« L’innocence est révolue » Chiche !

par | 8 mars 2025 | Aucun com­men­taire

La presse sub­ven­tion­née reçoit ses direc­tives direc­te­ment depuis l’Élysée. Pas éton­nant qu’elle soit uniforme :

Presse unanime - Macron - 5 mars 2025 - Guerre

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Trois titres tournent en boucle :
« La Patrie a besoin de vous »
« La menace russe est là »
« L’innocence est révo­lue »

« L’innocence est révolue », vraiment ? Alors écoutons sans innocence !

L’intégralité de l’intervention présidentielle est accessible en cliquant sur le signe + ci-contre

Françaises, Français, mes chers compatriotes,

Je m’adresse à vous ce soir en rai­son de la situa­tion inter­na­tio­nale et de ses consé­quences pour la France et pour l’Europe et cela après plu­sieurs semaines d’action diplomatique.

Vous êtes en effet légi­ti­me­ment inquiets devant les évè­ne­ments his­to­riques en cours qui bou­le­versent l’ordre mondial.

La guerre en Ukraine, qui a entraî­né près d’un mil­lion de morts et de bles­sés, conti­nue avec la même intensité.

Les Etats-Unis d’Amérique, notre allié, ont chan­gé leurs posi­tions sur cette guerre, sou­tiennent moins l’Ukraine et laissent pla­ner le doute sur la suite. Dans le même temps, les mêmes Etats-Unis d’Amérique entendent impo­ser des tarifs doua­niers aux pro­duits venant d’’Europe.

Enfin, le monde conti­nue d’être sans cesse plus bru­tal, et la menace ter­ro­riste ne fai­blit pas.

Au total, notre pros­pé­ri­té et notre sécu­ri­té sont deve­nues plus incer­taines. Il faut bien le dire nous ren­trons dans une nou­velle ère.

La guerre en Ukraine dure main­te­nant depuis plus de trois ans. Nous avons dès le pre­mier jour déci­dé de sou­te­nir l’Ukraine et de sanc­tion­ner la Russie et nous avons bien fait car c’est non seule­ment le peuple ukrai­nien qui lutte avec cou­rage pour sa liber­té, mais c’est aus­si notre sécu­ri­té qui est menacée.

En effet, si un pays peut enva­hir impu­né­ment son voi­sin en Europe alors per­sonne ne peut plus être sûr de rien, et c’est la loi du plus fort qui s’applique et la paix ne peut plus être garan­tie sur notre conti­nent même. L’Histoire nous l’a enseigné.

Au-delà de l’Ukraine, la menace russe est là et touche les pays d’Europe. Nous touche.

La Russie a déjà fait du conflit ukrai­nien un conflit mon­dial. Elle a mobi­li­sé sur notre conti­nent des sol­dats nord-coréens et des équi­pe­ments ira­niens, tout en aidant ces pays à s’armer davan­tage. La Russie du Président Poutine viole nos fron­tières pour assas­si­ner des oppo­sants, mani­pule les élec­tions en Roumanie et en Moldavie. Elle orga­nise des attaques numé­riques contre nos hôpi­taux, pour en blo­quer le fonc­tion­ne­ment. La Russie tente de mani­pu­ler nos opi­nions, avec des men­songes dif­fu­sés sur les réseaux sociaux. Et au fond, elle teste nos limites et elle le fait dans les airs, en mer, dans l’espace et der­rière nos écrans. Cette agres­si­vi­té ne semble pas connaître de fron­tières : et la Russie dans le même temps conti­nue de se réar­mer, dépen­sant plus de 40% de son bud­get à cette fin. D’ici 2030, elle pré­voit encore d’accroitre son armée, d’avoir 300 000 sol­dats sup­plé­men­taires, 3 000 chars et 300 avions de chasse de plus. Qui peut donc croire, dans ce contexte, que la Russie d’aujourd’hui s’arrêtera à l’Ukraine ? La Russie est deve­nue au même ou je vous parle et pour les années à venir une menace pour la France et pour l’Europe. Je le regrette très pro­fon­dé­ment et je suis convain­cu qu’à long-terme la paix se fera sur notre conti­nent avec une Russie rede­ve­nue apai­sée et paci­fique, mais la situa­tion que je vous décris et celle-là et nous devons faire avec.

