« J’aime l’odeur du napalm au petit matin »

par | 17 juillet 2024 | 4 Commentaires 

Préambule de la rédac­tion : dans le texte qui suit, nous avons sys­té­ma­ti­que­ment aban­don­né le mot « chem­trail » au pro­fit de « épan­dage chi­mique ».
Personne ne com­prend a prio­ri ce que veut dire « chem­trail », dont la pro­non­cia­tion est com­pli­quée. Ce mot est un rac­cour­ci, comme savent le faire les Anglo-Saxons, de « che­mi­cal » (chi­mique) et « trail » (trai­née), donc « traî­née chi­mique ».
Par oppo­si­tion à « chem­trail », les anglo­phones uti­lisent le vocable « contrail », traî­née de conden­sa­tion, qui est le résul­tat d’un pro­ces­sus natu­rel.
L’expression « épan­dage chi­mique » est plus expli­cite et conforme à notre langage.

« J’aime l’odeur du napalm au petit matin »

(à pro­pos des épan­dages chi­miques et autres « sables du Sahara »)

Apocalypse now !

Tout le monde se sou­vient du grand – et superbe – film de Francis Ford Coppola, Apocalypse now ! (1979, notre illus­tra­tion ci-des­sus) au titre tel­le­ment pré­des­ti­né, et de la réplique du colo­nel Kilgore reprise en titre ci-des­sus (texte ori­gi­nal : « I love the smell of napalm in the mor­ning »). Ce film relate, d’une manière fic­tion­nelle, un épi­sode de la guerre du Vietnam qui a oppo­sé les Américains aux com­mu­nistes viet­na­miens de 1955 à 1975 et s’est ache­vée par la défaite peu glo­rieuse de l’oncle Sam(1).

On connaît aus­si la pho­to de Nick Ut, qui montre, en 1972, une petite viet­na­mienne, Kim Phuc, cou­rant nue sur une route parce qu’elle vient d’être brû­lée par un bom­bar­de­ment au napalm. « Cette « arme vicieuse, mélange inflam­mable d’essence géli­fiée, de phos­phore et de plas­tique qui colle à la peau et brûle les tis­sus jusqu’à l’os ».

Napalm Vietnam - Nick Ut - 1972 Bansky, 1994

Un « graf­feur » bri­tan­nique, Bansky, a repris la pho­to en 1994 pour en faire un mon­tage, sym­bo­lique d’une cer­taine Amérique.

Cette phrase-culte de ce film-culte est typique de l’esprit amé­ri­cain, domi­na­teur, arro­gant, cynique, peu sou­cieux des dégâts que cette nation bel­li­queuse inflige, depuis sa créa­tion, à la nature et aux êtres vivants, bran­dis­sant en toutes occa­sions, le plus sou­vent inadé­quates, la Bible, et déver­sant sur le monde son hypo­crite mora­line uni­ver­sa­liste en même temps que ses bombes qui, elles, sont, de fac­to, beau­coup plus sincères.

Elle rend bien compte de la véri­table nature des épan­dages chi­miques que le Système ne cesse de déver­ser sur la pla­nète par voie aérienne depuis de nom­breuses années ; car ces épan­dages, s’ils ne sup­priment pas ins­tan­ta­né­ment tout ce qui vit, comme le font les avions amé­ri­cains dans cette séquence du film(2), ont le même but, sous pré­texte de « lut­ter » contre un impro­bable réchauf­fe­ment cli­ma­tique : dans un pre­mier temps, d‘instiller dans les masses la peur, le décou­ra­ge­ment et la sou­mis­sion et, en des­sein final, de réduire la popu­la­tion pla­né­taire, les épan­dages toxiques ne consti­tuant que l’un des volets du vaste panel de la métho­do­lo­gie mise en place pour arri­ver à cette fin. Écoutez par­ler ce chef Sioux qui a tout com­pris de ce qui se passe et qui désigne les cou­pables(3) ; il sait de quoi il retourne : ses ancêtres ont été les pre­mières vic­times de la guerre bac­té­rio­lo­gique menée par les Blancs amé­ri­cains, Anglais à l’origine, contre la terre entière ; nous évo­quons cet épi­sode dou­lou­reux dans le petit his­to­rique qui suit.

« Les sables du Sahara »

Ce n’est pas d’hier que Nice Provence Info s’intéresse à ce qui, au début, parais­sait être un curieux phé­no­mène, inex­pli­cable, dont nous avions du mal à croire à l’existence, ce qui, pour­tant, à l’évidence, ne pou­vait consti­tuer qu’une mani­pu­la­tion du cli­mat, de la nature et donc, des êtres vivants dont les hommes sont, paraît-il, le fleu­ron ; vous pou­vez consul­ter nos articles anté­rieurs sur le sujet(4).

Mais les der­niers évé­ne­ments ou, à vrai dire, les non-évé­ne­ments, cli­ma­tiques, nous ont inci­tés à reve­nir sur le sujet. Pourquoi « non-évé­ne­ment » ? Eh bien, parce que, tra­di­tion­nel­le­ment – et il s’agit là d’une tra­di­tion mul­ti­mil­lé­naire – nous étions habi­tués à voir se dérou­ler les années sui­vant un pro­ces­sus natu­rel qui voyait se suc­cé­der les sai­sons ; nous n’y avons peut-être pas prê­té atten­tion les années pré­cé­dentes, trop occu­pés à nous défendre contre le pseu­do-virus, mais les années 2023–2024 ont été mar­quées par l’absence d’hiver, par l’absence de prin­temps et par l’absence de cet été qui a bien mal commencé.

