Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face à la Covid-19, tribune censurée

30 sep­tembre 2020 | 1 com­men­taire

La mise en place d’un régime tota­li­taire en France et ailleurs n’est pas un fan­tasme de quelques hur­lu­ber­lus fan­tasques. C’est bien une réa­li­té. Preuve nous en est don­née chaque jour un peu plus.
Le JDD (Journal du Dimanche) a cen­su­ré une tri­bune de 235 méde­cins ou per­son­na­li­tés du sec­teur médi­cal et lui a pré­fé­ré une autre tri­bune de 7 méde­cins com­plai­sants et cor­rom­pus (cela va de pair).
De plus en plus nom­breuses sont les voix qui s’é­lèvent contre cette dérive tota­li­taire. Notamment France Soir qui a aus­si­tôt publié cette tri­bune cen­su­rée par son confrère.
Voilà pour­quoi Nice Provence Info, pre­mier site régio­nal de réin­for­ma­tion, a sou­hai­té la relayer éga­le­ment car nous lut­tons réso­lu­ment pour la véri­té et la liber­té d’ex­pres­sion.
[source France Soir]

Dans cette tri­bune, plus de 250 scien­ti­fiques, uni­ver­si­taires et pro­fes­sion­nels de san­té cri­tiquent la dérive de la poli­tique sani­taire du gou­ver­ne­ment fran­çais. Ils estiment qu’elle conduit à des inter­pré­ta­tions erro­nées des don­nées sta­tis­tiques et à des mesures dis­pro­por­tion­nées. Et demandent que l’on éva­lue nos connais­sances réelles pour défi­nir démo­cra­ti­que­ment une stra­té­gie sanitaire.

Avis au lec­teur : cette tri­bune devait ini­tia­le­ment paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 sep­tembre 2020. Acceptée le same­di matin par le jour­na­liste en charge de la rubrique « Tribune/​Opinions », elle devait paraître inté­gra­le­ment sur le site Internet du jour­nal et faire l’ob­jet d’un article dans la ver­sion papier du len­de­main. Le jour­na­liste nous disait s’en féli­ci­ter car cela allait per­mettre un débat contra­dic­toire avec d’autres opi­nions très alar­mistes expri­mées ce jour dans ce jour­nal. À 16h, ce jour­na­liste nous a pour­tant pré­ve­nus que sa rédac­tion en chef inter­di­sait la publi­ca­tion. Certitude de déte­nir soi-même la véri­té ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gou­ver­ne­ment ? Nous igno­rons les rai­sons de cette cen­sure que per­sonne n’a jugé utile (ou tout sim­ple­ment cour­tois) de nous expliquer.

Tandis que le gou­ver­ne­ment pré­pare une nou­velle loi (la qua­trième en 6 mois !) pro­lon­geant le « régime d’exception » qui a rem­pla­cé « l’état d’urgence » sani­taire, le minis­tère de la Santé a encore annon­cé mer­cre­di 23 sep­tembre des mesures res­tric­tives des liber­tés indi­vi­duelles et col­lec­tives qu’il pré­tend fon­dées scien­ti­fi­que­ment sur l’a­na­lyse de l’é­pi­dé­mie de coro­na­vi­rus. Cette pré­ten­tion est contes­table. Nous pen­sons au contraire que la peur et l’aveuglement gou­vernent la réflexion, qu’ils conduisent à des inter­pré­ta­tions erro­nées des don­nées sta­tis­tiques et à des déci­sions admi­nis­tra­tives dis­pro­por­tion­nées, sou­vent inutiles voire contre-productives.

Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?

Le SARS-CoV‑2 menace essen­tiel­le­ment les per­sonnes dont le sys­tème immu­ni­taire est fra­gi­li­sé par le grand âge, la séden­ta­ri­té, l’o­bé­si­té, des comor­bi­di­tés car­dio-res­pi­ra­toires et des mala­dies sous-jacentes de ces sys­tèmes. Il en découle que la prio­ri­té sani­taire est de pro­té­ger ces per­sonnes fra­giles : le res­pect des gestes bar­rières et le lavage des mains en sont deux des clés.

