
La gauche la plus bête du monde
Il est un fait acquis que nous avons en France « la droite la plus bête du monde ». Cette expression trouve son origine en 1957, sous la IVe République, dans la bouche de Guy Mollet, alors secrétaire général de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO, ancêtre du Parti Socialiste).
Depuis lors cette expression est entrée dans le vocabulaire courant, mais aussi dans les faits.
Mais en France, qui est — rappelons le encore une fois — le Pays des Lumières, nous avons En Même Temps :
la gauche la plus bête du monde
C’est Jean Dutourd qui a lancé cette expression dans un ouvrage qui rassemblait ses articles parus dans France-Soir en 1984. Jean Dutourd y critique sévèrement le gouvernement socialiste de François Mitterrand, affirmant par exemple : « La gauche au pouvoir en France depuis 1981 nous a montré qu’il y avait quelque chose de plus bête encore que la droite la plus bête du monde : la gauche elle-même. »

Cette expression n’est pas entrée dans le vocabulaire courant car la Police de la Pensée protège tout ce qui tourne autour de la gauche. C’est ainsi que toutes les « forces de gauche » ont soutenu le candidat Emmanuel Macron qui s’est présenté sous l’étiquette « socialiste ». Elles ont toutes roulé pour Macron. Et c’est Macron qui les a bien roulées. Pour autant elles ne le reconnaissent pas et restent dans le déni.
Ces forces de gauche récidivent en se réjouissant de la toute récente élection de Zohran Mamdani à la mairie de New-York. En première ligne, bien entendu, LFI qui a activement soutenu le candidat, avec des délégations (incluant Manon Aubry et Jean-Luc Mélenchon) venues le rencontrer. La victoire est qualifiée de « triomphe d’une gauche radicale et populaire » sur le site officiel de LFI.
Dans une semaine, New-York peut basculer vraiment à gauche !
— Manon Aubry (@ManonAubryFr) October 29, 2025
Zohran Mamdani incarne cet espoir de rupture, porté par la jeunesse !
Je serai demain dans les rues de New-York avec les militants de Zohran pour aider à la victoire ! 💙🧡 pic.twitter.com/dV12xqEREW
Le PS et les Écologistes politiques y voient « un espoir pour les villes françaises ».
Le journal L’Humanité se réjouit que New-York ait à présent un maire… communiste(1) !

[source] Reporterre
Toute la gauche se gausse de cette victoire
Personne ne s’interroge sur la trajectoire météoritique de cette personne. Issu d’une famille très aisée, Zohran Mamdani est arrivé aux États-Unis à l’âge de 7 ans, naturalisé américain à l’âge de 27 ans — tout en gardant la nationalité ougandaise — et maire de New-York à 34 ans. 7 ans plus tard ! ![]()
Louis Sarkozy en rêve, même à Menton !
Personne à gauche ne s’interroge sur la proximité très ambigüe de sa nouvelle idole avec Alex Soros, héritier de la fortune de son père.
Personne à gauche ne s’interroge sur la victoire de ce candidat musulman dans la première ville juive du monde(2).
Personne non plus ne s’interroge sur la compatibilité entre son appartenance à l’islam, qu’il revendique, et son militantisme LGBT+.
Ci-dessous quelques unes des propositions du candidat Zohran Mamdani :
• Investir 57 millions de dollars dans des centres médicaux et ONG pour les soins d’affirmation de genre, plus 8 millions pour de nouvelles ressources.
• Créer un Bureau des Affaires LGBTQIA+ pour centraliser les services en matière de logement, emploi et santé.
• Déclarer New York une « ville sanctuaire LGBTQ+ » pour protéger contre les attaques fédérales (notamment sous Trump), avec des centaines d’avocats dédiés.
• Soutien au réseau Cecilia’s Occupational Inclusion Network (COIN), un programme gratuit de santé pour les personnes trans et travailleuses du sexe.
• Qualifiant l’agenda anti-LGBTQ+ de Trump de « politique de ténèbres » et promis que New York serait « un refuge » pour la communauté.
Nous y voilà ! Zohran Mamdani est piloté par l’oligarchie mondialiste pour mettre en œuvre son programme woke.
C’est bien ce qui explique sa trajectoire politique météoritique, complètement hors norme. La gauche française, qui s’en réjouit, est donc complice de cette manipulation. La gauche française a fait élire Macron, lui aussi candidat de l’oligarchie. Les pions de cette oligarchie se ressemblent tous : Obama, Macron, comme nous le dénonçons dans notre article : Étranges parcours parallèles d’Obama et de Macron. On peut y ajouter à présent Mamdani.
Nous démontrons également dans un autre article intitulé Le Nouveau « Front Populaire » ressort les reliques du passé que la gauche française puise sa doctrine dans la gauche américaine, sous perfusion financière de l’oligarchie mondialiste. Mais les obstacles sont nombreux de ce côté de l’Atlantique et le « coup de Macron » ne pourra pas se reproduire aussi facilement.
• D’abord parce-que Mélenchon n’a pas le profil « jeune premier » des Obama, Macron ou Mamdani. Certes l’oligarchie tente de promouvoir le fringant Jordan Bardella qui a dû tout renier en échange, mais elle a tellement inculqué la haine du RN pendant cinquante ans, que cela ne passera pas à gauche.
• Ensuite parce-que les musulmans de France ne sont pas les musulmans des États-Unis. Il n’est pas sûr qu’ils s’accommodent de la doctrine woke.