Comme, l’année der­nière, « on » nous a convain­cus qu’il y avait « séche­resse », les édiles locaux se sont dépê­chés, sui­vant les consignes des pré­fets macro­nistes, de fer­mer le débit des fon­taines (les­quelles sont, pour la plu­part, en cir­cuit jus­te­ment déjà « fer­mé ») ou l’ar­rêt des douches de plages ; depuis cette mémo­rable et stu­pide déci­sion(5) (à laquelle il n’a pas été mis fin), il n’a pas arrê­té de pleu­voir sur la Provence et, me semble-t-il, sur toute la France, à quelques excep­tions près (le Roussillon).

Le pre­mier jour de l’été 2024 fut, sur l’ensemble de la Provence, une jour­née apo­ca­lyp­tique, tem­pé­tueuse et plu­vieuse. Les nappes phréa­tiques sont main­te­nant pleines à ras bord mais « on » nous per­suade tou­jours que nous sommes en situa­tion de séche­resse parce que les pluies que nous subis­sons fré­quem­ment ne sont qu’une illu­sion, un « sen­ti­ment », comme le « sen­ti­ment » d’insécurité, par exemple.

Et puis sont arri­vés les épi­sodes, cocasses et dépri­mants, de retom­bées de boues bru­nâtres et vis­queuses déver­sées par le « ciel » dans une fré­quence qui ne cor­res­pond à aucune de celles que nous avons vécues dans le pas­sé qui se limi­taient à une ou deux pluies par an ; il s’agit, cette année, d’au moins une fois par semaine. Le Français étant par­ti­cu­liè­re­ment atta­ché à sa voi­ture, il a vu, dans un déses­poir à peine dis­si­mu­lé, son véhi­cule se cou­vrir, à inter­valles non régu­liers mais fré­quents, de cette sub­stance bru­nâtre qu’« on » veut nous faire pas­ser pour des « sables du Sahara ». Nous sommes aujourd’hui (lorsque j’écris cet article en Luberon) début juillet 2024, il est 9h30, la tem­pé­ra­ture est de 21°, le ciel est voi­lé, blanc lai­teux, le vent souffle ; il y a trois jours, nous avons encore subi une pluie de ces « sables du Sahara » ; les véhi­cules, les mai­sons, les plantes, les arbres, les fleurs, les fruits et les légumes (que nous man­geons), les insectes (qu’ils veulent nous faire man­ger), les ani­maux de toutes sortes, les vitres, les bancs, les ter­rasses, les vête­ments, les sols, les pis­cines, les mers, les lacs et les rivières, tout est encore impré­gné de cette mélasse brune et pâteuse.

Les per­sonnes qui ont des pis­cines savent bien que ce sable n’est pas du sable puis­qu’il contient des algues qui faut trai­ter chi­mi­que­ment. Alors que le sable est uti­li­sé pour fil­trer l’eau, là, ce « sable » ver­dit l’eau des pis­cines. France Info confond même « sable » et « algue » :
Sable du Sahara : qu’est-ce que l’algue mou­tarde qui risque de faire tour­ner l’eau de votre pis­cine.

Les pré­su­més « sables du Sahara » ne sont en fait que la consé­quence visible et concrète d’é­pan­dages aériens chimiques.

Épandages chimiques Luberon - Juillet 2024

15 heures, même jour : le ciel est en fond bleu mais strié, qua­drillé, à perte de vue, par des cen­taines de traî­nées blanches.
16 heures : le mis­tral a tout dispersé.

J’ai vou­lu savoir ce qu’en disent les médias.
Eh bien, si vous recher­chez par Google et que vous tapez « sables du Sahara », ils sont débon­naires, ras­su­rants, vous donnent des conseils pour bien laver votre voi­ture, ou ne pas la laver du tout car, disent-ils, ça ne sert à rien parce que ces méchants sables magh­ré­bins sont encore atten­dus pour dans trois ou quatre jours.
En revanche, si vous émet­tez un doute, du type : « sables du Sahara ou métaux lourds ? », ces mêmes médias vous ren­voient sans ména­ge­ment à des offi­cines de « véri­fi­ca­tion » qui vous traitent de com­plo­tiste. Et on tombe immé­dia­te­ment sur le com­mu­ni­qué de l’AFP du 2 mai 2024, le pour­voyeur d’« infos » que tous les autres médias sub­ven­tion­nés doivent réper­cu­ter au garde-à-vous : « NON, un labo­ra­toire n’a pas prou­vé que les nuages de sable du Sahara sont en fait des com­po­sés nocifs lar­gués inten­tion­nel­le­ment. Des nuages de sable du Sahara atteignent régu­liè­re­ment l’Europe, comme cela a été le cas fin mars 2024, jus­qu’en Roumanie, et encore fin avril en France. Bien qu’il s’a­gisse d’un phé­no­mène natu­rel, des inter­nautes affirment, ana­lyse d’un labo­ra­toire bos­nien à l’ap­pui, que ce sable est lar­gué inten­tion­nel­le­ment par avion et char­gé en sub­stances nocives, repre­nant ain­si la théo­rie com­plo­tiste des « épan­dages chi­miques », selon laquelle les traî­nées lais­sées par les avions dans le ciel seraient les traces de pro­duits chi­miques. Mais la métho­do­lo­gie de l’a­na­lyse citée est dou­teuse, ont sou­li­gné des experts, notam­ment parce les lieux et condi­tions de pré­lè­ve­ments des échan­tillons n’ont pas été véri­fiés. Elle a en outre été réa­li­sée à la demande d’un élu bos­nien qui a recon­nu lui-même qu’on ne pou­vait pas en tirer de conclu­sions. »