Le SARS-CoV‑2 cir­cule dans le monde depuis envi­ron un an. Il conti­nue­ra à cir­cu­ler, comme l’en­semble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et aux­quels nos orga­nismes se sont pro­gres­si­ve­ment adap­tés. L’espoir de faire dis­pa­raître ce virus en rédui­sant à néant la vie sociale est une illu­sion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pra­tiques médié­vales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.

Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » repro­dui­sant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empi­rique. C’est une théo­rie catas­tro­phiste issue de modé­li­sa­tions fon­dées sur des hypo­thèses non véri­fiées, annon­cée dès le mois de mars et res­sor­tie des car­tons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâ­che­ment » des Français, en mai avant le décon­fi­ne­ment, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clus­ters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nou­veau cet automne face à une aug­men­ta­tion des cas certes signi­fi­ca­tive, mais lente et gre­vée d’incertitudes diag­nos­tiques. Au final, cette pré­ten­due « deuxième vague » est une aber­ra­tion épi­dé­mio­lo­gique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieu­se­ment com­pa­ré à ce que nous avons vécu au prin­temps dernier.

On ne compte plus les mêmes choses

Nous voyons enfin que, pour des rai­sons dif­fi­ciles à cer­ner (panique, pres­sion poli­tique ou média­tique… ?), les auto­ri­tés sani­taires fran­çaises ne par­viennent pas à sta­bi­li­ser une com­mu­ni­ca­tion hon­nête sur les chiffres de l’é­pi­dé­mie. Elles ont sur­tout aban­don­né l’in­di­ca­teur fon­da­men­tal, la mor­ta­li­té, pour ne rete­nir que celui de la posi­ti­vi­té de tests pour­tant inca­pables de dis­tin­guer les sujets malades des per­sonnes gué­ries. Cette poli­tique du chiffre appli­quée aux tests conduit à une nou­velle aber­ra­tion consis­tant à s’é­ton­ner du fait qu’on trouve davan­tage aujourd’­hui ce qu’on ne cher­chait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des clas­se­ments des dépar­te­ments ou des régions en zones plus ou moins « dan­ge­reuses » à qui l’on donne de jolies cou­leurs qui cachent la fra­gi­li­té et l’arbitraire du comp­tage : untel se retrou­ve­ra en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réani­ma­tion, un autre ver­ra tous ses res­tau­rants fer­més sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de conta­mi­na­tion majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.

Les auto­ri­tés sani­taires ne s’in­ter­rogent pas non plus sur la sur­mor­ta­li­té à venir des autres grandes causes de décès (can­cers, mala­dies car­dio-vas­cu­laires) dont la prise en charge est délais­sée, ni sur le fait qu’une par­tie des sujets clas­si­fiés par­mi les per­sonnes « décé­dées de la Covid » sont en réa­li­té mortes en rai­son d’une autre patho­lo­gie mais clas­si­fiées Covid parce qu’elles étaient éga­le­ment por­teuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pour­rait consti­tuer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces der­nières semaines. Cette façon de comp­ter de plus en plus comme « morts du Covid » des per­sonnes en réa­li­té atteintes avant tout d’autres mala­dies est pro­ba­ble­ment l’explication prin­ci­pale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE : « Depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mor­ta­li­té par rap­port à 2019 ».

Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à para­ly­ser tout ou par­tie de la vie de la socié­té en sui­vant des rai­son­ne­ments qui sont par­fois erro­nés dans leurs pré­misses mêmes. Il est urgent d’ar­rê­ter l’escalade, d’ac­cep­ter de remettre à plat nos connais­sances scien­ti­fiques et médi­cales, pour redé­fi­nir démo­cra­ti­que­ment une stra­té­gie sani­taire actuel­le­ment en pleine dérive autoritariste.

