Nos élites satanistes envahies par l’hubris

par | 28 juillet 2024 | 6 Commentaires 

L’éveil des consciences — que nous nous fixons comme mis­sion depuis plus de 10 ans — est un long et dif­fi­cile par­cours, par­fois déses­pé­rant, par­fois exal­tant. La clé qui ouvre la voie vers cet éveil passe un jour ou l’autre par la prise de conscience de l’exis­tence d’un monde mau­vais et laid, qui s’y com­plait. Appelons le : « sata­niste ». Or ce monde avance caché :

Charles Baudelaire- diable - portrait Fabrizio Cassetta

Les suc­cès des sata­nistes finissent par les étour­dir au point de ne plus prendre de pré­cau­tion. Étourdis par l’hu­bris(1), ils s’af­fichent de plus en plus et finissent par pavaner.

C’est ain­si qu’il faut com­prendre les ani­ma­tions hideuses qui ont mar­qué l’ou­ver­ture des Jeux Olympiques : c’est l’ex­pres­sion impu­dique de Satan qui s’i­ma­gine qu’il peut doré­na­vant sor­tir de sa clan­des­ti­ni­té pour affi­cher son pouvoir.

Les esprits sata­nistes y voient la vic­toire des trans­gres­sions, comme ci-des­sous Jacques Attali :

Attali n’a pas tort : ou ça passe, ou ça casse !

On en repar­le­ra dans 10 ans. Nous pen­sons que les sata­nistes n’ont pas su se rete­nir et qu’ils ont atteint là leur apo­gée. Même Mélenchon s’est sen­ti obli­gé de dire qu’« il n’a­vait pas aimé la moque­rie sur la Cène chré­tienne ». C’est dire.

Du reste, même si la presse fran­çaise muse­lée est contrainte de taire les réac­tions très néga­tives des Français, la presse inter­na­tio­nale cri­tique ver­te­ment cette céré­mo­nie igno­mi­nieuse, et reprend les pro­pos des Français cen­su­rés par la Police de la pen­sée. Ils sont quand même quelques uns :

Monsieur Attali sera-t-il encore là dans 10 ans ? Pour se rendre compte que cette céré­mo­nie est en fait « le début de la fin » de cette élite finan­cière, cos­mo­po­lite et dépra­vée. Elle n’a pas su faire preuve de dis­cré­tion, ce qui fai­sait sa force pen­dant des siècles. Là, main­te­nant, il faut vrai­ment être aveugle — ou aveu­glé — pour ne pas com­prendre la nature pro­fonde de nos diri­geants et de leurs desseins.

La preuve ? C’est un peu la panique chez eux

La « moque­rie » (ce sont les mots de Mélenchon) ins­pi­rée de la Cène du Christ réveille un cler­gé catho­lique assou­pi, et en géné­ral toute per­sonne un peu sen­sée. L’actrice auréo­lée qui crâne au centre de la scène a été cas­tée avec soin. Elle dit d’elle-même : « Je suis juive, grosse, les­bienne, fille d’immigrés »(2).

La pla­nète entière y a vu un blas­phème, consi­dé­rant que le tableau avec des drag-queens et un Philippe Katerine presque entiè­re­ment nu, trans­gres­sait allè­gre­ment la repré­sen­ta­tion du der­nier repas de Jésus et ses apôtres par Léonard de Vinci. Trop, c’est trop : la Police de la Pensée allume des contre-feux pour affir­mer que cette scène sur la Seine n’a­vait rien à voir avec la Cène. Trop tard. Mais Thomas Jolly, orga­ni­sa­teur de cette ani­ma­tion déli­bé­ré­ment pro­vo­ca­trice, se défend BFMTV ce dimanche 28 juillet : « Je crois que c’était assez clair, il y a Dionysos qui arrive sur cette table. Il est là, pour­quoi, parce qu’il est dieu de la fête (…), du vin, et père de Sequana, déesse reliée au fleuve. » Alors que vient faire un enfant dans son scé­na­rio ?(3)