Face à ce monde de dan­gers, res­ter spec­ta­teurs serait une folie. Il s’agit sans plus tar­der de prendre des déci­sions pour l’Ukraine, pour la sécu­ri­té des Français, pour la sécu­ri­té des Européens.

Pour l’Ukraine d’abord. Toutes les ini­tia­tives qui aident à la paix vont dans le bon sens et je veux ce soir les saluer. Nous devons conti­nuer d’aider les Ukrainiens à résis­ter jusqu’à ce qu’ils puissent négo­cier avec la Russie une paix solide pour eux-mêmes et pour nous tous. C’est pour cela que le che­min qui mène à la paix ne peut pas pas­ser par l’abandon de l’Ukraine, bien au contraire. La paix ne peut pas être conclue à n’importe quel prix et sous le dik­tat russe. La paix ne peut être la capi­tu­la­tion de l’Ukraine. Elle ne peut pas être son effon­dre­ment. Elle ne peut pas davan­tage se tra­duire par un ces­sez-le-feu qui serait trop fra­gile. Et pour­quoi ? Parce que là aus­si nous avons l’expérience du pas­sé. Nous ne pou­vons oublier que la Russie a com­men­cé à enva­hir l’Ukraine en 2014, que nous avons alors négo­cié un ces­sez- le-feu à Minsk et la même Russie n’a pas res­pec­té ce ces­sez-le-feu et que nous n’avons pas été capable de les main­te­nir faute de garan­ties solides. Aujourd’hui, on ne peut plus croire la Russie sur parole.

L’Ukraine a droit à la paix et à la sécu­ri­té pour elle-même et c’est notre inté­rêt, l’intérêt de la sécu­ri­té du conti­nent euro­péen. C’est en ce sens que nous tra­vaillons avec nos amis bri­tan­niques, alle­mands et plu­sieurs autres pays euro­péens. C’est pour­quoi vous m’avez vu ces der­nières semaines ras­sem­bler plu­sieurs d’entre eux à Paris, aller les retrou­ver il y a quelques jours à Londres, pour conso­li­der les enga­ge­ments néces­saires à l’Ukraine. Une fois la paix signée, pour que l’Ukraine ne soit pas à nou­veau enva­hie par la Russie, il nous faut le pré­pa­rer. Cela pas­se­ra à coup sûr par un sou­tien à l’armée ukrai­nienne dans la durée. Cela pas­se­ra aus­si peut-être par le déploie­ment de forces euro­péennes. Celles- ci n’iraient pas se battre aujourd’hui, elle n’irai pas se battre sur la ligne de front, mais seraient là au contraire une fois la paix signée pour en garan­tir le plein res­pect. Dès la semaine pro­chaine, nous réuni­rons à Paris les chefs d’état majors des pays qui sou­haitent prendre leur res­pon­sa­bi­li­té à cet égard. C’est ain­si un plan pour une paix solide, durable, véri­fiable que nous avons pré­pa­ré avec les Ukrainiens et plu­sieurs par­te­naires euro­péens et que j’ai été défendre aux Etats-Unis il y a 15 jours et à tra­vers l’Europe. Et je veux croire que les Etats-Unis res­te­ront à nos côtés : mais il nous faut être prêts si tel n’était pas le cas.

Que la paix en Ukraine soit acquise rapi­de­ment ou non, les Etats euro­péens doivent compte tenu de la menace russe que je viens de vous décrire, être capables de mieux se défendre et de dis­sua­der toute nou­velle agres­sion. Oui quoi qu’il advienne, il nous faut nous équi­per davan­tage, haus­ser notre posi­tion de défense et cela pour la paix même, pour dis­sua­der. A ce titre, nous res­tons atta­chés à l’OTAN et à notre par­te­na­riat avec les Etats Unis d’Amérique, mais il nous faut faire plus, ren­for­cer notre indé­pen­dance, en matière de défense et de sécu­ri­té. L’avenir de l’Europe n’a pas à être tran­ché à Washington ou à Moscou. Et oui, la menace revient à l’est et l’innocence en quelque sorte des trente der­nières années depuis la chute du mur de Berlin est désor­mais révolue.