Les signa­taires :
• Laurent Toubiana, cher­cheur épi­dé­mio­lo­giste à l’INSERM, direc­teur de l’IRSAN
• Jean-François Toussaint, pro­fes­seur de phy­sio­lo­gie à l’Université de Paris, ancien pré­sident des Etats Généraux de la Prévention
• Laurent Mucchielli, socio­logue, direc­teur de recherche au CNRS
• Jean Roudier, pro­fes­seur de méde­cine, rhu­ma­to­logue, direc­teur de l’unité INSERM UMRs 1097
• Louis Fouché, méde­cin, anes­thé­siste réani­ma­teur à l’Hôpital de la Conception
• Olivier Lhoest, méde­cin anes­thé­siste réani­ma­teur
• Olivier de Soyres, méde­cin, réani­ma­teur à la cli­nique des Cèdres
• Elise Carpentier, pro­fes­seur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
• André Comte-Sponville, phi­lo­sophe
• Christian Perronne, chef du ser­vice d’infectiologie à l’hôpital de Garches, pro­fes­seur à l’Université de Versailles Saint Quentin-Paris Saclay
• Anne Atlan, direc­trice de recherche au CNRS, géné­ti­cienne des popu­la­tions et socio­logue
• Alain Wurtz, pro­fes­seur émé­rite de chi­rur­gie tho­ra­cique à l’Université de Lille
• Bernard Swynghedauw, bio­lo­giste, direc­teur de recherche émé­rite à l’INSERM
• Catherine Gire, chef de ser­vice de réani­ma­tion, soins inten­sifs et néo­na­to­lo­gie à l’Hôpital Nord de Marseille
• Bernard Dugué, doc­teur en phar­ma­co­lo­gie, doc­teur en phi­lo­so­phie
• Jean-Louis Rouvillain, méde­cin, ortho­pé­die trau­ma­to­lo­gie, CHU La Meynard (Fort-de-France)
• Jean Bulard, méde­cin géné­ra­liste (Polynésie fran­çaise)
• Marta Barreda González, méde­cin géné­ra­liste, spé­cia­liste en Santé Publique
• Laurent Durinck, méde­cin, anes­thé­siste
• Lisbeth Girard-Claudon, méde­cin géné­ra­liste
• Tamara Baron, psy­cho­logue à la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré
• Charles Menard, méde­cin, psy­chiatre
• Françoise Robinson, doc­teur en méde­cine (Bron)
• Richard Rodriguez, méde­cin géné­ra­liste
• Elisabeth Pouffier, méde­cin géné­ra­liste
• Emmanuelle Lemonnier, méde­cin géné­ra­liste
• Lionel Ferrier, méde­cin géné­ra­liste
• Sabine dé Monvallier, méde­cin géné­ra­liste
• Didier Montet, doc­teur en sciences et tech­no­lo­gie ali­men­taire, HDR en bio­chi­mie
• André Burnol, ingé­nieur ENSTA Paris, doc­teur en hydro­géo­chi­mie
• Arnaud Plagnol, psy­chiatre, pro­fes­seur de psy­cho­lo­gie à l’Université Paris 8
• Isabelle Vinatier, pro­fes­seur émé­rite en sciences de l’éducation, uni­ver­si­té de Nantes
• Marnix Dressen-Vagne, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
• Nicolas Sembel, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université d’Aix-Marseille
• Pascal Ragouet, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université de Bordeaux
• Pascal Roman, pro­fes­seur de psy­cho­lo­gie à l’Université de Lausanne
• Bruno Péquignot, pro­fes­seur émé­rite de socio­lo­gie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle
• Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de confé­rences en phy­sio­lo­gie végé­tale à la Sorbonne-Université
• Éric Desmons, pro­fes­seur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord
• Dominique Andolfatto, pro­fes­seur de science poli­tique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
• Dominique Labbé, poli­tiste, ensei­gnant émé­rite à l’Université de Grenoble-Alpes
• Bernard Marsigny, méde­cin anes­thé­siste réani­ma­teur
• Amandine Thomasset, psy­chiatre, pra­ti­cien hos­pi­ta­lier en Loire Atlantique
• Romain Torrents, méde­cin hos­pi­ta­lier, phar­ma­co­lo­gie cli­nique, Centre Antipoison et de Toxicovigilance
• Laure Farnault, méde­cin, pra­ti­cien hos­pi­ta­lier en Hématologie (Marseille)
• Thierry Medynski, méde­cin géné­ra­liste
• Christophe Leroy, bio­lo­giste, doc­teur en Biologie molé­cu­laire et cel­lu­laire
• Béatrice Segurens, cher­cheuse en géné­tique et méta­gé­no­mique au CEA
• Jean-François Lesgards, bio­chi­miste, cher­cheur au CNRS
• Alain Deville, phy­si­cien, Professeur émé­rite à l’Université Aix-Marseille
• Cécile Fortanier, doc­teur en Economie de la Santé, Cadre Hospitalier
• Frédéric Schnee, Médecin gériatre coor­don­na­teur en EHPAD
• Gilles Perrin, méde­cin, anes­thé­siste réani­ma­teur à l’Hôpital de la Conception
• Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
• Bernard Lamizet, ancien pro­fes­seur des uni­ver­si­tés à l’Institut d’Études poli­tiques de Lyon
• Alexandra Henrion-Caude, cher­cheur, ancienne direc­trice de recherche INSERM
• Vincent Pavan, maître de confé­rences en mathé­ma­tiques à l’Université d’Aix-Marseille
• Peter El Baze, méde­cin Ancien atta­ché des Hôpitaux du CHU de Nice
• Hélène Banoun, phar­ma­cien bio­lo­giste, doc­teur en phar­ma­co­lo­gie molé­cu­laire
• Soizic Noël-Bourgois, infir­mière diplô­mée d’Etat, doc­teur en eth­no-anthro­po­lo­gie
• Sophie Dessauvages, aide-soi­gnante diplô­mée d’État
• Monique Lamizet, méde­cin géné­ra­liste
• Thierry Gourvénec, pédo­psy­chiatre
• Françoise Giorgetti‑D’Esclercs, méde­cin Oto-rhi­no-laryn­go­lo­giste
• Arnaud Rey, cher­cheur en psy­cho­lo­gie au CNRS
• Alexandra Menant, cher­cheuse en bio­lo­gie au CNRS
• Philippe Brouqui, méde­cin, chef du pôle des mala­dies infec­tieuses au CHU de La Timone-IHU Méditerranée Infection
• Claire Neirinck, pro­fes­seur émé­rite de droit à l’Université Toulouse 1 Capitole
• Pascal Sacré, méde­cin, anes­thé­sie-réani­ma­tion
• Jean-Michel Crabbé, méde­cin géné­ra­liste
• Nicole Roattino, phar­ma­cien hos­pi­ta­lier
• Clotilde Branly, sage-femme à l’Hôpital de Sarlat
• Brigitte Weiss, méde­cin géné­ra­liste
• Hubert Sroussi, méde­cin géné­ra­liste
• Valérie Giraud, sage-femme sexo­logue, Dordogne
• Jean-Jacques Coulon, méde­cin géné­ra­liste (Bourges)
• Christophe Dargere, socio­logue, cher­cheur asso­cié au Centre Max Weber
• Stéphane Tessier, méde­cin de san­té publique, doc­teur en sciences de l’é­du­ca­tion
• Violaine Guérin, méde­cin endo­cri­no­logue et gyné­co­logue
• Alain Le Hyaric, méde­cin spé­cia­liste Santé Publique (Paris)
• Guillaume Barucq, méde­cin géné­ra­liste à Biarritz
• Franck Enjolras, psy­chiatre et doc­teur en anthro­po­lo­gie (EHESS, Iris)
• Claude Gautier, pro­fes­seur de phi­lo­so­phie à l’Ecole Normale Supérieure (Lyon)
• Agnès Florin, pro­fes­seur émé­rite de psy­cho­lo­gie de l’en­fant à l’Université de Nantes