La porosité Palestine-LGBT, purement occidentale et opportuniste, ne durera pas. Du reste tout activisme LGBT est interdit dans les pays musulmans, comme en Cisjordanie(3).
Tout récemment (le 27 juillet 2025), Hazrat Mirza Masroor Ahmad, cinquième calife de la communauté musulmane Ahmadiyya (Khalifat-ul-Masih V) a rappelé, depuis Londres, que la famille reste « le socle fondamental de la société musulmane », faisant une référence constante au Coran (comme la sourate At-Tahrim 66:6) : « Ô vous qui croyez ! Préservez-vous et vos familles d’un feu dont le combustible sera les hommes et les pierres », ajoutant : « Celui qui coupe les liens de parenté ne sentira pas l’odeur du Paradis » (sahihs n° 5 984 et n° 2 556).
Le numéro d’équilibrisme de la gauche finira par capoter.
Cette élection du maire de New-York peut également être vue sous un angle moins conventionnel
Certains esprits voient dans cette élection la fin d’un cycle
Leurs esprits affûtés n’ont pas manqué de noter que Zohran Mamdani devient 111e maire de New-York.
De surcroît, avec le recours à la guématrie(4) , New-York nous donne… 111 ! Cela ne peut pas être le fruit du hasard.
Or le 111 est bien connu des ésotéristes. Le 111 révèle une vérité cachée, et apparaît souvent juste avant ou après un point de bascule : fin d’une ère, effondrement d’un système. Paul-Georges Sansonetti voit le 111 comme un symbole d’axe central et d’origine sacrée, loin des interprétations New Age(5). Il l’associe à une quête intérieure vers le Pôle spirituel, reliant tradition et mythologique. Le 111 dévoile un cap élevé, tout le contraire de celui dans lequel l’oligarchie nous plonge depuis deux siècles au moins. Ce monde, ce vieux monde socialiste, matérialiste et athée, atteint ici son apogée. Un nouveau monde est en train de naître, et ce n’est pas celui du mensonge et de l’argent.
Rappelons ici que l’Ère du Verseau s’entrouvre.
Ça, la gauche ne peut pas et ne veut pas le voir, et c’est tant mieux.
Victoire de Mamdani à New York : tout le monde n’a pas la chance d’avoir un maire communiste [source]
• Selon des estimations récentes (2023), environ 960 000 Juifs vivent dans les cinq arrondissements de New York City, représentant environ 10 à 12 % de la population totale de la ville (environ 8,8 millions d’habitants). Cela en fait la plus grande communauté juive urbaine au monde hors d’Israël, et même supérieure à celle de toute ville israélienne en tant qu’entité municipale.
• Dans l’aire métropolitaine élargie (incluant les comtés voisins comme Nassau, Suffolk et Westchester), ce chiffre monte à 1,9 à 2 millions de Juifs, soit environ 25 % des Juifs américains et 10 % de la population juive mondiale (estimée à 15 millions).
• Pour comparaison, Tel-Aviv (ville propre) compte environ 150 000 Juifs, et Jérusalem environ 570 000, mais l’aire métropolitaine de Tel-Aviv en atteint 1,2 million. New York reste donc leader en population juive concentrée dans une ville unique.
[source Grok]
[source ici]
La guématrie (d’origine runique) fut également utilisée en hébreu (גימטריה) puis s’étendit aux alphabets grec et latin. Avec la guématrie, chaque lettre d’un mot ou d’une phrase est convertie en valeur numérique selon sa place d’ordre dans son alphabet.
Ainsi en alphabet latin : A=1, B=2, jusqu’à Z=26.
Le total numérique obtenu permet de révéler des significations cachées, des connexions symboliques ou des interprétations mystiques.
Ainsi pour New-York, la guématrie nous donne :
NEW : N=14, E=5, W=23 → NEW = 42
YORK : Y=25, O=15, R=18, K=11 → YORK=69
NEW-YORK : 42 + 69 = 111
Paul-Georges Sansonetti publie régulièrement dans nos colonnes.
Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’étude des mythes et des symboles, ainsi que sur la Tradition Primordiale.
Il a longuement étudié la portée de ce nombre remarquable, le 111, que l’on retrouve à maints endroits de l’œuvre de Hergé.

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