AFP - Sables Sahara - Gendarme politiquement correct
Ah bon, si ce sont « des » experts qui l’ont dit… Des experts « cer­ti­fiés AFP » ?
Mais nous sommes quand même allés écou­ter la ver­sion (sous-titrée en fran­çais) de ces vilains bos­niaques qui ont l’outrecuidance de se poser des ques­tions et de faire des ana­lyses qu’on ne leur a pas demandées :

Le site tchèque American European News a publié en 2022 un article dans lequel on lit (déjà) :
Pas de sable du Sahara !
Une ana­lyse chi­mique cho­quante de la pous­sière des voi­tures révèle que des métaux lourds et des élé­ments uti­li­sés pour modi­fier le temps tombent du ciel ! Le labo­ra­toire bos­niaque a trou­vé dans l’échantillon du nickel, du baryum et de l’aluminium dépas­sant de plus de 700 fois la limite connue, ain­si que d’autres métaux lourds ! Les avions couvrent le ciel avec des modi­fi­ca­teurs météo­ro­lo­giques pour contrô­ler la lumière du soleil et blo­quer les rayons UV frap­pant la pla­nète. L’été a besoin des rayons UV pour tuer les virus, mais que se passe-t-il lorsque les rayons UV sont blo­qués par la poudre ?

American European News 2022 - Analyse sable Sahara

Cliquez sur l’i­mage pour accé­der au site (en tchèque)

Plus près de chez nous et très récem­ment, la sérieuse revue Science&Vie consa­crait un article aux dan­gers de ces « sables du Sahara ». On peut y lire : « Pourquoi cette masse de sable devient-elle une nui­sance pour la san­té ? Les par­ti­cules de sable du Sahara ne sont pas les seules en cause. Elles s’as­so­cient sou­vent à des pol­luants atmo­sphé­riques, ampli­fiant ain­si leurs effets néfastes.
Des études montrent que ces par­ti­cules peuvent trans­por­ter des virus ou des pes­ti­cides dan­ge­reux. En inha­lant ces par­ti­cules, les risques d’af­fec­tions res­pi­ra­toires telles que l’asthme ou la pneu­mo­nie aug­mentent consi­dé­ra­ble­ment.
Une étude menée par l’Institut de Veille Sanitaire des régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse (INVS) a éga­le­ment noté que cer­taines de ces pous­sières conte­naient des cham­pi­gnons sus­cep­tibles de déclen­cher des réac­tions aller­giques, des infec­tions pul­mo­naires ou des affec­tions cuta­nées chez l’homme. » [source]

Des filaments aéroportés

Une ver­sion de ces épan­dages a été ana­ly­sée par un autre labo­ra­toire fran­çais, Analytica, situé à Cuers, près de Toulon, dans le Var ; il s’agit de « fila­ments aéro­por­tés » qui contiennent des per­tur­ba­teurs endo­cri­niens, des métaux lourds, de fortes teneurs en alu­mi­nium, en baryum et en stron­tium ; pour ceux qui veulent aller plus loin, vous trou­ve­rez ci-joint les rap­ports de ces dif­fé­rentes ana­lyses et les repor­tages effec­tués par les médias, notam­ment ce très hon­nête repor­tage de France 3 en mars 2014(6). Vous note­rez sans peine la gêne des auto­ri­tés offi­cielles qui s’expriment sur le sujet ; quand elles s’expriment, car, selon le repor­tage, la plu­part des res­pon­sables de ces orga­nismes ont refu­sé de répondre aux ques­tions des jour­na­listes et ceux qui y répondent bottent en touche, comme ce res­pon­sable du « ser­vice tech­nique envi­ron­ne­ment de l’aéroport Marseille-Provence » qui affirme qu’il n’a « jamais enten­du par­ler d’é­pan­dages chi­miques », qu’il « ne sait pas ce que c’est » , ou comme ce méde­cin qui traite de « char­la­tans » ceux qui se posent des ques­tions à ce sujet !
Un tel empres­se­ment à dénier toute inten­tion mal­saine, ou, au contraire, une telle dis­cré­tion, une telle una­ni­mi­té dans le dis­cours, et une telle agres­si­vi­té de cer­tains médias, de la part des col­la­bo­ra­teurs du Système, ne pré­sagent rien de bon. La dis­cré­tion sur ce sujet est de mise chez les éco­lo­gistes poli­tiques qui nous per­sé­cutent avec « LE Climat », mais qui ne connaissent pas la géoin­gé­nie­rie (tech­niques de contrôle et de modi­fi­ca­tion du cli­mat) et l’exis­tence de ces épan­dages chi­miques.
Car ça ne vous rap­pelle rien ? Ces mêmes offi­cines de « véri­fi­ca­tion », qui ne sont rien d’autre que des outils de pro­pa­gande et de dif­fu­sion de fausses nou­velles, ont agi avec les mêmes méthodes et avec les mêmes mots quand il fal­lait vous dis­sua­der de recher­cher les com­po­sants toxiques des pseu­do-vac­cins qu’on a admi­nis­trés à 80 % de la popu­la­tion fran­çaise et dont les effets mor­bides et létaux com­mencent à se mani­fes­ter. Le vaste sys­tème de dés­in­for­ma­tion par ingé­nie­rie sociale éla­bo­ré lors de la grande mani­pu­la­tion sani­taire déclen­chée par la secte mon­dia­liste a per­du toute cré­di­bi­li­té. Nos bour­reaux com­plo­teurs seront obli­gés d’inventer d’autres machi­na­tions.
Les com­plo­teurs éla­borent des com­plots que les « com­plo­tistes » dénoncent.

