
L’éveil des consciences passe par la vérité
Et la vérité ne peut être tronquée ou dissimulée. C’est pourtant ce qu’il se passe avec la pédocriminalité. Cette délinquance abjecte, omniprésente, ravageuse, bénéficie pourtant de la complicité des pouvoirs établis : responsables politiques, grands médias et même justice.
Mika Denissot s’interroge : pourquoi ?
Sénèque — déjà — disait : Le coupable est celui à qui le crime profite.
Notre contribution permanente à l’éveil des consciences nous conduit tout naturellement à relayer le message de Mika Denissot :
Je ne connaissais pas Mika Denissot. Il présente bien ce sujet particulièrement grave et le ton est juste. Merci à lui de parler de sa propre expérience et de la manière dont il a transformé la violence subie en force de vie. Cette monstruosité qu’est le viol des enfants est le comble de la perversion et de la déshumanisation.
Il rejoint la longue liste des désordres de cette époque qui a pourtant tous les outils et les moyens pour basculer définitivement dans le bien.
Et merci à vous de participer à la diffusion de ce sujet.
Ce qui est marrant (si j’ose dire), c’est qu’en Europe, dès qu’une info dérange, tous les mainstreams s’accordent à dire que l’info est « complotiste ». Je supposai que ce film « complotiste » n’était pas américain, mais il l’est ! Ce qui veut dire que ce sont les (politiques) européens qui sont dérangés par la vérité au sujet de la pédo-criminalité, et cela confirme que beaucoup, beaucoup de faits concernent les dirigeants politiques autant que criminels.
Le film « Sound of freedom » devrait être vu par tout un chacun. Pourquoi n’est-il pas accessible dans tous les pays du monde ? C’est la grande question et il faut la poser avec force.
Mais ce qui choque, c’est que ce soit Mika Denissot qui la pose depuis Bali où il fait du business en vendant des formations payantes en ligne ainsi que stages ou retraites méditatives. Et la plupart de ses nombreuses vidéos Youtube renvoient (en description) sur des liens vers ses formations payantes (soulinamind.com). Celle-ci n’y échappe pas, hélas (à 26:38 mn).
Plus crédible est l’action de Karl Zéro qui s’emploie à faire venir le film en France. Lui ne se cache pas derrière un ordinateur à l’autre bout de la planète. C’est son combat que Nice Provence Info devrait relayer (https://www.karlzero.tv).
Chloé, la réponse est simple : « fromage et dessert », comme on dit ces temps-ci dans les rues de Nice 😉
Blague à part, les gens de notre sensibilité politique et sociétale crèvent de ces petites dissensions, qui détruisent bien plus sûrement les messages forts et en détournent les symathisants que ne le font les adversaires politiques (et sociétaux).
Ne serait-il pas plus efficace de voir tout ce qui est positif et moteur dans le message de Mika Denissot (dans le cas présent hein, je n’en fais pas un demi-dieu !), plutôt que de gnagnater (jalousement ? car je suis sûr que vous n’auriez rien contre le fait qu’il vive avec – donc chez – une Indonésienne de Bali…!? Et qu’il n’ait pas à s’en justifier, Madame Loubianka ?! ) sur l’endroit où il vit, la manière qu’il a choisie pour essayer de vivre (en en prenant tous les risques : ni vous, ni moi, ne sommes obligés d’acheter ses formations,non ?), ou la couleur de ses T‑shirts ?
Bref, sauf si votre message est un troll (auquel cas longue vie à lui dans ces colonnes tolérantes ouvertes à tout… et même à la calomnie gratuite. C’est la vie !), cessons de « regarder le doigt quand un guide montre une voie », comme le dit presque le proverbe chinois 😉
Je veux bien, mais vue de Bali c’est la France qui est à l’autre bout de la planète