A Bruxelles demain, lors du conseil extra­or­di­naire qui réuni­ra les 27 chefs d’Etat et de gou­ver­ne­ment avec la Commission et le Président du Conseil, nous fran­chi­rons des pas déci­sifs. Plusieurs déci­sions seront prises, que la France pro­po­sait depuis des années. Les Etats-membres pour­ront accroître leurs dépenses mili­taires sans que cela soit pris en compte dans leur défi­cit. Des finan­ce­ments com­muns mas­sifs seront déci­dés pour ache­ter et pro­duire sur le sol euro­péen des muni­tions, des chars, des armes, des équi­pe­ments par­mi les plus inno­vants. J’ai deman­dé au gou­ver­ne­ment d’être mobi­li­sé pour que d’une part cela ren­force nos armées le plus rapi­de­ment pos­sible, et d’autre part que cela accé­lère la réin­dus­tria­li­sa­tion dans toutes nos régions. Je réuni­rai avec les ministres com­pé­tents les indus­triels du sec­teur dans les pro­chains jours.

L’Europe de la défense que nous défen­dons depuis huit ans devient donc une réa­li­té. Cela veut dire des pays euro­péens davan­tage prêts à se défendre et à se pro­té­ger, qui pro­duisent ensemble les équi­pe­ments dont ils ont besoin sur leur sol, qui sont prêts à davan­tage coopé­rer et à réduire leurs dépen­dances à l’égard du reste du monde et c’est une bonne chose. L’Allemagne, la Pologne, le Danemark, les Etats baltes et nombre de nos par­te­naires ont annon­cé des efforts inédits en matière de dépenses militaires.

Alors dans ce temps de l’action qui s’ouvre enfin, la France a un sta­tut par­ti­cu­lier. Nous avons l’armée la plus effi­cace d’Europe et grâce aux choix faits par nos aînés après la deuxième Guerre mon­diale, nous sommes dotés de capa­ci­tés de dis­sua­sion nucléaire. Ceci nous pro­tège beau­coup plus que nombre de nos voi­sins. De plus, nous n’avons pas atten­du l’invasion de l’Ukraine pour faire le constat d’un monde inquié­tant, et à tra­vers les deux lois de pro­gram­ma­tion mili­taire que j’ai déci­dées et que les Parlements suc­ces­sifs ont voté, nous aurons dou­blé le bud­get de nos armées en presque dix ans. Mais compte tenu de l’évolution des menaces, de cette accé­lé­ra­tion que je viens de décrire, nous aurons à faire de nou­veaux choix bud­gé­taires et des inves­tis­se­ments sup­plé­men­taires qui sont désor­mais deve­nus indispensables.

J’ai deman­dé au gou­ver­ne­ment d’y tra­vailler le plus vite pos­sible. Ce seront de nou­veaux inves­tis­se­ments qui exigent de mobi­li­ser des finan­ce­ments pri­vés mais aus­si des finan­ce­ments publics, sans que les impôts ne soient aug­men­tés. Pour cela, il fau­dra des réformes, des choix, du courage.

Notre dis­sua­sion nucléaire nous pro­tège. Elle est com­plète, sou­ve­raine, fran­çaise de bout en bout. Elle a depuis 1964 de manière expli­cite tou­jours joué un rôle dans la pré­ser­va­tion de la paix et de la sécu­ri­té en Europe. Masi répon­dant à l’appel his­to­rique du futur chan­ce­lier alle­mand, j’ai déci­dé d’ouvrir le débat stra­té­gique sur la pro­tec­tion par notre dis­sua­sion de nos alliés du conti­nent euro­péen. Quoi qu’il arrive, la déci­sion a tou­jours été et res­te­ra entre les mains du Président de la République, chef des armées.