Quelques précédents historiques

Régressons un peu dans le temps afin de trou­ver les pre­mières mani­fes­ta­tions de guerre bac­té­rio­lo­gique, ou bio­lo­gique, ou bio­cli­ma­tique.
1. Les cou­ver­tures conta­mi­nées par la variole
Nous ne remon­te­rons qu’au XVIIIe siècle pour trou­ver la pre­mière trace d’une guerre bac­té­rio­lo­gique, elle est le fait du géné­ral anglais Harmherst (1717−1797), vain­queur des Français du Canada en 1760, et dont le per­son­nage consti­tue­ra une pré­fi­gu­ra­tion de l’amoralité qui va carac­té­ri­ser le futur homo ame­ri­ca­nus bel­li­cus.
Cet indi­vi­du, dont une rue de Montréal por­tait encore récem­ment le nom avant de le faire tom­ber en dis­grâce, avait ima­gi­né, avec suc­cès, de répandre une épi­dé­mie par­mi les Amérindiens, qui ne vou­laient pas se sépa­rer de leurs terres au pro­fit des enva­his­seurs anglais, en four­nis­sant aux tri­bus insou­mises des cou­ver­tures infec­tées par la variole. Le but avoué étant bien d’éradiquer tota­le­ment les tri­bus natives.
« Dommage pour les Indiens que les Français n’aient pas pu conser­ver le Canada, car ils leur auraient per­mis d’échapper à la volon­té exter­mi­na­trice des Britanniques qui ont uti­li­sé la méthode des cou­ver­tures infec­tées lors d’autres conflits, comme en Nouvelle-Zélande » écrit André Boyer dans son blog le 16 mai 2017(7).
Il a fal­lu 250 ans pour que Montréal cesse d’honorer le nom de ce sinistre per­son­nage. Il fau­dra com­bien de temps pour prou­ver la culpa­bi­li­té de la CIA dans les affaires que nous allons rela­ter dans les­quelles l’Agence est soup­çon­née d’être impliquée ?

2. Plusieurs morts dans une conta­mi­na­tion par le LSD à Pont-Saint-Esprit
De 5 à 7 per­sonnes ont péri à Pont-Saint-Esprit, une jolie petite ville his­to­rique du Gard tra­ver­sée par le Rhône, de plus de 10 000 habi­tants actuel­le­ment, la moi­tié à l’époque, dans une curieuse épi­dé­mie, c’était en 1951. À pre­mière vue, il s’agissait d’une intoxi­ca­tion ali­men­taire qui aurait été cau­sée par l’ergot du seigle, un cham­pi­gnon véné­neux qu’on peut trou­ver dans cette céréale et qui a la carac­té­ris­tique de conte­nir de l’acide lyser­gique avec lequel on fabrique le LSD, une drogue hal­lu­ci­no­gène. Ce qui explique que 30 Spiripontains ont été inter­nés en hôpi­tal psy­chia­trique, dont cer­tains se sont sui­ci­dés en se jetant par la fenêtre.
En octobre 2009, coup de théâtre avec la paru­tion d’un livre inti­tu­lé : A ter­rible mis­take (Une ter­rible erreur) sous la plume d’un jour­na­liste d’investigation (ce qui devrait être un pléo­nasme mais ne l’est plus), un Américain dénom­mé Hank Albarelli qui enquête, dans ce livre, sur la mort mys­té­rieuse d’un scien­ti­fique, Frank Olson, lié à des expé­riences conduites par la CIA sur le contrôle men­tal. Frank Olson s’est jeté du dixième étage, en 1953, par la fenêtre d’un hôtel de Manhattan ; son fils Eric rou­vri­ra l’enquête après qu’elle a été clô­tu­rée dans un pre­mier temps en échange d’un dédom­ma­ge­ment ver­sé par l’État amé­ri­cain à sa famille (750 000 dol­lars) et les excuses du pré­sident des États-Unis d’alors, Gerald Ford. Cette seconde enquête menée en 1994 démon­tre­ra que Frank Olson a été assas­si­né avant de pas­ser par la fenêtre. Mais l’accord pré­cé­dem­ment conclu par sa famille ne per­met­tra pas de la vali­der.
Selon Albarelli, Olson aurait mené une expé­rience avec la CIA sur les habi­tants de Pont-Saint-Esprit pour tes­ter le LSD comme arme de guerre, d’abord par pul­vé­ri­sa­tion aérienne, puis par conta­mi­na­tion du pain, dans le cadre du pro­gramme MK/​Naomi.
En 2015, un vidéaste, Olivier Pighetti, réa­li­se­ra un docu­men­taire inti­tu­lé Pont-Saint-Esprit, 1951 : 5 morts, 30 inter­nés, 300 malades-Le com­plot de la CIA, qui sera dif­fu­sé sur France 3.

