Les essais Pfizer maintenant publiés

par | 30 juillet 2023 | 4 Commentaires 

On sait enfin ce que contiennent les « vac­cins » Pfizer…
30% des lots étaient sans dan­ger parce que sans prin­cipe actif, 4% des lots étaient sur-contaminés !

Essais Pfizer

Le pro­ces­sus de fabri­ca­tion en lots com­mer­ciaux n’est pas contrô­lé (et dif­fé­rent du pro­ces­sus dans les essais cli­niques). Ceci explique l’hétérogénéité des lots.
Il n’y a pas de « pla­ce­bo » au sens strict !
Des scien­ti­fiques alle­mands et danois s’interrogent sur l’inégale dan­ge­ro­si­té des lots de vac­cins ARNm. Une étude prouve la très forte inéga­li­té, cer­tains très dosés et très dan­ge­reux et à l’opposé des lots inoffensifs…

Problème, les lots inof­fen­sifs n’ont pas été véri­fiés par les auto­ri­tés, comme si l’on savait à l’avance qu’ils ne repré­sen­taient aucun dan­ger… Des placebos ?

Essais Pfizer - Placébos

Cliquer sur l’i­mage pour l’agrandir

Au total, 10 793 766 doses ont été admi­nis­trées à 4 026 575 per­sonnes avec l’utilisation de 52 lots de vac­cin BNT162b2 dif­fé­rents (2 340 à 814 320 doses par lot) ce qui a don­né un total de 66 587 effets indé­si­rables EIG répar­tis entre les 52 lots.

Les éti­quettes de lot étaient incom­plè­te­ment enre­gis­trées ou man­quantes pour 7,11 % des EIG, lais­sant 61 847 EIG iden­ti­fiables par lot pour une ana­lyse plus appro­fon­die, dont 14 509 (23,5 %) ont été clas­sés comme des EIG graves et 579 (0,9 %) étaient des décès liés à des EIG.

Chaque point repré­sente un seul lot de vac­cin. Les lignes de ten­dance sont des lignes de régres­sion linéaire. Les lots de vac­cins repré­sen­tant les lignes de ten­dance bleue, verte et jaune repré­sen­taient res­pec­ti­ve­ment 4,22 %, 63,69 % et 32,09 % de toutes les doses de vac­cin, avec 70,78 %, 27,49 % et 47,15 % (ligne de ten­dance bleue), 28,84 %, 71,50 % et 51,99 % (ligne verte) et 0,38 %, 1,01 % et 0,86 % (ligne de ten­dance jaune) de tous les EIG, EIG graves et décès liés à un EIG, respectivement.

Le Dr Gerald Dyker, pro­fes­seur de chi­mie orga­nique à l’Université de la Ruhr à Bochum, et le Dr Jörg Matysik, pro­fes­seur de chi­mie ana­ly­tique à l’Université de Leipzig, sont récem­ment appa­rus sur le pro­gramme en ligne Punkt.Preradovic de la jour­na­liste alle­mande Milena Preradovic pour dis­cu­ter de la varia­bi­li­té des lots.

C’est pré­ci­sé­ment l’agence de régle­men­ta­tion alle­mande, l’Institut Paul Ehrlich (PEI), qui est, en prin­cipe, res­pon­sable du contrôle de la qua­li­té de tout l’approvisionnement en vac­cins Pfizer-BioNTech dans l’UE.

Dyker et Matysik ont com­pa­ré les numé­ros de lot conte­nus dans l’étude danoise avec des infor­ma­tions acces­sibles au public sur les lots approu­vés, et ils ont fait la décou­verte sur­pre­nante que presque aucun des lots inof­fen­sifs, contrai­re­ment aux lots très mau­vais et pas si mau­vais, semblent n’avoir pas fait l’objet d’un contrôle de qualité.

Les lots très dan­ge­reux en bleu repré­sentent 4,22% des doses mais 70% des effets indé­si­rables et 47% des décès. Tous ces lots ont été contrô­lés par l’Institut.

Comme le note Dyker, pas plus de 80 000 doses de l’un des lots bleus ont été admi­nis­trées au Danemark, ce qui sug­gère que ces lots par­ti­cu­liè­re­ment mau­vais ont peut-être été dis­crè­te­ment reti­rés du mar­ché par les auto­ri­tés de san­té publique.
Néanmoins, ces lots avaient jusqu’à 8 000 évé­ne­ments indé­si­rables sus­pec­tés qui leur étaient asso­ciés. Huit mille doses sur 80 000 don­ne­raient un taux de noti­fi­ca­tion d’un évé­ne­ment indé­si­rable sus­pec­té pour 10 doses – et Dyker note que cer­tains des lots bleus sont en effet asso­ciés à un taux de noti­fi­ca­tion aus­si éle­vé qu’un évé­ne­ment indé­si­rable sus­pec­té pour six doses !

Selon le cal­cul de Dyker, les lots bleus repré­sentent moins de 5 % du nombre total de doses incluses dans l’étude danoise. Néanmoins, ils sont asso­ciés à près de 50 % des 579 décès recen­sés dans l’échantillon.