Maîtriser notre des­tin, deve­nir plus indé­pen­dant, nous devons y œuvrer au plan mili­taire mais aus­si au plan éco­no­mique. L’indépendance éco­no­mique, tech­no­lo­gique, indus­trielle et finan­cière sont des néces­si­tés. Nous devons nous pré­pa­rer à ce que les Etats-Unis décident de tarifs doua­niers sur les mar­chan­dises euro­péennes comme ils viennent de le confir­mer à l’encontre du Canada et du Mexique. Cette déci­sion incom­pré­hen­sible tant pour l’économie amé­ri­caine que pour la nôtre aura des consé­quences sur cer­taines de nos filières. Elle accroît la dif­fi­cul­té du moment mais elle ne res­te­ra pas sans réponse de notre part. Alors tout en pré­pa­rant la riposte, avec nos col­lègues euro­péens, nous conti­nue­rons comme je l’ai fait voi­là quinze jours à tout ten­ter pour convaincre que cette déci­sion nous ferait du mal à tous. Et j’espère oui convaincre et en dis­sua­der le Président des Etats-Unis d’Amérique.

Au total, le moment exige des déci­sions sans pré­cé­dent depuis bien des décen­nies. Sur notre agri­cul­ture, notre recherche, notre indus­trie, sur toutes nos poli­tiques publiques nous ne pou­vons pas avoir les mêmes débats que naguère. C’est pour­quoi j’ai deman­dé au Premier ministre et à son gou­ver­ne­ment et j’invite toutes les forces poli­tiques, éco­no­miques et syn­di­cales du pays à leurs côtés à faire des pro­po­si­tions à l’aune de ce nou­veau contexte. Les solu­tions de demain ne pour­ront être les habi­tudes d’hier.

Mes chers compatriotes,

Face à ces défis et ces chan­ge­ments irré­ver­sibles, il ne faut céder à aucun excès : ni l’excès des va-t-en- guerre ni l’excès des défai­tistes. La France ne sui­vra qu’un cap, celui de la volon­té pour la paix et la liber­té, fidèle en cela à son Histoire et ses prin­cipes. Oui c’est ce en quoi nous croyons pour notre sécu­ri­té, et c’est ce en quoi nous croyons aus­si pour défendre la démo­cra­tie, une cer­taine idée de la véri­té, une cer­taine idée d’une recherche libre, du res­pect dans nos socié­tés, une cer­taine idée de la liber­té d’expression qui n’est pas autour des dis­cours de haine, une cer­taine idée de l’humanisme. C’est cela que nous por­tons et qui se joue. Notre Europe pos­sède la force éco­no­mique, la puis­sance et les talents pour être à la hau­teur de cette époque, et que nous nous com­pa­rions aux Etats-Unis d’Amérique et a for­tio­ri à la Russie, nous en avons les moyens. Nous devons donc agir en étant unis en euro­péens et déter­mi­nés à nous pro­té­ger. C’est pour­quoi la patrie a besoin de vous, de votre enga­ge­ment. Les déci­sions poli­tiques, les équi­pe­ments mili­taires et les bud­gets sont une chose mais ils ne rem­pla­ce­ront jamais la force d’âme d’une nation. Notre géné­ra­tion ne tou­che­ra plus les divi­dendes de la paix. Il ne tient qu’à nous que nos enfants récoltent demain les divi­dendes de nos engagements.

Alors nous ferons face, ensemble.

Vive la République.

Vive la France.

En NOIR, le texte extrait de la log­go­rhée pré­si­den­tielle, en ROUGE la vérité

Françaises, Français, mes chers com­pa­triotes cons patriotes
… Vous êtes en effet légi­ti­me­ment inquiets devant les évé­ne­ments his­to­riques en cours qui bou­le­versent l’ordre mon­dial Le Nouvel Ordre Mondial
… La guerre en Ukraine, qui a entraî­né près d’un mil­lion de morts et de bles­sés grâce aux armes que je leur ai envoyées, conti­nue avec la même inten­si­té.
… Les États-Unis d’Amérique, notre allié grâce aux armes que je leur ai envoyées, conti­nue avec la même inten­si­té.; »>🤣😅😂, ont chan­gé leurs posi­tions sur cette guerre, sou­tiennent moins l’Ukraine et laissent pla­ner le doute sur la suite. Macron fait mine qu’il ne connait pas la stra­té­gie du choc(1). Depuis 1945, les USA fomentent des guerres dans tous les pays du Monde et quand tout a été détruit, ils sifflent la fin de la récré après avoir bien ven­du leurs armes : que ce soit en Ukraine, en Irak et par­tout ailleurs et que ce soit Bush, Carter, Obama ou Trump.
… Dans le même temps, les mêmes États-Unis d’Amérique entendent impo­ser des tarifs doua­niers aux pro­duits venant d’Europe. Et alors ? Pourquoi n’en fait-il pas autant ? Ah, oui, l’Europe…
… La guerre en Ukraine dure main­te­nant depuis plus de trois ans. Nous avons j’ai déci­dé dès le pre­mier jour de sou­te­nir l’Ukraine et de sanc­tion­ner la Russie avec mes petits poings mus­clés.