Empoisonnement LSD - Pont-Saint-Esprit - France3

Bizarrement « la vidéo n’est pas dis­po­nible » sur le site de France-TV

3. La tem­pête de décembre 1999 en France
Avec la créa­tion du sys­tème HAARP en 1993, les « dérè­gle­ments cli­ma­tiques » de forte inten­si­té vont se mul­ti­plier, telles ces tem­pêtes qui ont gra­ve­ment tou­ché la France en 1999.
Les 26, 27 et 28 décembre 1999, deux tem­pêtes suc­ces­sives, dénom­mées Lothar et Martin, ont mis à terre d’une manière ful­gu­rante des mil­lions d’arbres sur 968 000 hec­tares. Soufflant à la manière d’un oura­gan, des vents attei­gnant 216 km/​h ont rava­gé prin­ci­pa­le­ment les régions du Sud-Ouest et du Nord-Est occa­sion­nant près de 20 mil­liards de dol­lars de dégâts et la mort de 92 per­sonnes en France (la tem­pête, igno­rant les fron­tières, à la dif­fé­rence du nuage radio­ac­tif de Tchernobyl, s’est invi­tée en Allemagne et en Suisse, fai­sant au total, avec les vic­times fran­çaises, 142 morts).

La guerre secrète contre les peuples - Claire Séverac

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Dans son livre, La guerre secrète contre les peuples, la regret­tée Claire Séverac note (page 230 et sui­vantes) que « cer­tains obser­va­teurs dont le jour­na­liste Jean-Moïse Braitberg dans un article de VSD de juin 2 000, inti­tu­lé “Les ser­vices secrets fan­tasment : tem­pête de décembre 99, phé­no­mène natu­rel ou attaque ter­ro­riste ?” laissent entendre que ces tem­pêtes pour­raient avoir été cau­sées par une arme cli­ma­tique uti­li­sée afin de sanc­tion­ner l’attitude récal­ci­trante de la France sur la mon­dia­li­sa­tion, les OGM et le trai­té de l’AMI (Accord Multilatéral sur l’Investissement – le sigle étant plus sym­pa­thique que sa signi­fi­ca­tion – NDLR). Cet accord éco­no­mique se négo­ciant dans le plus grand secret sous l’égide de l’OCDE depuis 1995. […] Avant les « tem­pêtes », la France était par­ve­nue à influen­cer de manière déci­sive la posi­tion des autres pays de l’Union euro­péenne sur le refus des OGM, contri­buant à l’échec des négo­cia­tions de l’OMC à Seattle. Et, sur­tout, la France se reti­rait des négo­cia­tions de l’AMI, pro­vo­quant l’échec de ce pro­jet-clé du pro­ces­sus de mon­dia­li­sa­tion. »

D’autres mani­pu­la­tions appa­ren­tées à la géoin­gé­nie­rie ont été dénon­cées lors d’événements tra­giques comme :
4- L’ouragan Erika : « Que des coïn­ci­dences ! L’ouragan Erika qui dévas­ta la Nouvelle-Calédonie le 14 mars 2003, et coû­ta très cher à la France… Un mois avant, Dominique de Villepin avait deman­dé la réunion du Conseil de sécu­ri­té de l’ONU, le 14 mars jus­te­ment, afin d’évaluer la situa­tion en Irak(8). »
5- Le trem­ble­ment de terre d’Haïti : « En jan­vier 2010, Hugo Chavez (Président du Vénézuela), citait un rap­port de la flotte russe du Nord disant que que le trem­ble­ment de terre qui a détruit Haïti a été pro­vo­qué par la marine amé­ri­caine qui a tes­té un mis­sile dit « sis­mique », fonc­tion­nant grâce à des géné­ra­teurs impul­sion­nels à plas­ma, en mer des Caraïbes(9) ». Par ailleurs, dans une vidéo(10), Claire Séverac ajoute que cela per­met­trait à l’armée amé­ri­caine d’investir Haïti sous pré­texte huma­ni­taire dans le but d’installer une base de sur­veillance entre Cuba et le Vénézuela (d’où l’intervention de Chavez.)
6- Les incen­dies d’Hawaï : pour l’occasion, nos médias ont res­sor­ti le pack Bûchers-Inquisition, c’est le déchaî­ne­ment des « fact­che­ckers », en fran­çais : les offi­cines de véri­fi­ca­tion estam­pillées poli­ti­que­ment cor­rectes, c’est-à-dire tenues par des médias sub­ven­tion­nés gras­se­ment par le Système qui dénoncent à s’en égo­siller les « com­plo­tistes » qui ont évo­qué des bra­siers pro­vo­qués par l’utilisation d’armes à éner­gie diri­gée. Le 8 août 2023, des incen­dies d’une grande ampleur ont fait au moins 115 morts à Maui, une île de l’archipel hawaïen, pri­sée comme lieu de vil­lé­gia­ture par quelques grandes for­tunes amé­ri­caines. Les témoins locaux ont par­lé de rayons laser qui ciblaient des lieux bien pré­cis et en épar­gnaient d’autres, afin d’en faire par­tir la popu­la­tion de souche(11).

