Dans la nuit du 6 au 7 mai 1945, le géné­ral Alfred Jodl, chef d’état-major de la Wehrmacht, signe, à Reims, la capi­tu­la­tion de l’Allemagne avec une fin des com­bats fixée le 8 mai, à 23h01 pré­ci­sé­ment. Cette date est ain­si deve­nue depuis la « Fête de la Victoire » dans l’Hexagone.

La « Fête de la Victoire » ? Vraiment ?

Quelques années plus tard, on apprend que plus de 1 500 digni­taires nazis furent dis­crè­te­ment exfil­trés d’Allemagne vers les États-Unis.

Peu après la Seconde Guerre mon­diale, les USA ont lan­cé une opé­ra­tion secrète bap­ti­sée Opération Paperclip qui visait à exfil­trer 1 500 savants alle­mands vers les États-Unis. Le but était qu’ils four­nissent leurs connais­sances très avan­cées pour l’é­poque notam­ment dans les domaines nucléaire, spa­tial et chi­mique. L’opération s’ar­rê­ta suite aux pro­tes­ta­tions de l’Allemagne de l’Ouest qui per­dait ain­si une bonne par­tie de ses meilleurs cher­cheurs.
D’autres pays ten­tèrent de faire de même, dont l’URSS et à moindre échelle la France et le Royaume-Uni.

Les « scien­ti­fiques » ont pu conti­nuer à déployer aux États-Unis ce qu’ils avaient com­men­cé en Allemagne :

De nom­breux digni­taires nazis, non scien­ti­fiques, furent blan­chis et pla­cés à des postes stra­té­giques. Ainsi pen­dant que l’homme de main Adolf Eichmann était pen­du à Tel Aviv, les États-Unis pla­çaient d’an­ciens offi­ciers alle­mands aux postes clés des orga­ni­sa­tions inter­na­tio­nales. Eichmann a payé le prix du nar­ra­tif des « méchants nazis » qui per­dure et que l’on nous enfonce dans le crâne. Mais la véri­té est bien autre :

Des dignitaires nazis ont remodelé le monde occidental de l’après-guerre

Vous n’y croyez pas ? Voici une liste d’of­fi­ciers alle­mands en charge de l’OTAN, de l’ONU, notam­ment.

Lire aus­si si vous avez du mal à y croire, ce qui est nor­mal : L’OTAN un orga­nisme de recy­clage du nazisme

Cela est dif­fi­cile à conce­voir et même dif­fi­cile à écrire, mais il appa­raît de manière fac­tuelle et patente (« ils » ne se cachent même pas) que les Nazis n’ont pas per­du la guerre.
Les États-Unis, finan­ciers à la fois de la révo­lu­tion bol­ché­vique et du nazisme, se sont enga­gés tar­di­ve­ment dans la deuxième guerre mon­diale lors­qu’ils se sont aper­çus que l’Allemagne ne vain­crait pas l’URSS, ain­si qu’ils l’a­vaient pro­gram­mé. Ils sont alors inter­ve­nus pour mettre fin aux avan­cées mili­taires des armées sovié­tiques et sau­ver l’in­fra­struc­ture diri­geante alle­mande ain­si que « leurs » usines.

Image insup­por­table pour les Américains

Le ter­ri­toire fran­çais a été copieu­se­ment bom­bar­dé par l’a­via­tion amé­ri­caine qui pre­nait soin d’é­par­gner les usines alle­mandes. De nom­breux ouvrages retracent cet épisode.

La cathé­drale de Strasbourg bom­bar­dée le 11 août 1944, deux mois après le débar­que­ment en Normandie. Par miracle la lourde bombe n’a pas explosé.

C’est avec cet éclai­rage déca­pant que l’on peut com­prendre l’é­trange conni­vence entre le pré­sident-clown Zelensky, mis en place à Kiev par les Américains, et les milices nazies en Ukraine.

Le dra­peau ukrai­nien, celui de l’OTAN et la croix gam­mée font bon ménage

L’OTAN protège les siens en Ukraine.

Georges Gourdin

Bonus : « Quelle dose de véri­té un esprit peut-il sup­por­ter, quelle dose de véri­té peut-il ris­quer ? » Nietzsche (Ecce homo).