Macron officier LGBT

C’est moi, l’chef !

… Au-delà de l’Ukraine, la menace russe est là et touche les pays d’Europe. Nous touche. Faut-il lui rap­pe­ler que JAMAIS la France n’a reçu la moindre bombe russe, ni vu les mou­jiks défi­ler sur les Champs-Élysées. Contrairement à ses amis alle­mands, amé­ri­cains et autres qui, eux, nous ont lar­ge­ment bom­bar­dés ! La Russie ne pré­sente pas l’ombre d’une micro-menace mili­taire pour l’Europe.
…La Russie a déjà fait du conflit ukrai­nien un conflit mon­dial. J’ai tout fait pour jeter de l’huile sur le feu en livrant des armes à mon com­plice, le clown tyran­nique et cocaï­no­mane de Kiev.
… Pour l’Ukraine d’abord. Toutes les ini­tia­tives qui aident à la paix vont dans le bon sens et je veux les saluer ce soir. En même temps… comme d’ha­bi­tude Nous devons conti­nuer d’aider les Ukrainiens à résis­ter donc d’ar­mer — logique — jusqu’à ce qu’ils puissent négo­cier avec la Russie une paix solide pour eux-mêmes et pour nous tous.
Une fois la paix signée entre les Russes et les Américains, sachant que c’est Poutine qui a les cartes en main, pour que l’Ukraine ne soit pas à nou­veau enva­hie par la Russie, rabâ­chage de la rhé­to­rique men­son­gère sur « l’in­va­sion de l’Ukraine » par la Russie, alors que celle-ci est venue mettre fin au géno­cide des popu­la­tions rus­so­phones du Donbass, il nous faut le pré­pa­rer. Cela pas­se­ra à coup sûr par un sou­tien à l’armée ukrai­nienne dans la durée. Allez hop ! C’est par­ti pour de nou­velles aven­tures OPEX, comme au Mali, cette fois-ci, pas dans les sables chauds mais dans le boue ukrai­nienne.
… Cela pas­se­ra aus­si peut-être par le déploie­ment de forces euro­péennes. Celles- ci n’iraient pas se battre aujourd’hui, mais demain, oui elles n’iraient pas se battre sur la ligne de front, mais seraient là au contraire une fois la paix signée pour en garan­tir le plein res­pect. Ça existe déjà, cela s’ap­pelle l’OTAN, mais c’est l’OTAN qui fomente cette guerre.
… L’avenir de l’Europe n’a pas à être tran­ché à Washington ou à Moscou ni à Berlin ni à Alger ni à Bamako ni ni . Et oui, la menace revient à l’est et l’innocence en quelque sorte des trente der­nières années depuis la chute du mur de Berlin est désor­mais révo­lue. Ce serait plu­tôt les Russes qui ont fait preuve d’in­no­cence, puis­qu’ils ont été ber­nés par les accords de Minsk, dont c’é­tait l’ob­jec­tif.
… Plusieurs déci­sions seront prises, que la France pro­po­sait depuis des années. Les États-membres pour­ront accroître leurs dépenses mili­taires sans que cela soit pris en compte dans leur défi­cit. Avec l’argent dette vir­tuel, on peut tout s’au­to­ri­ser. Avec Macron on arri­ve­ra vite à 4 mille mil­liards de dette. 4 sui­vi de douze zéros. Pas de limite !
… Alors dans ce temps de l’action qui s’ouvre enfin, la France a un sta­tut par­ti­cu­lier. Aïe Aïe Aïe ! Nous avons l’armée la plus effi­cace d’Europe 😂😅🤣 et grâce aux choix faits par nos aînés après la deuxième Guerre mon­diale, nous sommes dotés de capa­ci­tés de dis­sua­sion nucléaire Nous y voi­là, le doc­teur Macron Folamour dans ses œuvres.
… Notre dis­sua­sion nucléaire nous pro­tège Elle est com­plète, sou­ve­raine, fran­çaise de bout en bout. Elle a depuis 1964 de manière expli­cite tou­jours joué un rôle dans la pré­ser­va­tion de la paix et de la sécu­ri­té en Europe. Mais Mais, le mot de trop, mais quoi ? répon­dant à l’appel his­to­rique du futur chan­ce­lier alle­mand, j’ai déci­dé Il faut l’ar­rê­ter à temps d’ouvrir le débat stra­té­gique sur la pro­tec­tion par notre dis­sua­sion,
Maîtriser notre des­tin, deve­nir plus indé­pen­dant, nous devons y œuvrer au plan mili­taire mais aus­si au plan éco­no­mique.
Au total, le moment exige des déci­sions sans pré­cé­dent depuis bien des décen­nies. Sur notre agri­cul­ture, notre recherche, notre indus­trie, sur toutes nos poli­tiques publiques nous ne pou­vons pas avoir les mêmes débats que naguère. C’est pour­quoi j’ai deman­dé au Premier ministre et à son gou­ver­ne­ment et j’invite toutes les forces poli­tiques, éco­no­miques et syn­di­cales du pays à leurs côtés à faire des pro­po­si­tions à l’aune de ce nou­veau contexte. On a com­pris : les Français sont appe­lés à une guerre qu’ils n’ont pas voulue.