Le système Haarp

Haarp, High Frequency Active Auroral Research Program, est offi­ciel­le­ment un pro­gramme de recherche amé­ri­cain consa­cré à l’étude de l’ionosphère. Les ins­tal­la­tions de ce pro­gramme sont situées en Alaska dans la région où l’on peut obser­ver des aurores boréales, d’où son nom ; le site, d’une sur­face de 16 hec­tares, est plan­té de 180 antennes.Haarp

En fait, le site, avant sa ces­sion par l’armée en 2015 à un orga­nisme civil, en l’occurrence l’université de l’Alaska, était sous contrôle exclu­sif des mili­taires ; ce trans­fert stra­té­gique tente de désa­mor­cer les cri­tiques.
Selon Claire Séverac, « l’objectif offi­ciel de Haarp est de géné­rer un bou­clier pro­tec­teur glo­bal capable de déce­ler et de contrer les avions ou les mis­siles enne­mis qui s’engageraient dans l’espace aérien amé­ri­cain. […] Il per­met éga­le­ment de com­mu­ni­quer avec les sous-marins en plon­gée pro­fonde et peut scan­ner le sous-sol de la Terre entière et les mers à des pro­fon­deurs extrêmes. […] Haarp peut aus­si être uti­li­sé pour mani­pu­ler le cli­mat en créant des per­tur­ba­tions atmo­sphé­riques sur d’autres conti­nents avec toutes les consé­quences que cela implique sur les éco­sys­tèmes.[…] Le sys­tème agi­rait en par­faite cor­ré­la­tion avec les épan­dages chi­miques. Le revers de la médaille est que ce réseau peut aus­si inter­rompre toute forme de com­mu­ni­ca­tion hert­zienne et détruire ou détour­ner avions et mis­siles inter­con­ti­nen­taux.
En fait, l’objectif réel de Haarp semble être de pou­voir atteindre et bom­bar­der à volon­té n’importe quel point de la Terre et de l’espace proche avec un fais­ceau d’énergie direc­tif ultra-puis­sant, sans uti­li­ser de satel­lite(12). »
D’où les « essais » que nous avons évo­qués avec les « quelques pré­cé­dents historiques ».

Les épandages chimiques : la guerre secrète contre les peuples

Claire Séverac - Complot-mondial-contre-la-santeClaire Séverac a été l’une des pre­mières lan­ceuses d’alerte à dévoi­ler l’existence des épan­dages chi­miques. Aussi étrange que cela puisse paraître, Claire Séverac a fait car­rière dans le show busi­ness aux USA ; elle a com­po­sé de nom­breuses chan­sons pour des chan­teurs connus et a chan­té elle-même, notam­ment en duo avec David Soul (le Hutch de la fameuse série Starsky et Hutch). C’est à par­tir de 2009 qu’elle se fait connaître en France en mili­tant contre les méfaits de la vac­ci­na­tion, et en publiant un pre­mier livre sur le sujet : Complot mon­dial contre la san­té. Elle don­ne­ra à par­tir de ce moment de nom­breuses confé­rences et dénon­ce­ra entre autres les épan­dages chi­miques qui consti­tuent pour elle le dan­ger pri­mor­dial pour la sur­vie de l’espèce humaine ; elle ten­te­ra avec cou­rage de réveiller ses contem­po­rains, et ses com­pa­triotes, ces pauvres Français, qu’on a connus plus éveillés, qui res­tent pour la plu­part dans le déni ; elle cite, par iro­nie, le direc­teur du FBI, Edgar Hoover qui décla­rait : « L’individu est han­di­ca­pé de se retrou­ver face à face avec une conspi­ra­tion si mons­trueuse qu’il ne peut pas croire qu’elle existe. »
Son livre le plus connu, Guerre secrète contre les peuples, paraî­tra en 2015 ; il sera consa­cré aux diverses mani­pu­la­tions de la secte mon­dia­liste, dont le pro­gramme Haarp, les épan­dages chi­miques, les mesures pseu­do-sani­taires, les empoi­son­ne­ments par la nour­ri­ture, les guerres… qui vise­raient toutes, sous des formes dif­fé­rentes, un seul but : la réduc­tion dras­tique de la popu­la­tion pla­né­taire.
À pro­pos des épan­dages chi­miques, elle a posé des ques­tions simples que tout le monde devrait se poser : « Si les trai­nées de conden­sa­tion (contrails) ne peuvent se for­mer qu’à des tem­pé­ra­tures au-des­sous de – 40°C et à un niveau d’humidité de 70 % ou plus, s’ils ne peuvent durer plus de trente minutes dans des condi­tions idéales et si les avions de ligne volent par obli­ga­tion à plus de 8 km de haut, que sont ces grandes sus­pen­sions blanches qui s’étirent indé­fi­ni­ment au-des­sus des villes en formes géo­mé­triques pré­cises et ces avions que l’on aper­çoit dis­tinc­te­ment ? […] Et s’il s’agit d’avions de ligne, pour­quoi font-ils demi-tour ? Auraient-ils oublié quelque chose ? Comment expli­quer qu’après leur pas­sage dans un beau ciel bleu, celui-ci devienne lai­teux avec for­ma­tion de nuages ? Les les trai­nées de conden­sa­tion n’ont jamais obs­cur­ci le ciel. » Écoutons la(13).
Claire Séverac est morte le jour de Noël 2016 dans des condi­tions obs­cures après trois mois de mala­die. Selon le Média en 4−4−2, « elle gênait beau­coup trop de monde et son décès assez rapide est dif­fi­ci­le­ment expli­cable. Elle était cer­taine d’avoir ingé­ré un poi­son à l’occasion des confé­rences qu’elle don­nait dans toute la France depuis la sor­tie en sep­tembre 2015 de son livre sur les épan­dages chi­miques (abré­via­tion de che­mi­cal trails). Elle pen­sait au polo­nium, un poi­son indé­tec­table même au comp­teur Geiger, et à un can­cer diges­tif aus­si ful­gu­rant qui avait effec­ti­ve­ment peu de chances d’être natu­rel. »
Certaines per­sonnes com­mencent cepen­dant à se réveiller, notam­ment dans le milieu des pilotes de ligne en Amérique(14) (l’État du Tennessee a même adop­té une loi pour inter­dire les épan­dages chi­miques : « L’injection volon­taire, la libé­ra­tion ou la dis­per­sion de pro­duits chi­miques dans l’air », et inter­dit « d’affecter la tem­pé­ra­ture, la météo ou l’intensité des rayons du soleil ») et en Europe(15).
Enfin, un der­nier témoi­gnage, mais de poids : une scien­ti­fique de haut niveau, Kristen Meghan, ancienne spé­cia­liste de l’en­vi­ron­ne­ment pour l’ar­mée amé­ri­caine, est deve­nue une dénon­cia­trice de la géo-ingé­nie­rie. Elle révèle que l’en­tre­prise pour laquelle elle tra­vaillait, injec­tait des matières dan­ge­reuses dans l’at­mo­sphère sous pré­texte de lut­ter contre le chan­ge­ment cli­ma­tique. Lorsqu’elle a com­men­cé à poser des ques­tions sérieuses, elle a été rapi­de­ment dia­bo­li­sée. « Ces sub­stances se retrouvent dans nos ali­ments et dans le sol », prévient-elle.