• Colette Anné, mathé­ma­ti­cienne au CNRS (Nantes)
• Jean-Luc Viaux, pro­fes­seur émé­rite de psy­cho­lo­gie à l’Université de Rouen
• Benoit Marpeau, maître de confé­rences en his­toire à l’Université de Caen-Normandie
• Hervé Joly, his­to­rien, cher­cheur au CNRS (Lyon)
• Bénédicte Helfer, méde­cin, risques sani­taires majeurs et ges­tion de crise
• Jean Emsallem, méde­cin angéio­logue, ensei­gnant à la Faculté de méde­cine de la Sorbonne Université
• Charalambos Apostolidis, pro­fes­seur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
• Mathias Delori, poli­tiste, char­gé de recherche CNRS
• Christopher Pollmann, pro­fes­seur de droit public à l’Université de Lorraine
• Farhad Khosrokhavar, pro­fes­seur émé­rite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales
• Maryse Esterle, socio­logue, ensei­gnante-cher­cheure hono­raire à l’Université d’Artois
• Thierry Oblet, maître de confé­rences en socio­lo­gie, Université de Bordeaux
• Bernard Lamizet, pro­fes­seur émé­rite en sciences de l’information et de la com­mu­ni­ca­tion à l’IEP de Lyon
• Christophe Leroy, bio­lo­giste, doc­teur en bio­lo­gie molé­cu­laire et cel­lu­laire
• Docteur Jean-Pierre Letourneur, méde­cine, hépa­to­gas­troen­té­ro­logue (Saint-Malo)
• Morgane Miegeville, cadre de san­té, res­pon­sable péda­go­gique (Paris)
• Martine Mérour, méde­cin pneu­mo­logue retrai­tée
• Brigitte Agostini, infir­mière libé­rale (Corse du Sud)
• Sybille Burtin-Philibert, méde­cin spé­cia­liste de Santé Publique
• Vincent Reliquet, méde­cin, Comité Médical AIMSIB (Tourcoing)
• Marie-José Minassian, pro­fes­seur émé­rite de phi­lo­sophe à l’Université Paris 8
• Bernard Banoun, pro­fes­seur de lettres à Sorbonne Université
• Gérard Ostermann, pro­fes­seur de thé­ra­peu­tique, méde­cine Interne et psy­cho­thé­ra­peute
• François Gastaud, chi­rur­gien Orthopédiste (Strasbourg)
• Alix Moulanier, méde­cin géné­ra­liste
• Fouad Daoud, méde­cin, ostéo­pathe, psy­cha­na­lyste
• Laurent Sedel, méde­cin, ancien chef de ser­vice en ortho­pé­die à l’hôpital Lariboisière
• Jean-Michel de Chaisemartin, méde­cin psy­chiatre des hôpi­taux hono­raire (Finistère)
• Patrick Bellier, méde­cin du sport, pneu­mo­logue aller­go­logue (Sainte-Foy-les-Lyon)
• Dominique Géraud-Coulon, méde­cin réédu­ca­teur (Gap)
• Anne-Gabrielle Mottier, ortho­pho­niste
• Koryna Socha, méde­cin ana­to­mo­pa­tho­lo­giste
• Jean-François Pascal, méde­cine, chef de ser­vice SSR, gériatre
• Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chi­rur­gien-den­tiste
• Rose-Marie Castello, méde­cin du tra­vail et méde­cin géné­ra­liste (Paris)
• Florence Laaziri, infir­mière libé­rale
• Véronique Orth-Weyers, méde­cin géné­ra­liste (Fort-de-France)
• Pierre Concialdi, cher­cheur en sciences sociales
• Rémy Marchal, pro­fes­seur des uni­ver­si­tés à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
• Marc Richevaux, magis­trat, maître de confé­rences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
• Laetitia Gorius, infir­mière Diplômée d’Etat
• Delphine Rive, méde­cin géné­ra­liste à Rezé
