seine-Saint-Denis, les « chères têtes blondes » n’y sont déjà plus qu’un lointain souvenir puisque 55,1 % des enfants ont, au moins, un parent allogène. Qui plus est, de confession mahométane : 21,7 % des nouveau-nés en France ont reçu un prénom musulman. Presque un sur quatre ! On réalise l’ampleur du désastre.
Et ce ne sont pas les Niçois qui viennent de subir une nouvelle agression en l’église Notre Dame de l’Assomption(1), ce lundi 11 octobre, qui contesteront cette glaçante évidence. Cette fois-ci, c’est un Tunisien clandestin de 26 ans qui s’est introduit dans l’édifice religieux en proférant des menaces en arabe. Une provocation qui survient presque un an jour pour jour après le terrible attentat, en ce même lieu, qui fit trois victimes, le 29 octobre 2020, et qui fut suivi de deux autres intrusions, le 20 mars et le 3 juillet 2021. Il faut dire que l’avenue Jean Médecin, autrefois l’artère principale de la ville, qui s’enorgueillissait de ses grands magasins, n’est plus que l’ombre d’elle-même. Située en plein centre-ville, elle traverse aujourd’hui un quartier complètement communautarisé. On y croise une population métissée à souhait que même « Street view » de Google Maps ne parvient pas à dissimuler.
Avouons que Google comme témoin du Grand Remplacement, c’est plutôt cocasse.
Charles ANDRÉ
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. »
(1) Lire Notre Dame de Nice : nouvelles incantations de Christian Estrosi du 30 octobre 2020
UNE RICHESSE POUR LA FRANCE ???????
Laura TENOUDJI, la femme de Chritian ESTROSI est d’origine marocaine, voilà la raison pour laquelle Nice est envahie par des non caucasiens non européens ( NCNE) qui annoncent le Grand Remplacement.
C’est mathématique : les femmes françaises revendiquent le droit de ne pas faire d’enfants tandis que les femmes allogènes essaient d’en faire un maximum sur notre sol pour obtenir des papiers. À la fin, qui c’est qui gagne ?