Souhaitons-lui bonne chance !

Un monde luciférien

Tout ceci nous ramène à ce que les USA sont deve­nus, en tout cas, au prisme de leurs diri­geants psy­cho­pathes, car les peuples du monde ne sont plus res­pon­sables des faits et gestes de leurs élites, ni même de les avoir mises en place. Les élec­tions, quand il y en a, étant la plu­part du temps tru­quées et leurs résul­tats conve­nus d’avance, négo­ciés entre les par­tis, quels qu’ils soient, que les foules croient adver­saires, voire enne­mis, mais qui sont com­plices(16). Pour exemple fla­grant (fla­grant pour les esprits éveillés), on peut se repor­ter aux der­nières élec­tions légis­la­tives en France le 7 juillet 2024. Le pro­blème, c’est que ces per­sonnes dévoyées, par le tru­che­ment de l’impérialisme amé­ri­cain et « occi­den­tal » (États-Unis, Europe de Bruxelles et Israël) ont pris le pou­voir sur l’ensemble de la pla­nète et ont pro­duit des petits clones à leur ser­vice à peu près par­tout dans le monde, et sur­tout en Europe, et sur­tout en France.
Lucifer est « le prince de ce monde », le maître de la Terre, de la matière … et de la secte sans âme qui s’en réclame, alors que Dieu règne sur les cieux ; le ciel est le domaine du spi­ri­tuel.
L’ange rebelle, Lucifer (éty­mo­lo­gi­que­ment « le por­teur de lumière »), par la loi d’inversion finale, obs­cur­cit le ciel pour cou­per les liens entre Dieu et les hommes, entre la matière et la spi­ri­tua­li­té ; les hommes qui se tour­naient vers les cieux pour prier Dieu, en attendre ses bien­faits et la lumière qu’il pro­digue par ses rayons de soleil, n’en reçoivent plus que des sub­stances sales et pois­seuses. Le monde est pla­cé sous une chape de plomb – de métaux lourds – un ciel bru­meux qui ne dis­pense plus que des immon­dices qui obs­cur­cissent le ciel, comme le décrit cette inté­res­sante vidéo(17).
L’historien grec Strabon a rap­por­té une entre­vue entre des druides gau­lois et Alexandre le Grand qui leur deman­da ce que les Gaulois crai­gnaient le plus ; ils répon­dirent cette phrase connue et répan­due grâce aux albums d’ Astérix, que ce qu’ils crai­gnaient le plus était que « les cieux ne leur tombent sur la tête ».