• David Esfandi, méde­cin, psy­chiatre (Bordeaux)
• Nadia Lamm, ensei­gnant émé­rite à l’Université de Rouen
• Paméla Pang, infir­mière
• Valérie Legrand, infir­mière libé­rale
• Nicole Chaudiere, phar­ma­cienne
• Mariane Huart, infir­mière Diplômée d’Etat et ostéo­pathe
• Véronique Ahari, méde­cin géné­ra­liste (Poitiers)
• Éric Ménat, méde­cin géné­ra­liste (31)
• Sandrine Thiou, méde­cin géné­ra­liste à Besançon
• Patrick Roux, méde­cin libé­rale et pra­ti­cien atta­ché au CHU de Clermont-Ferrand
• Julien Petit, méde­cin du sport
• Serge Rader, phar­ma­cien (Paris)
• Arnauld Cabelguenne, phar­ma­cien, Docteur en Toxicologie et Cancers
• Marie-Claire Cabelguenne, phar­ma­cien, Coordinatrice MSP du Lectourois (Gers)
• Katia Chaussepied, infir­mière
• Marc Roux, pro­fes­seur hono­raire de Zootechnie
• Caroline Gautier, infir­mière
• Évelyne Gandais, méde­cin der­ma­to­logue
• Jérôme Reynier, doc­teur en psy­cho­lo­gie sociale, ensei­gnant en BTS
• Michaël Ramain, méde­cin, ancien Attaché des Hôpitaux de Paris
• Roseline Marie, méde­cin géné­ra­liste (Balaruc-les-Bains)
• Sébastien Aubert, pro­fes­seur de génie méca­nique à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
• Michelle Zancarini-Fournel, his­to­rienne, pro­fes­seur émé­rite à l’Université de Lyon
• Patricia Melot, méde­cin géné­ra­liste
• Delphine Pages, méde­cin géné­ra­liste
• Sylvie Laval, psy­chiatre
• Lucie Jouvet Legrand, socio-anthro­po­logue, maî­tresse de confé­rences à l’Université de Franche-Comté
• Launay-Kong Hélène, infir­mière libé­rale
• Bernard Gaillard, psy­cho­logue, pro­fes­seur émé­rite à l’Université de Rennes 2
• Alix Moulanier, méde­cin géné­ra­liste
• Philippe Raymond, méde­cin géné­ra­liste (Bourg-en-Bresse)
• Murielle Dellemotte, méde­cin du tra­vail
• Sandrine Vansnick, infir­mière
• Isabelle Aubert, maitre de confé­rences HDR à l’Université de Bordeaux
• Pascal Lardellier, pro­fes­seur à l’Université de Bourgogne
• Myriam Balsat, méde­cin géné­ra­liste
• Vincent Manns, méde­cin géné­ra­liste (46)
• Jean-Louis Thillier, méde­cin, immu­no­pa­tho­lo­giste
• François Alaux, méde­cin spé­cia­liste à Montauban
• Jacques Bassier, méde­cin nutri­tion­niste
• Guy Chapouillié, pro­fes­seur émé­rite à l’ENSAV Université Jean-Jaurès
• Catherine Schall Pruvost, méde­cin géné­ra­liste
• Christophe Robin, méde­cin géné­ra­liste (Bayonne)
• Frédéric Barbe, maître de confé­rences asso­cié à l’Ecole d’Architecture de Nantes
• Françoise Auban, méde­cin géné­ra­liste (Marseille)
• Marc Arer, méde­cin géné­ra­liste (Saint-Etienne)
• Pierre-André Bouillet, méde­cin géné­ra­liste
• Michel Boudet, méde­cin géné­ra­liste
• Nicole Karsenti, méde­cin, nutri­tion­niste
• Michel Soussalin, chi­rur­gien AIHP ACCA des Hôpitaux de Paris
• Jean-Baptiste Mouzet, pra­ti­cien hos­pi­ta­lier, Gériatre, soins de suite
• Caroline Mouzet-Heaulmé, Médecin géné­ra­liste
• Joël Rezzouk, méde­cin, chi­rur­gien
• Sylvie mer­lier, Docteur en phar­ma­cie
• Patrick Sautereau, méde­cin géné­ra­liste, (Caen)
• Michel Angles, méde­cin géné­ra­liste, (Rodez)
• Sylvie Merlier, phar­ma­cien
• Didier Delaitre, méde­cin légiste, Le Bourget