Les lots dan­ge­reux, ici en vert, repré­sentent 64 % des doses mais 71 % des effets secon­daires et 52 % des décès. Tous ou presque ont été contrô­lés par l’Institut.

Enfin, nous avons les « lots jaunes » regrou­pés autour de la ligne jaune.. Selon le cal­cul de Dyker, les lots jaunes repré­sentent envi­ron 30 % du total. Dyker note qu’ils incluent des lots com­pre­nant quelques 200 000 doses admi­nis­trées qui sont asso­ciées à lit­té­ra­le­ment zéro évé­ne­ment indé­si­rable suspecté.

ILS N’ONT PAS ETE CONTRÔLÉS comme si l’Institut savait qu’ils étaient inoffensifs.

Les don­nées japo­naises, danoises et alle­mandes prouvent qu’il s’agit bien d’un essai thé­ra­peu­tique sau­vage sur la popu­la­tion mon­diale, accu­sa­tion por­tée récem­ment par le Professeur Raoult dans plu­sieurs inter­views, à l’encontre des fabri­cants des injections.

En France, l’ANSM ne four­nit pas de numé­ros de lots pour les décla­ra­tions d’effets indésirables !

S’agit-il d’une Omerta ?

Pierre Pignon
31 juillet 2023

Sources :
Hétérogénéité des lots de Pfizer : 30 % sans dan­ger et sans prin­cipe actif, 4 % sur­con­ta­mi­nés ! Le secret des lots super tueurs enfin per­cé mais l’ANSM ne veut pas que vous sachiez – Anne Bella Infos Sans langue de bois et Le blog de Patrice Gibertie
https://europarl.europa.eu/doceo/document/E‑9–2023-001537_FR.html… (publié le 1er juillet 2023)
Japanese deaths and asso­ciates vac­cine lot number

Les articles du même auteur

Pierre Pignon

4 Commentaires 

  1. Nous dépla­çant hors métro­pole plu­sieurs fois par an pour le tra­vail, nous avons subi une pres­sion très forte – avec mon épouse – pour nous faire vac­ci­ner, notam­ment de la part des contrô­leurs d’at­tes­ta­tion dans les aéro­ports (PAF, poli­ciers, mais aus­si per­son­nel d’en­re­gis­tre­ment). Juriste de for­ma­tion, je les ai gar­dés à dis­tance, mais nous n’ou­blie­rons JAMAIS les méfaits de Micron et sa clique. Nous atten­dons juste que l’Histoire nous ouvre une oppor­tu­ni­té et nous sai­si­rons l’épée…

    Répondre
  2. Mise à part la jus­tice imma­nente en laquelle je ne crois pas, croyez vous qu’un jour ces assas­sins ren­dront des comptes ?… Je pense plu­tôt qu’ils seront reca­sés ailleurs, comme l’ont été nombre de nazis.

    Répondre
  3. notre fille de 47 ans a failli mou­rir après sa deuxième dose de vac­cin. le len­de­main de l’in­jec­tion, elle nous a envoyé la pho­to de son bras énorme. le méde­cin qu’elle est allée voir en urgence, lui a dit que ça arri­vait et que ce n’é­tait rien…
    10 jours après, elle a été héli­por­tée de toute urgence à l’hôpital.
    Thrombose jambe gauche, son rein gauche ne fonc­tion­nait plus, nous avons cru la perdre.
    Cela fait 1 an et demi à pré­sent elle a (heu­reu­se­ment) récu­pé­ré son rein, mais elle sera à vie sous anti­coa­gu­lants.
    Elle qui était contre la vac­ci­na­tion, n’a pas eu le choix si elle vou­lait tra­vailler !!
    Ne nous par­lez plus de ce vac­cin, une honte.
    Mon mari et moi ne sommes pas vac­ci­nés contre le covid, et nous nous por­tons très bien, nous avons eu le covid, mais sans pro­blèmes par­ti­cu­liers.
    Nous avons une bonne défense immu­ni­taire et je pense que tout est là.

    Tout est (comme tou­jours) une ques­tion de mil­liards pour ces laboratoires.

    Répondre
  4. Ayant décla­ré de nom­breux effets secon­daires du vac­cin « anti-covid » dès juin 2021 au ser­vice dépar­te­men­tal de phar­ma­co­vi­gi­lance, ce n’est qu’en juin 2022 que ce ser­vice me confiait que les effets secon­daires cités étaient vrai­sem­bla­ble­ment en rap­port avec le vac­cin. Et encore, je ne citais que quelques-uns assez cou­rants (myo­car­dites, troubles vas­cu­laires, résur­gence aiguë de mala­dies auto-immunes, zona sur­ai­gu chez une sidéenne…) mais pas les pires qui sont cen­su­rés sys­té­ma­ti­que­ment : appa­ri­tion de can­cer tota­le­ment aty­pique, rechute de can­cer pré­coce, explo­sion d’un can­cer pour­tant par­fai­te­ment opé­ré un mois avant, décès 3 semaines après la vaccination.…

    Répondre

Envoyer le commentaire

Votre adresse e‑mail ne sera pas publiée. Les champs obli­ga­toires sont indi­qués avec *

Je sou­haite être notifié(e) par mes­sa­ge­rie des nou­veaux com­men­taires publiés sur cet article.