Astérix - Ciel tombe sur la tête

Mais ils par­laient d’un ave­nir très loin­tain : notre époque ; les druides étaient répu­tés pour leurs pré­dic­tions et cette réponse se rat­ta­chait à ce qu’ils consi­dé­raient être la fin du monde, tout au moins du cycle, le même que celui que nous vivons, nous, leurs des­cen­dants, 2300 ans plus tard, car cette fin serait consti­tuée par « un déluge tom­bé du ciel, com­po­sé d’eau et de feu, avant l’apparition d’un nou­veau cycle où l’âme immor­telle des hommes retrou­ve­rait sa place ».
Les pro­mo­teurs du trans­hu­ma­nisme se sont alliés à la secte mon­dia­liste qui gou­verne actuel­le­ment la pla­nète en se pla­çant sous l’égide de Satan et en le pro­cla­mant à chaque occa­sion ; les uns et les autres, sous l’emprise d’une vani­té démen­tielle et démo­niaque, l’hubris, ont pour ambi­tion, non seule­ment d’égaler Dieu, mais de le rem­pla­cer, de domi­ner le monde, la Terre, les hommes et les cieux ; quoi de plus simple et de plus exal­tant, pour eux, de sen­tir leur puis­sance en étant ceux qui sont capables, comme les divi­ni­tés furieuses des pan­théons grecs et romains, de « faire la pluie et le beau temps » comme bon leur semble ?
Cependant cette puis­sance tech­no­lo­gique étant essen­tiel­le­ment arti­fi­cielle, tout comme leur intel­li­gence, ces sata­nistes ne réus­si­ront donc pas, in fine. Les « anges » rebelles tom­be­ront de haut(18) et leurs ailes seront déchi­que­tées dans un grand fra­cas de ferraille.

Pierre-Émile Blairon


Pour en savoir plus sur le sujet :
• Consultez le site de Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques
• Prenez le temps de voir le film docu­men­taire Bye, bye, blue sky

Défaite amé­ri­caine peu glo­rieuse, comme la qua­si-tota­li­té des guerres déclen­chées par les États-Unis, ou par l’Otan, son bras armé, ou par la CIA, son « cer­veau », à la mesure des cer­veaux amé­ri­cains.
L’intérêt pour les Américains n’étant pas de perdre ou de gagner les guerres, mais d’enrichir leur com­plexe militaro-industriel.

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Lire dans nos colonnes nos articles sur le sujet depuis 2020.

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Lire dans nos colonnes : On manque d’eau… Pas tout le monde ! du 16 août 2023

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Lire sur le blog d’André Boyer : Exterminer les Indiens par la variole

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Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples, Éditions KontreKulture (2015)

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Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples, Éditions KontreKulture (2015)

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Claire Séverac sur Radio Courtoisie le dimanche 1er mai 2016, à pro­pos de son livre : La guerre secrète contre les peuples
Première par­tie :


Deuxième par­tie :

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Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples, Éditions KontreKulture (2015)

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Lire mon article publié récem­ment sur Nice Provence Info : Les élec­tions sont-elles toutes truquées ?

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« La chute des anges rebelles », tableau de Pieter Bruegel l’Ancien (1562)

"La chute des anges rebelles" 1562 Pieter Bruegel l'ancien, Toile exposée aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique, reproduction au Château de Grand-Bigard, Dilbeek, Brabant flamand, Belgium

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Pierre-Émile Blairon est l’au­teur d’un cer­tain nombre de livres liés à l’Histoire, notam­ment de la Provence, de Nostradamus à Giono et à la fin du Cycle :

Pierre-Émile Blairon - Empire mensonge

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Guillaume Faye

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Pierre-Émile Blairon - Le messager des dieux

Pierre-Émile Blairon - Livre Tradition primordiale

Les articles du même auteur

Pierre-Émile Blairon

4 Commentaires 

  1. C’est eux qui pro­voquent le réchauf­fe­ment cli­ma­tique par effet de serre.

    Répondre
  2. Quand l’Homme veut dépas­ser Dieu, la fin de ce monde ne doit pas être bien loin. 🙏

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    • Non ! Quand l’Homme renie Dieu, il finit en enfer !

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  3. Ici en Charente Maritime, à 10 km de Royan, j’ai consta­té plu­sieurs fois cette année, lorsque le ciel est bleu d’a­zur, une esca­drille de six avions (trois sur le même cap et trois sur un cap qui coupe les trois autres) lâchant des trai­nées grises qui s’é­talent peu à peu et une heure plus tard, le ciel est obs­cur­ci gris. En aucun cas ces trai­nées ne peuvent être des émis­sions de vapeur d’eau que laissent les avions com­mer­ciaux. Car cette vapeur d’eau est de la conden­sa­tion qui se pro­duit aux envi­rons de 9000 mètres et plus, alti­tudes aux­quelles volent les longs cour­riers. Or notre esca­drille vole aux envi­rons de 2000 à 3000 mètres.
    J’ai deman­dé par cour­rier à la gen­dar­me­rie aérienne de bien vou­loir me dire d’où décollent et atter­rissent ces avions.
    La gen­dar­me­rie m’a répon­du rapi­de­ment de m’a­dres­ser à la DSAC/​SO de l’aé­ro­port de Bordeaux Mérignac qui dépend du Ministère des transports…Et de l’écologie.
    Je n’au­rai sans doute aucune réponse claire, car je ne me fais aucune illu­sion. Mais pour­quoi ne bom­bar­de­rions nous pas ce Ministère de cour­riers sem­blables, ou de lan­cer des gens en enquête sur les aéro­ports en ques­tion ? Nous trou­ve­rions peut être un homme hon­nête sur le tas ?

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