• Eugenia Lamas, cher­cheuse en éthique de la recherche bio­mé­di­cale à l’INSERM
• Élisabeth Delaygue Bevan, méde­cin nutri­tion­niste
• Didier Girard, méde­cin géné­ra­liste (Paris)
• Véronique Mathevet, infir­mière
• Bénédicte Dassonville, méde­cin géné­ra­liste (Beaufort-en-Anjou)
• Stéphanie Rochet, doc­teur en phar­ma­cie
• Anne Catherine Martin, méde­cin géné­ra­liste (71)
• Nathalie Demonté Dubruque, méde­cin géné­ra­liste (34)
• Christophe Petiau, méde­cin, neu­ro­logue (Strasbourg)
• Nathalie Caradot, méde­cin géné­ra­liste (Sainte-Foy-les-Lyon)
• Philippe Laurent, méde­cin géné­ra­list
• Michèle Leclerc-Olive, cher­cheure émé­rite au CNRS
• Michel Joubert, pro­fes­seur émé­rite de socio­lo­gie à l’Université Paris 8
• Marie Pierre Brau Nogué, infir­mière cli­ni­cienne (Bagnères-de-Bigorre)
• Véronique Chevalier, infir­mière
• Olivier Esteves, pro­fes­seur de civi­li­sa­tion des pays anglo­phones à l’Université de Lille
• Pierre-Yves Santiago, chi­rur­gien ocu­laire, Institut Ophtalmologique de l’Oues
• Léna Barbancey, infir­mière (Anduze)
• Ambre Limouzy, infir­mière libé­rale
• Pascal Poteri, infir­mier
• Guillaume du Manoi, méde­cin géné­ra­liste
• Pascale Gillot, maître de confé­rences en phi­lo­so­phie à l’Université de Tours
• Jean-Pierre Eudier, chi­rur­gien-den­tiste
• Paul-André Bellot, méde­cin géné­ra­liste
• Ghislaine Nicola Deloffre, méde­cin géné­ra­liste
• Florent Gaudez, pro­fes­seur de socio­lo­gie à l’Université Grenoble-Alpes
• Philippe Bos, méde­cin anes­thé­siste retrai­té (46)
• Christian Lagasse, méde­cin géné­ra­liste (82)
• Claire Lenclud, méde­cin géné­ra­liste (38)
• Pascale Brun, méde­cin, acu­punc­teur
• Dominique Domergue-Anguis, méde­cin gyné­co­logue (Amboise)
• Pascal Mensah, méde­cin géné­ra­liste
• Jeanine Jemet, méde­cin géné­ra­liste
• Dominique Carpentier, méde­cin géné­ra­liste (Vallesvilles)
• Didier Blanc, pro­fes­seur de droit public à l’Université de Toulouse
• Jean-Pierre Garcia, méde­cin géné­ra­liste (Paris)
• Soad Zahaf Leghmizi, psy­chiatre (Seine et Marne)
• Gérard Le Roux, méde­cin géné­ra­liste retrai­té
• Jean-François Bayart, pro­fes­seur de science poli­tique à l’IHEID
• Fanny Morin, méde­cin géné­ra­liste
• Isabelle Autonne, méde­cin géné­ra­liste
• Karim Souanef, maître de confé­rences en socio­lo­gie à l’Université de Lille
• Michelle Lecolle, ensei­gnante-cher­cheure en lin­guis­tique à l’Université de Lorraine
• Sonia Le Floch, méde­cin géné­ra­liste (34)
• Dominique Leiber, méde­cin géné­ra­liste
• Patrick Guérin, doc­teur vété­ri­naire, Président OpenHealth Company
• Hélène Palma, maître de confé­rences en civi­li­sa­tion des îles Britanniques à l’Université d’Aix-Marseille
• Nathalie Auger, maître de confé­rences en Chimie à l’Université de Rennes 1
• Emmanuel Froelhy, méde­cin kiné­si­thé­ra­peute ostéo­pathe
• Claude Veres, méde­cin, der­ma­to­logue (Paris)
• Richard Chantal, méde­cin géné­ra­liste (83)

1 commentaire

  1. Merci à tous ces méde­cins et à votre publi­ca­tion, il faut rele­ver la tête et faire face aux mensonges !

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