Le LDD, livret de déve­lop­pe­ment durable va deve­nir LEM, livret d’ef­fort mili­taire
et la Taxe Mili sur les pro­duits lai­tiers, les trot­ti­nettes électriques…

Mes chers com­pa­triotes,
… Bla bla bla… défendre la démo­cra­tie, une cer­taine idée de la véri­té 😂😅🤣, une cer­taine idée d’une recherche libre, du res­pect dans nos socié­tés, une cer­taine idée de la liber­té d’expression qui n’est pas autour des dis­cours de haine, une cer­taine idée de l’humanisme répé­té 4 fois ! Se prend-il pour de Gaulle avec sa célèbre et vague « cer­taine idée de la France », c’est pitoyable.

Macron - de Gaulle

… C’est pour­quoi la patrie a besoin de vous, de votre enga­ge­ment. Mais quelle honte ! Quel culot, quel comble de la part de celui qui n’au­ra ces­sé d’hu­mi­lier les Français, leur Histoire, leur culture. Les déci­sions poli­tiques, les équi­pe­ments mili­taires et les bud­gets sont une chose mais ils ne rem­pla­ce­ront jamais la force d’âme d’une nation — à vomir —. Notre géné­ra­tion ne tou­che­ra plus les divi­dendes de la paix. Il ne tient qu’à nous que nos enfants ceux qu’il aura adop­tés par GPA avec Jean-Michel récoltent demain les divi­dendes de nos enga­ge­ments et de la dette abys­sale que tu vas leur lais­ser.
Vive la République.
Vive la France.

Macron GI

Aguirre Macron ou La colère de Dieu s’en va-t-en guerre

Mobilisation générale

Mobilisation géné­rale
Celui qui ne connaît pas son his­toire est condam­né à la revivre

Michel Lebon

Alguazil :
dict. mot d’origine espa­gnole
Fonctionnaire subal­terne de jus­tice ou de police, tout agent de la Justice ou de la police char­gé de pro­cé­der à des arres­ta­tions ou d’effectuer des surveillances

Q

nou­veau, parce-qu’il y a quelques semaines à peine, pour l’o­li­gar­chie, le souffle démo­cra­tique venait tou­jours des États-Unis, et de son pré­sident gâteux, Biden !
Le Peuple amé­ri­cain a pré­fé­ré Trump, ce qui ne convient pas du tout à l’État Profond amé­ri­cain, et par suite à Attali et ses amis.
Ainsi les États-Unis sont pas­sés — à la suite de cette élec­tion — de la plus grande démo­cra­tie du monde à une… dic­ta­ture.
Émoticône étonnement

Q

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