JO Paris 2024 - Enfants

JO Paris 2024 - La Cène

Ces expli­ca­tions étant tel­le­ment pitoyables que les orga­ni­sa­teurs ont dû pré­sen­ter leurs excuses pour la paro­die de l’œuvre de Léonard de Vinci. « De toute évi­dence, nous n’avions pas l’intention de man­quer de res­pect à un groupe reli­gieux. La céré­mo­nie d’ouverture visait à pro­mou­voir la tolé­rance dans la socié­té », a décla­ré Anne Descamps, direc­trice de la com­mu­ni­ca­tion qui fai­sait reti­rer une vidéo des meilleurs moments de la céré­mo­nie d’ouverture de la chaîne YouTube des Jeux Olympiques.Miège - 27 juillet 2024 - Blasphème

Symbole de cette mas­ca­rade offerte à toute la pla­nète : au moment le plus solen­nel de la céré­mo­nie d’ou­ver­ture, le dra­peau olym­pique était his­sé à l’en­vers (notre illus­tra­tion à la une). Tout un sym­bole ! Le monde du men­songe pié­gé par ses propres turpitudes.

Tenons bon ! Laissons les s’au­to­dé­truire, et à l’oc­ca­sion pré­ci­pi­tons leur chute. Cela pren­dra encore 10 ans selon le pro­phète Attali.

« O mes frères, suis-je donc si cruel ? Mais je vous dis : ce qui tombe, il faut encore le pous­ser ! Tout ce qui est aujourd’hui – tombe et se décom­pose : qui donc vou­drait le rete­nir ? Mais moi – moi je veux encore le pous­ser ! »(4)

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Georges Gourdin

[NDLR] On trouve de nom­breuses réac­tions exa­cer­bées sur la Toile dès que l’on sort des recom­man­da­tions des algo­rithmes de la Bien Pensance. Nous en avons sélec­tion­né une pour vous. Elle est com­plète et très claire. Elle ne dure pas trop long­temps (26 minutes). Si vous avez le temps, pre­nez le pour la visionner :

Hubris est un terme grec qui désigne l’ex­cès d’or­gueil, de vani­té ou de confiance en soi qui peut conduire à la déme­sure, à l’ou­trance, voire à la catas­trophe. Dans la mytho­lo­gie grecque, l’hu­bris était un péché grave, qui atti­rait la colère des dieux et qui était sou­vent puni sévèrement.

Aujourd’hui, le terme « hubris » est sou­vent uti­li­sé pour décrire le com­por­te­ment arro­gant et déme­su­ré de cer­taines per­sonnes qui ont trop confiance en elles et qui ne tiennent pas compte des limites ou des aver­tis­se­ments qui leur sont don­nés. [source le-dictionnaire.com]

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Source : Coup d’é­té – Barbara Butch

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« Ce n’était pas la Cène qui était repré­sen­tée », assure Thomas Jolly, direc­teur artis­tique de la céré­mo­nie, qui pré­cise qu’il s’est plu­tôt ins­pi­ré du tableau « Le Festin des Dieux », qui met en scène Dionysos.
Vous trou­vez, vous ? Émoticône étonnement

Le fes­tin des dieux – Giovanni Bellini & Titien (1514−1529)

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Friedrich Nietzsche (1844 – 1900) in Ainsi par­lait Zarathoustra – Des vieilles et des nou­velles tables §20

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6 Commentaires 

  1. Il me fait bien mar­rer Attali avec ses « trans­gres­sions ».
    Et si on trans­gres­sait le dogme des 6 mil­lions de Juifs morts pen­dant la Shoah ?
    Il en dirait quoi ?

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  2. Pourquoi la grosse don­don, au centre du tableau, reven­­dique-t-elle d’être « juive, grosse, les­bienne, fille d’immigrés ».
    C’est une insulte envers les Juifs !

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    • C’est du Jolly !

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  3. Curieusement je ne vois aucune réac­tion du Vatican, ce qui en dit long .

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  4. Les LGBT, quand on se moque d’eux, c’est de l’in­sulte, quand ils se moquent des autres, c’est de l’art !

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